Il y est une nouvelle fois question du mélange des genres qu'entretient le directeur du pôle de France 3 Sud-Ouest, Gérard Vallès avec le mandat de conseiller municipal qu'il assure à Moissac où il est apparemment de nouveau candidat dans le cadre des prochaines élections municipales. (voir le tract du SNJ)
Le blog CGC Média vous propose de découvrir ces deux articles.
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La petite ville tarn-et-garonnaise de Caussade a fait quatre apparitions en deux ans au 19/20
de France 3 Midi-Pyrénées. De taille équivalente, sa voisine Moissac
s’y est affichée 32 fois. Pourquoi ? La même réponse sort des bureaux
les plus divers de la rédaction toulousaine de la station régionale :
parce que le directeur du pôle Sud-Ouest de France 3, Gérard Vallès, y
est conseiller municipal.
Lequel Gérard Vallès balaie l’argument : «N’y ayant aucune responsabilité éditoriale, je me fais une règle de ne jamais intervenir auprès des rédactions du pôle.»
Peut-être. Mais il y a au moins «conflit d’autorité», soulève le syndicat SNJ dans un tract intitulé «Campagne des élections municipales : à France Télévisions, ça commence mal !» (ci-dessous)
En effet, si un directeur de pôle se garde de donner des consignes, les hiérarchies intermédiaires peuvent être tentées de lui complaire. En tout cas, le «soupçon», reprend le SNJ, pèsera toujours sur le travail de ses équipes. Un journaliste syndiqué en poste à Toulouse raconte ainsi comment, cet été, sa rédaction en chef préparant cette période électorale lui a passé commande d’une série de quatre reportages sur Moissac. Qu’il s’est empressé de ne pas réaliser.
Lequel Gérard Vallès balaie l’argument : «N’y ayant aucune responsabilité éditoriale, je me fais une règle de ne jamais intervenir auprès des rédactions du pôle.»
Peut-être. Mais il y a au moins «conflit d’autorité», soulève le syndicat SNJ dans un tract intitulé «Campagne des élections municipales : à France Télévisions, ça commence mal !» (ci-dessous)
En effet, si un directeur de pôle se garde de donner des consignes, les hiérarchies intermédiaires peuvent être tentées de lui complaire. En tout cas, le «soupçon», reprend le SNJ, pèsera toujours sur le travail de ses équipes. Un journaliste syndiqué en poste à Toulouse raconte ainsi comment, cet été, sa rédaction en chef préparant cette période électorale lui a passé commande d’une série de quatre reportages sur Moissac. Qu’il s’est empressé de ne pas réaliser.
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