Dans sa rubrique "vite-dit" du 9/03/15, le site d'"arrêt sur images" met un coup de projecteur sur une "séquence passée inaperçue" le mercredi 4 février dernier, où "une semaine après la diffusion d'une enquête de Pièces à convictions, consacré au train de vie du Sénat, Pflimlin était auditionné par le Sénat à propos de l'avenir du groupe audiovisuel public. L'occasion pour les sénateurs de malmener le PDG de France TV."Pflimlin en a pris pour son grade....
Devant les sénateurs remontés comme des pendules, il faisait moins le malin que dans le "Supplément "de ce dimanche sur Canal +.
Mal à l'aise, en avalant à plusieurs reprises sa salive devant les parlementaires, il s'est très maladroitement justifié en répétant "Cette cette émission sur le train de vie du Sénat, s'inscrit dans un débat qui n'est pas clos....Puis c'est la marque de l'indépendance du service public, il faut que vous le sachiez".
Le blog CGC Média vous propose de découvrir l'article de la Rédaction d'Arrêt sur images:
"D'emblée, le sénateur UMP des Alpes-Maritimes, Jean-Pierre Leleux [par ailleurs administrateur de France Télévisions, ndlr] affiche la couleur : "Vous arrivez après une émission de France 3 qui nous a tous fait très très très plaisir et vous devez vous attendre à quelques questions sur le sujet". *
Anticipant les critiques et ces fameuses questions, Pfimlin a bredouillé que "l'angle" de cette émission - le train de vie du Sénat - "s'inscrit dans un débat qui n'est pas clos", celui de l'utilisation de l'argent public.
Pas vraiment convaincant pour les sénateurs qui ont enchaîné sur les méthodes de l'émission. Bruno Retailleau, président du groupe UMP du Sénat, a ainsi reproché à France 3 d'avoir eu recours à des caméras cachées. Samia Ghali, sénatrice PS des Bouches-du-Rhône, a reproché les questions des journalistes : "Je n'ai jamais vu un média interroger de la sorte".
Pas vraiment convaincant pour les sénateurs qui ont enchaîné sur les méthodes de l'émission. Bruno Retailleau, président du groupe UMP du Sénat, a ainsi reproché à France 3 d'avoir eu recours à des caméras cachées. Samia Ghali, sénatrice PS des Bouches-du-Rhône, a reproché les questions des journalistes : "Je n'ai jamais vu un média interroger de la sorte".
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