mardi 26 septembre 2017

Après le parachutage raté de l’été 2015 à France Télés, tous les ingrédients pour un catapultage réussi en 2017 sont là !



Après le parachutage raté de l’été 2015 à France Télés, tous les ingrédients pour un catapultage réussi en 2017 sont là ! 

Comme le blog CGC Média l’avait écrit le 19 septembre dernier dans un article intitulé «Assemblée générale sur « franceinfo: »…la colère gronde, les arrêts maladie explosent et les remplacements ne se font plus», les salariés de la chaîne info (mais pas qu’eux) sont remontés comme des pendules.

La SDJ de « france info: » courroie de transmission d’une Rédaction chauffée à blanc est allée le dire à l’ex Orange qui ne l’a évidemment pas entendue. Comment pouvait-il en être autrement ? Chacun se souvient comment elle a procédé avec Pujadas…il y avait donc fort à penser que leur rencontre était vaine.

Les arrêts maladie qui explosent, les « burn out » qui ne se comptent plus, les demandes de nombreux personnels détachés pour réintégrer leur service au sein de leur chaîne d’origine qui sont légion, les départs en congés  qui ne sont plus remplacés,  le recours aux pigistes extérieurs qui va croissant notamment chez les JRI dans le secteurrien n’a fait sourciller celle que « Schrameck and co » parachutait à l’été 2015 sans connaissance du secteur.

Cela s’est tellement mal passé, selon nos informations, que l’écho de la fin de recevoir en tous points qu’elle a adressée à ses interlocuteurs s’est propagée à la vitesse de la lumière. A tel point que les SDJ de France Télés, « La Deux » en tête, viennent de lui écrire un courrier pas très gentil pour exiger sans délai un virage à 180°.  

« On n’est pas chez Orange ici…les 36 suicides et les démissions en cascade, ici, elle peut se brosser »  pouvait-on par exemple entendre peu après la rencontre ! 
Une nouvelle AG est invitée à se réunir mardi pour faire un point sur la pétaudière comme beaucoup appelle la situation et décider des actions à mener pour arrêter le massacre.

Dire qu’il y a quelques mois seulement nommait Yannick Letranchant pour remplacer Michel Fiel (toujours là) au bord de sa seconde défiance afin d’apaiser les rédactions. Niveau apaisement, la nomination dans la foulée de Pascal Doucet- Bon par l’intéressé a bien entendu eu l’effet inverse. Ce n’est donc plus une Rédaction mais l’ensemble des Rédactions comme une immense majorité des personnels plus largement qui en ont ras la casquette de cette déliquescence programmée touchant tous les secteurs, appauvrissant leur outil de travail et détournant les téléspectateurs de leurs écrans jour après jour....
  
La grève sera-t-elle le seul moyen pour que l’actionnaire décide de réécrire le scénario afin qu’un autre réalisateur aux manettes donne une chance au tournage de se poursuivre et se terminer dans de meilleures conditions ?  

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