jeudi 14 septembre 2017

L’État en a soupé des dérapages permanents de Delphine Ernotte…Ceux sur Pujadas, Hanouna et Bolloré viennent de sceller le sort de l’ex Orange.



L’État en a soupé des dérapages permanents de Delphine Ernotte…Ceux sur Pujadas, Hanouna et Bolloré viennent de sceller le sort de l’ex Orange.

Il semble qu’après l’invraisemblable interview à « Libé » de Xavier Couture le toujours numéro 2 de France Télés, le message au Gouvernement donc à l’actionnaire notamment sur l’indexation de la redevance aux revenus qui vient notamment de trouver sa réponse dans les 50 millions d’économies demandés au groupe, le flingage tous azimuts auquel se livre Ernotte dans le magazine Society (ce jeudi), a été la goutte d’eau qui fait déborder le vase.

Tout d’abord dans un exercice de misandrie qui ferait clouer au pilori le moindre représentant de la gent masculine, Ernotte s’en prend à David Pujadas qu’elle décide d’humilier gratuitement mais surtout le plus bassement qui soit : « David Puja­das blessé dans son ego d’au­tant plus que ”c’est quand même une femme qui dit à un employé homme ”: ”J’ai décidé de…[te virer, ndlr]” » affirme dans le titre de Presse celle qui ajoute «Pujadas est sorti de ses gonds. Il était très choqué, furieux…. Il s’est emporté tout de suite. »

Minable, lamentable…au plus haut niveau de l’État où chacun s’interroge sur l’intérêt d’un tel déballage indigne du Service Public, la colère est d’ailleurs à son paroxysme. Une très large majorité de décideurs pour ne pas dire une unanimité réclament sans délai le départ de l’ex Orange. 

C'est Yann Barthes et son équipe qui ont dévoilé, ce mercredi 11 septembre, sur le plateau de « Quotidien », les extraits de ces 7 hallucinantes pages de fiel qui ont immédiatement et dans un premier temps fait réagir, ce 13 septembre, sur le plateau  de TPMP car non contente de flinguer le présentateur du JT de France 2, elle a décidé de se payer également dans les grandes largeurs le patron de « Touche Pas À Mon Poste » Cyril Hanouna.  La première réaction n'a d’ailleurs pas tardé en direct "Ernotte connait la télé comme moi la boucherie" 

 

"L'émission ne pourrait plus être sur France Télés [à l’origine elle était sur France 4, ndlr] car on ne veut pas de sa vulgarité, de chroniqueurs maltraités, de blagues homophobes ou sexistes" lui balance-t-elle !!! Pourquoi ? Va savoir ! Niveau vulgarité, elle devrait relire l’interview de son numérobis dans Libération il y a une dizaine de jours  «J'ai été élevé dans le cul. Tout à coup, après 68, on a eu le droit de baiser. Alors, j'ai beaucoup baisé et je continue. J'adore»… 

Comme si cela ne suffisait pas, elle a balancé avec son employeur le patron de Vivendi, Vincent Bolloré qui la navre au plus haut point "Avant Canal+, c'était une forme d'irrévérence, c'était drôle, inattendu. Aujourd'hui (...) je pleure, c'est triste." …parce que, elle, elle sait ce qui est drôle, irrévérencieux et marche ou pas ?!

Ils sont légion à commencer par les téléspectateurs, les contribuables français,  les salariés de France Télés à attendre que l’actionnaire joue son rôle et les libère maintenant du joug Couturo/Ernottien et de ses déclarations abracadabrantes qui déshonorent aujourd’hui la télé publique et la place plus bas que tout.

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