samedi 30 septembre 2017

L’ex Orange la femme la plus détestée des français selon « Capital » continue d’en prendre partout pour son grade !



L’ex Orange la femme la plus détestée des français selon « Capital » continue d’en prendre partout pour son grade ! 

Alors que paressait cette semaine le dernier sondage du magazine « Capital » sur ces femmes et hommes « les plus détestés des Français » Ernotte est la première femme à prendre la tête du classement.

Delphine Ernotte la femme la plus détestée des français donc selon le dernier sondage du magazine « Capital » qui a fait réaliser ledit sondage du 18 au 21 août 2017 par le cabinet Advent auprès d’un échantillon représentatif de Français de 15 ans et plus (1.007 personnes), selon la méthode des quotas et avec l’outil Scan Leader (*) qui ne concerne que celles et ceux qui sont connus de plus de 20% des français (seuil de notoriété) ! 

(*) Scan Leader est l’outil de mesure du capital marketing des dirigeants français et internationaux développé par le cabinet Advent. Outre l’appréciation, Advent teste 11 indicateurs et 44 paramètres (notoriété, exposition médiatique, image de modernité, d’intégrité, défense de l’actionnaire…). Plus d’informations sur le site www.advent.consulting. 

En à peine plus de deux ans, l’ex Orange par ses déclarations intempestives, hors sol et totalement déconnectées de la réalité comme l’une des toutes premières « il  y a trop d’hommes blancs de plus de 50 ans à la télé et il va falloir que ça change »  est donc devenue, en un temps record, celle qui visiblement insupporte le plus les français contribuables de surcroit !

Comme une volée de bois vert n’arrive jamais seule, l’intéressée parachutée à l’été 2015 à France Télés sans aucune connaissance du secteur, se fait doublement étriller …et dans le Figaro magazine par Stéphane Hoffman et dans « Télés sept jours » par son Directeur de la rédaction Thierry Moreau. 

Télés sept jours d’abord :  



« Il y a quelques jours, Delphine Ernotte accordait sa première longue interview au magazine Society. En dehors des punchlines largement reprises dans la presse, les déclarations de l'intéressée sont fort intéressantes sur sa vision de la télé d'aujourd'hui.

Pour elle, il y a deux télévisions : "Une pour Paris, les urbains, les classes favorisées [...] puis une autre pour la France périphérique et pour laquelle la télévision a une utilité sociale". Quelle curieuse façon d'aborder un média global et fédérateur!

Ses références en matière de programme ?

Elle regarde beaucoup de séries (peu démissions de flux, visiblement). Tout ça est un peu court. Et le seul programme qui l'a marquée dans sa jeunesse, est Apostrophes. Une tarte à la crème des plus classiques...On aurait aimé qu'elle nous parle de La Piste aux étoiles, de Joseph Balsamo, des Shadoks, ou de La caméra explore le temps. C'est avec ce genre de souvenirs d'enfance, fruit d'une télé populaire de qualité, que l'on se construit une vision de la télé du vite futur !»

Passons au Fig mag à présent : 

« Dans son fameux monologue (acte V, scène III), Figaro déplore que, pour un poste qu'il convoitait, "il fallait un calculateur, ce fut un danseur qu'il obtint".
Aujourd'hui, nous avons trop de calculateurs. Il nous faut des danseurs. Surtout à France Télévisions, dont la vipérine présidente vient encore d'amuser la galerie. Excellent personnage de comédie, elle est drôle sans le vouloir et ridicule sans savoir.

Dans un long entretien (7 pages) donné au magazine Society, elle se répand, s'étale et se vautre. Elle se révèle, c'est-à-dire se trahit. Notamment, elle raconte comme un exploit la manière dont elle a expulsé David Pujadas du "20 heures". Selon elle, la mauvaise réaction du présentateur s'explique par sa misogynie.

Autrement dit, critiquer Delphine Ernotte c'est critiquer toutes les femmes ! À son sang-froid de technocrate flingueuse, elle ajoute inélégance et bêtise.

Mais laissons-là. Lorsqu'elle n'aura plus de fusibles à faire sauter pour se protéger, il faudra qu'elle assume. Un (beau) jour, ce vestige de l'ère Hollande sera viré et la télévision continuera.

Espérons qu'elle continue avec danseurs, saltimbanques, paillasses, pitres et pantins. Comme le furent en leur temps Pierre Sabbagh, Arthur Conte, Marcel Julian, Pierre Bouteiller, Pierre Desgraupes, Alain de Greef, Pierre Lescure et tant d'autres (mon Dieu, pas une femme ? Peu : Jacqueline Baudrier, Michèle Cotta...) qui ont écrit quelques-unes des pages les plus inventives de la télévision. »

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