dimanche 1 octobre 2017

Emmanuel Macron et Edouard Philippe veulent-ils vraiment d'une télé publique à deux vitesses pour les français des villes et les autres ?

Emmanuel Macron et Edouard Philippe veulent-ils vraiment d'une télé publique à deux vitesses pour les français des villes et les autres ?

Il semble bien que la coupe qui était déjà pleine concernant les multiples déclarations intempestives d'Ernotte qui se sont multipliées ces derniers temps aient fini par la faire déborder.

"Le long entretien (7 pages) donné au magazine Society où elle se répand, s'étale et se vautre; se révèle, c'est-à-dire se trahit" (Figmag du 29 /09) sa vision de la télé publique qu’elle décrit et que commente très sévèrement et à juste titre Thierrey Moreau (*), a fini par mettre en colère à l’Élysée comme à Matignon.
 

Sa télé à "2 vitesses": "Une pour Paris, les urbains, les classes favorisées [...] puis une autre pour la France périphérique et pour laquelle la télévision a une utilité sociale" .

L'ex Orange qui est supposée parler au nom de l’État actionnaire, a fait assez de dégâts comme cela et provoqué suffisamment de ridicules polémiques pour continuer ainsi à décrédibiliser au quotidien la parole de l'Etat au sein d'une entreprise publique !


(*)Télés sept jours :  




Elle regarde beaucoup de séries (peu démissions de flux, visiblement). Tout ça est un peu court. Et le seul programme qui l'a marquée dans sa jeunesse, est Apostrophes. Une tarte à la crème des plus classiques...On aurait aimé qu'elle nous parle de La Piste aux étoiles, de Joseph Balsamo, des Shadoks, ou de La caméra explore le temps. C'est avec ce genre de souvenirs d'enfance, fruit d'une télé populaire de qualité, que l'on se construit une vision de la télé du vite futur !»


Son interview de 

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