L’ex-Orange en
lice pour prendre la place de Stéphane Richard s’il devait être condamné !...Avec
une télé publique en ruines, ben voyons !
« Pour toutes les entreprises publiques qui sont sous ma
responsabilité de ministre de l'Economie, les règles du jeu doivent être
claires : s'il y a condamnation du dirigeant, il y a départ immédiat du
dirigeant » expliquait
Bruno Le Maire, en janvier 2018, sur BFM Business. Voilà qui est clair, sans
ambiguïté et la stricte application de la jurisprudence Gallet.
Quelques mois plus tard, les réquisitions dans le cadre du procès
sur l'arbitrage controversé entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais, sont sévères : 3 ans de prison dont 18 mois avec sursis,
100 000 euros d'amende et cinq ans d'interdiction de fonction publique
pour l’actuel patron d’Orange. « S’il
y a condamnation, je remettrais mon mandat à disposition du conseil
d’administration » promettait-il sur le plateau de BFM Business.
« Je ne
ferai rien pour m’accrocher à mon poste » ajoutait-il. Dès lors, les plans sur la comète fleurissent.
« La
Lettre A » dans un article au titre clair « Qui
sont les candidats à la succession de Stéphane Richard chez Orange ? »
met en avant plusieurs noms émergeant, en interne comme en externe, pour reprendre la tête de l'opérateur télécom Orange.
Parmi ceux-ci, se retrouve Ernotte qui jouerait un bon tour à celui qui l’avait promu juste après qu’elle ait adressé
un mail le concernant (évidemment!) aux quelques 110.000 salariés du groupe.
Il est tout de même très très peu probable qu’elle y parvienne, au regard de l’échec cuisant qu’elle connait à France Télés qu’elle laissera tel un champ de ruines et tant les profil des autres candidats sont parlants.
Extrait :
"En cas d'empêchement du PDG Stéphane Richard, à l'issue du verdict attendu dans quelques semaines dans le cadre du procès sur l'arbitrage controversé entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais, plusieurs noms émergent, en interne et en externe, pour reprendre la tête de l'opérateur télécom Orange.
Relativement occulté par le procès de l'ex-équipe dirigeante de France télécom - son ancien PDG Didier Lombard en tête - concernant l'affaire des suicides, le jugement sur l'arbitrage de Bernard Tapie, le 7 juillet, n'en demeure pas moins très attendu pour savoir si le patron d'Orange, Stéphane Richard, pourra se maintenir à son poste (LLA du 05/03/19).
Dans les coulisses, de nombreux successeurs potentiels se mobilisent en cas de vacance éventuelle avec une certitude, son poste devrait être scindé en deux avec un président non-exécutif d'une part et un directeur général de l'autre, à l'instar des gouvernances récemment mises en place chez Engie ou Renault.
Côté présidence, les noms qui reviennent le plus souvent sont surtout ceux d'anciens de la maison : Barbara Dalibard, actuelle CEO de SITA, Didier Quillot, directeur de la Ligue de football professionnel et dirigeant historique de l'activité mobile de France télécom, voire Nicolas Dufourcq, déjà administrateur de l'opérateur et aux manettes de Bpifrancedepuis 2013. Pas certain toutefois que ce dernier quitte la tête de la banque publique pour un poste non-exécutif.
Côté direction générale, le jeu est également ouvert. Parmi les principaux candidats de l'intérieur, Ramon Fernandez, DG délégué et directeur financier, pourrait bien occuper le poste. Soutenu notamment par l'Agence des participations de l'Etat (APE) et par Charles-Henri Filippi, administrateur influent d'Orange, l'ancien directeur du Trésor dispose toutefois d'une marge de manœuvre limitée : d'autres prétendants internes ont leur chance comme Fabienne Dulac, DGA du groupe et directrice exécutive d'Orange France, et Laurent Paillassot, également DGA du groupe et directeur exécutif d'Orange Espagne."
Il est tout de même très très peu probable qu’elle y parvienne, au regard de l’échec cuisant qu’elle connait à France Télés qu’elle laissera tel un champ de ruines et tant les profil des autres candidats sont parlants.
Extrait :
"En cas d'empêchement du PDG Stéphane Richard, à l'issue du verdict attendu dans quelques semaines dans le cadre du procès sur l'arbitrage controversé entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais, plusieurs noms émergent, en interne et en externe, pour reprendre la tête de l'opérateur télécom Orange.
Relativement occulté par le procès de l'ex-équipe dirigeante de France télécom - son ancien PDG Didier Lombard en tête - concernant l'affaire des suicides, le jugement sur l'arbitrage de Bernard Tapie, le 7 juillet, n'en demeure pas moins très attendu pour savoir si le patron d'Orange, Stéphane Richard, pourra se maintenir à son poste (LLA du 05/03/19).
Dans les coulisses, de nombreux successeurs potentiels se mobilisent en cas de vacance éventuelle avec une certitude, son poste devrait être scindé en deux avec un président non-exécutif d'une part et un directeur général de l'autre, à l'instar des gouvernances récemment mises en place chez Engie ou Renault.
Côté présidence, les noms qui reviennent le plus souvent sont surtout ceux d'anciens de la maison : Barbara Dalibard, actuelle CEO de SITA, Didier Quillot, directeur de la Ligue de football professionnel et dirigeant historique de l'activité mobile de France télécom, voire Nicolas Dufourcq, déjà administrateur de l'opérateur et aux manettes de Bpifrancedepuis 2013. Pas certain toutefois que ce dernier quitte la tête de la banque publique pour un poste non-exécutif.
Côté direction générale, le jeu est également ouvert. Parmi les principaux candidats de l'intérieur, Ramon Fernandez, DG délégué et directeur financier, pourrait bien occuper le poste. Soutenu notamment par l'Agence des participations de l'Etat (APE) et par Charles-Henri Filippi, administrateur influent d'Orange, l'ancien directeur du Trésor dispose toutefois d'une marge de manœuvre limitée : d'autres prétendants internes ont leur chance comme Fabienne Dulac, DGA du groupe et directrice exécutive d'Orange France, et Laurent Paillassot, également DGA du groupe et directeur exécutif d'Orange Espagne."
En plus de celui d’Ernotte donc "plusieurs noms d’anciens de la maison sortent
aussi comme Elie Girard, successeur potentiel de Thierry Breton à la tête d'Atos ou Vivek Badrinath, qui pilote la zone Asie,
Moyen-Orient et Afrique de Vodafone…." écrit encore le titre de Presse.
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