Ernotte la parachutée de l’été 2015 claque en procédures, l’argent des contribuables estimé à 20 millions d’euros par an des deniers publics.
Un scandale ernottien en chassant un autre, après le long article de Médiapart particulièrement étayé et l’enquête menée par le cabinet Interstys sur le sexisme constaté au Service des Sports de France Télés dont l’ex-Orange prétend comme les précédents ne pas avoir été au courant, voici à quelque jours de son départ le 24 août prochain le papier du Canard qui relate la rencontre entre Roch-Olivier Maistre le président du CSA et l’huissier de Justice lui apportant des centaines de lecture pour l’été !
Des sport il en justement question dans l’hebdomadaire satirique qui conclut ainsi l’info qu’il révèle « ll y a déjà du sport au CSA ».
Ce que ne dit pas le palmipède, c’est le montant astronomique que fait débloquer Ernotte chaque année, estimé à 20 millions d’euros qui servent chaque années pour régler les condamnations de ces contentieux en cascade.
TOUT LE MONDE S’EN FOUT…C’EST LE CONTRIBUABLE QUI PAIE
« Dans cette campagne pour France télé, le patron du CSA, Roch-Olivier Maistre dont le collège va se pencher sur les candidatures [à la présidence de France télés, ndlr] entre le 15 et le 24 juillet, a reçu la visite insolite d'un huissier, lundi 29 juin. Ce dernier lui a apporté un lourd carton comportant 289 condamnations aux prud'hommes de France télé pour abus de CDD à répétition, prononcées durant de 2015 à 2020 [période Ernotte donc, ndlr] écrit Le Canard enchaîné qui ajoute « À l'origine de cette opération : le cabinet d'avocats Ktorza spécialisé dans la défense des précaires de l'audiovisuel qui a obtenu, à lui seul, ces 289 condamnations. Et qui écrit au patron du CSA : "Madame Ernotte rappelée à l'ordre toutes les semaines par la justice française, poursuit avec acharnement dans une conduite qu'elle sait illégale ".
A Bercy où quelques affidés ernottien trouvaient encore le moyen de tresser des couronnes de lauriers à l’ex-Orange, l’information ne fait pas rire du tout mais alors pas du tout.
Après le départ négocié de son numérobis, le 27 juillet prochain (*) pour un probable gros chèque dont le blog CGC Média ne manquera pas de vous informer dès le montant connu, en pleine période d’économies mais plus généralement de crise financière liée à l’épidémie de Coronavirus et de récession, de l’Élysée à Matignon comme pour l’ensemble de la Représentation nationale, non seulement chacun estime que le départ d’Ernotte est entendu mais qu’il est inéluctable qu’elle ait des comptes à rendre dans le mois qui suivront la nomination de la nouvelle tête qui prendra les rênes de la télé publique.
(*)
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