Le tandem Sitbon-Gomez /Ernotte prêt casser l’équilibre cinéma-télévision avec ses 450 millions d’argent public !
« C’est une
erreur que je n’aurai jamais commise » lâche en coulisses un ancien directeur des programmes de France Télés à un
responsable de l'entreprise qui s’est empressé de nous relater le propos.
Faisait- il référence
à Anne Holmes qui a dû raconter hier – de son plein gré, chacun l’aura
compris ! - dans l’affaire de la déprogrammation du téléfilm mettant en scène l'acteur Richard Berry qu’elle avait « pris cette décision
avec le souci de le protéger et de le préserver… » ou au duo formé par l’ex-Orange
et son ex-dircab ?
Cet article laisser à ses lecteurs la
liberté de deviner !
Toujours est-il qu’en coulisses, beaucoup
évoquent les dégâts collatéraux au regard des 450 millions d’euros d’argent
public que France Télés investit chaque année dans l’économie du cinéma
français plutôt déjà bien mal en point à cause de la crise sanitaire.
« Quand on pense que c’est elle qui a tenté d’expliquer la fiction à ceux qui n’y connaissaient rien…et qu’elle se retrouve aujourd’hui à devoir servir de lampiste » ironise ce parfait connaisseur du secteur qui conclut « c’est assez incroyable ! »
« Si pour
elle ou telle considération, le duo infernal de France Télés décide de qui doit
ou non passer à l’antenne, la création a du plomb dans l’aile » s’insurge cet autre.
Quant à ce
troisième qui s’interroge « Risquer de péter cette économie déjà si
fragile et de perdre la confiance d’un secteur en perte de confiance afin de s’immiscer
dans une affaire où seule sont prise en compte les accusations de la fille de l’acteur,
c’est tout bonnement irresponsable », il ajoutera « Tout ça
pour être dans la mouvance féministe du tandem, c’est indigne ! »
Rappelons à ce dernier commentateur, que le fait qu’Anne-Cécile Mailfert soit la compagne de Stéphane Sitbon-Gomez l’ex-dircab de l’ex-Orange, n’a rien à voir avec tout ceci. Ce dernier avait d’ailleurs tenu à préciser dans un communiqué publié alors par France Télés qu’il avait "mis un point d'honneur à se tenir à l'écart" (*) , lorsqu'Ernotte avait versés à celle qui se présentait alors indument comme présidente de la Fondation des femmes, quelques milliers d'euros de l'argent des contribuables qui font toujours l'objet d'une plainte au Pénal.
(*) Canard enchaîné de l'époque
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