Le Grand échiquier » sur France 3 : la descente aux enfers se poursuit.
Ce lundi 20 décembre, France Télévisions diffusait "Le grand échiquier" présenté sur France 3 cette fois-ci par Claire Chazal. Le coût unitaire de l’émission qui tourne autour du million et demi d’euros a dû grimper un peu plus hier soir avec la présence d’un orchestre symphonique dirigé par Nicolas Guiraud pour cette nouvelle version de l'émission.
Si l’ex-dircab d’Ernotte continue de minimiser ses échecs comme The Artist entre autres, sur l’air de « c’est le rôle du Service public », de son côté le producteur Pierre-Antoine Capton qui a repris l’émission de Jacques Chancel et Troisième Œil/Médiawan se frottent les mains.
C’est le contribuable qui paie et a payé la dizaine d’émissions déjà diffusées qu’il serait plus juste de rebaptiser pour l’occasion « Le grand chéquier » avec des coûts faramineux pour des audiences quasiment toutes autour de 5% et ce quelle que soit la chaine de FTV. (voir l'article du blog CGC Média: "Les puissances d’argent et France Télévisions!")
C’est donc un nouveau bide pour le programme et la chaîne qui termine
derrière TMC avec 5,5% d’audience et 1,16 million seulement de curieux.
Ces rares égarés, ont eu
droit en direct et en prime à la bourde de Claire Cazal qui déclarait dans
l'émission Culture Médias sur Europe 1 en octobre
dernier "Le
Grand Échiquier était une véritable institution. J'ai toujours regardé cette émission,
qui est véritablement patrimoniale. C'était un honneur pour moi de reprendre le
flambeau. J'essaierai de me mettre dans les pas d'Anne-Sophie Lapix et
d'Anne-Elisabeth Lemoine. Ce ne sera pas facile". Effectivement !!
Recevant la comédienne Zabou Breitman dont elle n’a pas manqué de
saluer la grande carrière en rappelant ses quatre Molière et son César, la
présentatrice s’est ensuite emmêlée les pinceaux. "Vous mettez aussi en
scène des pièces et des opéras, ce qui nous ramène à la musique. Vous ne
pouviez pas ne pas faire de musique à un moment dans votre vie. C'était
impossible", a-t-elle indiqué avant que l'actrice lui réponde au sujet
de Jean-Claude Deret son
regretté père : "Mon papa jouait de la musique, il jouait du
piano".
"On précise que votre père était un grand scénariste et
notamment de Thierry Le Luron", a-t-elle ensuite lancé, avant d'être corrigée avec humour par
Zabou Breitman. "Ah non, il était plutôt Thierry La Fronde. Thierry
Le Luron, c'est autre chose". Pour cause, le grand imitateur Thierry Le
Luron mort en 1986, n’était pas le scénariste de la série
télévisée Thierry La Fronde avec
Jean-Claude Drouot dans le rôle-titre, comme le fut bien Jean-Claude
Deret le papa de la comédienne !
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