samedi 20 avril 2024

Comment la direction du Canard enchainé peut-elle ainsi s’acharner sur Christophe Nobili ?

Comment la direction du Canard enchainé peut-elle ainsi s’acharner sur Christophe Nobili ?

L’article de La Lettre « Le Canard enchaîné lance un dernier assaut pour écarter le journaliste Christophe Nobili » toujours très bien renseignée, révèle que « Le président de la société éditrice de l'hebdomadaire, Erik Emptaz, a saisi le tribunal administratif de Paris, son ultime voie de recours pour licencier Christophe Nobili, le journaliste à l'origine des révélations sur l'affaire de l'emploi présumé fictif au sein du Canard enchaîné. »

« Désavouée par l'inspection du travail et la ministre Catherine Vautrin (LL du 10/04/24), la direction du Canard enchaîné joue son va-tout pour licencier le journaliste. Selon nos informations, le président de la société éditrice de l'hebdomadaire, la SA Les Éditions Maréchal - Le Canard enchaîné, Erik Emptaz, a déposé le 28 mars un recours devant le tribunal administratif de Paris afin d'entériner le renvoi du délégué syndical… » ajoute le titre de presse.

« En saisissant les magistrats du tribunal administratif de Paris pour écarter cette plume historique, la direction du Canard enchaîné entame son ultime voie de recours, après avoir essuyé ces deux refus successifs pointant le "lien entre la demande de licenciement et les mandats[syndicaux] du salarié » écrit encore La Lettre qui poursuit « Erik Emptaz avait jusqu'au 3 avril, date du rejet implicite du licenciement de Christophe Nobili par le ministère du travail, pour user de ce droit. La procédure, engagée par la direction sans communication en interne, pourrait s'étaler sur plus d'un an », avant de préciser « Ce recours a cependant de très faibles chances d'aboutir...»

La direction du Canard enchaîné ayant de surcroît reconnu, avoir antidaté un document afin pour pouvoir licencier le journaliste, ce que l'Inspection du travail a bien évidement relevé pour justifier, entre autres le refus du licenciement.





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