La virée réunionnaise d’Ernotte and co n’aura servi à rien sauf à claquer encore et toujours plus l’argent des Français !
Il
va en falloir des boites de conserves, des produits hygiéniques ou d’entretien
que certains Français ont de plus en plus de mal à se payer, pour que la
part de TVA (qui fiance à présent l’Audiovisuel public) puisse payer le
déplacement de Delphine Ernotte et sa troupe dans un 4 étoiles réunionnais dont
la blog CGC Média s’est fait l’écho (*).
La
Lettre de l’ADAP du 20 avril « Les
Aubépines de France Télévisions » qui fait également mention de ce
voyage, explique qu’en plus du préfet qui n’a pas trouvé un créneau pour
rencontrer « la dame du Majestic », la démarche à l’adresse de 2 syndicats
de l’îles dont les instances parisiennes ont accompagné cette dernière depuis son
parachutage à l’été 2015, n’ont pas abouti.
Un
flop sur toute la ligne donc…
Extraits
« Dans le Royaume sombre
de France Télévisions, on dissimule, on sourit de façade, on essaie l’air de
rien, de camoufler les réalités, les échecs se muent en succès d’apparence mais
restent des échecs…
Dans les coulisses de l’océan Indien et dans les draps de soie des palaces nationaux ou internationaux) la Cour se balade devant les syndicats de la Réunion Première pour déclamer les mesures d’économies drastiques qui toucheront la totalité des rédactions de France Télévisions : ‘’Plus de frais de mission, plus de reportages et moins d’effectifs pour tout le monde.” Il faut que vous aidiez à mettre en place la réforme de l’Information des outremers” est allé demander l’ex-Orange à la CGT de la Réunion [et selon nos informations, à FO, ndlr] !
Fin de non-recevoir
selon nos retours..et pour cause, personne
ne veut de la réforme rejetée dans toutes les stations ultramarines, qui dégrade
les conditions de travail mais aussi l’organisation des rédactions... »
Un si couteux voyage qui vide
un peu plus les poches du contribuable alors que Bruno Lemaire cherche comment trouver
des dizaines de milliards pour les trois prochaines années, c’est
quasiment une provocation.
(*)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire