mercredi 5 juin 2024

Une plainte devrait viser la despotique cégétiste du CASCI-ORTF (ex-CI-ORTF) pour « harcèlement » et le cas échéant, « escroquerie à la sécurité sociale », le tout sur fond d’un suicide qu’il fallait taire !

Une plainte devrait viser la despotique cégétiste du CASCI-ORTF (ex-CI-ORTF) pour « harcèlement » et le cas échéant, « escroquerie à la sécurité sociale », le tout sur fond d’un suicide qu’il fallait taire ! Seulement voilà, tout se sait finalement !

Le blog CGC Média qui dans son dernier article « A France Télés, la tyrannie doit cesser et la loi être respectée » révélait la souffrance des salariés du Comité interentreprises pour les activités sociales et culturelle des entreprises de l'Audiovisuel public n’en peuvent plus des conditions de terreur que leur fait subir celle qui salariée de France Télévisions, a trouvé le moyen, de se déclarer en accident du travail début avril (le 4 selon nos sources), au motif qu’elle aurait subi un choc psychologique après un soi-disant désaccord survenu 3 semaines auparavant !

Celle qui, nous l’avons détaillé dans le post précité, nonobstant une quinzaine de ruptures conventionnelles dont le blog CGC Médias a eu vent et qui ont déjà bonbon aux salariés du secteur, elle a convoqué 4 des salariés de l’entité pour les virer après une supposée tentative de suicide !  « Énorme problème judiciaire, si ces convocations ont eu lieu alors que l’intéressée était en arrêt maladie, elles sont illégales voire susceptibles de procédures pénales » écrivions-nous le 24 mai dernier.

Les salariés viennent de publier un communiqué qui sera diffusé partout et que relaie bien évidemment le blog CGC Médias (*) en forme d’alerte qui si personne n’y mettait un terme pourrait se révéler dramatique.

(*)

Le blog CGC Média vient d’être en effet saisi d’un nouveau dossier concernant la cégétiste despote où il n’est question  là d’une tentative mais d’un suicide dont il ne fallait surtout pas parler !

Il s’agirait d’un saisonnier d’un des centres de vacances du CASCI-ORTF qui, selon  nos informations, se serait suicidé sur la plage de Fouesnant à 500 m du lieu.

Qu’il ait travaillé ce jour-là ou ait été en repos n’y change rien. Les autres salariés du centre de Beg Meil, se sont même vu proposer une aide psychologique…pourtant quasiment personne n’a été au courant.

Totalement hallucinant, vu la gravité des faits, que cela n’ait pas été abordé en séance plénière !

L’ensemble des sociétés et syndicats de l’Audiovisuel public étant désormais au courant de l’attitude de cette adhérente CGT qui licencie à tour de bras et sans raisons, ne pas saisir la justice au titre de l’article 40 du code pénal (ci-après) serait la cautionner !

Article 40 (du Code de procédure  pénale - version en vigueur depuis le 10 mars 2004) : Le procureur de la République reçoit les plaintes et les dénonciations et apprécie la suite à leur donner conformément aux dispositions de l'article 40-1.

Toute autorité constituée dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs.

La responsable de tout ceci et de tant d’autres choses, aurait déjà dû être immédiatement démandatée et mise hors d’état de nuire avant même le dépôt d’une plainte pénale pour « harcèlement » et le cas échéant  « escroquerie à la sécurité sociale ».

TOUT CEUX QUI N'AURON RIEN FAIT POUR LA STOPPER, SERONT COMPLICES

Lire aussi :

« Et si la surchargée despote du Comité interentreprises de l’audiovisuel public nous parlait des 40.000€ perdus ? »

« Conte d'une tyrannie moderne pour des méthodes d'un autre âge ! Laisser un tel  délire s’étendre, serait le cautionner. »  

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