samedi 13 mars 2021

Roselyne Bachelot en a pris pour son grade à la soirée des César où la télé publique a fini à poil !

Roselyne Bachelot en a pris pour son grade à la soirée des César où la télé publique a fini à poil !

"Ce n’est pas ce qui va donner envie aux gens de retourner au cinéma" est venu dire Gérard Jugnot sur RTL ce matin, au micro de Jade et d’Éric Dussart relayant les propos du peu de téléspectateurs qui ont trouvé « sinistre » cette soirée des César 2021 (la moins suivie depuis 10 ans, en dessous de 10 % de PDM).

"Ça manquait sévèrement de légèreté" a même ajouté le comédien récompensé comme la troupe du Splendid (Marie-Anne Chazel, Josiane Balasko, Thierry Lhermitte, Michel Blanc, Bruno Moynot et donc ont Gérard Jugnot) qui a reçu un César d'anniversaire ou plutôt un César pour chacun.

Pour la "légèreté", l’intéressé va devoir repasser.

Capitaine Marleau arrivée en Peau d’âne et qui s’est désapée en direct pour finir totalement à poil pour manifester à Roselyne Bachelot sa colère avec sur un tampax à chaque oreille, sur les deux seins "no culture" et sur le bide "no future" puis dans l’dos un message jeu de mot au Premier ministre "Rends nous l’art Jean", n’a pas fait vraiment dans la dentelle.


« Je ne suis jamais invité aux Cesar. Paraît que je suis trop beauf, trop vulgaire, et que je ne corresponds pas à l’image que le milieu parisien se fait de la véritable Culture. Je les comprends » tweetait dans la foulée Jean-Marie Bigard !

Evidemment…Dire qu’il y a quelques jours, l’ex-dircab d’Ernotte parachuté aux programmes de France Télés justifiait ainsi le passage de France 3 vers France 2, de Corinne Masiero l’interprète du personnage qui a donc fini nue et ensanglantée sur la scène de l’Olympia "Ce doit être un moment de légèreté et d'évasion pour le public", ajoutant "La case du vendredi soir sur France 2 est toujours dédiée au polar mais nous avons commencé à la recentrer sur du polar plus divertissant, autour de personnages plus forts que leurs enquêtes " !

Questionlégèreté, personnage plus fort et plus divertissant chacun, hier, a donc été copieusement servi et n’aura pas concouru – loin s’en faut – à laisser une image de fête pour cette soirée-là boudée comme jamais par le public qu’Albert Dupontel avait préféré zapper - il déteste les mondanités (pas sûr que ce soit le mot !) malgré les sept récompenses qu’«Adieu les cons» s'est offertes.


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