samedi 4 septembre 2021

La pote d’Ernotte devrait annoncer sur TF1 sa candidature à la présidentielle de 2022 !

La pote d’Ernotte devrait annoncer sur TF1 sa candidature à la présidentielle de 2022 !

"Il n'y a plus de doute à son niveau. Dans sa tête c'est fait" écrit franceinfo qui cite le sénateur socialiste Patrick Kanner proche soutien d'Anne Hidalgo qui précisait les 24 août dernier que l’annonce se ferait dans les quatre à six semaines.

L'ancien ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg n’a pas attendu, lui, pour déclarer ce samedi 4 septembre lors d'un rassemblement dans sa ville natale de Clamecy (Nièvre), sa candidature à l'élection présidentielle.

"La remontada de la France" : C'est pour cette tâche difficile mais magnifique (...) que j'ai décidé aujourd'hui de présenter aux Français ma candidature à l'élection présidentielle", a-t-il tweeté ce jour.

Il coiffe donc la pote d’Ernotte et maire de Paris qui imaginait créer l’événement en s’adressant aux Français via la TNT…Au 20h d’Anne-Sophie Lapix qui a fait savoir son intérêt pour la chose comme le tandem Salamé/Sotto et l’émission politique qu’ils animent voire Laurent Ruquier qui aurait ainsi créé le buzz en la recevant sur son plateau ? Il semble que non !

Selon nos informations, c’est au 20h de TF1 qu’elle se rendrait pour se déclarer comme d’ailleurs l’intégralité des candidats qui ont déjà franchi le pas l’a déjà fait.

« La dame de chez Suez » a beau lui claquer la bise devant le chef de l’État, La Une devrait normalement l’avoir sur son plateau!

vendredi 3 septembre 2021

Transfert illégaux de salariés : L’ex-dircab d’Ernotte propose un accord groupe pour faire gober la manip!

Transfert illégaux de salariés : L’ex-dircab d’Ernotte propose un accord groupe pour faire gober la manip!

C’est la dernière manœuvre de la direction d’ailleurs invraisemblablement préconisée par le rapport Sécafi-Alfa (*), pour faire avaler le boa constrictor qu’elle imagine servir aux élus afin de les enfumer.  

(*)


Il n’y a pas besoin de négocier quelque accord groupe que ce soit, il suffirait si ces transferts étaient LÉGAUX - ce qu’ils ne sont évidemment pas - pour que Le Studio France Télés (ex-MFP) d'adhérer volontairement à l’accord d’entreprise…ce qui n’est bien entendu pas dans ses intentions.

Certains alliés de la direction poussent d’ailleurs pour donner le change à une telle hypothèse. 

Ben voyons!


Le feu allumé à Réunion La 1ère par le tandem Gengoul/Ernotte pourrait bien s’étendre rapidement.

Le feu allumé à Réunion La 1ère par le tandem Gengoul/Ernotte pourrait bien s’étendre rapidement.

Le 30 juin dernier dans un article intitulé « Deux Stéphanie pour le poste de Directeur Régional de Réunion La 1ère…à moins que ! », le blog CGC Media révélait la nomination de Frédéric AYANGMA comme directeur régional de Réunion La 1ère.

Cette nomination Gengoulo-ernottienne fait déjà couler beaucoup d’encre.

Le site « Zinfos974 » sous la plume de Pierrot Dupuy son fondateur, n’y va pas avec le dos de la cuiller dans l’article intitulé « Réunion La 1ère : Le successeur de Gora Patel arrive avec des casseroles accrochées à ses valises »


Extrait

« Gora Patel a fait l'unanimité pour son professionnalisme et sa gentillesse à la tête de la station de Réunion La 1ère. Pendant les trois ans de sa direction, non seulement l'ambiance à l'intérieur de la station s'est apaisée mais les chiffres d'audience se sont nettement améliorés.

Pas sûr que l'ambiance soit aussi bonne avec son successeur, Frédéric Ayangma, qui arrive à son poste à La Réunion avec quelques dossiers à son passif : une condamnation de la station de RFO dont il était directeur en Guyane en 2010/11 pour harcèlement moral après qu'il avait tenté de muter une rédactrice en chef qui se plaignait de harcèlement.

Quant à son passage à la direction de la station de Martinique, il a été marqué en 2009 par une grève très dure qui a duré deux mois et par une grève de la faim d'une autre journaliste...

La direction de Réunion La 1ère s'est bien gardée de révéler le passé pour le moins tumultueux de Frédéric Ayangma dans la biographie officielle qu'elle a transmise à la presse et que nos confrères se sont empressés de reproduire

C'est en consultant la presse en ligne antillaise que nous avons découvert plusieurs événements qu'on comprend que la station locale ait préféré cacher aux Réunionnais.

Nommé en mai 2006 directeur régional de RFO Martinique, Frédéric Ayangma avait été obligé de quitter son poste en 2009 après une grève très dure qui avait duré deux mois et avait été accompagnée de fortes tensions.

Selon Bondamanjak, "durant la grève générale, deux clans se sont affrontés entre les grévistes, minoritaires, et les non-grévistes, majoritaires. Les tensions ne se sont pas apaisées depuis. D’ailleurs, la journaliste Lisa David a entamé hier (NDLR : le 25 mars 2009) une nouvelle grève de la faim dans la cour de la station pour contester une demande d’explication qui lui a été adressée pour un JT de 13h qui n’a pas eu lieu la semaine dernière".

En consultant d'autres sources en ligne, on apprend que la direction l'aurait accusée d'avoir "saboté" le journal télévisé.

Le conflit a dû être très violent car, dans l'article de Bondamanjak, on apprend que Fred Ayangma a même fait "un malaise dans la cour de la station de Clairière. Il a été évacué par le SAMU. Un malaise consécutif aux tensions qui règnent à RFO depuis deux mois".

France Télévisions condamnée pour harcèlement moral et manquement à son obligation de sécurité de résultat

Une fois parti de Martinique, Frédéric Ayangma a atterri à la direction de la station de RFO Guyane en août 2009. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le pire était à venir.

C'est un article du Canard enchaîné qui a révélé l'affaire en juillet 2014, faits qui ont ensuite été racontés en détails dans des termes identiques par les sites Montray Kréyol et Free Pawol, reprenant des informations de Guyaweb

et ça continue sur le site où chacun pourra retrouver l’intégralité de l’article en question.

C’est le moment où Télérama (*) s’interroge « Un an après la fin de France Ô, quelle place pour les Outre-mer sur France Télévisions ? » que France Télés choisit donc pour rallumer l’incendie qui couvait…le feu réunionnais pourrait bien s’étendre très vite à l’ensemble des territoires !

(*)


Extrait: Un an après la fin de France Ô, quelle place pour les Outre-mer sur France Télévisions ?

Voilà un an que France Ô a tiré le rideau, sur décision du gouvernement. France Télévisions avait alors promis de déployer les programmes ultramarins sur l'ensemble de ses antennes. Bilan.
« On a beaucoup de regrets. » Un an après sa fermeture, France Ô compte toujours ses orphelins, comme Tony Rebus, président de l'association des auditeurs et téléspectateurs des Outre-mer (Aatom). « Certes, la chaîne avait une faible audience [0,4 % en 2019, ndlr], mais elle nous assurait un niveau de visibilité. C'était une vitrine des Outre-mer, et une source de production de reportages et de documentaires », regrette celui qui a vu France 4 sauvée, mais France Ô enterrée.

C'était le 23 août 2020 : la chaîne créée quinze ans plus tôt pour couvrir tous les territoires ultramarins (1) tirait sa révérence au son d'un ultime spectacle d'artistes... Et d'un concert de promesses. « Tous nos concitoyens auront une meilleure visibilité de ce qui se passe dans ces territoires », promettait Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, assurant que les programmes ultramarins trouveraient leur place sur toutes les autres antennes du groupe audiovisuel public.

Le groupe signait alors vingt-cinq engagements dans un « pacte de visibilité des Outre-mer », intégré depuis à son cahier des charges. Parmi ces engagements ? La diffusion d'un programme par mois en prime time (sur France 2, France 3 ou France 5), plus de reportages dans les JT, ou un programme quotidien sur France 3. Un comité de suivi est même constitué. Mais, deux ans après la signature de ce pacte, le contrat est-il rempli ?....

L'intégralité de l'article à retrouver sur le site du magazine télé.

La CGC France Télés ne rendra surement pas d’avis sur un projet ILLÉGAL.

La CGC France Télés ne rendra surement pas d’avis sur un projet ILLÉGAL.

La direction de France Télés avec le Secrétaire du CSE (CGT) a provoqué ce vendredi un CSE extraordinaire sur le projet de transfert de l’activité de production des émissions en gestion directe de France télévisions SA (FTV SA) à France Télévisions Studio (FTV Studio) qui est ILLÉGAL comme ne cesse de le rappeler la CGC.

Le Secrétaire CGT de l’Instance dans un texte intitulé « TEPI- projet d’avis » voudrait, s'appuyant sur le rendu du cabinet Secafi-Alfa d'où vient le DRS de FTV où le mot contestable figure tout de même 18 fois, afin  que les élus rendent un avis négatif comme cela a été fait régulièrement sur d’autres dossiers qui ont d'ailleurs tous aboutis

Voici la formulation soumise aux votes proposée par le Secrétaire CGT « Les élu-e-s du CSE Siège s’opposent donc au projet de transfert des équipes de la production des émissions en gestion directe de FTVSA à FTV Studio et émettent un avis négatif. Ils redoutent que ce projet de transfert, s’il aboutissait, n’en préfigure d’autres en poursuivant la même logique de démantèlement de FTV SA. »

Les élus du SNPCA-CGC comme leur syndicat qui ont fait appel de la décision du 8/07 afin de faire interdire judiciairement ces transferts ILLÉGAUX, n’ont à l’évidence pas l’intention de se laisser prendre au piège grossier qui leur est tendu.


En effet, l’avis rendu fut-il négatif, clôt l’information-consultation et laisse les coudées franches à la direction, tout le monde le sait.

 

Selon nos informations, pas question donc que les élus du SNPCA-CGC participent à un quelconque vote sur cette farce tout aussi CYNIQUE qu’ILLÉGALE.

Le blog CGC Média vous propos de découvrir (ci-après) le préambule qu’ils ont lu, ce matin en séance :



"PRÉAMBULE DES ÉLUS CGC AU C.S.E. SIÈGE

Comme suite à la convocation en séance extraordinaire par la direction des élus SNPCA-CGC du CSE siège de France Télévisions, ceux-ci tout comme leur syndicat tiennent à rappeler qu’un appel a été interjeté après la décision du Tribunal Judiciaire du 8 juillet dernier.

En effet, le SNPCA-CGC France Télévisions continue de demander à la Justice de « faire interdiction à France Télévisions de transférer les contrats de travail vers le Studio ».

En effet, si le Tribunal Judiciaire de Paris, dans une procédure en référé portée par les CSE Central et CSE Siège de FTV mais également plusieurs organisations syndicales de France Télévisions, indiquait que « Cette saisine n’avait pas pour effet de prolonger le délai dont dispose le comité pour rendre son avis », elle n’accédait qu’aux seules demandes des deux CSE, à savoir :

– une courte prolongation du délai de mise en œuvre des transferts

– et l’obligation d’accès aux documents liés à ces transferts.

A cet effet, le Tribunal Judiciaire « PROROGEAIT au 13 septembre 2021 (inclus) le délai d’information-consultation susmentionné » comme l’indique clairement le jugement…C’est-à-dire dans quelques jours !

Lundi en quinze, certains imaginent peut-être pouvoir poursuivre ces transferts que la loi considère ILLEGAUX comme n’ont cessé de le rappeler la CGC et ses élus à chaque fois que ce point figurait à l’ordre du jour. Tel ne sera pas le cas.

La CGC à France Télévisions est aujourd’hui  la seule organisation syndicale à avoir non seulement fait appel du jugement mais surtout à demander à la Justice par la voix de ses avocats de « faire interdiction à France Télévisions de transférer les contrats de travail vers le Studio » entre autres par application du Droit européen  qui prévaut en la matière, notamment « la directive 77/187/CEE du 14 février 1977 relative au maintien des droits des travailleurs en cas de transfert d’entreprises, d’établissements ou de parties d’établissements, reprise par la Directive 2001/23/CE du 12 mars 2001, qui garantit au salarié la possibilité choisir son employeur ».

Si les élus indiquent ici qu’ils participeront à cette séance extraordinaire contrairement à toutes les précédentes auxquelles elles ont refusé d’assister, c’est évidemment pour ne pas perdre une miette de ce qui va se dire mais surtout pour pouvoir utiliser les échanges qui vont s’y dérouler comme autant d’éléments montrant l’illégalité du projet.

 En aucun cas, cette participation exceptionnelle ne vaut une quelconque acceptation de la démarche que la CGC et ses élus combattent judiciairement et combattront s’il le faut jusque devant la juridiction suprême.

Paris, le 3 septembre 2021"


jeudi 2 septembre 2021

La CGC de France Télés continue en appel de demander à la Justice de « faire interdiction à France Télévisions de transférer les contrats de travail vers le Studio ».

La CGC de France Télés continue en appel de demander à la Justice de « faire interdiction à France Télévisions de transférer les contrats de travail vers le Studio ».

Le 8 juillet dernier, le Tribunal judiciaire de Paris dans une procédure en référé portée par les CSE Central et CSE Siège de FTV mais également plusieurs organisations syndicales de France Télés, indiquait que "Cette saisine n'avait pas pour effet de prolonger le délai dont dispose le comité pour rendre son avis."

Si la Justice « DÉCLARAIT IRRECEVABLE l’ensemble des demandes formées par les syndicats [intervenant de façon volontaire dans l’action, ndlr] de France Télévisons : CGC, SNJ, CFDT, CGT, UNSA- SRCTA à l’encontre de la S.A. France Télévisions », elle accédait aux seules demandes des deux CSE, à savoir :

- une courte prolongation du délai de mise en œuvre des transferts

- et l’obligation d’accès aux documents liés à ces transferts ILLEGAUX, faut-il le rappeler.

A cet effet, le Tribunal judiciaire « PROROGEAIT au 13 septembre 2021 (inclus) le délai d’information-consultation susmentionné » est-il écrit dans le jugement…C’est-à-dire dans quelques jours !

Lundi en quinze, tout serait donc terminé comme l’imagine la direction qui a d’ailleurs convoqué les instances de représentation en session extraordinaire pour le leur dire ! Entre temps, le rapport commandé à Sécafi-Alfa – la boite d’où vient Jacques Denoyelle le Directeur des Relations Sociales de France Télés – sur la viabilité du Projet d’apport de l’activité de production d’émissions en gestion directe, a été rendu.

Si dès le sommaire et à la page 50, le cabinet indique que « le cadre légal et les éléments de mise application du projet sont potentiellement contestables – le mot contestable figure tout de même 18 fois dans ledit rapport   au regard notamment de l’article L.1224-1 du code du travail », il faudra attendre la page 75 pour y trouver justement, le « rappel des règles légales sur le transfert de l’article L.1224-1 ».


Pour autant, ce cher rapport qui parle simplement de « la différence culturelle entre FTV SA et FTV Studio » (page 66), s’il admet que « Des interrogations existent sur les perspectives futures pour les salariés qui seraient transférés chez FTV Studio, en termes de mobilité intra-entité, intra-groupe et garantie de l’emploi » ne va jamais qualifier d’ILLEGAUX ces transferts qui les ont sans aucun doute.

Pire, il va même jusqu’à les rendre possible avec les préconisations faites à la direction à savoir « Un accord de groupe qui définirait les modalités générales de mobilité entre les entités du Groupe FTV, de même qu’une certaine harmonisation des statuts sociaux (ce qui reviendrait à étendre au niveau groupe des dispositions de la convention actuelle FTV SA) qui pourraient y trouver leur place via cette négociation ».

Chacun constatera également les circonvolutions utilisées dans les 126 pages du document, pour tenter de justifier la supposée existence d’entité économiques qui comme le blog CGC Média l’a souligné précédemment serait ainsi une « garantie d’emploi, en termes de mobilité intra-entité, intra-groupe ».

Foutaise que tout cela…et ce n’est pas parce que Secafi-Alfa agite le mot entité – 50 fois dans le texte  pour aller finalement dans le sens de la direction que la démarche du trio Sitbon-Gomez/Denoyelle/Ernotte qui a dû se frotter les mains à la lecture du rapport, n’en est pas moins ILLEGALE.

C’est bien pourquoi comme le blog CGC Média l’avait indiqué, la CGC à France Télévisions est la seule organisation syndicale à avoir non seulement fait appel du jugement mais surtout à demander par la voix des avocats du SNPCA-CGC maître Camille Grosshans et Pierre-Olivier Lambert de « faire interdiction à France Télévisions de transférer les contrats de travail vers le Studio » entre autres par application du Droit européen  qui prévaut en la matière, notamment « la directive 77/187/CEE du 14 février 1977 relative au maintien des droits des travailleurs en cas de transfert d'entreprises, d'établissements ou de parties d'établissements, reprise par la Directive 2001/23/CE du 12 mars 2001, qui garantit au salarié la possibilité choisir son employeur ».

  

mercredi 1 septembre 2021

Laurent Guimier plastronne en conférence de rentrée…« franceinfo: qui fête ses 5 ans est déjà à 0,7% »!

Laurent Guimier plastronne en conférence de rentrée…« franceinfo: qui fête ses 5 ans est déjà à 0,7% »

Il faut quand même oser ! Ça se passait la semaine dernière en conférence de rentrée des programmes de France Télés. A environ 1/4 d’heure de l’ennuyeux exercice qui va durer à peu près 2 heures, Laurent Guimier le monsieur info ernottien gonfle les muscles et déclare :« franceinfo: qui fête ses 5 ans est déjà à 0,7% » !

En cinq ans...Déjà?! Non, c'est une blague…Après les bobards permanents de « la dame de chez Suez » qui chante en permanence que le canal 27 serait « leader sur le créneau »

En 5ans, la chaîne nonobstant le contexte de la pandémie qui a bénéficié à l’ensemble des chaînes d’infos de la TNT qui a largement porté BFM TV (* voir l’étude signée Tristan Gaudiaut et le diagramme publiés en fin de post ) ne  serait même pas parvenue à parvenir à un chiffre sans zéro !!

Il y effectivement de quoi fanfaronner…quelques dizaines de milliers de curieux tout au plus, en 5 ans  ! Non mais allo quoi

(*) 

"La bataille des chaînes d'information en continu

L'actualité particulièrement mouvementée depuis plus d'un an en raison de la pandémie a eu un impact sur l'audience des chaînes TV d'information en continu. Comme le montre notre graphique qui retrace l'évolution des parts d'audience des chaînes françaises, BFMTV a enregistré une hausse significative de téléspectateurs en 2020, alors qu'elle était en perte de vitesse les années précédentes. La chaîne maintient ainsi sa position de leader sur ce segment en France, avec une part globale actuellement estimée à 2,9 % selon les dernières données publiées par Médiamétrie.

Mais derrière la filiale du groupe Altice, la bataille fait rage. Forte des succès d'audience de ses émissions qui font la part belle aux débats polémiques, CNews s’est hissée à la seconde place devant LCI en 2020 et poursuit son ascension. Au mois d'avril, la part d'audience de la chaîne d'info détenue par le groupe Canal+ atteignait 1,8 %, soit une hausse de 0,4 points par rapport à 2020. L'audience de LCI et de France Info, en progression constante depuis 2017, semble quant à elle se stabiliser cette année. Ces deux chaînes ferment la marche avec des parts respectives estimées à 1,1 % et 0,7 % au mois d'avril."



Mouvements au pôle Outremer de France Télés: Une fois encore le blog CGC Media avait raison.

Mouvements au pôle Outremer de France Télés: Une fois encore le blog CGC Media avait raison.

Le 30 juin dernier dans un article intitulé « Deux Stéphanie pour le poste de Directeur Régional de Réunion La 1ère…à moins que ! », le blog CGC Media écrivait « Il se murmure dans les étages supérieurs du Siège que Stéphanie GAUMONT, nommée en 2019 au poste de Directrice Déléguée en charge de l’International et de l’Outre-mer, tiendrait la corde…sauf que Stéphanie MARTIN sortie du COMEX de France Télévisions en août 2015 après y avoir accédé en peu plus de deux ans auparavant, nommée par l’ex-Orange Secrétaire générale adjointe de France Télévisions et très très proche de Laurence MAYERFLED nommée à l’été dernier DRH groupe en remplacement d’Arnaud LESAUNIER, intriguerait tous azimuts, elle aussi, pour récupérer le poste ! ».

Le blog CGC Media de conclure « Les deux restant probablement persuadées que le très apprécié Directeur en charge de l'établissement de Malakoff Frédéric AYANGMA dont chacun attend la note de FTV qui le désigne mais dont le nom circule également pour prendre la suite, ne les coiffera pas au poteau. »

Une fois encore, nous avions vu juste. Frédéric AYANGMA a donc bien été nommé directeur régional de Réunion La 1ère par Sylvie Gengoul...Pour la petite histoire, celui qui fut nommé directeur régional de Guyane La 1ère en août 2009 lorsque Sylvie Gengoul était sa directrice de l'antenne, part avec le titre officieux que la compta de Malakoff lui a décerné "médaille d'or des déficits régionaux" avec un chiffre qui flirte avec les - 2 millions d'euros. 


Jamais avare d’infos, le blog CGC Media révèle à présent que le remplacement d’Emmanuel Deshayes un temps pressenti pour devenir directeur de l'info de France Ô  Malakoff et ex-directeur de la rédaction Tv-Web-Radio d'Outre-mer la 1ère chez France Télévisions en partance pour France 3 Montpellier (s’éloignant donc un peu plus de ses terres, il est de Besançon) qui a lui seul abattait le boulot de trois voire quatre personnes, s’avère plus compliqué que ce qui devait être annoncé ce jeudi 2 septembre, à savoir la nomination d’une femme pour le poste.



mardi 31 août 2021

Après l’invitation d’Ernotte aux journalistes afghans (les femmes en particulier) de rejoindre France Télévisions, la chaine info s’apprête à fêter ses 5 ans.

Après l’invitation d’Ernotte aux journalistes afghans (les femmes en particulier) de rejoindre France Télévisions, la chaine info s’apprête à fêter ses 5 ans.

Ce 1er septembre, la chaîne d’info la moins regardée du PAF s’apprête à faire la fête pour célébrer ses 5 ans d’existence.

Il y a quelques jours, « la dame de chez Suez » se fendait d’un tweet pour inviter les journalistes (des femmes en priorité) à rejoindre le groupe public au regard de la gravité de la situation en Afghanistan (¤). Aujourd’hui, plaçant sa rentrée sous le signe de la Légèreté, elle aurait bien validé les bons de commandes émis tous azimuts pour que se tienne la petite fiesta dans les meilleures conditions.

(¤)

Cette année, l’invité d’honneur devrait en être le jeune Louan âgé de 13 ans dont la vidéo (*fin de  post)  de sa présentation du JT de France 3 Normandie fin août, a déjà été vu plus d’un million de fois. L’ado et quelques membres de sa famille seraient donc pour l’occasion, les invités du groupe de télés public. Pas question quoi qu’il en soit, il n'est visiblement pas question de remettre la nouba !


(*)

lundi 30 août 2021

Les Directs de « C’est dans l’air » dans les studios de Médiawan...en différé !

Les Directs de « C’est dans l’air » dans les studios de Médiawan... en différé ! 

C’est ce lundi 30 aout que reprennent les diffusions de « C’est à vous» sur France 5, l’émission de télévision, juste avant le programme qui précède « C à vous » diffusée du lundi au vendredi en direct à partir de 19 h et présentée par Anne-Élisabeth Lemoine.

Bémol de taille, il ne devrait pas s’agir d’un direct mais d’un différé d’une dizaine de minutes environ !

L’émission jusqu’alors produite par « 3ème Œil » (Capton) et réalisée depuis l’avenue de Breteuil au sein des 9 490 m² de locaux du groupe (*), juste avant « C à vous » jusqu’à-là produite par « Maximal Productions » (société créée en aout 2000 et animée par Jérôme Bellay), rachetée vingt ans plus tard par le groupe « Médiawan » (toujours Capton) qui reprenait « Lagardère Studios » dont elle faisait partie, y connaitrait visiblement quelques problèmes techniques.

(*)





Les problèmes, selon nos informations se situeraient, au niveau d’une « bascule » entre les studios où se tournent « C dans l'air » qui commence son enregistrement vers 17h30 puis « C à vous » qui nécessiterait un délai de moins d’un petit quart d’heure pour « un passage fluide ». (dixit)

Là où le bât blesse, c’est que la production exige que malgré ce différé, le bandeau « EN DIRECT » soit maintenu à l’antenne.

Au moment même où le blog CGC Média écrit cet article, tel est le cas.

Les limiers de Guimier (le monsieur Info de la « dame de chez Suez »), devraient commencer par se pencher sur cette fausse info trompeuse distillée aux téléspectateurs 



dimanche 29 août 2021

Décidemment Ardisson semble très irritable et bien tendu… « Challenges » raconte.

Décidemment Ardisson semble très irritable et bien tendu… « Challenges » raconte.

Plus l’échéance de la première diffusion où le septuagénaire interroge les morts pour France 3 (1h30 avec Jean Gabin, si rien ne change !) dans le cadre de ses « fake » interviews réalisées grâce à l'intelligence artificielle et plus visiblement, "l’homme en noir est tendu".

Ça se passe dans un palace parisien où sont tournées les scènes de chambre d’hôtel… curieuse demande lorsqu’on sait qu’avec la technologie on peut faire renaitre les disparus, pourquoi ne pas avoir tourné dans un décor virtuel pour que cela coûte moins cher ?

« Chalenges » raconte : « Légère panique parmi le personnel du prestigieux hôtel Meurice, rue de Rivoli à Paris, en cette fin d’après-midi brûlante de la mi-août.

Trois touristes sont installés à la table habituelle de Thierry Ardisson. Le personnel consulte, parlemente, s’agite. A quelques minutes de l’heure fixée, le pas lourd et rapide, les traits tirés, le visage buriné et rôti d’un pêcheur de haute mer, le regard traqué, l’œil rouge, Ardisson traverse la pièce d’un trait et s’installe… sans histoires.

Soulagement imperceptible du personnel. On ne perturbe pas sans crainte les habitudes de Monsieur Ardisson. Pour une infime faute de service, le voilà qui s’emporte : "C’est incroyable !", peste-t-il quand la serveuse a tourné le dos. On l’a vu calme, drôle, sympathique, attentionné à son retour de vacances un mois plus tôt…