samedi 27 août 2022

Le cabinet d’avocats qui a fait condamné définitivement Carolis au Pénal chargé d’une plainte visant « Le Canard enchaîné ».

Le cabinet d’avocats qui a fait condamner définitivement  Carolis au Pénal chargé d’une plainte visant « Le Canard enchaîné ».

C’est Le Monde qui sous la plume d’Aude Dassonville révèle l’affaire (*)
« La plainte ne vise pas le journal, mais un système qui a été mis en place par deux ou trois personnes, et sur lequel d’autres ont peut-être fermé les yeux », explique l’avocat de Christophe Nobili, Pierre-Olivier Lambert, assisté de maître Maria Cornaz Bassoli » écrit la journaliste.

Il se trouve que Maître Pierre-Olivier Lambert et maître Maria Cornaz Bassoli sont les deux avocats qui, chargés d’une plainte déposée par la CGC des médias dans l’affaire dite Carolis/Millot/Bygmalion/FTV, avaient fait condamner définitivement au Pénal Patrick de Carolis pour délit de favoritisme.

Les mêmes qui devraient à l’automne, intervenir également dans une histoire quasi identique à celle sus-citée, mandatés par ledit syndicat, après les nombreuses révélations tous azimuts dans l’audiovisuel public d’un certain « Mr T » et suite aux nombreux éléments qu’il à déjà fournis dont ceux récupérés apparemment sur le disque dur d’un ex-collègue qu’il a toujours défendu ayant négocié un faux-départ !

« L’ami  des directeurs visiblement dans tous les bons coups » peste ce cadre du secteur qui croit avoir découvert qui se cache derrière ce personnage de L’Agence tous risques ! 

Mais revenons à l’article du titre de presse que le blog CGC Media vous propose pour l’heure de découvrir:

Extrait:

« Le Canard enchaîné » visé par une plainte pour abus de biens sociaux et recel d’abus de biens sociaux

Selon un journaliste de l’hebdomadaire satirique, la compagne d’un des dessinateurs historiques du journal aurait bénéficié d’un emploi fictif pendant environ vingt ans.

Par Aude Dassonville

Le Canard enchaîné a-t-il rémunéré l’épouse de l’un de ses anciens dessinateurs sans que celle-ci fournisse de travail effectif ? C’est ce que cherchent à déterminer les enquêteurs de la section F2 du parquet de Paris (les affaires économiques, financières et commerciales) qui ont entrepris, cet été, d’auditionner des salariés du 173, rue Saint-Honoré (Paris 1er), siège de l’hebdomadaire satirique.
Une plainte contre X a été déposée le 10 mai pour abus de biens sociaux et recel d’abus de biens sociaux par Christophe Nobili, journaliste au Canard depuis une quinzaine d’années. Selon nos informations, le rédacteur aurait des raisons de penser que la compagne d’un des dessinateurs historiques du journal, qui en fut longtemps administrateur, aurait bénéficié d’un emploi fictif pendant environ vingt ans.

« La plainte ne vise pas le journal, mais un système qui a été mis en place par deux ou trois personnes, et sur lequel d’autres ont peut-être fermé les yeux », explique l’avocat de Christophe Nobili, Pierre-Olivier Lambert, assisté de Me Maria Cornaz Bassoli. Interrogé, au cours de l’hiver 2021, par Christophe Nobili, le directeur général délégué et directeur de la publication, Nicolas Brimo, n’aurait pas apporté de réponse satisfaisante aux yeux du journaliste, ce qui l’a conduit à engager une procédure en son nom propre, détaille Me Pierre-Olivier Lambert. Si les faits devaient être établis, ce seraient environ 3 millions d’euros qui auraient été indûment versés à la bénéficiaire au moins jusqu’en 2020, date à laquelle elle aurait accédé à la retraite, estime l’avocat. L’entreprise ne versant pas de dividendes à ses actionnaires, le préjudice, s’il existait, serait essentiellement moral.

Tensions internes depuis plusieurs mois

Contacté par Le Monde, Nicolas Brimo répond : « Je n’ai été ni convoqué ni entendu au sujet d’une plainte dont je ne connais ni la date ni l’objet. » A toutes fins utiles, il rappelle également qu’« une enquête préliminaire peut se terminer du jour au lendemain », faute de raisons de suspecter des faits délictueux. Car, même s’ils ne sont pas nommés, ce sont bien Michel Gaillard, président de la SAS Les Editions Maréchal-Le Canard enchaîné, et Nicolas Brimo que la plainte vise au premier chef. Le premier, 78 ans, est membre du conseil d’administration (CA) depuis 1976 ; il a été nommé directeur en 1992, avant d’accéder à la présidence en 2017. C’est à cette même date que le second, 71 ans, administrateur délégué depuis 1991, est devenu directeur de publication.

Pour sa part, Christophe Nobili ne s’exprime pas. Même si son statut de journaliste ainsi que son titre de délégué syndical sont censés sécuriser son emploi, le journaliste s’est placé sous le statut de lanceur d’alerte. Instauré par la loi dite « Sapin II », en 2016, et amélioré par la loi du 21 mars 2022, celui-ci s’applique à tout salarié « qui révèle ou signale, de manière désintéressée et de bonne foi, un risque grave pour la santé publique ou l’environnement dans l’entreprise ». Le salarié lanceur d’alerte est tenu de respecter certaines obligations, notamment de confidentialité. A l’inverse, il ne peut pas être inquiété s’il cause un préjudice de bonne foi, et il n’est pas non plus possible de lui reprocher d’avoir en sa possession les documents qui prouvent les faits qu’il dénonce, s’il les a obtenus de manière légale.

Soucieuse de préparer l’avenir du journal (ses développements numériques, l’arrivée de nouveaux journalistes…), miné par les tensions depuis plusieurs mois, la rédaction s’est dotée d’une cellule syndicale à l’initiative du journaliste, devenu délégué syndical (SNJ-CGT) en mai. La nomination, avant l’été, d’une corédactrice en chef adjointe, Isabelle Barré, a alors été perçue comme un gage d’évolution. Selon nos informations, elle a cependant démissionné cette semaine de cette fonction d’encadrement

Craintes des éventuelles conséquences de la plainte

Enfin, le départ d’André Escaro du conseil d’administration acté lors de l’assemblée générale des actionnaires du 22 juin a ouvert la voie à un renouvellement des générations, avec la nomination d’Odile Benyahia-Kouider et d’Hervé Liffran. Les deux journalistes ont rejoint au CA les rédacteurs en chef Erik Emptaz et Jean-François Julliard, ainsi que Michel Gaillard et Nicolas Brimo. Chaque année, cette instance nomme, ou reconduit dans ses fonctions, le directeur de la publication.
« Le Canard enchaîné » a assis sa notoriété en mettant au jour maints scandales et turpitudes. A commencer par l’affaire des emplois fictifs du RPR
En interne, où l’on tient viscéralement à l’intégrité et à la respectabilité du journal, la nouvelle, tombée au début de l’été, a provoqué un vif émoi. Faute de certitudes, l’équipe redoute les conséquences éventuelles à venir de la plainte, que Christophe Nobili a déposée « en parfaite cohérence avec ce que sont les valeurs du journal », insiste son conseil. »

Lire aussi :

Au « Canard enchaîné », une cellule syndicale jette un pavé dans la mare.

« Le Canard enchaîné », un siècle d’irrévérence



vendredi 26 août 2022

Les rediffusions de Mongeville attirent toujours les téléspectateurs maintenant sur C8 !

Les rediffusions de Mongeville attirent toujours les téléspectateurs maintenant sur C8 !

La série portée par Francis Perrin et arrêtée l’an dernière par le trio Holmes/Sitbon-Gomez/Ernotte a fait carton plaint ce jeudi 24 août 2022 mais pas sur France 3 mais sur C8 qui a racheté les droits où elle a explosé les compteurs. 

La série ayant fait les belles heures de France 3 avec Francis Perrin a passionné 1,69 million de téléspectateurs, soit 10,3% de part de marché sur les quatre ans et plus. C8 se classe troisième chaîne nationale et devance France 2 et France 3. Mieux, de 21h44 à 23h03, la chaine du groupe Canal+ talonne TF1 et le documentaire sur Jean-Luc Delarue. Du jamais vu sur un programme de flux. En deuxième partie de soirée, le second épisode de Mongeville a enregistré 12.2% de part d’audience. De quoi confirmer l’incroyable succès de cette série stoppée brutalement par France 3.

TF1 qui proposait Jean-Luc Delarue, 10 ans déjà , un documentaire événement découpé en trois parties, dix ans après la mort de l’animateur de Ca se discute La première partie, entre 21h12 et 22h09, compte 2,07 millions de curieux, soit 11,9% de l’ensemble du public. La seconde, diffusée entre 22h09 et 23h09, a convaincu 1,85 million de Français, soit 12,3% de part d’audience. Enfin, la dernière partie, proposée entre 23h09 et 23h55, a réuni 1,97 million de téléspectateurs, soit 20,8% de part de marché sur les quatre ans et plus. Sur la cible commerciale, le programme a séduit 15,8% des femmes responsables des achats de moins de 50 ans.

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jeudi 25 août 2022

Laurent Ruquier à la rentrée sur Paris Première.

Laurent Ruquier à la rentrée sur Paris Première. 

Selon une info exclusive Télérama signée François Rousseau, l’animateur-producteur qui animait les nuits du samedi sur France 2 avec Léa Salamé, s’apprête à lancer une toute nouvelle émission sur Paris Première.

Ce talk-show culturel baptisé Club Première pourrait donc être diffusé chaque mercredi en soirée sur la chaîne payante du groupe M6, selon le magazine télé.

« Sollicitée, la direction de la chaîne, qui prépare toujours sa grille de rentrée, n’a pas souhaité faire de commentaire : le contrat n’est pas encore signé. Mais les équipes de Laurent Ruquier et de son producteur Philippe Thuillier (ADLTV) planchent bien sur ce nouveau format axé sur l’actualité des livres, du théâtre, des spectacles, du cinéma, et l’humour… où Ruquier devrait faire du Ruquier » écrit Télérama  qui poursuit « Du sur-mesure pour celui qui a déjà un pied bien ancré dans le groupe M6, propriétaire de Paris Première, qui détient également RTL, la radio où Ruquier anime chaque après-midi Les grosses têtes. »

Le titre de presse d’ajouter « Ce transfert devrait s’effectuer sans quitter France Télévisions, où Laurent Ruquier continuera d’animer Les enfants de la télé, le dimanche en fin d’après-midi, et où il a deux projets d’émissions, prévues à rythme irrégulier le samedi en première partie de soirée. L’animateur officiera donc à la fois sur le service public et dans un puissant groupe privé – fait rare dans l’univers télé, où les groupes concurrents ne se partagent guère leurs têtes d’affiche. En 2006, Thierry Ardisson avait ainsi été sommé par Patrick de Carolis, alors pdg de France Télévisions, de choisir entre France 2 et Paris Première. Selon nos informations, Laurent Ruquier a demandé l’accord de Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, qui le lui a donné…»

Eh oui, c’est comme ça avec l’infirmière TV qui pensait qu’avec Salto la plateforme payante de SVOD elle pourrait jouer dans la cour des télés privées, les règles sont édictées afin que ce petit monde de l’entre soi puisse ensuite les enfreindre !!


mercredi 24 août 2022

Panique dans l’Audiovisuel public pour ceux qui craignent que le projet de fusion des 4 sociétés, ne révèle de très lucratif business et les condamne!

Panique dans l’Audiovisuel public pour ceux qui craignent que le projet de fusion des 4 sociétés, ne révèle de très lucratif business et les condamne!

Ils sont une flopée à l’extérieur de France Télévisions, Radio France et plus particulièrement France Medias Monde depuis les révélations en cascade de « Mr T » que relaie très régulièrement le blog CGC Médias, a ne pas se sentir bien!

C’est à se demander ce qu’ils vont bien pouvoir devenir si le gouvernement met réellement son projet de fusion de 4 sociétés de l’Audiovisuel public (France Télévisions, Radio France, FMM et l’INA) en route car ils sont encore un paquet à se payer sur la bête.

On ne compte plus le nombre d’ex-salariés de ces sociétés publiques où d’ex-directeurs de tel ou tel pôle, d’ex-responsables DTSI (pour les activités d'ingénierie et déploiement, exploitation et intervention sur les réseaux, les services, les SI et les infrastructures) voire même toujours en poste, en passant le conseil (la prestation la plus en vogue), la cyber sécurité, la téléphonie, la climatisation le prêt ou la location de matériels et/ou de personnels…à avoir  monté leur propre(s) boite(s) qui s’inquiètent de la suite!

À France Media Monde en particulier, après l’article publié sur le blog CGC Media intitulé « Les deux derniers articles du Canard enchaîné sur FMM (*) qui font bondir Bercy ! » l’un d’entre eux aurait même perdu ses nerfs en y voyant son profil Linkedin et rendu une visite peu courtoise au contrôleur d´État ( l’émanation du contrôle de Bercy dans l’entreprise) cité dans l’article, exigeant des explications!

Il risque son poste comme d’autres et il le sait, s’il est avéré que les règles fixées par la loi n’ont pas été respectées et à fortiori qu’une instruction judiciaire le demontre à la suite d’une plainte pénale pour l’heure en projet qui devrait voir le jour à l’automne.

La réciproque est aussi vraie, pour ces collaborateurs de sociétés de prestations extérieures qui ont été embauchés au sein de l’Audiovisuel public et qui passent régulièrement des commandes auprès des boites où ils étaient salariés!

Les contribuables français étaient en droit de penser qu’après la condamnation définitive de Patrick de Carolis dans l’affaire dite « Carolis/Millot/France Télés » des leçons avaient été apprises…il semble en fonction des informations dont dispose le blog CGC Médias qu’on en soit très loin!

De surcroît avec la suppression de la CAP (ex-redevance) et la pioche dans le bocal de la TVA pour combler chaque année les 3,7 milliards manquant, il y a de quoi trembler au regard des contrôles qui vont avoir lieu et donner des sueurs froides à quelques-uns selon nos sources!

La rentrée devrait donc être chaude pour certains d’entre eux, notamment si l’Inspection Générale des Finances rouvre certains dossiers et décide de croiser les dizaines et dizaines de données sur les nombreuse boites de prestation en affaire avec l’État donc via ses entreprises, souvent en situation de quasi monopole d’ailleurs, mettent le nez dans de commandes hors la loi qu’il s’agisse ici de serveurs en leasing ou pas d’ailleurs mais aussi de la fourniture de matériels et de prestations plus que discutables. 

Chacun a encore en mémoire,  « Mr T »  en tête, l’article du Canard enchaîné à l’époque, mettant en cause il y a quelques années, un certain Frédéric  Domont, ancien de RFI (aujourd’hui FMM) proche de la CFDT et mis en lumière après l’affaire de la location d’émetteurs à MCD (*) que tout le monde pensait banni à jamais mais qui continue toujours à travailler depuis pour le groupe public.

« Saphir » de technologie comme le répète à l’envi  « Mr T » - allez savoir pourquoi ?! - qui reste toujours le point médian entre la couverture satellitaire du secteur et FMM! 

 (*) 



mardi 23 août 2022

Les méthodes à vomir de France Télés !

Les méthodes à vomir de France Télés !

Dans un communiqué envoyé à l'AFP et au ParisienBertrand Renard et Arielle Boulin-Prat ont évoqué lundi soir un départ «contraint et forcé » de l’émission « Des chiffres et des lettres » récusant la version avancée par France Télévisions avançant un « changement de formule qu'ils auraient refusé »!

Les deux animateurs du jeu télévisé historique, y dénoncent «une situation d'une rare violence», venant torpiller la pitoyable position du groupe public qui aurait soi-disant tenté de renégocier leur contrat !

L’ex-Orange qui a fait savoir au Sénat qu’elle était partante pour se retrouver à la tête d’une ORTF reconstituée, son ex-dircab et l’ex-collègue de Takis Candilis, ont donc décidé de se débarrasser sans ménagement des deux intéressés, à l’instar de ce qu’avait déjà fait subir Dana Hastier à Julien Lepers après 28 ans de bons et loyaux services.

La ministre de la Culture du gouvernement Macron expliquera sûrement à qui veut l’entendre qu’elle ne peut rien y faire et qu’elle ne peut intervenir dans la gestion interne de l’entreprise pourtant publique !

Tout le monde s’en fout et la « Honte de la République » que dénonçait publiquement Emmanuel Macron lors de son premier quinquennat, n’est plus d’actualité depuis que quelques-uns se sont fixés comme objectif de tuer l’audiovisuel public ( « dont tout le monde se fout »,  rajoutent-ils en public)!

Espérons que lorsque viendra l’éviction de ces matadors du PAF et de leurs complices, elle se déroulera dans les mêmes conditions ou pire. 


Extrait:

«Ce qui est désigné pudiquement comme un “désaccord contractuel” a surgi car FTV a exigé une baisse de notre salaire de l'ordre de 60% et a refusé de nous accorder le CDI que nous avons eu l'outrecuidance de réclamer», affirment-ils dans le communiqué. «Car oui, vous avez bien lu, nous sommes en CDD depuis 36 ans pour Arielle, et 47 ans pour Bertrand...», soulignent-ils. 

«Nous n'existons pas alors que nous sommes tous les jours à l'antenne. Cette régularisation nous a été sèchement refusée».

Vendredi, Alexandra Redde-Amiel, directrice de l'unité des jeux, variétés et divertissements de FTV, avait annoncé ce départ au Parisien. «Nous ne nous sommes pas mis d'accord et nous le regrettons», disait-elle. Ancien candidat du jeu, Bertrand Renard arbitrait la section des chiffres et Arielle Boulin-Prat celle des lettres. 

Selon le quotidien, ils feront leurs adieux le 11 septembre via la «diffusion des derniers numéros mis en boîte avant l'été». Auparavant quotidienne, «Des chiffres et des lettres» ne sera plus diffusée que le week-end en fin d'après-midi sur France 3, avec une nouvelle formule. »

lundi 22 août 2022

Caroline Roux en remplacement de Léa Salamé.

Caroline Roux en remplacement de Léa Salamé. 

Caroline Roux quitte Les 4 Vérités et la matinale de France 2 comme cela était prévu. Elle sera remplacée par Thomas Sotto qui co-anime déjà Télématin avec Julia Vignali.


Du lundi au vendredi de 6h30 à 9H30, il présentera donc les toutes premières actualités de la journée, ainsi que des reportages sur la vie quotidienne et la culture

L’interview politique matinale sera donc assurée par celui qui avait fait le choix de quitter Élysée 2022. Pour autant, la journaliste politique continuera d’animer C dans l'air sur France 5 et récupérer l'Émission politique à la place de Léa Salamé".

dimanche 21 août 2022

Dire qu’Ernotte affirmait que les plateformes de streaming étaient l’avenir de la télé !

Dire qu’Ernotte affirmait que les plateformes de streaming étaient l’avenir de la télé !

L’ex-Orange l’avait chanté sur tous les toits: Salto allait révolutionner les plateformes et faire trembler Netflix…tout ça pour s’en désengager quelques mois après son lancement !!

L’infirmière TV comme presque toujours avait tort comm le montre Le Figaro dans son article « Les plateformes de streaming vidéo souffrent de l’infidélité de leurs abonnés…Déçus par le contenu ou par les prix, des millions d’abonnés aux services de SVOD se désabonnent ».

■ Si Netflix compte 220 millions d’abonnés, Disney 152 millions et Paramount 43 millions d’abonnés, le lilliputien Salto n’en aurait en réalité que quelques dizaines de milliers !

Extrait 

« Alexandre était un abonné « de la première heure » de Netflix et Disney+. Il y a un mois, il a eu une révélation : il paye, mais ne regarde plus. Les nouveaux programmes proposés ne lui plaisent pas. Dans la foulée, il décide de couper ses abonnements. Mais il se réabonnera ponctuellement pour une série qui l’intéresse. Un cas isolé ? Non. Les services de streaming ont de plus en plus de mal à fidéliser leurs clients. Une étude du cabinet Antenna révélée par le Wall Street Journal souligne que chaque mois, plusieurs millions de personnes résilient une ou plusieurs de leurs souscriptions. Un nombre croissant d’entre eux « regarde une série puis s’en va ».

Dans le détail, entre 2020 et 2022, 19 % des foyers américains ont mis fin à trois de leurs abonnements ou plus. En juillet, toujours aux États- Unis, le taux de désabonnement aux services premium (Netflix, Disney+, Apple TV+, etc.) a atteint 5,46 % des abonnés. Cette tendance s’accentue depuis deux ans, puis- qu’en juillet 2020, le taux de défection mensuel n’était que de 4 %…Les grands patrons américains cherchent désespérément comment colmater la fuite des abonnés. À défaut de pouvoir baisser les prix, ils tentent de jouer sur le catalogue. Plutôt que de rendre disponible tous les épisodes d’une série d’un coup, on s’inspire du modèle télévisuel avec une diffusion hebdomadaire. C’est le cas d’Amazon Prime Video et HBO qui vont distribuer au compte-gouttes leurs nouveaux blockbusters Le Seigneur des anneaux : Les Anneaux de pouvoir et House of the Dragon. Même Netflix, un temps connu comme le temple du « binge watching » - avaler toute une série en peu de temps - a fini par s’y mettre. Et si la solution était de ne pas faire payer sa plateforme ? C’est la stratégie d’Amazon avec Prime Video, un service inclut dans l’abonnement prime. Paramount marche dans ces traces. Le service de SVOD a annoncé lundi un accord avec le géant de la grande distribution Walmart. Pendant deux ans, Paramount+ sera intégré gratuitement à l’abonnement Walmart+. »