dimanche 5 mai 2024

France Télévisions s’est encore fait copieusement ramasser par la justice dans le cadre de l'hallucinant licenciement contesté de Ronan Ponnet.

France Télévisions s’est encore fait copieusement ramasser par la justice dans le cadre de l'hallucinant licenciement contesté de Ronan Ponnet. 

Le 11 octobre dernier, dans son article « Troisième tentative illégale d’éliminer Ronan Ponnet l’excellent journaliste de France Télés Guadeloupe …Un acharnement qui risque d’aller loin ! », le blog CGC Média prévenait des rebondissements que la faute imaginaire grave que France Télés lui reprochait allaient s’enchaîner aux torts du groupe public jusqu’à l’aboutissement de la procédure pénale qu’il  a diligentée après la transmission illégale de correspondance privée par un agent de la Préfecture de Guadeloupe dont il a été victime.

Le Tribunal administratif de La Guadeloupe saisi par France Télévisions vient d’infliger une nouvelle défaite au groupe public qui va les accumuler au regard même des nombreuses erreurs commises dans ce dossier par le groupe public. 

Le tandem Gengoul/Ernotte qui demandait au Tribunal d’annuler la décision de l’inspectrice du travail de la 10ème section de l’unité de contrôle de la Guadeloupe qui avait refusé d’autoriser le licenciement de excision de M. Ronan Ponnet pour motif disciplinaire mais aussi celle du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion qui avait également refusé d’autoriser le licenciement, se prend un nouveau et cinglant retour de manivelle. 

Non seulement le tribunal décide premièrement qu’il n’y a pas lieu de statuer sur les conclusions à fin d’annulation présentées par la société France Télévisions dans la requête n°2300534, en rejetant la requête de France Télévisions mais il la condamne à verser à Ronan Ponnet la somme de 1 500 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. (*)

Ce n’est ici qu’un avant goût des problèmes qui attendent France Télés avant le bouquet final dans le cadre de la procédure pénale pour « transmission de correspondance privée le plus illégalement qui soit par une fonctionnaire de la préfecture » avec laquelle le groupe complice de fait, a cru pouvoir virer le journaliste. 

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