jeudi 14 novembre 2024

« A quoi sert le Conseil d'État ?» s’interroge ce juriste puisque Roch-Olivier Maistre a déjà décidé ?!

« A quoi sert le Conseil d'État ?» s’interroge ce juriste puisque Roch-Olivier Maistre a déjà décidé ?!

Demain vendredi 15 novembre 2024 dans l’après-midi, aura lieu l’audience au fond devant la plus haute juridiction administrative du Pays concernant les recours des chaînes C8 et NRJ 12 dont la fréquence n’a pas non plus été renouvelée il y a quelques mois par ROM et l’Arcom enterprise.

« A quoi sert le Conseil d'État ?» s’interroge ce juriste puisque Roch-Olivier Maistre a déjà décidé ?! Le Conseil d’Etat avait rejeté les recours intentés en référé par les deux chaînes au motif qu’il n’y avait pas urgence à les traiter vu l’arrêt des 2 chaines prévus fin février 2025.

« C’est leur dernière chance » nous confie un bon connaisseur du dossier qui ajoute « Ils pourraient très bien gagner. Souvenez-vous que Schrameck a perdu 2 fois face à la juridiction.».

« A quoi bon ?» s’interroge ce juriste puisque Roch-Olivier Maistre a déjà décidé, se faisant justice de facto justice lui-même, en réattribuent déjà les fréquences ?!

BFM TV reste sur le canal 15

CNews sur le canal 16

LCI passe du canal 26 au canal 17

et FranceInfo : est transféré sur le canal 18 (au lieu du canal 27)

 

Rappelons que l’autorité de régulation dite indépendante  qui avait écarté le renouvellement de C8 et NRJ12 dont le bail arrivait à échéance fin février 2025, n’avait pas non plus retenu la candidature de la web-télé de gauche Le Média qui a également saisi le Conseil d’État.






L’étincelle qui amorcera la bombe, juste avant l’annonce du plan massif de suppressions de postes à France Télés (*) viendra du pôle Outremer.

L’étincelle qui amorcera la bombe, juste avant l’annonce du plan massif de suppressions de postes à France Télés (*) viendra du pôle Outremer.

"Nous l’avons dit et répété, si la doctrine en place à France Télés depuis des années « Toujours plus avec toujours moins », a fait des ravages parmi les salariés utilisés par les directions successives comme de la chair à canon, celle de Malakoff vient d’allumer la mèche d’où partira l’étincelle" prévient le SNPCA-CGC 

"Voilà l’une des conséquences de la gestion catastrophique d’un(e) haut(e) cadre ou comment un(e) grand chef(fe) se plaît à servir la soupe à la direction générale de France télévisions en supprimant des postes dans un service (histoire d’avoir la reconnaissance du ventre et de se faire bien voir), face à des salariés acculés et apeurés par leur avenir dans l’entreprise qui préfèrent s’en prendre… à d’autres collègues !" ajoute-t-il avant de constater que "La moindre suppression de poste aujourd’hui engendre des tensions sociales toujours plus importantes, à mesure que les services sont réduits à plus grand chose….et ce n’est qu’un début".

Extraits

Cette situation ressort typiquement de ce que la loi française considère, à juste titre , comme des RPS ! Les “fameux” risques psycho-sociaux ! C’est exactement ce  qui est en train de se passer au sein de l’établissement de Malakoff où tout démarre et d’où l’incendie va se propager.

Lorsque ce(tte) responsable doit rendre des comptes, la solution est de monter les salariés de son service contre les autres salariés qui ont justement besoin de ce service (et inversement !) plutôt que d’assumer voire d’œuvrer à trouver des solutions…

Cette politique managériale calamiteuse oblige de facto d’autres cadres, eux aussi victimes, de demander toujours plus de travail à leurs équipes histoire de compenser les ETP (équivalents temps plein) qui disparaissent…

Autrement dit : ce sont toujours les salariés qui restent qui doivent assumer les conséquences des erreurs managériales et de la fonte des effectifs.

Quelle honte ! Après ça, la direction ne peut que constater et/ou se plaindre de l’augmentation des arrêts maladies et/ou des tensions entre salariés…Ben voyons ! A qui la faute, pas à celle et ceux qu’on trait comme du bétail !?

Cela se poursuit et s’accélère avec la bienveillance active de certains(es) hauts cadres qui ne manquent pas de bénéficier de la reconnaissance du ventre, (par des primes notamment).

Ironie de la situation : cette situation au sein du Pôle outre-mer intervient au moment où l’actualité ultramarine n’a jamais été aussi impactante pour la nation française : Nouvelle-Calédonie / Mayotte / Guadeloupe, Martinique, etc…et ce malgré la fait que les défenseurs de France Ô, SNPCA-CGC en tête,  n’ont cessé et ne cessent encore d’exprimer haut et fort que la visibilité des Outre-mer ne soit pas une farce mais une réalité pour la France et pour le Service Public de l’Audiovisuel…

Le SNPCA-CGC qui a œuvré depuis le début du démantèlement de France Ô, du pôle outre-mer et de l’établissement de Malakoff en alertant à maintes reprises la direction générale sur les conséquences dramatiques de politiques managériales assassines pour les salariés comme pour l’entreprise, a décidé de porter le coup.

"Ces tensions dramatiques et exponentielles entre salariés sont la traduction concrète du management assassin de certains hauts cadres de l’entreprise, à commencer l’établissement de Malakoff" écrit-il.

Dans le privé, cela porte un nom : “faute professionnelle managériale”…et toute  faute doit être sanctionnée ! Il est inacceptable qu’un(e) cadre ou haut cadre monte des salariés d’un service contre d’autres salariés pour ne pas assumer SES responsabilités.

(*) Le SNPCA-CGC qui sait combien les mois à venir vont faire de dégâts avec le doublement des 50 millions économies donc 100 millions en 2025 (dans quelques jours en réalité) du fait des restrictions budgétaires importantes imposées par l’actionnaire (l’État) que Delphine Ernotte va transformer en plan massif de suppressions de postes (des centaines et des centaines voire des milliers dans le groupe, selon nos sources) dit STOP.

Tout cela malgré les presque 32 millions déjà donnés à l'été dernier par l'État pour recapitaliser l'entreprise !

Toutes ces « huiles » qui  servent la soupe à la direction générale pour leur seul intérêt et/ou du fait de leur incompétence : ça suffit !!!

Pour commencer, ces décisions prises par ce(cette) haut-cadre de Malakoff (et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres) n’ayant fait l’objet d’aucune négociation entre représentants des salariés et la direction et encore moins soumis aux Instances représentatives des personnels (CSE) avec les conséquences que ces modifications des conditions de travail pour les salariés de son service mais aussi d’autres salariés de l’établissement, elles relèvent du Pénal.

Le SNPCA-CGC va proposer à d’autres organisations syndicales qui pour l’heure n’ont pu  que constater les faits, de certes saisir la Justice mais aussi la Représentation nationale qui depuis une dizaine d’années n’a pas vu ce qui se passait ou du moins à qui pendant tout ce temps, une photo mensongère de l’entrepris lui a été présentée.

La violence à l’égard des salariés (quelle qu’elle soit et d’où qu’elle vienne !) doit stopper net avant que n’arrivent d’autres accidents !!!

STOP au toujours moins de salariés et au toujours plus de travail pour celles et ceux qui restent au moment où notre société est à la dérive et ou certains n’ont devant les yeux que les JO comme unique compas...largement déréglé il faut le dire !!!!!

mardi 12 novembre 2024

Après la catastrophe industrielle Salto, revoici la Saltomania !

Après la catastrophe industrielle Salto, revoici la Saltomania  !

Non ce n'est pas la danse de l'hiver mais le retour d'une formule qui a explosé en plein vol mais que quelques-uns n'hésitent pas à recycler aujourd'hui, sous une autre forme, en espérant que ça passe ! 

Rebelote…Certains doivent surement croire que les Français n’ont pas de mémoire mais surtout qu’ils peuvent être pris pour des andouilles ?!

Les quelques lignes publiées dans La Tribune Dimanche, intitulées « Audiovisuel, l’union fait la force » en sont le parfait exemple et répondent assez bien à ce désespérant constat : l’intérêt que tout ce petit monde de l’entre soi, a tout de continuer à resservir même réchauffé, le combat supposément anti-Gafa que chantent  toujours les mêmes.

«On voit arriver des géants américains, explique-t-on en off du côté de France Télévisions. Ils sont là, en face de nous, et on a besoin de montrer que nous sommes des interlocuteurs costauds. » exactement mot pour mot la même musique qu’en 2019/2020 au lancement de Salto.

Dans l’article de Rémi Jacob, qui reprend les informations publiées en exclusivité, le 5 novembre dernier dans La Lettre, (*) il est même  question de l’emballement de l’ex-Orange pour cette mixité qui a faut-il le redire coûté quelques 90 millions d’argent public à France Télévisions donc aux Français ainsi qu’à M6 et TF1 soit près de 300 millions avant liquidation après seulement 2,5 ans d’exercice.


Extrait

« La photo de famille aura lieu mercredi en fin de matinée, dans le spacieux auditorium niché au cœur de la tour TF1, à Boulogne-Billancourt (Hautsde-Seine). Sur le cliché figureront Rodolphe Belmer (TF1), David Larramendy (M6), et Delphine Ernotte (FTV) avec à leurs côtés, les représentants de sociétés de gestion collective d’auteurs et artistes-interprètes comme la SACD, la Sacem, la Scam ou l’Adami ainsi que des syndicats de producteurs. » précise  La Tribune Dimanche qui ajoute « Objectif de ce raout: présenter la «filière audiovisuelle », une nouvelle entité destinée à peser face aux pouvoirs publics, à l’heure où les Gafa fragilisent considérablement les modèles économiques des entreprises françaises. Une idée qui a germé cet été dans la tête de Rodolphe Belmer. »

Donc l’ex éphémère conseiller ernottien (eh oui ! Rodolphe Belmer l’a été pendant à peine plus de mois après le parachutage de cette dernière en 2015 dans les conditions que chacun connait pour très vite jeter l’éponge jeter l’éponge) est à présent, celui qui prône exactement ce qu’a été Salto – un gouffre financier – destiné à contrer les Gafa (il semble qu’on dit GAFAM depuis quelques temps ) et qui n’a rien concurrencé du tout !

« À la fin, le toujours pédégé  de TF1 – pour le moment –  a(urait) fait part de ce projet à Delphine Ernotte, qui a immédiatement été séduite. » écrit encore le titre de presse qui cite Belmer « En entrant pour la première fois de notre histoire dans une logique de filière, nous défendons un secteur stratégique qui joue un rôle essentiel pour la souveraineté française, glisse-t-elle qui fait aujourd’hui face à des enjeux existentiels: révolution de l’IA, défense de notre modèle français de la création et du droit d’auteur.

«Les enjeux auxquels nous faisons face sont suffisamment tectoniques pour que l’ensemble des parties prenantes de notre secteur s’unissent dans une logique de filière afin de défendre des intérêts collectifs et la valeur de notre secteur » enchérit l’intéressé qui parle d’ « un intérêt supérieur à parler d’une même voix pour sa pérennité, la sécurisation d’une création et d’une information audiovisuelles françaises de qualité et pour le développement et le rayonnement de l'exception culturelle. »

Ben voyons…Oubliée la plainte déposée par TF1, en début d’année, devant la Commission européenne contre France Télévisions et l’État français pour «aides d’État illégales » accusant notamment France 2 d’avoir une programmation trop «commerciale » et de marcher sur les plates-bandes des chaînes privées, faussant ainsi la concurrence.

L’ex-primo dircab ernottien d’enchérir au printemps dernier pour faire croire qu’il roulerait encore pour l’ex-Orange «France Télévisions n’est pas en guerre avec le privé» espérant peut-être en tirer profit ?!

Qu'est-ce que c'est que tout ce cirque ? 

Hallucinant et totalement incompréhensible…à moins qu’une anguille ne se soit habilement planquée sous la roche !!

Cette nouvelle Saltomania de circonstance est non seulement choquante, après la catastrophe industrielle du trio qui remet le couvert comme si de rien n’était, en changeant juste le vocable de « plateforme on est passé à filière » mais qui plus est, de la com’ pure avant l’arrivée du nouveau pédé à France Télés.  

lundi 11 novembre 2024

Attaché(e) parlementaire, un métier d’avenir à France Télévisions ?!

Attaché(e) parlementaire, un métier d’avenir à France Télévisions ?!

La dernière publication de l’ADAP sous la plume de son emblématique Madiba a de quoi interpeller. L’Association de Défense de l’Audiovisuel Public explique  comment  l’ex-Orange et son staff rapproché qui ont laissé le contrôle à d’autres, à commencer par Médiawan (sous contrôle américain) Banijay et Brut, les 3 omniprésentes boites de prod qui captent une grosse partie du quasi milliard dédié aux programmes, ne traitent plus certaines actus.

Extraits

« La scène se passe à la cafétéria de Malakoff. Étrange fonctionnement devenu la règle  : 

- Yé Alex ça s’arrose… tu pars quand ? 

- Hé sa nou fè , j’attends ma note de nomination et je pars de suite . Fin de citation. 

Mais il va ou l’ami Alex ? 

À Tahiti, c’est le nouveau directeur d’antenne de la station de Pamatai. Ne le dites pas encore aux tahitiens ils ne sont pas informés, sauf la direction locale  qui a validé l’opération. 

Alex Bellerose va déchouker la tahitienne Tepiu Bambridge qui ne plait pas à celle qui dirige le pôle. C’est un fusible qui saute.

À Polynésie La 1ère, ils ont fait plus fort que ça : Les membres du gouvernement sont allés à l’ONU parler de la décolonisation de la Polynésie française et les attachés parlementaires des élus ont filmé les débats et réalisé sur place des interviews de leurs patrons. 

De retour au Fenua, ils ont tout donné à la direction de Polynésie La 1ère et tout  cela a été diffusé en radio, en télé et sur internet posant ainsi la question : A quoi servent les journalistes ?

C’est l’info à « bas coût ».. Coup bas sur lequel on attend l’intervention de la déléguée syndicale (CFDT) de Tahiti  à la prochaine réunion de la commission déontologie dont le syndicat dénonçait, il y a peu, dans un tract :  l’usage croissant et abusif des  reportages faits par ICI, ex France3 pour le site d’information de France bleu avec des  captures d’écran comme images supports. » 


 L’ADAP se pose également une autre question : « À quoi sert le directeur de l’information du pôle outre-mer ? » mettant en avant tout un tas d’exemple pour étayer sa demande :

- Black-out en Guadeloupe, 260.000 personnes plongées dans le noir Rien au JT du soir de France 2. Rien

- Des milliers de manifestants d’outremer défilent dans les rues de Paris contre la vie  chère. Rien non plus au JT du soir de F2 

- Discussion au parlement pour le report des élections en Nouvelle Calédonie. Toujours rien au JT du soir de F2 

- Fusillade dans un appartement en Guadeloupe, 2 morts, plusieurs enfants blessés, victimes collatérales. Encore rien au JT du soir de F2 

- Pire , en Guadeloupe,  2 enfants retrouvés DECAPITES … Mais rien au JT du soir de F2.

Quant à la semaine de l’Outre-mer, faut-il rappeler qu’en plein black-out en Guadeloupe et au moment des émeutes en Martinique le JT du soir de F2 présentait un reportage sur la beauté de la Montagne Pelée. 

Les rediffusions durant cette semaine étant supérieures aux nouveautés, pas de conférence de presse pour annoncer le programme. Le budget Com’ est parti à l’ALCAZAR avec la direction du pôle. (lire: L'Alcazar, endroit idéal pour dépenser les crédits de la transformation et rouler dans  les plumes le gouvernement qui réclame des économies à France Télévisions.) 

C’est pourquoi Madiba repose la question : A quoi sert la direction du pôle outre-mer puisqu’aucune information grave  concernant l’outre-mer n’est traitée au national. 

C’est surement ça la VISIBILITÉ des outre-mer…que l’ex-Orange et sa directrice ad hoc, clament régulièrement sur tous les toits?! C’est organisé ainsi, sur F3 depuis septembre AUCUNE INFO DE L’OUTRE-MER, AUCUNE DANS LES NOUVEAUX JT.

Dire que certains osent parler de continuité pour le groupe alors qu’il faudrait aujourd’hui une poigne de fer pour tenter de briser la gangue des profondeurs abyssales dans laquelle le groupe de télés publiques n’a cessé de sombrer depuis l’été 2015.

dimanche 10 novembre 2024

Ohé Michel, t’es sourd ou quoi ? Tu touches pas à l’Audiovisuel public !

Ohé Michel, t’es sourd ou quoi ? Tu touches pas à l’Audiovisuel public !

Ils sont six à en appeler aux députés pour un «vote conforme » du texte adopté par le Sénat en octobre, vu le calendrier parlementaire particulièrement serré.

Sibyle Veil, Marie-Christine Saragosse, Kim Younes Charbit qui vient à peine d’atterrir à TV5Monde et Delphine Ernotte parachutée elle en 2015, toutes deux dans les conditions que chacun connait aujourd’hui, mais aussi, Laurent Vallet et Bruno Patino qui trépigne d’arriver à FTV avec un numéro 2 déjà choisi, à prôner l’adoption de la PPLO (Proposition de loi organique) affectant un montant d’impôt à ces entreprises afin d’éviter la budgétisation de leur financement.   

Le blog CGC Média qui a déjà consacré, il y a peu, un article sur le supposé risque de   « Budgétisation » que certains brandissent comme un épouvantail et qu’ils voudraient éviter à tout prix, au motif qu’elle n’assurerait pas l’indépendance de l’Audiovisuel public ! rappelle que la TVA dont l’État prélève une portion pour financer l’Audiovisuel public est déjà un impôt indirect ou taxe qui participe bien déjà à la budgétisation au niveau recettes.

Demander à éviter ce qui existe déjà, est assez étonnant !

Les six ne s’arrêtent pas là, ils rappellent au gouvernement et au Premier ministre que «La télévision est un "métier de temps long"». Toc toc toc, y a quelqu’un qui les entend ? 

La PPLO, examinée selon la procédure accélérée, prévoit l’affectation d’un «montant d’impôt », comme la TVA, au financement de Radio France, France Médias Monde / FMM), France Télévisions, Arte France, l’INA, et TV5 Monde.   Pour être applicable dès l’année prochaine, elle doit être promulguée avant la fin de la discussion sur le projet de loi de finances (PLF) pour 2025, actuellement examiné à l’Assembléequi devrait se terminer selon toute vraisemblance par un 49.3. 

En l’absence d’un dispositif alternatif, le financement devrait continuer de dépendre de la TVA, dispositif adopté après la suppression de la contribution à l’audiovisuel public (CAP), est, en l’état de la Constitution, interdite à partir de 2025.

Le texte sera examiné par la commission spéciale mercredi 13 novembre à partir de 15h, selon son agenda prévisionnel. L’examen en séance publique est prévu pour le mardi 19 novembre durant la séance de l’après-midi.

Rappelons aussi que les projets de COM pour 2024-2028 de France Télévisions, Radio France, FMM et l’INA ont reçu, le 6 novembre, des avis défavorables de la commission des Affaires culturelles comme de la commission des Finances, qui a également rejeté les crédits de la mission Audiovisuel public.

« On s’en fout » murmurent, en coulisses, celles et ceux qui expliquent que le gouvernement pourrait très bien ne pas passer la fin de l’année et ajoutent à qui veut l’entendre qu’ « il n’y a d’autres choix que de les laisser entrer en action avec quelques ajustements (s’il le faut vraiment) puisque de toute façon ROM et sa troupe ont déjà, eux, rendu des avis favorables ! »

Michel, si c’est ROM et son équipage de l'Arcom enterprise qui le disent, tu ne vas tout de même pas nous faire un pataquès  ?