mercredi 26 mars 2025

Dans la série "On vire à la chaîne" à France Télés...cette fois-ci, c'est une femme originaire d'Afrique.

Dans la série "On vire à la chaîne" à France Télés...suite. Cette fois-ci, c'est une femme originaire d'Afrique.

Les convocations pour entretiens préalables au siège de France Télés s'enchainent tellement vite que la porte des bureaux de la bande des fossoyeurs du Siège n'ont même pas le temps de se refermer, tant les cadences sont infernales. 

Il ne faut surtout pas perdre de temps jusqu'au 18 avril prochain pour virer un max de collaborateurs, avant que chacun réalise que la décennie de terreur qui s'est abattue depuis l'été 2015, s'achève enfin.

Cette fois-ci c'est une femme originaire de Rwanda qui est la cible de l'arbitraire et de l'injustifiable. 

La direction a donné des consignes pour qu'elle ne puisse pas être en télétravail comme le sont  toutes ses collègues  l'empêcher de recevoir le dernier avenant que toutes ses camarades l'ont pourtant reçu, histoire de créer un pseudo contentieux afin de la virer.

Juste avant, elle avait osé réclamer le paiement de sommes dues que la direction  a fini par lui régler 20€ par 20€, après des mois où elle n'avait rien perçu ! Évidemment la salariée ne comprend toujours pas...elle est sidérée par un tel acharnement à son encontre dont elle ne peut que se demander quel en est le sens, elle dont la couleur de peau est plus foncée !!!!! 

Elle qui a pourtant fait une école de journalisme mais que toutes les rédactions ont rejetée. "Tu as un fort un accent pour des reportages qui sont loin d'avoir le niveau" a même osé lui balancer une rédactrice en chef (dont le blog CGC Média garde le nom en mémoire)  qui a un cursus identique au sien -  passée par le CFPJ, elle a intégré Paris Île-de-France d’abord puis a suivi les formations au FTV Université avant de rejoindre le Siège - mais qui a surement, elle, une pigmentation plus adaptée !

Elle dont l'attachement aux valeurs humanitaires ne s'est jamais démenti, vit donc très mal la situation. 

Si elle n'a peut-être pas de colère, la douleur est intense...Impossible de dormir, le tout sur fond de dérèglement psychologique que chacun imagine aisément. Elle en est même arrivée, à vouloir que tout cela cesse...mais pas au prix de sa dignité de femme.

Elle n'a qu'un désir, se battre contre ce déferlement la visant et sûrement pas celui de rester les bras ballants.

Encore un cas de licenciement abusif pour le moins dont va devoir s'occuper la nouvelle tête qui va prendre, dans quelques semaines, les rênes de France Télévisions et que la CGC  de l'Audiovisuel a décidé de saisir.

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