samedi 2 août 2025

Le parquet de Paris confirme analyser un signalement pour « outrage à magistrat » visant Rachida Dati l’ex pote de holding d’Ernotte.

Le parquet de Paris confirme analyser un signalement pour « outrage à magistrat » visant Rachida Dati l’ex pote de holding d’Ernotte. 

Rachida Dati encore ministre de la Culture dans me gouvernement Bayrou, putative maire de Paris et probable candidate «  libre » (toujours au moment où nous écrivons…donc sans investiture) à la législative partielle dans la deuxième circonscription de Paris contre Michel Barnier, fait l’objet d’un signalement déposé le 28 juillet 2025 auprès du parquet de Paris pour « outrage à magistrat » et « discrédit visant la justice », suite à des propos tenus le 22 juillet sur LCI.

Ces déclarations, critiquant violemment des magistrats dans le cadre de son renvoi en procès pour corruption dans l’affaire Carlos Ghosn, ont été jugées attentatoires à la dignité et à l’indépendance de la justice par Raymond Avrillier, un ex-élu grenoblois militant anticorruption. 

Le parquet de Paris confirme analyser actuellement ce signalement, ainsi que d’autres concernant des bijoux non déclarés et des honoraires perçus de GDF Suez comme l’avait révélé « complément d’enquête » diffusé sur La Deux, il y a peu, Sur les antennes de France Télévisions où Delphine Ernotte son ex pote de holding à présent, avait été parachutée à l’été 2015. 

Les avocats de Rachida Dati dont Me Olivier Pardo, ont exprimé leur « étonnement » face à cette démarche, tandis que le président du tribunal judiciaire de Paris, Peimane Ghaleh-Marz, a quant à lui dénoncé « l’opprobre jeté publiquement » sur la profession.

vendredi 1 août 2025

Nagui attaque les arènes d’Arles pour « parasitisme » (*) C’est assez cocasse lorsque l’on connaît la définition du mot.

Nagui attaque les arènes d’Arles pour « parasitisme » (*) C’est assez cocasse lorsque l’on connaît la définition du mot. 

(*) Parasitisme: 

1. Mode de vie du parasite.

2. État d’un être qui vit sur un autre parasite.

Alors que les critiques pleuvent sur la nouvelle vision d’Intervilles signée Nagui dont les audiences sont catastrophiques, à commencer par  Claude Savarit co-créateur historique du jeu, on apprend que la société Banijay Production Media, co-fondée par Nagui, a assigné en justice les arènes d’Arles pour « parasitisme » suite à l’organisation d’un spectacle intitulé « Le Choc des arènes » le 21 juillet 2025. 

Selon l’animateur-producteur, cet événement qui opposait Nîmes à Arles avec des jeux impliquant des vachettes et des structures gonflables, serait trop similaire au concept de l’émission «  Intervilles », dont il détient les droits mais dont il n’est evidemment pas à l’origine. La société réclame 270 000 euros de dommages et intérêts. Ben voyons! Ernotte et France Télévisions donc les Français ne le paieraient-ils pas assez ?

Lola Jalabert, directrice des arènes, conteste ces accusations, affirmant que « Le Choc des arènes » s’inscrit dans la tradition des jeux taurins du Sud de la France, bien antérieure à « Intervilles » . Elle précise avoir modifié le nom de l’événement (initialement Intervalles, puis Intravill’s) et les épreuves pour éviter toute confusion. L’audience est prévue le 9 octobre 2025. En attendant la décision, les arènes ont suspendu leurs projets pour 2026.

De son côté Claude Savarit envisagerait, lui aussi une action en justice contre Banijay pour la version relancée par Nagui, estimant qu’elle trahit l’esprit original du programme.

Cette affaire met en lumière un conflit entre la protection de la propriété intellectuelle d’un format télévisuel et la défense des traditions culturelles locales...À moins que ce soit la gourmandise de certains qui n’en ont jamais assez ?!


Xc



jeudi 31 juillet 2025

Les Français invités à supprimer l’Arcom depuis le 3eme parachutage d’Ernotte dans le doute.

Les Français invités à supprimer l’Arcom depuis le 3eme parachutage d’Ernotte « dans le doute ». 

La publication au Journal Officiel de la mascarade intervenue le 14 mai dernier soulignant « La volonté de privilégier la continuité dans un contexte marqué par des incertitudes majeures, notamment en raison du projet de création d’une holding pour regrouper les entités de l’audiovisuel public… » pour tenter de justifier le maintien de l’ex-Orange, est sûrement la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

La plainte que dépose la CGC audiovisuel pour faire annuler cette mauvaise blague et condamner pour complicité et recel les protagonistes de cette vaste fumisterie, conclut au même constat. 

L’Agence d’État budget dont le budget de 50 millions d'euros pour 2025, en infime baisse par rapport à 2024 (51,3 millions d'euros), principalement financé par des fonds publics via la loi de finances et des contributions des acteurs de l’audiovisuel, tels que les chaînes de télévision et les plateformes de streaming, à fini par agacer au plus haut point les Français.

A tel point que l’appel vient d’être lancé, via le site de l’Assemblée pour cette courroie de transmission du Pouvoir.

Ci-après le lien pour la signer (plus de 5000 signataires déjà au moment où nous écrivons.

https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-2017







mercredi 30 juillet 2025

Le feuilleton de M6 aux audiences catastrophiques pourrait s’arrêter et précipiter France Télévisions encore plus dans le rouge !

Le feuilleton de M6 aux audiences catastrophiques pourrait s’arrêter et précipiter France Télévisions encore plus dans le rouge ! 

Chacun se souvient du projet d’extension des studios  de France Télévisions lancé en novembre 2024 à Vendargues avec deux nouveaux bâtiments comprenant quatre plateaux de 300 à 800 m², soutenus par le plan France 2030. 

Projet qui visait à doubler la capacité de tournage et à accueillir davantage de productions, y compris celle de M6, « renforçant l’attractivité de la région Occitanie pour l’industrie audiovisuelle » selon l’ex-Orange.

La Six a décidé, l’an dernier, de louer à l’année l’un des plateaux de 1 133 m² pour sa série, faisant d’un groupe public payé par les contribuables, un prestataire du Privé, en l’occurrence de métropole TV. Le tournage avait du reste débuté au printemps 2025.

La filiale de France Télévisions qui y produit la série quotidienne « Un si grand soleil » ayant chèrement investi pour y construire ces nouveaux studios, ne peut que constater les audiences catastrophiques qu’enregistre « Nouveau jour » avec des scores de pire en pire, passant même sous la barre des 700.000 téléspectateurs le vendredi 18 juillet dernier. L’éphémère embellie des 23 et 24 juillet, avec plus d’un million de téléspectateurs réunis, n’a rien changé au global !

Diffusé à 20h40, le programme «n’a pas été à la hauteur des attentes» ou bien «n’a pas encore trouvé son public» peut-on entendre, ici et là. A tel point que la chaîne, a été contrainte de rappeler « En famille » à la rescousse.

De récents posts sur la toile souligne les dégâts :

Par exemple, un post du 25 juillet 2025 sur X qui indique que le feuilleton quotidien de M6 a atteint tout juste un million de téléspectateurs avec 6% de part de marché, ce qui est relativement faible. 

Un autre post du 16 juillet 2025 souligne que M6 n’a pas dépassé les 2 millions de téléspectateurs en prime time depuis un mois, signalant des difficultés globales pour la chaîne.

L’arrêt de la série quotidienne pour M6 qui utilise france.tv studio à Vendargues., serait donc un nouveau coup dur pour France Télévisions, déjà fortement dans le rouge qui viendrait alourdi la liste suite des hasardeux  choix ernottiens comme Salto, Nowu, etc…sur lesquels l’Arcom écrit « avoir fondé sa décision ».



mardi 29 juillet 2025

Quand Ernotte aura fini de tout refiler à Mediawan, Brut et Banijay, le groupe public aura vécu !

Quand Ernotte aura fini de tout refiler à Mediawan, Brut et Banijay, le groupe public aura vécu !

Le blog CGC Média l’a écrit des centaines de fois depuis le premier parachutage d’Ernotte exfiltrée d’Orange alors que la justice était amenée à se prononcer sur la vague de suicides qui avait touché l’entreprise de téléphonie, si le groupe est aujourd’hui exsangue, Il est le fait des contrats signé depuis une décennie, trois groupe de production amis: Mediawan, Brut et Banijay.

Depuis l’été 2015, l’ex-Orange a fait de la sous-traitance à France Télévisions, son cheval de bataille. France Télévisions a effectivement accru sa collaboration quasi exclusive avec le trio de producteurs amis, notamment Mediawan et Banijay, qui dominent le marché de la production audiovisuelle en France. En 2023, Mediawan a généré 109 millions d’euros de chiffre d’affaires avec France Télévisions, représentant 40 % de ses activités de production en France, tandis que Banijay a réalisé 87 millions d’euros, avec des émissions phares comme « N’oubliez pas les paroles, Fort Boyard ou Taratata ». Brut, vient quant à lui, en plus du Festival de Cannes et  des pastilles « vidéo » chèrement, vendues à la chaîne d’info en continu pour un résultat d’audience qui oscille depuis 10 ans entre 0,5 et 0,9%, vient de se voir confier la totalité delle gros FranceTV Slash avec un juteux contrat visant la refonte de l’offre du média ciblé réseaux sociaux et jeunes publics.

France Télévisions chante que c’est en raison de contraintes budgétaires importantes, notamment une baisse de 86 millions d’euros des dotations publiques prévues pour 2024-2028 et un déficit net estimé à 72 millions d’euros en 2025, qu’il a recours à cette externalisation galopante.

Quant à Michel, 72 ans passés et toujours là Pour l’un des plus gros salaire du groupe, il raconte à qui veut encore l’entendre qu’il aurait demandé aux producteurs - Tous les autres, pas ceux qui ont signé avec Ernotte les contrats avant que l’Arcom organise son 3eme parachutage ! - de réduire leurs budgets de 5 %, tout en maintenant un investissement de 440 millions d’euros dans la production, dont 80 millions pour la production interne via France TV Studio….

Ben voyons…et à quel titre d’ailleurs ? 

Le leitmotiv rachido-ernottien qui prône le retour de l’ORTF dans une même usine à gaz, S’il venait à devenir réalité, permettrait à tous ces milliards de l’argent des Français dépensés avec ces boites de prod’ De ce fond, on va dans la masse et d’entraîner dans sa chute avec France Télévisions, les deux autres entreprises Radio France et l’INA. 

Cette dépendance pour n’è pas dire addiction à cette poignée de producteurs privés - La forte dépendance envers Mediawan et Banijay, dénoncée par certains médias (OFF INVESTGATION par exemple ) comme un « système d’oligarchie » favorisant un petit cercle de producteurs bien connectés, soulève d’ailleurs des questions sur l’indépendance éditoriale et financière de France Télévisions. 

 Cette externalisation, initiée dès les années 1990 sous Jean-Pierre Elkabbach et poursuivie sous Ernotte, est critiquée pour avoir réduit la capacité de production interne du groupe public, au profit de sociétés privées souvent liées à certaines personnalités proche du Pouvoir.

2. L’impact sur le service public de cette sous-traitance massive est d’affaiblir l’identité du service public en déléguant la création de contenus à des acteurs privés, dont les priorités peuvent diverger de la mission culturelle et éducative de France Télévisions. (cf franceinfo tv reposant sur des partenariats privés et une mutualisation excessive des moyens dont Brut avec Rodolphe Saadé en tant qu’actionnaire)

3. Système en proie à toutes les critiques, l’opacité étant la première d’entre elles. Des voix, comme celles relayées par Le Canard Enchaîné ou des posts sur X, dénoncent un « management toxique » et un système opaque depuis l’été 2015, où des contrats avantageux accordés à Mediawan, Banijay et Brut, le sont très presque toujours  au détriment de petits producteurs et surtout des salariés du groupe. Ces critiques suggèrent une concentration des ressources publiques entre les mains de quelques acteurs puissants, proches des cercles politiques et économiques.

4. La production interne s’est réduite comme peau de chagrin. Pas avec sa perpétuelle propagande sur France TV Studio, sa filiale de production interne, dont le chiffre d’affaires est passé de 40 millions d’euros en 2015 à 90,5 millions en 2023, notamment grâce à des productions comme « Un si grand soleil » et bientôt le feuilleton de M6 que France Télévisions imaginé faire à croire à un surcroît d’activité alors que dans toutes les régions, comme dans les territoires ultramarins mais aussi au siège, le travail est devenu une denrée rare! 

Si la sous-traitance continue à ce rythme, France Télévisions risque de devenir un diffuseur plutôt qu’un producteur, ce qui pourrait compromettre gravement sa capacité à remplir ses missions de service public voire à la voire disparaître.


lundi 28 juillet 2025

L’Ukraine : les autres chaînes d’info y sont mais pas France Télés dont l’ex-Orange a vidé les caisses.

L’Ukraine : les autres chaînes d’info y sont mais pas France Télés dont l’ex-Orange a vidé les caisses.

Toujours pas de départ d’équipe en Ukraine… Ce ne sont pas les vacances d’été qui sont en cause - Il n’y en a pas pour les ukrainiens qui se prennent des bombes au quotidien depuis trois ans - mais les caisses de France Télés qui en dix ans se sont vidées. Pas d’équipe de FTV depuis un mois. Rien, nada. Il reste encore quelques fonds de tiroirs pour les micro trottoir, évidemment mais c’est tout. 

Quant  à l’Ukraine 🇺🇦 Ernotte doit certainement penser malgré se pathétiques propagandes que la mission du service public audiovisuel ce n’est pas d’y être et de toute façon qu’une seule équipe de FTV pour alimenter toutes les antennes serait largement suffisant…enfin s’il y en avait une !

Il faut bien payer le grand salaire de Léa Salamé…et du trio de sociétés productions amies qui squatte toutes les cases antennes. 

Seulement voilà, la grogne continue de monter chez les  JRI et les rédacteurs. 

Nouvel effet entre autres des micros tendus aux passants dans un Paris encombré par la circulation : la difficulté de se garer. Les équipes de reportages prennent donc beaucoup le taxi et évidemment la direction n’a pas mis en place un abonnement avec la G7…toujours à cause des pépettes histoire de réduire encore les coûts. 

Mais là, c’est plein pot…donc comme ça représente beaucoup d’argent. Cerise sur le gâteau, est demandé de justifier pourquoi l’équipe n’a pas pu prendre les transports en commun plutôt que le taxi ?! 

Une blague…vivement le holding, pour que tout soit noyé dans la masse, et que les pauvres salariés de Radio France et de l’INA en prennent pour leur grade.

Réduction des coûts à tous les étages 

Même les plus debiles

dimanche 27 juillet 2025

Censure, 49.3 ou dissolution ?

Il n’y a plus aucun intérêt pour l’ex-Orange et sa garde rapprochée à défendre aujourd’hui le holding France Medias, sachant que celle qui prônait tous azimuts son impérieuse mise en place, n’en sera pas aux commandes.

Le chaos paraît donc être la seule solution pour que Delphine Ernotte continue sa casse réglée de l’entreprise. La dénonciation de l’accord d’entreprise en est l’un des axes principaux. Le but : contraindre Sibyle Veil, la présidente de Radio France et le président de l’INA à dénoncer leur accord d’entreprise respectif.

Il n’est en effet pas possible par exemple, au sein d’une même entité d’avoir plusieurs collaborateurs par différentes couverture sociales. Les salariés des trois entités devront être traité de la même façon et leur pédégé respectif subit la même fronde que celle qui va s’abattre sur Ernotte et France Télés dès septembre.

Quant à la toujours ministre de la culture qui prétend que cette fusion se fera sans casse et qu’avant le débat  sur le budget 2026 à l’Assemblée nationale, cette reforme sera adoptée grâce au soutien des sénateurs et ce malgré ses démêlées judiciaire et sa campagne pour la législative dans la deuxième circonscription de Paris ainsi que celle pour la mairie au municipal de 2026, le chemin à quelques milliards d’euros est encore long car ayant un impact majeur sur le vote du budget. 

L’absence de majorité, des divergences idéologiques marquées et les choix budgétaires controversés, notamment l’année blanche et la réduction des dépenses sociales, nonobstant le risque d’un recours au 49.3 et d’une censure subséquente menace la stabilité du gouvernement. 

D’où l’hypothèse d’une nouvelle dissolution après les grandes vacances pour essayer de rebattre les cartes et minimiser les tensions actuelles ou les alliances inattendues entre oppositions qui compliquent la recherche d’un compromis.