samedi 8 avril 2023

Maïtena Biraben fait définitivement condamner Canal+ à plus de 3,4M€.

Maïtena Biraben fait définitivement condamner Canal+ à plus de 3,4M€.

Un arrêt de la Cour de cassation, révélé mardi par L'Informé et consulté par l'AFP, a confirmé l'essentiel de la décision de la cour d'appel de Versailles qui avait condamné le groupe Canal+ à verser à la présentatrice près de 3,5M€ bruts d'indemnités diverses en juin 2021. Le groupe audiovisuel devra finalement verser plus de 3,4M€ bruts d'indemnités, montant légèrement revu à la baisse après l'annulation de près de 40.000€ dus au titre de rappel de salaire.

 

L'ancienne présentatrice de l'émission « Le Grand Journal » avait été écartée à l'été 2016 au bout d'une seule saison, puis licenciée pour "faute grave" ». Cette dernière qui réclamait initialement 4 millions d'euros à la chaîne devant le conseil des prud'hommes pour l'avoir licenciée en 2016 sans « cause réelle et sérieuse », est donc parvenue après quasiment 7 ans de procédures, à la lourde condamnation du groupe détenu par Vincent Bolloré.

 

« Le combat pour l'essentiel s'achève. J'en suis fière. Il marque une vie », a déclaré à l'AFP Maïtena Biraben. Contacté par l'AFP, Canal+ n'a pas souhaité faire de commentaire.

Cette condamnation pourrait donner à réfléchir à de nombreux médias qu’ils soient de l’Audiovisuel ou dépendant de la Presse écrite comme pour la procédure qu’a décidé d’engager Le Canard enchaîné, pouvant conduire au licenciement d’un de ses collaborateurs pourtant lanceur d’alerte dont Claude Angeli le doyen de l’hebdomadaire satirique qui a bien compris les risques de dérapages, demande l’arrêt immédiat. (à lire demain dans le blog CGC Médias)


vendredi 7 avril 2023

Toujours pas de plan d’action à la D2S de France Télés, la faute au 8ème étage !?

Toujours pas de plan d’action à la  D2S de France Télés, la faute au 8ème étage !? 

Le 14 mars dernier, le blog CGC Média dans son article « France Télévisions malade de sa sécurité…ou le plan d’inaction de sa Détachée-Police ! »  revenait une nouvelle fois sur les problèmes qui se sont accumulés à la D2S de France Télévisions.

Il y était question, entre autres, du CSE extraordinaire calé quasiment 3 semaines avant sa tenue pour lequel aucun document n’avait été adressé aux élus et où d’ailleurs, personne de la direction n’était présent (*) il faut le redire, à l’exception de Jacques Duval se présentant comme tel !


(*) Personne donc pour répondre aux représentants des salariés particulièrement remontés face à un tel mépris et de tels procédés.

 - Le Secrétaire général dont dépend le secteur. Christophe Tardieu n’était pas là,

- La détachée de la Police nationale, Muriel Sobry s’était faite porter pâle dès le mercredi soir...ça ne l’exonérait pas pour autant d’envoyer dans les délais ledit document.

- Marie Lombardo, la chargée de mission détachée du service Informatique depuis environ deux ans – personne ne comprend réellement d’ailleurs quelle est sa fonction et ce qu'elle fait puisqu’elle est en même temps, détachée sur Campus  le  projet immobilier était apparemment aux abonnés absents ! 

Suite à la résolution au vitriol  qui s’en est suivie, reprenant  les préconisations du cabinet Technologia mandaté dès le 26 octobre 2022, il avait été décidé de reporter le point sur la présentation du plan d'action au prochain CSE d’avril...Il n’en est rien (¤)




Entre temps, visite inattendue de l’inspection du travail concernant ce secteur en déshérence...Visiblement pas si inattendue car ni Jacques Duval qui s’était pourtant présenté devant les élus comme le Deus ex machina de la D2S,  ni Muriel Sobry - tous deux souffrant le jour J - n'étaient là pour l'accueillir.

La visite qui a duré un peu plus d'une heure, a dû se faire avec la responsable des Ressources humaines pour le secteur répétant qu'elle n'avait pas vraiment une parfaite connaissance du dossier et qui a semble-t-il, a dû lui remettre malgré tout, une pile d'audits réalisés sur place mais restés dans les tiroirs.

Quant aux absents - ils ont toujours tort -  le 8ème étage serait responsable de tout ce binz, tant sur les moyens que sur les conditions de travail...toujours en manque pas de plan d'action depuis toutes ces années.


jeudi 6 avril 2023

Fort de ses 2 motions de défiance à France Télés, Field dit au Monde pourquoi son poste (un des plus gros salaires de l’entreprise) serait important !

Fort de ses 2 motions de défiance à France Télés, Field au Monde dit pourquoi son poste (un des plus gros salaires de l’entreprise) serait important !

Le blog CGC Média a lu avec consternation, la triste pantalonnade à laquelle se livre l’ex-monsieur info de France Télés qui non content d’avoir essuyé deux motions de défiance dont la seconde partagée avec Ernotte, se la pète façon philosophe dans les colonnes du quotidien sur les raisons son maintien au sein de la télé publique venu du 8ème étage !  

« Pourquoi la culture doit être au cœur de la télévision publique » s’interroge l’intéressé, histoire probablement d’expliquer à « tous ces incultes » les motifs qui font qu’il est toujours là avec une des paies les plus grosses de la télé publiqueLa Culture dont il va allègrement badigeonner sa tartine façon Frères Jacques, est en réalité l’arbre qui cache la forêt de cet ex-militant devenu très proche de l’Infirmière TV.  

Il tente le plus ridiculement qui soit de vendre Culturebox comme Ernotte a essayé de la faire avec Salto probablement la plus énorme catastrophe industrielle en matière de télé et d’argent public depuis ces dix dernière années !

Pour ce faire, le précepteur va enchaîner les platitudes et les contrevérités comme s’il avait té l’inventeur du bouzin dont l’audience n’est pas mesurée mais dont l’ex-Orange revendique plus de 25 millions de téléspectateurs/mois…à l’instar probablement des 100 millions qu’elle décomptait avant la liquidation de la plateforme payée pour 1/3 avec l’argent des Français et liquidée après seulement 2 ½ d’existence.

Le blog CGC Média, vous propose quelques enfilages de perles et autres poncifs à mettre au compte du maître à penser de la télé de Service public :

« Avec Culturebox, née pendant la crise sanitaire, il y a désormais chaque soir de la danse, de la musique, du théâtre, des documentaires, mais aussi du hip-hop, de l’humour, du jazz… Jamais la culture et la création artistique n’ont bénéficié d’une telle exposition » déclame Field avant de poursuivre « Pour autant, beaucoup reste à faire. Initier de grands événements capables de fédérer un très large public... »  

Et de remplir son fourre-tout – au nom de la Culture, cette bonne blague ! – avec un Gloubi- boulga sans nom qui a de quoi laisser le lecteur qui oser aller au bout de ce pathétique propos, les bras ballants !

« Il reste encore beaucoup reste à faire. Initier de grands événements capables de fédérer un très large public, comme le Concert de Paris du 14 Juillet, qui rassemble plus de 3,5 millions de personnes. Soutenir, dès cet été, les festivals de musique et de théâtre dont beaucoup sont fragilisés. Donner aux Jeux olympiques de 2024 toute leur dimension culturelle. S’ouvrir davantage à la diversité sociale des créations actuelles. » claironne-t-il comme si avant lui rien n’avait été fait !!  

Puis de prendre à témoin le contribuable appelé concitoyen pour l’occasion, celui qui le paie grassement tous les mois, en n’oubliant pas de citer notre Jean-Jacques national pourtant né à Genève : « Pour nombre de nos concitoyens, la télévision publique est l’un des seuls modes d’accès à la culture vivante. Dans le séisme provoqué par la révolution numérique dont les répliques ne cessent de se multiplier et de s’accélérer, l’audiovisuel public est le seul à être porteur de l’intérêt général dont on sait, depuis Rousseau, qu’il ne se confond pas avec la somme des intérêts particuliers… », ajoutant «  Là où d’autres s’adressent à des « cibles », il s’adresse à des citoyens. Dans un monde où le planétaire est à portée de clic, où tous les repères anciens sont bousculés, le besoin de comprendre, de s’émouvoir en commun est plus que jamais nécessaire. (Re)faire du lien est plus que jamais une urgence civique et démocratique. »

Dans le genre pompeux, prétentieux et ronflant, il ne doit guère y avoir pire !

Le reste est du même tonneau     avec ça et là des références à noms célèbres comme c’est le cas pour de nombreux bacheliers amenés à s’exprimer sur des question existentielles dans leurs dissertations du style « Un seul homme peut-il se prévaloir de représenter la Culture ou bien cette dernière existe-t-elle de façon transverse dans tous les secteurs de notre Société » ?

Extrait (attention, béotien s’abstenir car en plus essayer de philosopher, l’intéressé pour lancer son lamentable exposé nous parle des astres..."désastre" en réalité le mot juste).

« L’univers télévisuel connaît la même révolution que l’astronomie du XVIIe siècle. Au début de La Vie de Galilée, Bertolt Brecht fait dire au physicien : « En une nuit, l’univers a perdu son centre et, le matin, il en avait d’innombrables. Si bien que maintenant chacun- et personne- est considéré comme le centre. Car il y a soudain beaucoup de place. » Ces mots résonnent à l’heure du numérique et des réseaux sociaux, un morcellement des communautés affinitaires, de la multiplication des niches, de l’exaltation narcissique où « chacun est le centre ». Changement de paradigme : la culture n’est plus ce « lieu commun » qui, au mitan du XXe siècle, permettait à un Jean Vilar avec le TNP ou un Pierre Dumayet à la télévision, de faire venir le public populaire à la rencontre des « grandes œuvres ». Cette évangélisation laïque, cette verticalité, aussi généreuses qu’elles aient pu être, ne sont plus de mise. Les incessantes innovations technologiques, la profusion des canaux, la multiplication des usages changent radicalement la donne : la culture n’est plus un continent à explorer, mais un archipel où naviguer entre une multitude d’îlots et de tribus qui ont de moins en moins de codes communs. La loi des algorithmes pousse chacun à s’enfermer dans ce qu’il apprécie déjà, plutôt qu’à découvrir… Et pourtant, dans le même temps, jamais culture populaire et culture plus savante n’ont autant dialogué. Le hip-hop s’invite chez Rameau à l’Opéra ».

On vous avait prévenu !

Le blog CGC Média a quasiment gardé le meilleur pour la fin avec les jeunes et les Outremers en faire-valoir : « La jeunesse dans sa diversité plébiscite le stand-up. Le rap est aujourd’hui partagé par trois générations et La Symphonie des jeux vidéo a récemment rajeuni le public des Chorégies d’Orange. Il y a là une formidable opportunité de rencontres inédites, de mélanges des générations et des publics que l’audiovisuel public se doit d’encourager et de favoriser. Quand ils sont interrogés pour des enquêtes d’opinion, les téléspectateurs plébiscitent la culture à la télévision, mais l’intention est rarement suivie d’effets. Ce qui pourrait se résumer de manière triviale par : « Proposez-nous des programmes que nous ne regarderons pas !...La retransmission en première partie de soirée d’un opéra peut toucher cinq cent mille téléspectateurs. Jamais une œuvre n’aura été autant vue simultanément, et chacun de s’en féliciter. Mais pour un patron de chaîne, ce chiffre représente environ 5 % de part d’audience. Le lendemain, Jean qui rit culturel ne tarit pas d’éloges sur le « service public-enfin-à-la-hauteur-de-sa mission », pendant que Jean qui pleure télévisuel projette l’impact de son audace sur la moyenne quotidienne du groupe, en notant qu’il n’a touché qu’un public âgé de 70 ans et plus… Le service public devrait-il s’émanciper des contraintes d’audience ? Mais l’audience n’est pas seulement un critère commercial, il est aussi un indice de puissance et de rayonnement. À l’heure où l’idée même d’un audiovisuel public est contestée et où les États cherchent des sources d’économies, croit-on vraiment que les citoyens accepteraient de financer une télévision publique qui « décrocherait » en termes d’audience ? Il nous faut agir comme un éditeur : comme un best-seller permet de publier plusieurs premiers romans, les succès d’audience des fictions, du sport ou des divertissements vont permettre d’assumer des programmations plus risquées, mais qui correspondent à notre mission.

France Télévisions dispose d’un remarquable bouquet : trois chaînes généralistes, dont une ancrée dans les régions ; une chaîne info ; une chaîne dédiée à la culture et au spectacle ; un portail outremer ; des marques numériques, Slash ou Culture Prime, offrant une diversité de formats et de contenus. Comme un multiplexe, il nous faut ajuster notre programmation à la jauge de nos salles et, chaque soir, proposer une variété de programmes où jamais la culture n’est oubliée. La crise du Covid a montré le rôle indispensable du service public audiovisuel. La diffusion aux heures de grande écoute de théâtre, de concerts, d’opéra a permis au monde du spectacle de rester « vivant » et aux spectateurs de ne pas rompre le lien avec lui. En investissant les salles fermées, il a été possible à des artistes comme Jacques Weber, Arnaud Desplechin ou Christophe Honoré, pour ne citer qu’eux, de faire assaut de créativité innovante. » 

Voilà, le tour est joué…enfin le croit-il ! Après cette adresse aux initiés laissant entre eux les bébêtes et autres incultes, ce modeste sachant propulsé par ordonnance  ernottienne donneur de leçons en chef à la Culture, a certainement cru pouvoir ainsi justifier son poste, le salaire qui va avec et son éternelle nécessité !!!

Avec de tels loustics, le Pays ira mieux et se couchera sûrement ce soir rassuré de savoir que s’éloigne ainsi cette « Honte de la République » qui intègre grâce à ces tribuns télévisuels, cette « République exemplaire » tant attendue, véritable terre promise aux Français qui la ressentent au quotidien  !

 

mercredi 5 avril 2023

Emmanuel Macron censuré par l’antenne réunionnaise de France Télévisions.

Emmanuel Macron censuré par l’antenne réunionnaise de France Télévisions.

C’est l’ADAP qui donne l’info, expliquant que « La semaine dernière à 13h, la chaîne dirigée par Fred Ayangma n'a pas diffusé l'interview du président Macron. Motif de cette censure délibérée : l'interview est déjà sur France 2 donc pas la peine… »

Un choix délibéra comme le précise l’Association de Défense de l’Audiovisuel Public « La station a gardé son programme du jour et la diffusion de la série américaine Scandale » et de pointer du doigt Frédéric Ayangma le directeur général de Réunion La 1ère « coupable de négligence mais il n'est pas tout seul dans la charrette. Avec lui, Laurent Corteel, le directeur de l'information du pôle outre-mer qui n'a adressé aucune consigne concernant la reprise en direct en outre-mer de cette émission dont l'importance n'était pas à démontrer. »

Voilà, c’est dit…et de remonter la chaîne des responsabilités de cette décision jusqu’à Sylvie Gengoul nommée DG du pôle outre-mer par l’ex-Orange que la rumeur donne particulièrement remontée contre l’intéressée : « Si prompte à jouer du 49-3 pour nommer des cadres sans aucune consultation mais qui n'a toujours pas nommé ou lancé une consultation pour affecter un rédacteur en chef à la Réunion après avoir nommé sans concertation de nommer son ami Rayapin rédacteur en chef à Saint-Denis. »

Le site de donner quelques explications « Devant le fait accompli, les actes manqués, les paroles déplacées et l'incompétence, la Rédaction sur place a demandé et obtenu son départ. » avant de poursuivre « Depuis son bureau de Malakoff le message aux réunionnais [serait donc, ndlr] : "Vous avez chanté contre Rayapin et bien dansez maintenant !"». Ce dernier que Gengoul vient de nommer en Guyane « sans entretien et sans tirer les leçons de son échec à la Réunion ! »

« Tôt ou tard les Guyanais fiers et responsables vont appuyer sur le bouton rouge » affirme le l’ADAP avant de conclure « Pas de rédacteur en chef, pas de directeur d'antennes, l’incompétence du directeur de l'info, plus la négligence du directeur régional = pas d'interview du Président Macron…C'est le contribuable qui paie l'addition en bout de ligne, privé d'information capitale sur le service public régional…Et le tour est joué en silence. Pour le même incident en Martinique, la tête de la directrice d'antenne avait roulé dans la poussière ». 


mardi 4 avril 2023

France TV fait la loi et envoie promener ceux qui rappellent les règles en matière de scrutin électoral !

France TV fait la loi et envoie promener ceux qui rappellent les règles en matière de scrutin électoral !

Le 31 mars 2023, Jean-François Rabilloud twitte : « Quel scandale ! Ce dimanche 2 avril, rendez-vous à 12h10 sur France 3 pour l'émission « Dimanche Politique » #DimPol. A cette heure-là les électeurs de l’Ariège sont censés choisir entre deux candidates dont une Nupes… Que fait l’Arcom ? » (*)

(*)

L’ex-journaliste de LCI qui y a entre autres présenté « La Matinale » pendant des années, n’a fait que rappeler les règles et les principes qui s’appliquent dans le cadre des scrutins électoraux (Présidentielle, Législatives, Municipales, etc…) à savoir « A partir de la veille du scrutin à zéro heure, il est interdit de distribuer ou faire distribuer des bulletins, circulaires et autres documents. Il est également interdit de diffuser ou de faire diffuser par tout moyen de communication au public tout message ayant le caractère de propagande électorale ».

A France Télés, l’ex-Orange et ses thuriféraires n’en ont cure ! Ils viennent de répondre à l’intéressé et à toutes celles et ceux qui ont le même point de vue sur le compte Twitter d’Info France 3, de circuler car il n’y avait rien à voir : 

« Réponse à JfRabilloud @France3tv et @Arcom_fr

« L’ARCOM n’a jamais imposé aux chaînes nationales de modifier leur programmation d’invités en fonction d’une élection partielle. FTV évite d’elle-même d’évoquer un scrutin partiel avant celui-ci. JL Mélenchon n’a pas été questionné sur ce scrutin et n’en a pas parlé de lui-même. » 

A tous ceux qui ne sont pas jouasses, France Télés précise donc que dès l’instant où un leader de parti politique (en l’occurrence celui de LFI) est invité sur une chaîne publique mais qu’il n’évoque pas directement le scrutin mais donne son avis sur tout ce qui est politique (le nom de l’émission), entre autres sur la police, il n’a pas à respecter ces principes et l’Arcom n’a rien à dire !!

Ce à quoi et assez logiquement Jean-François Rabilloud rétorque « Réponse de pharisien. Votre responsabilité est d’y réfléchir par vous-même. Vous savez pertinemment que, même sans évoquer l’élection partielle, Jean-Luc Mélenchon pèse par son discours et sa gestuelle. Les électeurs de d’Ariège vous ont renvoyé dos à dos. Et c’est un soulagement . » (¤)

(¤)

 

La télé publique ernottienne décide et les Français n’ont qu’à se soumettre…et si Emmanuel Macron n’est pas content, c’est son problème !!

lundi 3 avril 2023

Les caisses de Banijay/Médiawan (Courbit/Capton) continuent de se remplir malgré les audiences catastrophiques de leurs programmes !

Les caisses de Banijay/Médiawan (Courbit/Capton) continuent de se remplir malgré les audiences catastrophiques de leurs programmes !

Ce samedi 1er avril, Banijay facturait à France Télés le premier numéro d’une émission-jeu concoctée par la société de Nagui « Air Productions » que le groupe de Stéphane Courbit lui a rachetée.

Pour un samedi soir, c’est une gamelle. Le programme qui se classe loin derrière « The Voice » n’est parvenu qu’à rassembler 12,7% de l'ensemble du public...Toute la télé avait d'ailleurs trouvé un titre prémonitoire avec son "inévitable échec" (*)

(*)

Quant au dernier numéro du Grand échiquier animé par Claire Chazal sur l’antenne de France 3 avec Julien Clerc et Indochine en tête d’affiche, réalisé en grande pompe par le groupe de Pierre-Antoine Capton même s’il réalise un nouveau et énième bide avec 6,1% seulement d’audience, Médiawan le groupe de ce dernier aura de nouveau aura de nouveau fait marcher le tiroir-caisse.

Que les Français se rassurent, il leur restera toujours quelques menue monnaie pour acheter Playboy et y voir Marlène Sciappa ministre de la République se mettre à nue…ces quelques euros que n’aura pas encore capé le tandem Banijay/Médiawan (Courbit/Capton) qui s'enrichit chaque jour un peu plus  avec les contrats récurrents que signent l’ex-Orange et son ex-dircab avec l’argent public venant des poches des contribuables, quels que soient les programmes et leurs piètre audiences ! 




Francis Letellier donc Ernotte, viole tous les principes républicains, en invitant sur France 3 le patron de LFI Jean-Luc Mélenchon et ce en pleine législative partielle !

Francis Letellier donc Ernotte, viole tous les principes républicains, en invitant sur France 3 le patron de LFI Jean-Luc Mélenchon et ce en pleine législative partielle !

ROM le tweeter ernottien en chef devrait applaudir des deux mains – lui qui « Like » à la moindre occasion les faits et gestes de celle qui va se faire voir à Kiev aujourd’hui – l’invitation lancée par Francis Letellier à Jean-Luc Mélenchon le patron de LFI qui présente une candidate dans le cadre d’une élection législative partielle en Ariège, à venir sur le plateau de "Dimanche en politique" (*)……

Émission indubitablement validée par la direction de l'Info...que ce soit son patron prié par l'ex-Orange de partir dare-dare pour Cayenne ou celle voire celui qui a pris la décision pour lui !

(*)


Son intervention n'aura pas évité à sa candidate de se prendre une taule comme l'expliquait ce matin LCI (¤), indiquant que c'est la socialiste dissidente Martine Froger qui a remporté cette élection dimanche contre la candidate LFI représentant la Nupes....Victoire qui met en colère celui qui pourrait bien être, lui aussi candidat dans une configuration similaire dans une des circonscriptions de Marseille et qui dénonce aujourd'hui " une lamentable combine politicienne" !

Du jamais vu évidemment, en totale violation des règles et lois qui encadrent ce type d’élections, particulièrement les principes que ROM et son Arcom enterprise sont supposés faire respecter… !!!

Letellier le sait pertinemment et ne le fait pas sans l’aval de sa pote infirmière tv, légalement responsable éditoriale de la chaîne de télé publique où il sévit !

(¤)