samedi 26 septembre 2020

Les amendes payées par les trois condamnés Martin Ajdari, son successeur mais aussi de Patrice Papet, sont dérisoires par rapport aux 100 millions de contrats illégaux !

Les amendes payées par les trois condamnés Martin Ajdari, son successeur mais aussi de Patrice  Papet, sont dérisoires par rapport aux 100 millions de contrats illégaux !

Le blog CGC Média publiait le 24 septembre, les condamnations prononcées par la Cour de discipline budgétaire et financière à l’encontre de « L’ex-argentier de France Télés éphémère directeur général de la DGMIC Martin Ajdari… » mais également de Fabrice Lacroix son successeur et aussi de Patrice Papet l’ex-bras droit de feu Rémy Pflimlin.

Bien évidemment les trois condamnés sont partis avec un gros chèque !

Le 15 septembre dernier comme le rappelait le blog CGC Média, le cabinet KTORZA publiait sur son site cette condamnation par la Cour de discipline budgétaire et financière qui indique « Il y a lieu compte tenu des circonstances de l’espèce, de publier le présent arrêt au journal officiel de la République française… »

Les amendes paraissent bien dérisoires par rapport à la somme totale de plus de 100 millions d’euros  que représente l’ensemble de ces contrats passés illégalement. 

Leblog CGC Média qui ne recule devant aucun sacrifice a du reste décidé de publier sous forme de tableau et par poste budgétaire (*), le détail des deniers publics ainsi dépensés…100 millions d’euros  c’est une somme !  

Imaginez un contrat passé avec un seul bénéficiaire en dehors de toute règles de fonctionnement interne…D’une telle somme, il sera prochainement très vite question sur le site du blog CGC m2DIA

Nous évoquerons, juste avant, une autre condamnation prononcée à nouveau contre Patrice Papet et Arnaud Lesaunier...qui visiblement s'est cru au-dessus des règles s'agissant des négociations concernant les indemnités de départ de plusieurs partants dont il s'exonérait comme l'écrit le cabinet Ktorza:

soit de présenter le dossier au visa du Contrôleur,

soit d’interpréter les règles pour ne pas le présenter,

soit, carrément, de ne pas le présenter,

soit enfin de passer outre l’avis défavorable du Contrôleur. 

(*) 




vendredi 25 septembre 2020

La quasi-totalité des JRI de Russia Today France en situation précaire, remerciés par simple mail.

La quasi-totalité des JRI de Russia Today France en situation précaire, remerciés par simple mail.

Sale temps pour la très grosse majorité des journalistes de la chaîne Russia Today en France qui viennent d'être informés par mail de leur licenciement. 

Première des conséquences, beaucoup d'éléments très aguerris ainsi virés, vont se retrouver sur un marché déjà bien chargé et particulièrement touché par la crise sanitaire due au COVID-19 que subit notre Pays.

Autrement dit, RT applique les mêmes méthodes de management que celles qu'elle dénonce sans cesse à l'antenne. Cette chaîne propriété de l’État russe, proche de Poutine, accusée très souvent de de complotisme, de propagande et de désinformation qui était notamment devenue la référence des gilets jaunes (16 millions d’abonnés) n’a finalement pas grand-chose à faire des dispositions du Code du travail !

Ce qui fait dire plupart de ceux que la chaine dégage sans ménagement « dans une ambiance hallucinante, très fin de siècle », qu’ils « quittent ce bateau  avant qu'il ne coule ».

Certains vont même jusqu’à  proposer de boire non pas de la vodka mais du champagne, à la santé des quelques rares mais très bons éléments de terrain qu’ils laissent derrière eux.


jeudi 24 septembre 2020

Serge Schick postulant à la présidence de France Télés immédiatement recasé dans l’audiovisuel public.

Serge Schick postulant à la présidence de France Télés immédiatement recasé dans l’audiovisuel public.

L’information était peut-être passée inaperçue mais Serge Schick l’ex-candidat à la présidence de France Télévisions dans cette mascarade mise en scène par Roch-Olivier Maistre qui fait depuis hier l’objet d’une procédure en annulation, vient de trouver un point de chute dans l’Audiovisuel public.

Ancien directeur de la stratégie du public et du développement des marques au sein de Radio France, vient d’être nommé à FMM dirigé par Marie-Christine Saragosse pour succéder au poste de directeur de la stratégie et du développement du groupe France Médias Monde occupé jusqu'à là par Marc Fonbaustier. Le poste est d’ailleurs rebaptisé pour l’occasion. Serge Schik devient donc pour l’occasion « directeur du développement international et des ressources propres » et succède ainsi à ce dernier qui vient d’être nommé ambassadeur de France à Conakry, en Guinée.




L’ex-argentier de France Télés éphémère directeur général de la DGMIC Martin Ajdari, condamné par la Cour de discipline budgétaire et financière.

L’ex-argentier de France Télés éphémère directeur général de la DGMIC Martin Ajdari, condamné par la Cour de discipline budgétaire et financière.

Le 15 septembre dernier, cabinet KTORZA publiait sur son site la condamnation par la Cour de discipline budgétaire et financière de Martin Ajdari ex-argentier de France Télés mais également très éphémère directeur général de la DGMIC (*).

(*) La DGMIC (Direction Générale des Médias et des Industries Culturelles), définit, coordonne et évalue la politique de l’État en faveur du développement du pluralisme des médias, de l’industrie publicitaire, de l’ensemble des services de communication au public par voie électronique, de l’industrie phonographique, du livre et de la lecture et de l’économie culturelle.

C’est en mai 2015 que Martin Ajdari sera nommé directeur général de la DGMIC au sein du ministère de la Culture et de la Communication et que le contrôlé devient en quelque sorte le contrôleur.

Martin Ajdari sera également par rapport à cette promotion et par décret du 14 octobre 2015, désigné représentant de l'État de l'ensemble des conseils d’administration des médias audiovisuels soit France Médias Monde (société nationale chargée de l'audiovisuel extérieur), Radio France, l'AFP (Agence France Presse), France Télévisions et de La Poste.

C’est quatre ans plus tard, lors du Conseil des ministres du 24 juillet 2019, que Martin Ajdari sera désigné directeur-adjoint à l'Opéra de Paris à partir de 2020 liée à la nomination d'Alexandre Neef successeur de Stéphane Lissner.

Dans sa présentation intitulée « Un dirigeant de France Télévisions condamné pour infraction aux règles d’exécution des dépenses de l’entreprise », le cabinet KTORZA écrit :

« L’Arrêt de la Cour, en date du 28 juillet 2020, raconte une histoire hallucinante.

Décryptage.

En 2016 [quelques mois après le parachutage d’Ernotte, ndlr] la Cour des comptes sonne l’alerte : les procédures de passation de contrats chez France Télévisions sont suspectes. 

Le but de ces procédures est double, d’un part assurer la transparence et le bon usage des fonds publics et d’autre part, garantir l’égalité des acteurs économiques en face de la puissance publique.

En ligne de mire sur la télévision publique, une soixantaine de contrats passés entre 2012 et 2014. Fournitures de bureau, location de véhicules, taxis, études et conseils, catering, cartes de paiement, prestations informatiques, etc.

Au total plusieurs dizaines de millions d’euros facturés chaque année à France Télévisions…, sans appel d’offres, en infraction à la loi.

Comment est-ce possible ? 

France Télévisions dispose évidemment de toutes les compétences juridiques, comptables et financières, permettant de respecter la réglementation sur l’engagement des dépenses de fonds publics. 

De plus, France télévisions disposait d’un Directeur général délégué aux finances…Martin Ajdari - haut fonctionnaire - qui, depuis 20 ans, passe sans cesse des cabinets ministériels (contrôleur) aux entreprises publiques (contrôlé). Objectivement, un expert.

Enfin, France Télévisions dispose, au sein de son Conseil d’administration, d’un Comité d’audit et des comptes chargé de contrôler les informations financières.

Monsieur Ajdari deviendra d’ailleurs membre de ce Comité. 

Contrôleur, puis contrôlé, puis contrôleur.

Mais revenons à l’histoire de cette décision de justice. 

Les magistrats instruisent le dossier. Monsieur Ajdari est questionné sur 57 contrats passés sans appels d’offres.

Les procédures n’ayant pas été respectées, sa responsabilité est engagée.

Et là, nouvelle surprise : la défense de Monsieur Ajdari ne communique aucun contrat signé par ce dernier. Sur les 57 contrats évoqués par la Cour, 3 seulement, datant des années 2000, sont produits en justice. 

Serait-il possible que des dizaines de contrats commerciaux soient passés par France Télévisions… oralement ? Monsieur Ajdari aurait-il fait verser plusieurs dizaines de millions d’euros à des prestataires en se contentant d’une poignée de main ?

Le Haut fonctionnaire est condamné. 

Pour la Cour, il s’agissait de punir, comme il ressort de sa compétence, le manquement aux règles de passation de marchés dans un service public. Malheureusement, l’Arrêt ne nous dit guère quel mobile animait ce dirigeant. 

On ressort de cette histoire avec une question : pourquoi ? »

Le blog CGC Média qui devrait très prochainement monter où nous en sommes arrivés aujourd'hui, propose à ses lecteurs assidus et de plus en plus nombreux, de découvrir cet arrêt (ci-après)












« Floutage de gueule » : La Scam et le Prix Albert Londres en total désaccord avec le Schéma national du maintien de l’ordre.

« Floutage de gueule » : La Scam et le Prix Albert Londres en total désaccord avec le Schéma national du maintien de l’ordre.

La Scam et le Prix Albert Londres affichent leur profond en désaccord avec l’esprit du nouveau Schéma national du maintien de l’ordre qui restreint fortement la liberté d’informer dans le cadre des manifestations.

Dans leur communiqué (*), ils dénoncent le fait qu’ « il sera désormais impossible aux, auteurs, autrices, #journalistes, réalisateurs, réalisatrices, #documentaristes#photographes#vidéastes...de rester au cœur des manifestations après les sommations, et donc de documenter ce qui se passe réellement, y compris les éventuels dérapages. » 

Le texte poursuit « Seuls les journalistes dont l’«identification est confirmée et leur comportement exempt de toute infraction ou provocation (sic) » pourront porter des protections, indispensables aujourd’hui comme l’atteste le nombre de blessés lors des manifestations de 2019 et 2020. Mais qui jugera de leur supposée provocation ?

Autoriser seulement les journalistes dont « l’identification est confirmée » et donc détenteurs d'une carte de presse, exclue de fait ceux et celles qui n’en ont pas et qui pourtant informent, soit sur les médias indépendants du net, soit en réalisant des documentaires. Lors des manifestations, il n’y aurait donc que les forces de l’ordre face aux manifestants, et la presse encartée au milieu. Or ce n’est pas la réalité du terrain.

Ce plan est annoncé après que le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré devant un syndicat de policiers qu’il retenait l’idée de flouter les visages des forces de l’ordre pour leur diffusion à la télévision et sur les réseaux sociaux.

Floutage envisagé, interdiction de travailler pour ceux et celles qui n’ont pas de carte de presse, impossibilité de se protéger pour les non « accrédités » ... comment alors parler de la liberté d’expression avec un tel dispositif de mises en coupe réglées de la presse.

Altérer les images c’est renforcer la défiance des citoyens à l’égard des médias et à la crédibilité de leur travail. Nous demandons à être entendus pour que soit respectée la liberté d’informer et d’exercer pleinement nos métiers. Comme le soulignent les premières lignes du Schéma national de maintien de l’ordre : « L’exercice de la liberté d’expression et de communication (...) est une condition première de la démocratie et l’une des garanties du respect des autres droits et libertés. L’Etat a la responsabilité de garantir cet exercice ».

Les deux corédacteurs interpellent ainsi le gouvernement « Monsieur Darmanin nous vous attendons aussi sur ce terrain ».

(*)



mercredi 23 septembre 2020

Devant cette avalanche de nominations à FTV... Quelqu’un peut-il mettre un terme à cette gabegie à laquelle nous assistons tous impuissants ?

Devant cette avalanche de nominations à FTV... Quelqu’un peut-il mettre un terme à cette gabegie à laquelle nous assistons tous impuissants ?

C'est la question que pose l'ADAP dont le blog CGC Média relayait le récent article  "Rien n'est impossible, même l'invraisemblable"  du 20 septembre dernier qui s'interrogeait sur le sens de cette "pluie de nominations à France Télévisions".

Nous étions à quelques heures du dépôt d'une solide procédure visant à invalider la décision du CSA publiée au JO le 22/07 qui aujourd'hui est à présent enregistrée.

"Il n’y pas grand-chose à ajouter au descriptif de ce pitoyable spectacle" écrivions-nous  le constat sans appel que dresse l’ADAP intitulé  "Rien n'est impossible, même l'invraisemblable" .

L’Association de Défense de l’Audiovisuel Public vient de publier une suite à l'article que pour l'occasion nous vous proposons de découvrir:

"Tiphaine de Raguenel, anciennement directrice des activités Jeunesse (2012) puis directrice de l’antenne et des programmes de France 4 (2013) puis en août 2015, directrice exécutive de France 4 et en 2019 directrice des jeunes publics et de l’animation à la direction des programmes de France Télévisions est nommée directrice de la stratégie éditoriale de France Télévisions.

"Qui est capable de nommer un seul programme emblématique mis à l’antenne de France 4 depuis son arrivée à la tête de cette chaîne ? … Rien ! 

Tout n’a été qu’une succession d’échecs avec l’incapacité de mettre en place une vraie stratégie sur une antenne qui plafonne quotidiennement en moyenne à 1% de part de marché… 

On ne peut pas dire que la conquête des jeunes public sur les antennes de France Télévisions ait été au rendez-vous et encore moins un succès !

Au-delà d’une expertise sur les programmes jeunesses, comment peut-on confier à quelqu’un qui n’a aucune expérience ou expertise des autres publics et aucune expérience ou expertise dans le domaine du flux (magazines & divertissements), de la fiction ou du documentaire, la responsabilité de définir la stratégie de la direction des antennes et des programmes du groupe France Télévisions et placer les publics au cœur de chacun des enjeux stratégiques dans le but de parler à chacun et à tous (Stratégie des Publics) ?

Devant cette avalanche de nominations, on se demande s’il y a un vrai pilote dans l’avion !? 

Allô ? Quelqu’un peut-il mettre un terme à cette gabegie à laquelle nous assistons tous impuissants ?

A France Télévisions, à force de faire n'importe quoi on va finir par devenir n'importe qui… A méditer !"



Qui a donné l'ordre de supprimer du replay le JT de 20h diffusé sur France 2 le 17 septembre dernier ?!

Qui a donné l'ordre de supprimer du replay le JT de 20h diffusé sur France 2 le 17 septembre dernier ?!

Dernièrement le blog CGC Média s'interrogeait sur l'attitude du CSA et plus particulièrement  Roch-Olivier Maistre son responsable légal: "Le Conseil va-t-il exiger de France Télés que réapparaisse en replay le JT de 20h diffusé sur France 2 le 17 septembre dernier ?!"

Depuis notre tout premier article du samedi 19 septembre « Où est passé le JT du 20h de France 2 du 17 septembre dernier où Olivier Véran répondait aux questions d’Anne Sophie Lapix ? », les commentaires affluent et l'une des questions qui revient le plus souvent est qui a donné l'ordre de supprimer du replay le JT de 20h diffusé sur France 2 le 17 septembre dernier ?!

Nous sommes le mercredi 23 septembre et ce JT n’a toujours pas réapparu donc n’est pas accessibles à celles et ceux qui voudraient en prendre connaissance. 

Qui a appelé la société prestataire qui met en ligne ces journaux car bien entendu il s'agit là encore d'une boite privée extérieure, pour supprimer l'édition et pourquoi ? 


mardi 22 septembre 2020

On n'entendra plus Aurore Bergé la pote d’Ernotte prendre la parole pour La REM !

On n'entendra plus Aurore Bergé la pote d’Ernotte prendre la parole pour La REM !

Celle qui n’a cessé des semaines durant de prendre la parole à tous propos au nom de La République en Marche (LREM), notamment pour expliquer dès qu’elle le pouvait qu’il fallait maintenir l‘ex-Orange, ne s’exprimera plus au nom de cette majorité qu’elle ne représentait guère.

Elle a dû faire bombance lorsque la nouvelle est tombée le 23 juillet dernier…décision qui fait à présent l’objet d’une première procédure en annulation.  

La députée des Yvelines qui aurait exigé un renouvellement du bureau dès novembre - sans succès, les votants l’auraient refusé -  a en effet indiqué démissionner de ses fonctions de porte-parole. « Je ne quitte en aucun cas LREM. J’ai quitté la direction du mouvement ce qui n’est pas du tout pareil », a-t-elle toutefois relativisé.

Les députés du mouvement ne sont donc pas totalement au bout de leur peine (¤)

Copieusement critiquée sur les réseaux sociaux pour son ralliement à plusieurs leaders politiques (*), Aurore Bergé a tenu à rappeler « que seules ses convictions l’animent ».

Voilà donc ses collègues à l’Assemblée nationale mais également l’ensemble de la Presse et des Média, totalement convaincus.


(*)


(¤) En tout cas, pour l'instant on l'entend encore.

"Il y a un malaise qui est profond" au sein de LaREM, déclarait l'intéressée sur BFMTV-RMC (23/09) chez Jean-Jacques Bourdin, ajoutant "On est un jeune parti, un parti qui n'a finalement que quatre ans d'existence, un parti qui emporte avec lui, je crois, beaucoup d'attente", a-t-elle justifié.

Enfonçant le clou, elle Aurore Bergé a enchéri "On a retrouvé l'envie de faire de la politique au travers de ce mouvement (...). C'est ça l'espérance que ça a soulevé. (...) Cette espérance on n'a pas le droit de la décevoir, à la fois en chicayas internes, c'est pour ça que je ne veux pas trop m'étendre sur le sujet, mais je crois qu'il faut qu'on se ressaisisse pour être à la hauteur de ce qui s'est passé au moment de la campagne présidentielle".

Une procédure en annulation de la décision n° 2020-436 du 22 juillet 2020 déposée ce jour par la CGC des médias.

Une procédure en annulation de la décision n° 2020-436 du 22 juillet 2020 déposée ce jour par la CGC des médias.

Comme le blog CGC Média l’avait indiqué dans plusieurs récents articles, c’est à 16h02 ce 22 septembre 2020 que la CGC a déposé une procédure en annulation de la décision parue au JO le 23/09/20 par le CSA qui comme l’ensemble des autorités publiques indépendantes dispose de la personnalité morale, ici son président Roch-Olivier Maistre.

Malgré les bruits idiots que faisaient courir certains insinuant avoir échangé avec le demandeur (bobard totalement mensonger et indécent) assurant qu’il n’y aurait aucun recours, c’est bien pour faire annuler la soi-disant décision intervenue pour la présidence de France Télévisions et remettre en cause la farce de juillet dernier où quelques-uns imaginaient avoir fait avaler avec trois voix seulement sur six leur pitoyable mise en scène !



C’est la première étape d’un processus judiciaire qui une fois l’annulation prononcée, annulera avec toutes conséquences de droit qui s’imposent, l’ensemble des nominations, promotions, contrats et autres actes de gestion passés depuis le 23 juillet 2020.



Ça barde en Syldavie...le scandale de la télé publique pourrait bien éclabousser jusqu'au chef de l'État ! (suite)

Ça barde en Syldavie...le scandale de la télé publique pourrait bien éclabousser jusqu'au chef de l'État !

Il devrait finalement bien y avoir une déflagration pour la télé publique syldave dont l’onde de choc devrait n’épargner personne ! (Suite)

Le 18 août dernier dans un article intitulé « Le "gros boum" de la télé publique n’aura pas lieu ! », le blog CGC Média faisait état des problèmes en matière de télé publique auxquels « nos voisins syldaves sont confrontés ».

Le boum de la télé publique n’aura certes pas lieu mais il y aura bien en revanche une déflagration dont les effets pourraient éclabousser très haut à cause du comportement de certains magouilleurs (il n’y a guère d’autre mots) qui se croient intouchables et au-dessus des lois du Pays. 

Pourtant le président de ce petit État d’Europe orientale, avait annoncé une fois investi, une République exemplaire et l’avènement d’un nouveau monde, particulièrement en matière de télé publique dont il qualifiait même la gestion « d’indignité républicaine ». C’était sans compter les petits arrangements entre amis qui ont la vie dure !

Ainsi le chef du Conseil Audiovisuel Syldave (le CAS) allait-il jouer devant les contribuables syldaves un spectacle destiné à leur donner l’illusion de la démocratie. Enfin le croyait-il !

Seulement voilà, à trop en faire, on se prend systématiquement les pieds dans le tapis !

Les ficelles étaient trop grosses et le dénouement bien pathétique avec chaque jour de nouveaux détails des coulisses de la grotesque comédie dont nous allons vous faire part et qui rendent la mise en scène digne d’une République bananière !  

Petit rappel :

Au printemps, le « changement » annoncé après une période assez chaotique subie par son peuple, devait donc être ambitieux, novateur et marquer les années à venir. Le « gros boum » télévisuel que leur président appelait, fut repoussé à l’été où le peuple plus ou moins groggy par les fortes chaleurs qui sévissent dans cette partie orientale du continent, avait toutes les chances de ne pas réagir !...Le temps de dénicher quelques pseudo candidats qui auraient ainsi pu donner l’apparence d’une compétition car au printemps à la date légale, la ficelle aurait été trop grosse avec deux voire trois « postulants » seulement !

Certaines courroies de transmissions du pouvoir syldave allaient donc ne rien négliger pour tenter de donner au peuple de la Syldavie un semblant d’indépendance vis-à-vis des médias! 

Le patron de la RTB - comprenez le pédégé de la Radio Télévision Bordure (limitrophe) – allait discrètement être sollicité pour déposer sa candidature…pensant naïvement que le fait d’être invité à se présenter alors qu’il était le boss en Bordurie reconduit depuis des années et des années à la tête de la télé d’État, était un signal. Il n’allait pas être déçu comme le blog CGC Média le contera (*) Lui seul ne suffisait évidemment pas, il fallait en appâter d’autres…Un conseiller du parti présidentiel syldave et un ex-stratège radio feraient l’affaire ainsi qu’un ex dirigeant de la télé publique syldave en mal d'emploi à qui l’on aurait donné les mêmes assurances qu’au patron de la RTB pour qu’il se déclarât, lui faisant miroiter également que ce serait lui !

Le Conseil Audiovisuel Syldave allait même faire croire à un tirage au sort pour l’ordre de passage à l’oral des candidats mais à sa sauce sachant d'avance qui serait le premier sacrifié sous un flot de questions et qui serait le dernier ou l’avant derniersans règlement, sans texte et surtout sans huissier, assurant que l’instance faisait comme elle voulait (dans ces pays-là on ne se s’embête pas avec de si petits détails !).

L’intervention d’un commissaire politique au lourd portefeuille siégeant à l’UEF Union des États  Frontaliers, directement avec celui qui l’y avait nommé, ne serait pas de trop non plus pour faire avaler la pilule ! 

Cela allait-il suffire ? Pas sûr…il fallait certainement faire plus !

(*) D’où l’idée, deux jours avant le dénouement de l’invraisemblable mascarade, d’un diner à l’initiative d’une représentante du peuple présidente de commission de la Haute Chambre syldave avec une demi-douzaine de convives dont entre autres le président du CAS, une productrice ex-membre de l’instance, un producteur en activité dont beaucoup croyait qu’il roulait pour un autre candidat…Bref des pros du secteur amenés à échanger sur ce que sera la télé pour les années à venir avec la même présidence ! Où voit-on cela ? C’est lors de ce diner quasi-parlementaire qu’à la question d’un participant qui s’interrogeait sur la présence du pédégé de la Radio Télévision Bordure dans les postulants, la phrase suivante a fusé « Il n’a jamais été question de mettre un Bordure à la tête de la télé publique syldave ». Ah !  si notre  pauvre Bordure avait su ça !

Deux jours plus tard pour fêter la victoire jouée d’avance, un nouveau diner allait être organisé avec des invités de choix dont une autre représentante du peuple mais cette fois-ci de la Chambre Basse qui n’avait cessé pendant des mois de soutenir dans l’ensemble des média locaux « la stabilité » qui avait évidemment un nom et ce de façon très appuyée !

Tout semblait donc calé…Pas un petit grain de sable pour bloquer les rouages d'un machiavélique scénario ! A moins que....

Eh! oui, le stratagème un peu trop gros, a évidemment été éventé…des membres du Conseil Audiovisuel Syldave ont fait part, ici et là, de leur effarement (le mot est faible).

Aujourd'hui l’affaire est en train de prendre une tournure que personne n’avait prévu, pas même le Chef de l’État syldave qui se retrouve aujourd’hui bien mal et pourrait même payer très cher et très vite cette pathétique  farce médiatique !

lundi 21 septembre 2020

Julian Bugier présentera le 13h de France 2 en remplacement de Marie-Sophie Lacarrau.

Julian Bugier présentera le 13h de France 2 en remplacement de Marie-Sophie Lacarrau.

C’est donc un homme de moins cinquante ans qui remplacera Marie-Sophie Lacarrau qui part sur TF1 pour présenter le JT de la mi-journée en remplacement de Jean-Pierre Pernault.


Pour la diversité, on repassera : Karine Baste-Régis succède à Julian Bugier au poste de présentatrice joker du 20h de France 2 en semaine. Waoouu !

Laurent Guimier monsieur Info de France Télés très éphémère dirlo de franceinfo: vient d’adresser un mail en interne pour le détail :

« Comme convenu, je tiens à vous informer des changements consécutifs à la démission de Marie-Sophie Lacarrau.

J’ai grand plaisir à vous annoncer que Julian Bugier présentera le 13H de France 2 en semaine à partir de janvier prochain. Karine Baste-Régis succède à Julian au poste de présentatrice joker du 20H de France 2 en semaine.

Karine et Julian sont de solides incarnations de nos tranches d’information depuis plusieurs années. Ces deux nominations témoignent de notre capacité à promouvoir les talents internes de France Télévisions. Ils porteront, j’en suis certain, notre ambition éditoriale toujours plus haut.

Je vous souhaite une bonne soirée »

Roch-Olivier Maistre va-t-il exiger de France Télés que réapparaisse en replay le JT de 20h diffusé sur France 2 le 17 septembre dernier ?!

Roch-Olivier Maistre va-t-il exiger de France Télés que réapparaisse en replay le JT de 20h diffusé sur France 2 le 17 septembre dernier ?!

Ce samedi (19/09), le blog CGC Média se posait la question « Où est passé le JT du 20h de France 2 du 17 septembre dernier où Olivier Véran répondait aux questions d’Anne Sophie Lapix ? »

Nous sommes le lundi 21 septembre et ce JT n’a toujours pas réapparu donc n’est pas accessibles à celles et ceux qui voudraient en prendre connaissance. Qui a pris la décision, redisons-le, de le supprimer et pourquoi? 

A quelques heures maintenant du dépôt d’une procédure en annulation de la décision parue au JO le 23/09/20 par le CSA qui comme l’ensemble des autorités publiques indépendantes dispose de la personnalité morale prise ici en la personne de son président Roch-Olivier Maistre, l’instance serait bien inspirée de mettre France Télévisions en demeure de réintégrer cette édition au service de rattrapage en ligne comme cela est normalement prévu.