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jeudi 15 septembre 2016

Non, "La Delphine" (dixit Stéphane Richard) n'a vraiment pas de quoi fanfaronner !



Non, "La Delphine" (dixit Stéphane Richard) n'a vraiment pas de quoi fanfaronner.

La Société Des Journalistes de France Télé (SDJ) n'y va pas avec le dos de la cuiller.

Dans une très récente publication, elle égraine les dysfonctionnements de  "Franceinfo deux points" qui ne cesse depuis son lancement de s'accumuler...sans même parler de la décision de Justice que vient de prendre l'ex Orange en pleine poire et ce, alors même que contrairement à ce qu'elle assurait en off, elle n'a jamais prévu de plan B.

Et "La Delphine" qui racontait encore, hier à la Presse, "Je suis hyper contente"...Affligeant 

Le blog CGC Média vous propose de prendre connaissance du brûlot en question intitulé "Franceinfo deux points" vérifiez validez l’info.




franceinfo n’a que quelques jours, et déjà, ses premiers couacs. Qui n’en fait pas ? Stress,  inexpérience ou nouvelle mode journalistique ?
Les informations laissent à désirer ? Les journalistes de France 3 en font les frais.



Même bien emballée, l’info reste l’info



Chaîne 27, couleur, écran tactile géant, nouveau ton, musique et ligne éditoriale qui sonne creux. Des sujets truffés d’erreurs passent en boucle à l’antenne. 
Vérifier, valider, corriger ?

L’affaire du décès des nourrissons et du lactarium : un bidule fantaisiste invente les dates des infections et des décès des nourrissons, les lieux.

Une journaliste de France 3 se déplace, alerte, interroge : d’où viennent les infos ? D’internet. L’AFP ? Connais pas.
Inutile de demander si le téléphone qui permet d’interroger les sources est branché... Quelles sources?


La réforme des collèges : un reportage de France 3 national est recyclé sur franceinfo. Redécoupage, sonores triés sur le volet pour renforcer la critique. La principale du collège se sent trahie et fait part de son mécontentement à la journaliste de France 3. Elle ne souhaite plus renouveler l’expérience d’un tournage avec nos équipes. Contact grillé, merci franceinfo!


Inutile de demander si franceinfo a contacté la consœur de France 3... France quoi ?

Sur le terrain : les JRI se trouvent empêchés de finir leur tournage pour assurer des directs pour franceinfo, comme simples OPV. Les rédacteurs envoient les images en kit et ne montent pas leurs sujets pour économiser le déplacement d’un monteur.

Que la direction tienne ses promesses : priorité à nos éditions et au terrain. Sans nous, pas d’images, pas de contenu sérieux ni de franceinfo crédible !



Du volontariat à l’enrôlement


A France 3 il y a des journalistes enthousiastes, impatients de faire des directs ou de fabriquer des modules sur franceinfo, et ceux qui ne s’y voient pas du tout. Ils ont signé pour faire des reportages sur le terrain, pour témoigner d’une réalité, recouper leurs sources et monter images et sons avec des professionnels.


Ils n’aiment pas l’amateurisme et la justice les conforte : la convention collective ne prévoit pas le statut de journaliste-monteur ni celui de monteur-journaliste. Pourquoi détourner ces confrères réticents des ambitions de la rédaction nationale de France 3 qui manque cruellement de moyens depuis l’avènement de la chaîne tout info ?



Le vent de liberté qui souffle sur franceinfo pourrait-il s’accommoder du STO imposé à France 3 ? La SDJ exige que soit appliqué le principe du volontariat comme initialement prévu. 


Question transparence : il serait bien venu de mentionner sur les sujets franceinfo : « réécriture et remontage : untel » et ne pas se tromper sur la provenance du reportage initial.



infofusion
#nofusion



un point c’est tout


La fusion de la 3 et de la 2 continue son travail de sape. Après l’expérience désastreuse du service éco, la fusion du service politique est repoussée... après la présidentielle.

Avant ou après les primaires, la présidentielle, décidément Michel Field s’emmêle les pinceaux !

infofusion vous informe : la réunion géographique des services politiques, elle, aura bien lieu. On réunit les troupes mais bleus et rouges auront chacun leur chef.


Pas question de perdre la face et de reconnaître que la fusion ne marche pas.

Si ça ne marche pas avant les primaires, ça marchera au pas après la présidentielle ! Ou pas."

(*) 

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