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samedi 7 mai 2022

L’arrêt de « Plus belle la vie » inquiète le service des Sports de France Télés.

L’arrêt de « Plus belle la vie » inquiète le service des Sports de France Télés.

L’annonce officielle de l’arrêt de la série à l'antenne sur France 3 depuis 18 ans « Plus belle la vie » si elle a eu pour effet d’émouvoir de nombreux téléspectateurs comme les équipes en charge du programme qui sera diffusé jusqu’en novembre, n’a pas rassuré les équipes du Service des Sports de France Télévisions qui fabrique l’émission "Tout le sport" diffusée du lundi au samedi juste après (20h45)


Laurent-Éric Le Lay, aurait été prié dare-dare de revoir la ligne éditoriale du programme avec + de foot, + d’influenceurs, + de Youtubeurs, etc…pour attirer + de monde ! A moins, autre possibilité que Stade 2 (diffusée le dimanche sur France 3) bascule en hebdo ?!  

L’émission qui dispose semble-t-il des droits pour les JO de Paris 2024, pourrait donc voir son format modifié sans que la direction ait pu garantir son maintien à la rentrée de septembre ! L’ex-Orange et son ex-dircab seront-ils seulement là pour en parler.

D’où l’inquiétude bien naturelle de l’ensemble des collaborateurs qui travaillent sur le programme qui imaginent déjà  « Moins belle la vie ».

vendredi 6 mai 2022

Ernotte, Carolis, Philippe pour plomber les Législatives d’Emmanuel Macron !

Ernotte, Carolis, Philippe pour plomber les Législatives d’Emmanuel Macron !


Il n’y a guère de doute sur l’origine de l’article signé Antoine Comte pour France Télévisions qui titre « Législatives 2022 : pourquoi les ambitions d'Edouard Philippe sèment la zizanie au sein de la majorité » (*)


« Alors que la liste des candidats investis par LREM est en cours de discussion, le parti d'Edouard Philippe veut mener la danse dans certaines circonscriptions et créer au passage des tensions inédites entre l'ex-Premier ministre et Emmanuel Macron…L'ancien Premier ministre a longtemps lorgné sur 140 circonscriptions étiquetées Horizons. Une ambition démesurée aux yeux des autres partenaires d'Emmanuel Macron. Se considérant lésés, des représentants du MoDem montent depuis plusieurs jours au créneau. » écrit le journaliste de France Télévisions dans un paragraphe intitulé « L'appétit d'ogre Edouard Philippe ».


« Contrairement à 2017, où les accords avec le MoDem de François Bayrou s'étaient noués quasiment sans encombre, Emmanuel Macron doit cette fois composer avec une kyrielle de partis pour s'assurer une majorité à l'Assemblée nationale. Pas moins de cinq mouvements politiques alliés ont en effet vu le jour en cinq ans : Territoires de progrès, Fédération progressiste et En commun, pour l'aile gauche et écologiste de la majorité ; Horizons et Agir, pour sa frange la plus à droite » poursuit l’article, précisant « Au cœur du conflit : son ex-Premier ministre Edouard Philippe, bien décidé à prendre sa part du gâteau lors des élections législatives des 12 et 19 juin. Quitte à irriter le chef de l'Etat. »


Le site de France Télévisons enfonce le clou histoire de plomber un peu plus le Chef de l’État - Renaissance ou pas! -  « Les tensions n'ont fait que s'accroître ces derniers jours. Europe 1 affirme même que des noms d'oiseaux ont été prononcés à l'Elysée. "Aucune circonscription pour Horizons, ce sont des cons !", aurait lancé le président à l'un de ses proches. Avant d'ajouter, au sujet d'Edouard Philippe : "Il me doit tout et il pense qu'on est égaux ? Il a fumé les vapeurs du port du Havre ?". Selon la radio, l'entourage d'Emmanuel Macron dément ces propos, assurant que "le sujet du chef de l'Etat est de rassembler le pays". » et d’enchérir « Une fébrilité inédite agite les rangs de la macronie. "Ces périodes de négociations intenses sont forcément des moments tendus car tout le monde veut faire grimper les enchères pour avoir un maximum de députés. C'est un grand classique", témoigne Thomas Rudigoz, élu LREM du Rhône et candidat à sa réélection. 

Un sentiment que partage Renaud Muselier, président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et soutien d'Emmanuel Macron lors de la présidentielle. "Tout le monde veut montrer les muscles, à chaque fois ce sont les mêmes luttes d'influence", souligne l'ex-membre des Républicains. Mais le chef d'Etat sortant "a gagné tout seul l'élection présidentielle et il est donc le grand patron des négociations pour les législatives"… »

 

Pourquoi citer, ici, Renaud Muselier ?

 

Pour tenter d’y répondre, il est parfois utile de faire quelques retours en arrière qui expliquent souvent beaucoup de non-dits.

 

Édouard Philippe soutien sans faille de l’ex-Orange pendant tout son mandat comme la réciproque est vraie, prévoirait de présenter le repris de justice Patrick de Carolis au titre de la majorité présidentielle via « Horizons »... 

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Il est indispensable de rappeler que lors des deux procès, en première instance et en appel, qui ont vu la condamnation définitive de l’ex-pédégé de France Télés, l’entreprise de télés publiques où « la dame de chez Suez » s’est retrouvée parachuté à l’été 2015 n’avait réclamé qu’1€ symbolique de dommages et intérêts au condamné !

 

Le même Carolis qui « Pendant la campagne des régionales 2021, n’a pas exprimé son soutien à Renaud Muselier face au Rassemblement national » (dixit L’Arlésienne ci-après)




jeudi 5 mai 2022

Arrêt officiel de « Plus belle la vie »…Il fallait attendre la réélection d’Emmanuel Macron avant de l’annoncer !

Arrêt officiel de « Plus belle la vie »…Il fallait attendre la réélection d’Emmanuel Macron avant de l’annoncer ! 

Le 30 mars dernier, dans son article « La propagande interne n’y fait rien, les caisses de France Télés sont vides et ça se voit ! »le blog CGC Média annonçait déjà la fin du feuilleton emblématique de France 3.

"Le feuilleton le plus célèbre de France risque de disparaître de nos écrans. France Télévisions s'apprêterait à mettre un terme à ce programme emblématique du service public"écrivions-nous rappelant la catastrophique situation financière que France Télés tente de masquer à coups de communiqués propagandistes « Cela fait de nombreuses années que le blog CGC Média dénonce les incessants communiqués de France Télés claironnant encore et toujours que la situation financière serait à l’équilibre ! Lorsque l’Inspection générale des finances, la Cour des comptes et Bercy réaliseront les audits de l’entreprise publique, ils ne pourront que constater les dégâts. »

C’est maintenant officiel...et ce qui a provoqué la colère du maire de Marseille Benoît Payan mis devant le fait accompli et ce en pleine campagnes pour les Législaltives. Selon nos informations, très remonté a demandé un rendez-vous en urgence à l'ex-Orange qu'il a obtenu pour ce vendredi 7 mai. 


Il n'y a pas grand chose à en attendre !




Pourquoi aujourd’hui ? A France Télés, on se lâche : « il fallait attendre qu’Emmanuel Macron soit réélu…les consignes étaient claires; pas question de l’annoncer avant » affirment quelques sachants qui n’hésitent plus à balancer.

"Cette série, avec ses milliers d'épisodes, fait vivre des centaines d'intermittents, de permanents, comédiens, techniciens. Arrêter la série, ça mettrait sur le carreau plus de 600 emplois directs. Ce serait catastrophique. C'est une série citoyenne, quotidienne, qui a depuis dix-huit ans un vrai impact sur la vie des gens. Comme d'habitude, au nom de la rentabilité financière, c'est une série populaire qui serait sacrifiée, et avec elle plus de 600 emplois ! Vous vous rendez compte ?" expliquait alors la comédienne Sophiede La Rochefoucauld qui avait rejoint la série en 2009 pour incarner Caroline Évenot, la mère de Barbara.

Les fadaises distillées par l’infirmière TV qui chantait mi-janvier sur les antennes de France Télés comme salle Pleyel devant Roselyne Bachelot et ROM, le "futur secrétaire d'État", que "La télévision publique avait un effet multiplicateur sur l’économie et que pour 1 euro investi dans la télévision publique, c’était 3 euros de PIB dans tous les territoires" ne trompent plus personne ! 


Laurent Guimier pourrait comme Field et les autres perdre très vite son poste de directeur de l’Info de FTV !

Laurent Guimier pourrait comme Field et les autres (quatre au total en six ans) perdre très vite son poste de directeur de l’Info de FTV !

C’est, en tout cas, ce que croit savoir Challenges qui écrit « Delphine Ernotte prépare du neuf pour l’été à France Télévisions. Le directeur de l’information, Laurent Guimier, pourrait prendre de nouvelles fonctions. » 


A France Télés personne ne semble étonné vu les échanges d'amabilités que s'envoient par tweets interposés, l'ex-Orange et son toujours monsieur Info...

Hier comme le relayait le blog CGC Média, Guimier qui s'esbaudissait sur "la liberté d'informer pour tous et à tout moment", s'est pris un retour de bâton de l'infirmière TV qui lui renvoie dans les dents "la progression de la désinformation". (¤)

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Emmanuel Macron en route pour laisser prospérer la "Honte en la République" ?!

Emmanuel Macron en route pour laisser prospérer la "Honte en la République" ?!

Le Premier ministre n’est pas encore nommé (il ou elle ne devrait pas l’être avant le 13 mai) que Challenges annonce la couleur pour la Culture !

« Le président de l’Arcom (ex-CSA) Roch-Olivier Maistre pourrait être nommé secrétaire d’Etat à la Communication et au numérique dans le prochain gouvernement. En particulier si un même ministre chapeaute à la fois l’Education nationale et la Culture. » écrit le magazine qui ajoute « Delphine Ernotte et France Sibyle Veil ont rencontré le conseiller officieux d’Emmanuel Macron, Jean-Marc Dumontet, qui leur a précisé les intentions de l’Elysée sur une fusion de plusieurs services de leurs maisons et sur la suppression de la redevance dès le prochain budget ».

A croire que le vote barrage qui a reconduit Emmanuel Macron à la présidence de la République pour notamment faire barrage à l’extrême droite, n’aurait eu aucun effet sur ce que la Culture et plus particulièrement l’audiovisuel public représentent dans notre Pays !

Le même titre de presse révèle également que « Franceinfo et LCP-AN diffuseront une émission commune pour les deux soirées des élections législatives. »…les rédactions de France Télés, plus particulièrement France 2 et France 3 qui devait assurer les Législatives, devraient apprécier ! 

Dire que le 28 avril dernier, dans son article « Le gouvernement n’a pas encore démissionné que ça s’agite en coulisses pour remplacer Roselyne Bachelot à la Culture ! » le blog CGC Média nnonçait ainsi la couleur. « Sur fond d’annonce d’une possible suppression de la CAP (ex-redevance) au prétexte de la disparition définitive de la taxe d’habitation à laquelle elle était attachée, la lutte feutrée qui se déroule en coulisses pour remplacer Roselyne Bachelot à la Culture a de quoi consterner.

Entre Jean-Marc Dumontet « Producteur de spectacles, propriétaire de Bobino, Théâtre Antoine, Theatre Libre, Point Virgule, Grand Point, Sentier des Halles, Président des Molières » (*) qui se répandait récemment dans la presse début mars pour dire combien cette échéance représentait « une mesure forte de pouvoir d’achat, un des axes du président dans la logique de la fin de la taxe d’habitation » et ROM fan numéro 1 et soutien inconditionnel ernottien passé du CSA à l’ARCOM sans qu’Emmanuel Macron ait officiellement renommé ce dernier, les supputations ne courent plus, elles cavalent. »

Personne n’a donc, ni envie, ni intérêt, à ce que la "Honte de la République" - c’est ainsi que le Chef de l’État avait qualifié, fin 2017, la gouvernance de France Télévisons devant les députés de la commission des affaires culturelles de l'Assemblée (dixit Gabriel Attal à l’époque) se dissipe !

(*cliquez ici)

Qui d’Édouard Philippe qui « sème aujourd’hui a zizanie au sein de la majorité » (comme l’écrit aujourd’hui France info) soutien sans faille de l’ex-Orange ou du Secrétaire général de l’Elysée Alexis Kolher qui l’est aussi et voit probablement en l’ex-Orange et peut-être aussi sa collègue de Radio France, celles  qui sous couvert du capitaine de l’Arcom-enterprise pourront continuer la saccage de  l’Audiovisuel public ! 





mercredi 4 mai 2022

“Sucer, c'est tromper ?” lance Léa Salamé à Thierry Ardisson sur France 2…et vive la télé publique !

“Sucer, c'est tromper ?” lance Léa Salamé à Thierry Ardisson sur France 2…et vive la télé publique !

Juste avant son flop de lundi sur France 3 avec le premier numéro d’« Hôtel du temps »  l’émission où l’homme en noir fait parler les morts - 6,8% de part de marché sur les quatre ans et plus et 1,40 million seulement de curieux – l’animateur continuait de faire la promo tous azimuts du concept génial qu’il venait de lancer comme Le Canard enchaîné s’en fait l’écho ce mercredi. (*)

Samedi 30 avril, Thierry Ardisson qui était l'invité Laurent Ruquier et de Léa Salamé dans On est en direct, s'est fait interpeller par la journaliste qui lui a posé la question la plus incroyable du service public: “Sucer, c'est tromper ?”.

Alors même qu'il explique que l'émission a coûté un bras - aux contribuables aussi et c'est peu dire! - il déclare également au palmipède "« Hôtel du temps »  c'est pour la gloire, pas pour l'argent. C'est pour laisser mon nom dans l'Histoire".


Ils seront donc deux à avoir vulgariser ( c'est le mot!) la télé de service publique ce weekend et à monter que la réaction du monsieur Infos ernottien qui a retweeté sur la place de la France sur "la liberté d'informer pour tous et à tout moment" notamment à France Télés, prouve bien à quel niveau l'ex-Orange et ses thuriféraires ont fait plonger la télé publique (¤)

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Pas forcément la place qu'Emmanuel Macron envisageait lorsqu'il parlait de "Honte de le République" !


« La souffrance au travail » à géométrie variable au Pôle Outre-mer de France Télévisions.

« La souffrance au travail » à géométrie variable au Pôle Outre-mer de France Télévisions.

L’an dernier, quatre des collaborateurs littéraires du service d'autopromotion de l’établissement de Malakoff étaient requalifiés par le conseil des Prud’hommes de Paris au vu de leur longue collaboration et de la précarité dans laquelle France Télés les avait maintenus de très nombreuses années.

Leur intégration était ordonnée par la juridiction sur leur poste et dans leur fonction évidemment mais c’était sans compter sur la volonté de la direction, à l’évidence, de leur en faire baver des ronds de chapeaux ! Il fallait faire payer à ces salariés l’outrecuidance dont ils avaient fait montre en saisissant le Conseil et en gagnant de surcroit ! La Directrice éditoriale France Télévisions Pôle Outre-mer Établissement de Malakoff allait s’en charger. Mettant en avant « la souffrance au travail des réalisateurs » du même service d'autopromotion, il devenait donc urgent de la décaler sur ces quatre-là !

Quant à la souffrance qu’ils peuvent ressentir, eux, en raison de la façon dont ils sont traités comme s’ils étaient responsables de quelque chose, qui s’en soucie ? Les quatre collaborateurs littéraires du service d'autopromotion face à une telle situation ont décidé d’adresser une lettre au CSE pour faire comprendre ce qu’ils subissent depuis plusieurs mois, notamment les humiliations dont ils sont de fait, les victimes.

Le blog CGC Média qui a pris connaissance de ce courrier tellement juste, vous propose de le découvrir : 

« Les quatre collaborateurs littéraires du service d'autopromotion ont été informés le 29 mars par un e-mail de Véronique Polomat d’un bouleversement du fonctionnement du service, touchant notamment à la collaboration entre rédacteurs et réalisateurs de bandes annonces. 

Les collaborateurs littéraires ont découvert avec stupéfaction que leur fonction se limitait désormais à la simple livraison d'un texte de voix de chaîne au réalisateur, en déconnexion avec le travail de conception. La possibilité de formuler des propositions étant laissée à la libre appréciation de ce dernier. 

Ils ont appris avec non moins de surprise qu’une « souffrance au travail des réalisateurs » avait été alléguée pour justifier cette redistribution des rôles, alors que dans leur collaboration au quotidien avec ceux-ci, à une exception près, il ne leur a jamais été manifesté de difficulté particulière. Une relation de travail satisfaisante qui a été confirmée lors des ateliers communs organisés par la direction.

Les collaborateurs littéraires ont entre 10 et 24 ans d'expérience dans la maison en tant que collaborateurs réguliers, puis salariés en CDI depuis 2021. Durant ce laps de temps, ils n'ont jamais été informés par leurs manageurs du contenu de leur fiche de poste et cette dernière n’a jamais servi de référence pour cadrer leur activité, pas même au moment de leur intégration récente en juillet 2021. 

Jusqu'à présent, prévalait le principe clairement défini par la direction artistique, en vigueur sur toutes les autres chaînes du groupe France Télévisions, et auquel se sont toujours conformés les collaborateurs littéraires. Concrètement, un travail en concertation complète où la conception et la réalisation des bandes annonces, le choix des sonores, celui de la musique, résultent d’un dialogue constant entre réalisateurs et collaborateurs littéraires. »  expliquent-ils dans ce courrier avant de s’élever contre : 

« - la perte de la dimension "artistique" de notre travail, pourtant inhérente à notre classification A1D, et le déni de la réalité de notre fonction depuis toutes ces années, pourtant clairement rappelé par la notification de justice du 1er juin 2021, rappelant le contenu de notre collaboration soit : "il devait travailler à la conception, à la fabrication et au contenu des programmes, émissions et bandes annonces". 

- notre mise en cause devant le CSE, où il a été dit que « l’on volait le travail des réalisateurs » « l'artistique ne relève que des réalisateurs », et qu'avec la nouvelle organisation "le circuit revenait à la normale". Une manière de faire peser sur nous l'ensemble des dysfonctionnements du service et de nous rendre responsables de ce qui a été dénommé « souffrance au travail des réalisateurs », alors que nous nous sommes toujours strictement conformés aux règles fixées par notre hiérarchie. 

En agissant ainsi, non seulement la direction se défausse de sa responsabilité quant à la souffrance au travail des réalisateurs, mais en choisissant délibérément de nous l'imputer, elle crée une nouvelle zone de douleur véritable auprès des rédacteurs puisque notre champ de compétence et notre expertise sont ainsi bafoués. Il convient de noter que la recherche de cette imposition s'est exercée tant individuellement au travers des entretiens annuels qu'à titre collectif dans l'information biaisée livrée aux membres du CSE. »

Ceci n’est tout simplement pas admissible et faire croire à de collaborateurs historiques qu’ils seraient soudainement à l’origine de l’appauvrissement du travail de certains et de le leur faire payer, est le signe d’une méconnaissance totale de la part de celles et ceux qui colportent de tels arguments bidons. 

mardi 3 mai 2022

Thierry Ardisson rate son coûteux retour avec l’émission où il fait parler les morts.

Thierry Ardisson rate son coûteux retour avec l’émission où il fait parler les morts.

 

Ce lundi 2, France 3 diffusait le premier numéro du concept signé Ardisson « Hôtel du temps » où l’animateur fait parler les morts.

 

Malgré l’énorme promotion faite tous azimuts pour l’émission, l’homme en noir qui pour son retour à l’antenne s’entretenait avec Dalida, se ramasse avec 6,8% de part de marché sur les quatre ans et plus et 1,40 million seulement de curieux.

 

Après plusieurs mois de travail pour ne pas dire d’années, la très chère technologie Deepfake qui intégrait numériquement le visage de la chanteuse décédée à celui de la comédienne Julie Chevallier, n’a pas attiré grand monde.

 

Si le résultat à l’image est bluffant sauf pour Claude François qui y faisait une apparition...« un raté » selon les internautes pour l’interprète de « Belles, belles, belles » qui n’ont pas hésité à railler ce choix.

 

"Claude François ils l'ont fait avec la version gratuite de l'app je crois"…" Claude François c'est raté""Claude François, il va me hanter ce soir"…"Dommage d'avoir franchement bâclé Claude François. S'il voit ça de là où il est, il ne va pas aimer, mais alors pas du tout" a-t-on pu lire dans les nombreux commentaires sur la toile.


Après Dalida, devraient suivre Coluche et Jean Gabin - le conditionnel reste plus que jamais de mise, même si les tournages ont déjà eu lieu – mais rien ne dit qu’à l’instar des fans de Dalida, les Français iront encore à l’hôtel ! 


Gérard Larcher va-t-il réussir à faire taire l’omnisciente parlementaire LaREM Aurore Bergé ?

Gérard Larcher va-t-il réussir à faire taire l’omnisciente parlementaire LaREM Aurore Bergé ?

Membre de l'équipe de campagne d'Alain Juppé pour la primaire de la droite et du centre de 2016, Aurore Bergé élue députée LREM de la 10e circonscription des Yvelines après avoir Emmanuel Macron en 2017, vient encore de faire des siennes.

« Ce qui attend les partis, notamment le Parti socialiste, s’ils acceptaient cette alliance, c’est tout simplement une disparition de leurs idées, et aussi une disparition de leur parti politique », a prédit la présidente déléguée du groupe LREM à l’Assemblée nationale sur RFI.

Elle sait de quoi elle parle, elle qui a changé de camp comme on change de chemise !

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Celle dont le président du Sénat souhaite la défaite et va faire en sorte qu’elle arrive, fait partie de celles et ceux au sein de la majorité présidentielle qui ont critiqué lundi l’accord scellé dimanche entre La France insoumise et Europe Ecologie-Les Verts pour les élections législatives, ainsi que les discussions avec le Parti socialiste.

Comme d’autres, entre autres le député La République en marche Sacha Houlié qui a tweeté « Incroyable tous ces gens prétendument pétris de principes, prêts à abandonner toute conviction (…) pour une poignée de circonscriptions. Et ils veulent gouverner notre pays ? », elle accuse EELV et le PS de « renier » leurs convictions avec ces tentatives d’union à gauche.

Il est probable que ces derniers, ont vraiment besoin des conseils de la fidèle parlementaire pour savoir quoi faire à l’aube des 12 et 19 juin prochain ! 

lundi 2 mai 2022

Reçue par Alexis Kohler à l'Elysée, elle a décliné le poste de Premier ministre !

Reçue par Alexis Kohler à l'Elysée, elle a décliné le poste de Premier ministre !

La presse se fait l’écho aujourd’hui du refus de Véronique Bedague de succéder à Jean Castex. La directrice générale du géant de l'immobilier Nexity reçue par Alexis Kohler et même Emmanuel Macron, la semaine dernière à l'Elysée, aurait décliné l'offre comme le rapporte Le Parisien.

Elle faisait partie des personnes pressenties pour le poste de Premier ministre par Emmanuel Macron réélu président de la République qui doit désigner le locataire de Matignon dans les prochains jours (avant le 13 mai en tout cas) pour former son nouveau gouvernement, au moins jusqu’aux élections législatives.

Le Midi libre qui relaie les propos du quotidien écrit « Il souhaiterait que ce poste soit occupé par une femme donc plusieurs ont été contactées, à l’instar de Véronique Bedague, une femme expérimentée dans le milieu politique »

Extrait :

« Une énarque avec beaucoup d'expérience dans les ministères

Aujourd'hui âgée de 58 ans, cette énarque a évolué dans les ministères mais aussi au sein d'entreprises privées au cours de sa carrière professionnelle.

À sa sortie de l'ENA en 1990, elle est nommée au ministère de l'Economie et des Finances. Elle a même travaillé au FMI, le Fonds monétaire international à Washington aux Etats-Unis.

Elle devient par la suite conseillère technique du ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie de l'époque Laurent Fabius et de la secrétaire d'Etat chargée du Budget, Florence Parly.

En 2002, elle est nommée directrice des Finances de la mairie de Paris puis en 2008 secrétaire générale de la mairie sous le mandat de Bertrant Delanoe.

En 2014, elle est nommée directrice de cabinet du Premier ministre de l'époque Manuel Valls et deviendra ainsi la première femme à occuper ce poste…

Une candidate idéale pour Matignon

Avec ce profil, elle faisait une candidate idéale pour le poste de Matignon.

Elle cumule ainsi l'expérience des finances, de la politique, des ministères mais aussi une vision d'avenir y intégrant l'écologie. En plus d'être une femme pour la parité.

Malheureusement elle aurait décliné l'offre, en précisant qu'elle préférait rester à Nexity. »