Contactez-nous!

Par téléphone au 06.14.06.44.36 ou par mail en Cliquant Ici!

dimanche 24 août 2025

Le binôme Dati/Ernotte entraîne les salariés de Radio France dans la grève.

Le binôme Dati/Ernotte entraîne les salariés de Radio France dans la grève. 

Celle qui vient d’annoncer qu’elle restera candidate à la législative partielle de Paris contre Michel Barnier investi régulièrement par LR, sachant qu’elle ne pourra de toute façon pas siéger puisque toujours au gouvernement - à moins qu’elle en soit écartée ! - continue de mettre le souk dans l’Audiovisuel Public avec l’appui de l’ex-Orange qui s’imagine toujours en prendre la tête malgré la volonté de Dati d’avoir son scalpe.

Laurent, vallée le président de l’INA, ayant été suspendu de ses fonctions pour cette histoire de drogue étant officiellement sur la touche, le seul obstacle reste Sibyle Veil la présidente de Radio France, elle qui n’a pas denoncé l’accord d’entreprise comme l’a fait Ernotte à France Télés.

Après avoir déposé le 11 juillet dernier un préavis de grève illimité à partir du 25 août prochain - date de démarrage de l'ensemble des grilles de rentrée de la radio publique, l'intersyndicale de Radio France signature du texte, ouvre la marche avec cette grève qui démarre officiellement ce jour de rentrée.

Faut-il voir avec le report du premier JT de 20 heures de Léa Salamé, prévu le 25 août et repoussé au 1er septembre, une coïncide ? Toujours l’ensemble des salariés des sociétés qui devraient recréer l’ORTF avec des milliards d’euros à venir en surcoûts, n’est pas prêt à laisser faire.

Il n’est pas question qu’ils se laissent embringuer dans une holding/fusion qui les tirera vers le fond, citant notamment en exemple les multi dérapages de France Info (la télé) qui après avoir lancé un débat sur  les conditions d’une mise en œuvre d’une éventuelle Riviera à Gaza ou encore le récent reportage diffusé le 18 goût dernier, digne d’un clip de propagande, présentant des images idylliques des plages de Marioupol avec des interviews univoques de vacanciers enchantés, sans revenir une seule seconde sur les atrocités et les massacres commis par l’armée russe dans cette ville martyrisée…

Ils ne veulent entendre parler d’« ICI », échec éditorial flagrant mais aussi d’audience que les auditeurs, comme les téléspectateurs de France Télévisions (ceux qui ne sont pas encore partis) qui  considère que les millions déjà dépensés et les nombreux autres qui devraient venir, seraient mieux utilisés qu’à faire 20 minutes d’images de drones survolant les territoires pour chacune des éditions 

Parmi les mesures internes, les organisations réclament aussi un nouveau projet pour le Mouv’ un "retour des rendez-vous d'antenne dont la suppression avait été annoncée, la "garantie de maintien des productions (documentaire, reportage, musique, fiction), la "remise en discussion de la stratégie de diffusion FM" ou encore la "transparence sur la politique économique de l'entreprise qu’au moins leur présidente aura su préserver pas comme Ernotte qui continue la casse programmée de la télé publique.

Il est clair que cette mobilisation générale que soutient évidemment le blog CGC Média, reste le moyen le plus efficace pour lutter contre ce petit monde l’entre soi qui est en train de conduire le Pays au chaos.


Puisque l’Arcom n’a pas de pouvoir, elle doit disparaître.

Puisque l’Arcom n’a pas de pouvoir, elle doit disparaître.

Jusqu’à quand l’agence d’État, qui n’a finalement qu’un seul pouvoir: celui de s’exécuter quand il s’agit de valider le 3eme parchutage ernottien, Va-t-elle prendre les Français pour les billes ? 

Dans le récent article du Figaro, signé Salomé Embert et intitulé « Jean Pormanove : l’Arcom répond aux critiques », les incohérences et autres explications vaseuses de l’agence d’État apparaissent au grand jour.

Ajdari and co osent expliquer qu’ils  « se heurtent  au fait que la plateforme Kick sur laquelle l’homme maltraité jour après jour est décédé en direct, n’a pas de représentant légal au sein de l’Union européenne », ajoutant que « Si Kick.com confirme auprès de l’Arcom ne pas disposer d’une représentation légale dans l’Union européenne, l’ensemble des coordinateurs pour les services numériques – dont la France – seront compétents pour mettre en œuvre les obligations auxquelles la plateforme est tenue en vertu du RSN. Le cas échéant, l’Arcom se saisira de ce cadre européen pour intervenir auprès de Kick.com ».


Totalement surréaliste, particulièrement lorsque l’Arcom enchérit, en déclarant s’être « rapprochée de l’Office

anti-cybercriminalité (OFAC) afin de vérifier si celui-ci a, par le passé, à demandé le retrait de contenus sur Kick.com » puis indiquant que « La désignation ou non d’un représentant de la plateforme au sein de l’Union européenne orientera ensuite les actions de l’autorité de régulation. »



C’est vraiment se moquer du monde… C’est un peu comme si un meurtrier pourrait ne pas être jugé ou arrêté en France parce qu’il n’y aurait pas de consulat pour son Pays sur le territoire et qu’il faille attendre de vérifier que d’autres faits similaires auraient été abordés


Depuis la fin de l’année 2024 où l’Agence a été alertée sur cet abject flot d’immondices ayant conduit à la mort atroce de cet homme, elle n’a pas dû se rapprocher beaucoup  ! Surtout lorsqu’on sait qu’un simple envoi par mail suffit à solliciter ladite structure ! (*)


(*)




Alors qu’une enquête a été ouverte, c’est aussi révoltant que d’entendre la ministre déléguée au Numérique, Clara Chapaz, de préciser qu’elle ajustement saisi l’Arcom sous sous le feu de toutes les critiques pour n’avoir rien fait !!


De nombreux internautes rappellent que d’autres signalements ont déjà été faits par le passé, sans succès. Une enquête de Mediapart sortie en décembre

2024 consacrée à la plateforme Kick et aux maltraitances subies par Jean Pormanove avait par exemple soulevé les inquiétudes. La Ligue des Droits de l’Homme (LDH) indique également sur son site internet avoir saisi l’Arcom en février dernier pour les mêmes faits, sans qu’aucune sanction ne soit prise depuis, cristallisant la colère des internautes. 


Pour sa part, Kick a adressé ses sincères  (le mot prend ici un goût de fiel !) condoléances, via le réseau social X, affirmant également suspendre « tous les co-streamers ayant participé à cette diffusion dans l’attente de l’enquête en cours ».


Curieux, là, ça n’a pas pris de 6 à 8 mois pour joindre quelqu’un au sein de la plate-forme ?!