Contactez-nous!

Par téléphone au 06.14.06.44.36 ou par mail en Cliquant Ici!

samedi 8 mars 2025

Présidence de France Télés : l’Arcom d’Ajdari est à un carrefour !

Présidence de France Télés : l’Arcom d’Ajdari est à un carrefour !

L’instance va-t-elle choisir le chemin de la transparence et du changement ou bien, va-t-elle reprendre à nouveau la route de l’opacité avec son cortège de magouilles ? 

 

L’Arcom et ses membres dont les derniers nommés vont-ils décider de  

- sauver France Télévisions à l’agonie depuis 10 ans voire en faillite si l’État n’avait pas recapitalisé le groupe public, en juin 2023 avec une enveloppe de près de 32M€

- retrouver les heures sombres de 2015 où Schrameck sortait de son chapeau l’ex-Orange dans les conditions que la presse unanime a dénoncées à l’époque… Le même qui qui balançait récemment  en commission d’enquête parlementaire François Hollande ? Ou encore celles d’un ROM qui 5 ans plus tard lui emboitait le pas, éliminant même jusqu’à éliminer de son propre chef l’un des votants pour parvenir à ses fins ?!  

La question ne devrait pas se poser tant la loi est claire mais après la dernière sortie de Martin Ajdari dans la presse, elle se pose : "L'Arcom envisage de faire une entorse aux intentions de transparence en accordant la confidentialité aux candidats employés dans d'autres médias ou entreprises, afin de leur permettre de défendre leurs projets et de passer les auditions."

Sans plénière, sans en avoir visiblement touché mot à personne, le successeur du fan ernottien numéro 1 a déjà provoqué la colère de certains en interne. Ça rue visiblement dans les brancards. « De quel droit décide-t-il et à notre place ? » lance celui-ci. « On ne va pas tout de même pas recommencer les mêmes combines ! » fulmine cette autre, rappelant l’indignation d’il y a dix ans !

Hallucinant.

Autrement dit, à l’instar de son pénultième homologue, Martin pourrait louvoyer suffisamment pour que le toujours dirigeant du boîte de la grande distribution, créât la surprise à la toute fin, au motif qu’il faudrait un gestionnaire ou économiste !

Même pas en rêve. 

Surtout après que l’une des décisions prise à l’unanimité des participants de EGI sous la coupe finale de Patino est celle de la transparence totale en matière de désignation des présidents de l’Audiovisuel public.

Le blog CGC Média serait prêt d’ores et déjà, à déposer chez un huissier dans une enveloppe scellée le nom de celui qui importe absolument de mettre en place pour que tout continue comme avant, à commencer par l’énorme  business avec les grosses boites de prod amies !

(*) 


Les 9 membres de l’Arcom ne peuvent se prêter à un tel scénario et transgresser la loi comme le rappelle l’ADAP publié ce jour. (*)

L'Association qui cite également la plainte déposée par la CGC dans le cadre de l'affaire des cartes corporate. 

Le tout dernier rapport de l’IGF (Inspection Générale de Finances) et celui de la Cour des Comptes qui, malgré certaines interventions devrait à présent sortir très vite, (bien avant l’automne) montrent sans équivoque que la situation et plus que grave, au-delà même de l’imaginable.

L’AUDIT QUE DEVRA IMPERATIVEMENT ANNONCER LA PERSONNE QUI PRENDRA LES RÊNES DU GROUPE FRANCE TÉLÉVISIONS POUR EN ASSURER LE SAUVETAGE PLUTÔT QUE SA DILUTION AU SEIN D'UNE USINE A GAZ COÛTEUSE EN TROMPE-L’ŒIL, NE FERA QUE LE CONFIRMER.

(Les premières pages du rapport ci-dessous avec le lien pour y accéder) 

https://www.igf.finances.gouv.fr/files/live/sites/igf/files/contributed/Rapports%20de%20mission/2024/Rapport%20FTV%20-%20version%20web.pdf 



vendredi 7 mars 2025

Nouvelle plainte de la CGC de l’Audiovisuel visant, notamment Delphine Ernotte ès qualité dans l’affaire des cartes corporate à France Télévisions.

Nouvelle plainte de la CGC de l’Audiovisuel visant, notamment Delphine Ernotte ès qualité dans l’affaire des cartes corporate à France Télévisions.

Le 4 mars dernier, le blog CGC Média revenait sur les révélations de La Lettre à l’évidence toujours bien informée, concernant l’utilisation de cartes bancaires dites « corporate » à France Télévisions (*)

Article que la Cour des comptes qui enquête actuellement sur France Télés et devrait rendre son rapport plus rapidement que prévu, a lu  selon nos sources, avec le plus grand intérêt. 

Dans son enquête  « France télévisions serre la vis sur les notes de frais », la journaliste s’interroge «Déjà dans le rouge, les comptes de France Télévisions ont-ils été affectés, même légèrement, par une négligence dans la gestion des notes de frais ? » 

Puis d'ajouter « Confrontée à des dérives sur l'utilisation de la "carte corporate" réservée aux cadres dirigeants et aux journalistes, la direction de France TV a choisi d'en restreindre l'utilisation » avant d'ailleurs de souligner « Contactée, la direction de France télévisions n'a pas été en mesure de préciser le montant des impayés ni d'indiquer le nombre de cartes corporate en circulation.  » 

Le titre de presse de détailler « Dans une communication interne diffusée le 18 février et intitulée "Repères managers" (*), la direction financière du groupe audiovisuel public adresse un avertissement à ses cadres dirigeants : "Nous constatons une recrudescence d'utilisation de certaines cartes bancaires ‘corporate' à des fins personnelles [et] une augmentation des impayés imputés sur le compte bancaire de France Télévisions." »

Catherine Boullay d’enchérir « De nouvelles règles ont ainsi été édictées et encadrent, à compter de ce mois de mars, l'utilisation de cette carte bancaire business accordée, selon les estimations de La Lettre, à environ 1 000 salariés » avant de poursuivre « Fournie par la banque CIC, cette carte bleue permettait jusqu'ici d'effectuer jusqu'à 4.000 € d'achats chaque mois et de retirer jusqu'à 1.000 € par semaine en liquide… » [Pas pour l’ensemble des collaborateurs concernés dont visiblement France Télés ne connaitrait pas le nombre. Autrement dit pas pour les personnels des équipes de tournages qui n’ont pas ce genre de « facilités» !! ndlr]

La Lettre d’enfoncer le clou « Cette carte bénéficie par ailleurs aux cadres exécutifs travaillant au Siège, qui ont pu profiter du débit différé pour effectuer des achats personnels.

Ce système pose aujourd'hui problème, car, lorsqu'un collaborateur fait défaut, France TV se substitue contractuellement au salarié auprès du CIC. 

La direction financière a donc décidé de ramener la durée du débit différé de 55 à 40 jours. Quant au plafond hebdomadaire de retrait d'espèces de la carte corporate dans son profil standard, il a été diminué de 1.000 € à 500 €….

Ce flou dans la gestion des dépenses courantes fait mauvais effet dans le contexte actuel. En décembre, le conseil d'administration de France télévisions a approuvé un budget 2025 en déficit de 41,2 millions d'euros… »

En conséquence, la CGC de l’Audiovisuel a mandaté en début de semaine Maître Pierre-Olivier Lambert qui avait entre autres fait condamner au pénal Patrick de Carolis dans le volet de l’affaire Bygmalion-France Télévisions afin qu’il dépose plainte contre la représentante légale de France Télévisons ès qualité qu’est encore Delphine Ernotte pour quelques semaines et  tout autre personnes que l’enquête judiciaire déterminera des chefs de « détournement de fonds publics, complicité et recel » 

Maître Lambert qui vient d’ailleurs de faire condamner lourdement France Télévisions, début mars avec un jugement de la Cour d’Appel de Paris dans une énième affaire de recours systémique et abusif de CDD (faussement qualifiés de CDDU pour la plupart) dans laquelle le SNPCA-CGC intervenait volontairement

La Cour d’Appel

DIT que les contrats de travail à durée déterminée sont requalifiés en un contrat de travail à durée indéterminée à temps plein

Puis FIXANT le salaire mensuel de référence du salarié prime d’ancienneté comprise; 

CONDAMNE la société France télévisions à l’indemniser pour près de 200.000€ (à titre notamment de rappel de salaire et congés payés afférents indemnité de requalification, d’indemnité conventionnelle de licenciement, d’indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse avec un copieux article 700 en prime)

DIT que les intérêts au taux légal portant sur les condamnations de nature indemnitaire sont dus à compter du présent arrêt et que les créances de nature salariale produisent intérêts au taux légal à compter de la réception par l’employeur de sa convocation devant le bureau de jugement ; 

DIT que les intérêts échus, dus au moins pour une année entière, produisent intérêt dans les conditions prévues à l’article 1343-2 du code civil ; 

CONDAMNE la société France télévisions à rembourser à l’organisme concerné les indemnités de chômage éventuellement servies à hauteur de 4 mois…

(*)



jeudi 6 mars 2025

Arcom 2025: Schrameck sors de ce corps.

Arcom 2025:  Schrameck sors de ce corps.

Depuis la  parution hier dans La Lettre, de l'excellent article "France TV : les préparatifs de la course à la présidence" et particulièrement le très édifiant encart à la fin concernant le processus de désignation via l'Arcom, le scénario que détaille Catherine Boullay à de quoi  laisser pantois.

Chacun imagine bien que la journaliste qui la veille publiait un papier sur le scandale des cartes "coporate" à France Télés, conduisant dans les jours qui viennent au dépôt d'une nouvelle plainte pénale, ne l'a évidemment pas inventé. 

Elle cite d'ailleurs Martin Ajdari le successeur de ROM et de Schrameck pour écrire "Le compte à rebours est enclenché pour l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) qui doit trouver un successeur à Delphine Ernotte-Cunci à la tête de France Télévisions d'ici au 22 mai. Le calendrier – serré – de la procédure de nomination sera annoncé dans les tout prochains jours (lire notre encadré). Si l'autorité menée par Martin Ajdari est tenue de faire son choix en toute indépendance, le profil retenu pour la future tête du groupe audiovisuel public sera particulièrement scruté par Matignon et l'Élysée. Le poste est d'autant plus sensible que le mandat courra de 2025 à 2031 et que l'heureux élu sera donc

Elle ajoute "Pour attirer d'autres profils, notamment de professionnels en poste, l'Arcom envisage de faire une entorse aux intentions de transparence en accordant la confidentialité aux candidats employés dans d'autres médias ou entreprises, afin de leur permettre de défendre leurs projets et de passer les auditions."


Hallucinant...Annoncer sans en avoir d'ailleurs débattu en séance plénière, en impliquant au passage l'ensemble des membres de l'instance au risque de les instrumentaliser voire de les décrédibiliser, est totalement inconscient...

D’autant plus ahurissant que le message message principal qui ressortait des fameux EGI - les États Généraux de l'Information - "était "la totale transparence de l’Arcom pour la nomination des présidents du service public"…proposition que validait alors à 100% Bruno Patino qui aurait bien les faveurs (mais chut !) du toujours Secrétaire général de l’Élysée!

"Un profil d'économiste" serait même celui recherché pour ne pas dire mis en avant par l'Arcom se murmure-t-il en coulisses - Tiens donc ! - en contravention flagrante avec la loi, soit- dit en passant.

Avec en filigrane, le retour aux méthodes Schrameck de 2015 qui avait conduit au parachutage de l'ex-Orange dont les conditions avaient été dénoncées à l'époque par l'ensemble de la presse unanime et fait l'objet d'une plainte, véritable déni de Démocratie et coup de canif évident à l'arsenal législatif que remettait récemment en lumière, il y a peu, OFF INVESTIGATION (¤ ci-après)

Selon nos informations, tout serait déjà "calé" depuis plusieurs semaines après qu'un triumvirat en ait décidé...le choix devant resté extrêmement secret donc sous couvert d'une totale confidentialité, jusqu'au catapultage.

Pourtant, comme dit le proverbe gabonais : "La faute est comme un galet glissant : celui qui ne fait pas attention bute et tombe."

(¤)


Voici l'encadré du texte précité.

"Si l'Arcom s'en tient à la loi, elle a jusqu'au 22 mai pour nommer un candidat à la présidence de France télévisions. À la fin de la semaine ou en début de semaine prochaine, elle doit rendre publique la date butoir pour la réception des projets des candidats, puis, en avril, le calendrier des auditions. 

Pour le régulateur, une question reste tout de même en suspens : l'inscription ou non à l'ordre du jour de l'Assemblée de la proposition de loi (PPL) du sénateur Laurent Lafon visant à la création d'une holding de l'audiovisuel public. La conférence des présidents, qui doit se réunir – sauf imprévu – mardi 11 mars, déterminera si elle est bien inscrite à l'ordre du jour le 7 avril, comme le souhaiterait la ministre de la culture, Rachida Dati

Se posera alors la question du vote. Si Les Républicains et les macronistes se prononceront bien pour la PPL, le Parti socialiste et La France insoumise voteront contre. Afin d'obtenir l'abstention du Rassemblement national, il faudrait y adjoindre un chapitre sur l'audiovisuel privé qui lui tient à cœur, ce qui compliquerait encore l'affaire. À ce stade, François Bayrou préférerait voir l'idée de la holding abandonnée purement et simplement. 

Dans l'hypothèse où la PPL serait adoptée, l'Arcom sera amenée à se prononcer sur la nomination automatique ou non du futur patron de France télévisions à la tête de la holding." 

mercredi 5 mars 2025

Bim la procédure de désignation à la présidence de France Télés décalée et secrète... B.A.M. pour une nouvelle partie de billard à trois bandes !!! Surréaliste.

Bim la procédure de désignation à la présidence de France Télés décalée et secrète... B.A.M.  pour une nouvelle partie de billard à trois bandes !!! Surréaliste.

La une de La Lettre ce matin toujours bien informée malgré les attaques et autre médisances aussi vaines qu'inutiles de certains faiseurs pour ne pas dire magouilleurs, destinées à tenter de discréditer tel ou telle, ne manque pas de piquant.

Se retrouvent donc, en première page 2 titres côte à côte :

Le premier dans qualifiée d'événement "France TV : les préparatifs de la course à la présidence", le second concernant les problèmes du toujours patron de Carrefour "Les trois nuages qui menacent Alexandre Bompard" (*)

Et B.A.M. ne pas confondre avec un autre acronyme le BAM (Business Activity Monitoring...en français la supervision des activités de l'entreprise) - quoi que ! - qui pourrait signifier pour leurs inventeurs, de gros ennuis rapidement en perspective...

A suivre très très vite

(*)



mardi 4 mars 2025

Après la plainte concernant les 112.123€ (*) dépensés au Majestic de Cannes, la CGC de l'Audiovisuel engage une nouvelle procédure pour détournement de fonds publics.

Après la plainte concernant les 112.123€ (*) dépensés au Majestic de Cannes, la  CGC de l'Audiovisuel engage une nouvelle procédure pour détournement de fonds publics.

Après les révélations hallucinantes de La Lettre, ce 4 mars, dans son excellent article "France télévisions serre la vis sur les notes de frais", la  CGC de l'Audiovisuel engage une nouvelle procédure pour détournement de fonds publics.

"Confrontée à des dérives sur l'utilisation de la "carte corporate" réservée aux journalistes et aux cadres dirigeants, la direction de France TV a choisi d'en restreindre l'utilisation. Le groupe audiovisuel reste flou sur les sommes engagées" écrit le titre de presse qui interroge "Dans le rouge, les comptes de France télévisions ont-ils été affectés, même légèrement, par une négligence dans la gestion des notes de frais ?"

Le blog CGC Média qui a récupéré la note qu'évoque Catherine Boullay dans son papier (¤) a décidé des saisir le Procureur de la République et de déposer plainte au Pénal pour détournement de fonds publics, complicité et recel prévu à l'article 432-15 contre la représentante légale encore pour quelques jours de France Télévisions Delphine Ernotte et toute personne que l'instruction judiciaire mettra en lumière.

Modifié par LOI n°2020-1672 du 24 décembre 2020 - art. 30 (V)

"Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, un comptable public, un dépositaire public ou l'un de ses subordonnés, de détruire, détourner ou soustraire un acte ou un titre, ou des fonds publics ou privés, ou effets, pièces ou titres en tenant lieu, ou tout autre objet qui lui a été remis en raison de ses fonctions ou de sa mission, est puni de dix ans d'emprisonnement et d'une amende de 1 000 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit de l'infraction.

La peine d'amende est portée à 2 000 000 € ou, s'il excède ce montant, au double du produit de l'infraction, lorsque l'infraction est commise en bande organisée."

"Dans une communication interne diffusée le 18 février et intitulée "Repères managers", la direction financière du groupe audiovisuel public adresse un avertissement à ses cadres dirigeants : "Nous constatons une recrudescence d'utilisation de certaines cartes bancaires ‘corporate' à des fins personnelles [et] une augmentation des impayés imputés sur le compte bancaire de France Télévisions..." précise La Lettre (¤)

Le titre de presse qui a visiblement tenté de connaitre le nombre de salariés concernés et le montant global, s'est vu opposer une fin de non recevoir : "Contactée, la direction de France Télévisions n'a pas été en mesure de préciser le montant des impayés ni d'indiquer le nombre de cartes corporate en circulation", enfonce le clou "Fournie par la banque CIC, cette carte bleue permettait jusqu'ici aux cadres et aux journalistes d'effectuer jusqu'à 4 000 € d'achats chaque mois et de retirer jusqu'à 1 000 € par semaine en liquide.

Avec un avantage : les sommes dépensées ne sont débitées que deux mois plus tard. Une facilité qui évite notamment aux journalistes en reportage à l'étranger d'avancer leurs frais de mission sur leurs deniers personnels." 

Le blog CGC Média est en mesure, selon ses sources, de compléter l'information en précisant que si plusieurs centaines de cartes corporate ont été distribuées, les conditions d'utilisation sont effectivement différentes entre lesdits 200 Top Managers qu'Ernotte convoque en Webinaire tous les mois (200 voire beaucoup plus!) dont elle a pourtant la liste et certains journalistes qui partent en mission et l'utilisent plus comme des avances de régie.









Le titre de presse d'indiquer enfin "De nouvelles règles ont ainsi été édictées et encadrent, à compter de ce mois de mars, l'utilisation de cette carte bancaire business accordée, selon les estimations de La Lettre, à environ 1 000 salariés. 

La direction financière a donc décidé de ramener la durée du débit différé de 55 à 40 jours. Quant au plafond hebdomadaire de retrait d'espèces de la carte corporate dans son profil standard, il a été diminué de 1 000 € à 500 €."

(*)







lundi 3 mars 2025

Après François Hollande (*), Ernotte espère probablement mettre en scène Julie Gayet pour parler d'elle ? Pathétique !

Après François Hollande (*), Ernotte espère probablement mettre en scène Julie Gayet pour parler d'elle ? Pathétique !

Lors du 26ème Festival de la fiction de La Rochelle en septembre 2024, Julie Gayet s'est entretenue avec quelques journalistes dont Puremédias pour évoquer la diffusion de son téléfilm sur Olympe de Gouges que France 2 diffuse ce lundi 3 mars à 21h10.

C’est gros comme une maison.

Ce 3 mars – la date n’est pas choisie au hasard –à quelques heures de la publication par l’Arcom des modalités et du calendrier de candidature à la présidence de France Télés dont la nomination visant à élire enfin une nouvelle tête pour prendre les rênes  du groupe public devra intervenir dans les tous premiers jours de mai,  l’ex-Orange, a choisi de programmer Julie Gayet dans le rôle d’Olympe de Gouges que France 2 diffuse donc ce soir à 21h10. C’est une interview que Julie Gayet avait donnée lors du 26ème Festival de la fiction à La Rochelle, en septembre 2024, que Puremédias a décidé de mettre en ligne pour que cette dernière indique comment elle voyait son personnage à cette époque, cette femme de lettres, humaniste, qui en 1791 rédigeait  "La déclaration des Droits de la femme et de la citoyenne".

« Julie Gayet révèle pourquoi cette mère du féminisme l’a tant inspirée et continue d’éclairer le chemin pour la défense des droits des femmes auxquels elle est tant attachée. » écrit le titre de presse, citant l la comédienne qui dit avoir  fait le choix de voir la film sur France 2 : "Mais si, souvenez-vous, c'est la première statue qui sortait de l'eau".

C’est bien à cette héroïne méconnue que Julie Gayet a bien failli ne pas oser incarner le rôle à l'écran, tant son admiration pour elle est immense et pas de l’ex-Orange dont elle passe plus de temps à parler dans les extraits choisis.

Exemple, à a question « Avez-vous présenté le projet à d'autres diffuseurs que France Télévisions ? », elle répond « Absolument pas. C'était une vraie volonté de notre part de le faire pour et avec le service public. Quitte à mettre en lumière ce personnage de l'histoire, autant le faire avec le groupe le plus pertinent pour nous. Dès nos premières discussions on a reçu un accueil incroyable du service public. On préférait être programmé à 21h10 sur France 2 plutôt que de tenter l'aventure au cinéma ou on aurait fait 150.000 entrées, 300.000 maximum. On voulait vraiment que ce film soit vu par le plus grand nombre. C’était vraiment un choix. » 

Tout juste si Ernotte ne serait pas la Olympe de Gouges du 21ème siècle !

Pensant probablement que le téléfilm arrivant à point, la seule candidature d’un journaliste homme le seul à pouvoir lui barrer la route, fut-il de TF1 en binôme ou pas, ne ferait pas le poids face à le seule femme en lice !

Cela tend à prouver que que tout était programmée…Seulement voilà, une plainte pour détournement de fonds publics déjà en cours, devrait très vite se doubler d’une nouvelle procédure judiciaire du même tonneau qui ne devrait pas arranger les bidons de « la dame du Majestic » (¤)

Julie Gayet qui fait la campagne d’Ernotte avant le process de nomination…montre le peu de considération que certain(e)s ont de l’Arcom !

(¤)