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samedi 16 juillet 2022

Mr T détaille le sport estival en vogue à France Médias Monde: le renvoi de patate chaude.

"Mr T" détaille le sport estival en vogue à France Médias Monde: le renvoi de patate chaude.

C’est en maître d’hôtel que notre "Mister T" a décidé cette fois-ci de nous régaler avec quelques amuse-bouche pour commencer avant de passer au plat de résistance juste après un vol-au-vent dont nos lecteurs vont se régaler.

Il n’est certes parvenu qu’à capter quelques échanges mais notre fin gourmet sait nous mettre l’eau à la bouche.

« On n’aura pas de problème, hein…avec ces serveurs réceptionnés mi-février qui seraient même déjà installés?! Il y avait bien tous les docs nécessaires et les formalités en amont avaient été remplies ? On serait mal avec du sans papier !» entend "Mr T" qui ne comprend pas vraiment de quoi parlent les deux convives car il n’a pas souvenir que le resto aurait signé pour de nouveaux venus !!

Notre homme pense qu’ils parlent d'autre chose mais reste à l’écoute, particulièrement lorsque les deux convives évoquent « la commande pour savoir si elle avait bien été passée ? ». Il rapplique dare-dare avec son bloc pour noter.

A la table d’à côté, deux financiers qui ont entendu la conversation, eux comprennent. « C’est à désespérer cette boite. Il est proche le jour où il y aura un gros problème qui ne passera simplement plus et là tout ça éclatera » lance l’un à l’autre.

"Mr T"  revient à la charge mais se fait doucement rembarrer lorsqu’il demande « Vous allez prendre ? » à celui qui rétorque du tac au tac, un brin tendu « avant de prendre faudrait déjà que ce soit prouvé »Là quand même, notre homme a des raisons d'être largué !! 

Moins visiblement que nos deux financiers toujours à la table à côté qui persifflent encore « s’il croient que machin va couvrir et écraser, ils se mettent le doigt dans l’œil ». La petite tablée ajoute « Il faut dire que livrer et installer des centaines de milliers d’euros de matériel avant qu’un bon de commande n’ait été émis et sans le moindre appel d’offres, prétendant que pour une location-vente il n’y en a pas besoin, ça frôle l’amateurisme » !

Tout ça c’est du romain voire du grecque pour notre "Mr T" qui en perd son latin ! 

Notre gorge profonde retrouve alors les deux compères n’ayant n’ont toujours pas passé leur commande et leur suggère le plat du jour « une estouffade à la patate douce »« Si vous pensez que la patate chaude  je vais la garder pour moi, vous vous trompez…je n’ai pas l’intention de tomber tout seul » éructe furibard celui qui se sentant visé, lâche « Nous serons au moins 10 à payer la note »!!

« Ah vous attendiez du monde pour manger, je m’disais aussi » lance "Mr T" qui semble avoir enfin compris et répond « Vous savez dans le resto les chaises sont solides et il n’y a aucune raison, chez nous, de se retrouver le derrière par terre »

Notre impayable causeur conclut « Pour l’addition on fera comment ? On partage! ».

vendredi 15 juillet 2022

Risque d’inconstitutionnalité pour la suppression de la CAP (ex-redevance) !

Risque d’inconstitutionnalité pour la suppression de la CAP (ex-redevance) !

C’est un article publié par Le Monde et signé Sandrine Cassini qui souligne ce risque, en faisant référence aux rapports qu’avait commandé Jean Castex à l’IGF et l’IGAC en octobre 2021.

« L’indépendance de l’audiovisuel public est garantie par la Constitution, estime un rapport de l’inspection générale des finances et de l’inspection générale des affaires culturelles… » écrit le quotidien qui poursuit « L’indépendance de l’audiovisuel public est garantie par le Conseil constitutionnel et découle de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. Alors que la suppression de la contribution à l’audiovisuel public (CAP) sera étudiée à partir du jeudi 21 juillet à l’Assemblée nationale, dans le cadre du projet de loi de finance rectificative »

Le titre de presse précise que c’est en tout cas « le fil rouge du rapport de l’inspection générale des finances et de l’inspection générale des affaires culturelles rendu public le 13 juillet »

Extrait

« L’ex-premier ministre leur avait demandé d’étudier, dans le cadre de la fin de la taxe d’habitation à laquelle elle est adossée, une réforme de cette taxe, qui rapporte 3,1 milliards d’euros par an et qui finance France Télévisions, Radio France, Arte, France Médias Monde et l’Institut national de l’audiovisuel.

L’annonce par Emmanuel Macron, en mars, de la suppression de ce prélèvement de 138 euros par an et par foyer les a obligées à réorienter leurs travaux afin d’évaluer les risques de cette réforme du financement de la télévision et de la radio publiques.

« Volatilité des financements »

Selon l’administration, le Conseil constitutionnel pourrait tout simplement « censurer » une mesure qui revient à remplacer « une ressource dédiée par un financement par le budget de l’Etat ».

« Le principe d’indépendance de l’audiovisuel public est protégé y compris dans sa dimension financière » rappellent les fonctionnaires, aussi bien en France qu’en Europe, où les textes confèrent aux médias publics « une importance vitale pour la démocratie » or, la suppression pure et simple de cette taxe affectée pourrait entraîner « une volatilité des financements, là où la CAP constituait un socle stable ».

Avec à la clé, le « risque d’attrition » des budgets, comme le démontrent certains exemples à l’étranger. L’Espagne et les Pays-Bas, qui ont fait ce choix il y a longtemps, « se caractérisent par un audiovisuel public plus faible »….

Autre risque, la budgétisation pourrait également les pousser à recourir à plus de publicité. Leur image pourrait également pâtir à l’étranger, où ils pourraient « être perçus comme [des] médias d’Etat ». Enfin, leur indépendance éditoriale serait aussi menacée, toute émission critique pouvant potentiellement être sanctionnée par une coupe budgétaire. Le risque de déplaire se traduirait alors par de « l’autocensure ».

Il faut dire que le passé ne plaide pas en faveur de la parole de l’Etat actionnaire, qui a revu à la baisse, avec la régularité d’un métronome, les subsides de l’audiovisuel public ces dernières années. Entre 2011 et 2022, il lui a reversé 1,1 milliard d’euros de moins que son engagement initial (− 3 %). Les contrats d’objectifs et de moyens (COM), censés donner de la visibilité aux entreprises publiques, n’ont pas été respectés.

Commission garante de l’indépendance

Ainsi, France Télévisions, dont les ressources devaient croître entre 2011 et 2015, a vu cette promesse remise en cause à mi-parcours. Rebelote au COM suivant, quand la trajectoire budgétaire de 2016-2020 a été revue en 2018, l’Etat lui imposant une économie de 190 millions d’euros. « La seule période où l’Etat a respecté ses engagements fut précisément à partir de 2018, où les dotations allouées se trouvaient à la baisse ».

Pour éviter ces effets pervers, l’administration recommande au gouvernement de mettre en place une « commission garante de l’indépendance financière », qui pourrait expertiser les besoins de la radio et de la télévision publiques. Ce qui découragerait Bercy de porter des coupes arbitraires au gré des besoins des finances publiques. Plus ambitieux, les fonctionnaires suggèrent également une modification constitutionnelle capable de « rendre contraignante » une trajectoire financière pluriannuelle.

[ Et encore une commission ! ndlr ]

Y déroger nécessiterait ainsi « une majorité qualifiée ». Sans aller aussi loin, l’administration propose aussi un mécanisme qui éviterait les révisions budgétaires en cours d’année. A court terme, elle invite surtout à mettre en place un « scénario transitoire entre 2022 et 2024 », qui consisterait à affecter une « fraction d’un impôt existant (…) dans l’attente d’une situation pérenne ».

[ Bonjour l’usine à gaz ! ndlr ]

Le 13 juillet, les députés ont adopté en commission des finances la suppression de la redevance, sans qu’aucun mécanisme de substitution n’ait encore été proposé.

Entre la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, farouchement opposée à la suppression de la CAP, et le Rassemblement national, favorable à la privatisation de France Inter et de France 2, le gouvernement sait qu’il marche sur une ligne de crête ».

Tout cela est effectivement très juste et sonne comme un nouveau désaveu aux fluctuantes positions d’Ernotte, la seule il y a quelques semaines à affirmer devant les sénateurs qu’elle était pour la fusion des 4 entreprises de l’Audiovisuel public et qui 13 juillet devant des députés, osait cette cynique, pathétique et minable formule « à France Télés on est en plan social depuis dix ans » !

Il faut dire qu’à l’été 2015, l’ex-Orange admonestait le gouvernement et prévenait « France Télés, ce sera fromage et dessert » et qu’aujourd’hui elle accuse quasiment Emmanuel Macron et ses gouvernements d’être responsable des plans de licenciements massifs qu’elle a mis en place et qui sont en parfaite corrélation avec ces flopées de directeurs et autres conseillers qu’elle a nommés dans l’entreprise (à commencer par son ex-dircab) faisant prendre à la masse salariale des plus gros salaires une sacré claque ou ces méga contrats passé avec les Brut, Médiawan, Banijay et consorts!

Il réagit quand Vulcain qui forgeait les éclairs de Jupiter ?




Les deux derniers articles du Canard enchaîné sur FMM (*) qui font bondir Bercy !

Les deux derniers articles du Canard enchaîné sur FMM (*) qui font bondir Bercy !

Jean-Marie Brinon, le chef de mission de contrôle général économique et financier, dépendant de Bercy et affecté depuis le 16 octobre 2017 à la mission « Médias-Culture » du contrôle général économique et financier, devrait très vite s’intéresser aux révélations du Canard enchainé, plus particulièrement s’agissant de toutes ces boites de prestations qui « se sont partagés le gâteau à France Média Monde et se le partagent toujours » en dépit des règles en vigueur concernant les marchés publics.

« Tout monde savait » assène « Mr T » qui parle d’un signalement destiné à ne plus se taire au regard de tout un tas de dysfonctionnements (pour ne pas dire plus) qui laisserait pantois le contribuable moyen ou le salarié lambda de FMM !

Il devrait très vite exiger, selon nos informations, d’avoir en main l’ensemble des éléments concernant l’achat - location longue durée avec option d'achat serait plus juste - via une filiale d’Aski-da Taldea qu’évoque le palmipède, à savoir l’appel d’offres puisque c’est une obligation légale préalable en matière de deniers publics puis le bon de commande, celui de livraison et enfin la facture avec le détail des signataires.

Celui dont le bulletin officiel de l’administration centrale du ministère de l’économie et des finances et du ministère de l’action et des comptes publics a publié par décret la nomination et qui est normalement chargé de tout vérifier et contrôler avant coup la totalité des achats et autres commandes publiques, va donc devoir mettre les bouchées doubles pressé par Bercy de montrer des résultats.

Pas plus le ministre que la Cour des comptes n’ont apprécié de découvrir le fonctionnement systémique qui règne à FMM et que décrit Le Canard : « Depuis une dizaine d’années on observe d’étranges va-et-vient des personnels entre les sociétés privées [prestataires, ndlr] qui refourguent des salariés à FMM...tout en décrochant de juteux contrats ou marchés publics avec ce groupe. Inversement, on ne compte plus le nombre d’anciens employés de France Médias Monde ayant créé ou rejoint des entreprises devenues des partenaires privilégiés de la maison mère de France 24 et de RFI. 

Parmi les plus beaux exemples : le groupe audiovisuel à Aski-da Taldea spécialisée dans la formation professionnelle et la maintenance des systèmes de production qui, depuis une dizaine d’années fournit des prestations à FMM après avoir refourgué deux hauts responsables de la formation à France 24…»

Ou bien de « La société de câblage Avenir qui travaille, elle aussi, pour FMM qui après avoir décroché plusieurs marchés, a été racheté en 2022 par l’ex-dirlo adjoint des services informatiques du groupe public Yvan Denis qui explique simplement qu’il n’y a « Rien d’étonnant à ce que des sociétés privées et publiques débauchent des salariés des experts entre elles ; le marché du technicien étant très tendu… » ou encore de Prosidie « la boîte Informatique qui a œuvré des années pour France Medias  Monde dont l’ex-directeur Thierry Fanchon est depuis 2018 Directeur [Technique et des Systèmes d'Information] à FMM »...pourtant un proche de "Mr T" sur lequel ce dernier n'hésite pas à taper !! (profil Viadeo ci-après)


« S’il n’y avait que ça » s’égosille « Mr T » qui cite pour l'occasion une de ses relations (un sénateur laisse-t-il entendre !) qui aurait lancé selon lui : « Avec la fusion des 4 sociétés de l’Audiovisuel public, fini ceux qui cachetonnent un peu partout...ils vont devoir réviser leur plan de carrière les loulous ».

Ce n’est pas en punissant les salariés qui pour une très grande majorité subissent depuis des années qu'on règle les problèmes, mais en sanctionnant celles et ceux qui transgressent allègrement les règles comme ce fut le cas à France Télés avec la condamnation de Carolis dans le volet télé de Bygmalion.

A suivre donc

(*)

jeudi 14 juillet 2022

Des maris derrière leur épouse face à Emmanuel Macron.


Des maris derrière leur épouse face à Emmanuel Macron.

Ce 14 juillet 2022, Emmanuel Macron qui ne s'est plié à l'exercice de l'interview du 14 juillet qu'une seule fois lors de son premier quinquennat, est interrogé cette année par madame Vix et madame Solly.

Autrement dit Anne-Claire Coudray et Caroline Roux qui pendant une heure environ ont interrogé le président de la République sur de très nombreux sujets.

Les maris des deux journalistes (*) l'une de TF1 et l'autre de la télé publique, étaient bien entendu derrière leur petit écran pour regarder leur épouse  attendre des réponses à leurs nombreuses questions comme la guerre en Ukraine, la crise énergétique, le pouvoir d'achat, la réforme de l'assurance-chômage, les retraites, Uber Files, etc....Rien sur la suppression de la CAP (ex-redevance) et l'avenir de l'Audiovisuel public!

(*) Découvrez-les ci après




"Mr T" lance le feuilleton de l'été à France Médias Monde

"Mr T" lance le feuilleton de l'été à France  Médias Monde.

Pour éviter d'être découvert, "Mr T" ce haut cadre de FMM a décidé de feuilletonner cet été, en balançant jour après jour des noms qui manquent dans l'article du Canard enchainé. Chouette.

Notre gorge profonde a choisi de prendre comme première exemple, le paragraphe du palmipède concernant le groupe audiovisuel à Aski-da Taldea. 

L'intarissable hâbleur rappelle que le groupe fondé en 2003, c'est tout un tas de sociétés qui bossent pour France Médias Monde (*) mais aussi France Télés comme le montre le lien Linkedin (ci-après)




"Depuis une dizaine d’années on observe d’étranges va-et-vient des personnels entre les sociétés privées [prestataires, ndlr] qui refourguent des salariés à FMM...tout en décrochant de juteux contrats ou marchés publics avec ce groupe. Inversement, on ne compte plus le nombre d’anciens employés de France Médias Monde ayant créé ou rejoint des entreprises devenues des partenaires privilégiés de la maison mère de France 24 et de RFI. 

Parmi les plus beaux exemples : le groupe audiovisuel à Aski-da Taldea spécialisée dans la formation professionnelle et la maintenance des systèmes de production qui, depuis une dizaine d’années fournit des prestations à FMM après avoir refourgué deux hauts responsables de la formation à France 24

L’un d’entre Loïc Baconnet est aujourd’hui le patron des antennes et de la programmation du groupe public." écrit Le Canard. 

"Mr T" ajoute que son actuel patron Nicolas Gautron qui a été quasiment présent au quotidien pour assurer la maintenance que sa boite facturait à FMM, à tel point que nombreux sont ceux qui pensaient qu'il avait toujours fait partie de l'entreprise (¤) facture aujourd'hui son fils toujours via sa structure pour les mêmes services..."Mr T" enfonce le clou en expliquant que. Il précise également que l'activité de maintenance n'est plus assurée par FMM  et que les contrats passés avec les 4 entités de cette société prestataire, se comptent aujourd'hui en plusieurs centaines de milliers.

"C'est toujours plus facile quand on est dans la place pour savoir quels sont les besoins afin de pouvoir y répondre"  bougonne "Mr T".

Notre intarissable causeur revient également sur les conditions du contrat passé par exemple avec Luxiris pour de  nouveaux serveurs que n'avait apparemment pas l'aval des Tutelle  selon nos informations mais qu'a pourtant validé toute une chaîne de responsables internes à commencer par le dégé de FMM Victor Rocaries sur les conseils, entre autres, de Thierry Fanchon (cité d'ailleurs par Le Canard - voir fin de post)

Il tient enfin à rappeler avant de passer au 2ème épisode du feuilleton concernant cette fois-ci Les Lapins bleus (une autre entité du groupe  Aski-da Taldea) l'article 40 du code de procédure pénale qui dispose "Le procureur de la République reçoit les plaintes et les dénonciations et apprécie la suite à leur donner conformément aux dispositions de l'article 40-1.

Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs."

Décidément, "il en a sous l'pied" comme il dit !

(¤)

mercredi 13 juillet 2022

Après l’article du Canard de ce mercredi, « Mr T » à la manœuvre !

Après l’article du Canard de ce mercredi, « Mr T » à la manœuvre !

Ils sont une poignée à France Médias Monde dont l’impayable « Mr T » qui ayant l’oreille de la présidente de l’entreprise, lui suggèrent de ne rien faire   après l’article du Canard enchaîné (*) de ce mercredi qui révèle l’invraisemblable organisation systémique en vogue à « France Médias Monde » depuis des années et dont il semble qu’elle n’était pas au courant.

Pas question pour un petit groupe dont les uns les autres se tiennent visiblement les coudes que l’Inspection générale des finances, la Cour des comptes et encore moins la Justice vienne fourrer leur nez dans leur turpitudes… « Tout est sous contrôle » se serait même vanté notre gorge profonde à FMM qui cherche en vain des lampistes en interne pour pouvoir continuer à balancer sans être, lui, découvert.

« Tout ce petit monde me mange dans la main » aurait même lâché imprudemment notre beau parleur à un directeur évoquant d’ailleurs un ensemble de preuves qu’il détiendrait soi-disant concernant l’affaire « 5 com » qu’évoque le journal satyrique…il va pouvoir les remettre aux organes de contrôle de l’Etat comme à la Justice qui devrait être s’intéresser de très près à ce « va-et-vient de personnel entre des sociétés privées qui refourguent des salariés à FMM  » [et selon, l’inverse est vrai également] que décrit le titre de presse et qui débouchent sur « ces juteux contrats » que mentionne le palmipède qui nous permet de comprendre cette énigme que livrait « Mr T ».  

« Aski-Da Taldéa » et non Askida…Ce serait donc ça la tentaculaire boite de prestation aux multiples filiales (Luxiris, Woody, Les lapis bleus, etc…) en affaire avec FMM qu’évoquait notre gorge profonde et non un fabriquant de tablette ?!…La même « pieuvre » qui faisait s’étrangler « Mr T » le 11 mars dernier, dénonçant alors un achat alors hors les  règles en vigueur de énièmes serveurs malgré le véto de Bercy et de la rue de Vallois :« Pour pallier de soi-disant défaillances au niveau d’un système de stockage de l’entreprise publique et alors que les Tutelles avaient mis leur véto à un nouvel achat, quelques petits malins ont cru intelligent de les contourner avec un contrat de leasing …et  se sont arrangés pour passer une commande en location longue durée avec contrat de prestation pour l’entretien et comme finalité, au bout de deux ans, un rachat du matériel mais le matériel serait déjà sur place avant même que le bon de commande n'ai été établi mais surtout que l’appel d’offre - s’il y en a un ! - n’ait été lancé ».

Il semble bien d'ailleurs que le responsable de FMM qui commande les serveurs à Aski-Da vient lui-même  du groupe Aski-Da Taldéa ! 

Chacun imagine aisément que certains de ceux qui bossent pour les boites de presta que met en avant le Canard (et il y en a visiblement beaucoup plus) soient en colère de constater que ce sont toujours les mêmes qui passent au portillon quand eux font la queue !

C’est le cabinet d’avocats qui avait fait condamner définitivement Patrick de Carolis, Bastien Millot dans l’affaire dite Bygmalion/France Télés qui serait chargé de saisir la justice en fonction des informations dont il dispose, notamment les menaces faites au juriste du blog CGC Média après l’article du 10 mai dernier « ‘’Qui vend Denis’’ s'interroge « Mr. T » avec sa nouvelle charade ? »

(*)  

Le procureur de la République devrait être saisi…

Le procureur de la République devrait être saisi…

Celles et ceux qui savaient et qui ont laissé faire devront répondre de cette invraisemblable organisation devant la Justice…le blog CGC Média commence à comprendre que « Mr T » en avait encore dans sa besace! 

C'estle respect des règles de commande et d’achats publics qui semble bien en cause…et au lieu de s’en préoccuper FMM cherche à savoir comment punir d’éventuels lanceurs d’alerte que la loi protège! 

Demandez donc aux déçus des boites en question, ce qu’ils en pensent ou bien à celui qui était à l’écoute et qui n’est pas très content du recommandé avec un possible 2ème effet Kiss Cool  qui lui a été adressé !

A suivre donc car les nouvelles énigmes de « Mr T »  devraient intéresser les juges, l’IGF et la Cour des comptes autant que nos lecteurs.

Jusqu’à quand Emmanuel Macron et son gouvernement vont-ils supporter Ernotte et son cercle restreint ?

Jusqu’à quand Emmanuel Macron et son gouvernement vont-ils supporter Ernotte et son cercle restreint ?  

Alors que BFM TV continue de développer ses chaînes locales (*) l’ex-Orange qui s’est déclarée devant les sénateurs pour mettre en œuvre la fusion des entreprises de l’Audiovisuel public, a publiquement indiqué la semaine dernière l’arrêt en 2023 des JT du 12/13 et du 19/20 sur France 3.

(*)  

Elle aurait dû s’en expliquer aujourd’hui devant les instances mais elle était trop occupée devant sa webcam, à faire croire à un chat « en direct » avec les salariés ! 

Ni son ex-dircab qui,selon nos informations, enchaine les rendez-vous en interne pour trouver le remplaçant de Laurent Guimier (à quel titre du reste?), ni ce dernier qui tentait lui, ce matin,  de déminer à France Info comme à la rédaction nationale les annonces de l’infirmière TV lançant le projet Tempo, ni le directeur du réseau régional France 3 peu audible depuis sa nomination, n’avaient jugé nécessaire de faire face aux salariés.

La toujours DRH Laurence Mayerfeld n’étant pas dans la place pour cause de « burn out » mais dont les jours sont comptés (selon nos sources qui parlent d’un véritable désaccord entre elle et le 8ème étage) échappe cette fois-ci à la fronde reculée pour mieux sauter disent certains. L’objet de la brouille : les consignes passées de mettre en place un plan pour balancer un maximum de rédacteurs en chef, de rédacteurs en chef adjoints et autres responsables !

Surement là surement une info qui va faire comprendre aux journalistes pour quoi ces gens ne sont pas pressés de s’expliquer… Raconter au Secrétaire général de l’Elysée (quasiment le seul soutien qui reste à Ernotte et répète depuis 2017 qu’elle fera la job) c’est une chose, chanter en permanence aux médias comme à quelques 200 hauts cadres en webinaire que tout va bien, en est une autre. 

Lorsque le Chef de l’État et son gouvernement vont se réveiller il sera trop tard…il ne restera plus sur le faire-part actant la disparition de la télé publique qu’une courte épitaphe : « Emmanuel Macron m’a tué » !   

 


mardi 12 juillet 2022

France Télévisions ou le totalitarisme médiatique

France télévisions ou le totalitarisme médiatique.

Ce mardi 12 juillet avait lieu la séance du CSE Siècle à France Télévisions. La direction qui avait rajouté le point sur Tempo à l’ordre du jour - c’est-à-dire la suppression des éditions de France 3 des JT de la tranche 12/13 et 19/20 - n’a pas voulu traiter ce point, expliquant ne pas être encore prête.

Après deux suspensions de séance, l’ensemble des présents a exigé que ce point soit traité non pas par le président de séance mais bel et bien par le directeur de l’information ou l’ex-Orange qui ont refusé.

Une motion a été rédigée consacrant le fait que la séance ne reprendrait pas dans de telles conditions (*) 

Le président a expliqué qu’il allait continuer à dérouler l’ensemble des points inscrits à l’ordre du jour,  tout seul si il le fallait, ce qui de facto positionne l’entreprise en situation d’entrave.

(*) 

Le SNJ dénonçait pour sa part ce nouvel affront de la direction qui continue de casser la télé publique...exsangue depuis l'été 2015.  (ci-après)


lundi 11 juillet 2022

Les suites de la défiance votée à France Télés contre Laurent Guimier.

Le bureau de la Société des Journalistes de France 2 rappelle aujourd'hui aux journalistes de se rendre nombreux dans le cadre de "la Rencontre Rédaction/Direction de l'Information et son Projet Tempo"

"Le bureau de la SDJ de France 2 se permet de vous rappeler la réunion organisée demain, mardi 12 juillet à 14H30, par la Direction de l'Information, au niveau de l'espace de convivialité du 5ème étage.

En effet, Laurent Guimier viendra à la rencontre de la rédaction pour échanger sur les annonces importantes de la semaine dernière, et notamment la disparition des éditions nationales de France 3.

Vous n'êtes pas tous réceptionnaires des mails de la Direction, raison pour laquelle nous nous permettons de vous rappeler ce rendez-vous. Car il nous paraît capital que vous soyez nombreuses et nombreux à cette réunion, afin de poser toutes vos questions sur les projets à venir."

L'ambiance devrait être chaude nonobstant les températures extérieures !

dimanche 10 juillet 2022

France Télés amplifie sa guerre contre les seniors…l’ex-Orange s’attire les foudres de Patrice Laffont (et toujours des téléspectateurs).

France Télés amplifie sa guerre contre les seniors…l’ex-Orange s’attire les foudres de Patrice Laffont (et toujours des téléspectateurs).

Le blog CGC Média a déjà commenté sans son article « Sale Tempo pour France 3 avec cette stérile conférence de rentrée ernotienne »  le vide sidéral qui entourait mercredi dernier ce que certains osent appeler « conférence de rentrée ».

L’absence de « Plus belle la vie » qui ne sera donc plus à l’antenne après l’été…à moins que l’ex dircab ernottien ne décide de rediffuser des épisodes  comme c’est le cas pour de nombreux programmes, histoire de meubler un peu !

Quasiment aucune création et ce n’est surement pas la reprise de l’émission arrêtée par TF1 « MasterChef » qui prouvera le contraire. Une émission sur les influenceurs et la suppression des JT nationaux (* 12/13 et 19/20) privant les régions de ces rendez-vous qu’une immense majorité de seniors attendaient comme ils attendaient au quotidien « Des chiffres et des lettres » qu’ils ne retrouveront pas ! 

Patrice Laffont pousse d’ailleurs un coup de gueule contre France Télévisions dans Voici et en profite pour tacler Cyril Féraud.

(*)

Extrait :

« Après des années d'antenne, l'émission Des chiffres et des lettres ne sera plus diffusée quotidiennement sur France 3. Le jeu ne sera à l'antenne que le week-end, dès 17h. Un choix incompréhensif pour Patrice Laffont qui ne digère également pas que sa case soit reprise par Cyril Féraud.

C'est le choc pour Patrice Laffont. S'il n'apparaît plus sur le petit écran depuis un incertain temps, l'animateur de 82 ans n'est jamais très loin des plateaux télé. Celui qui était aux commandes Des chiffres et des lettres en est devenu le producteur artistique. Même derrière la caméra, il suit donc de très près l'évolution du jeu présenté désormais par Laurent Romejko.

Alors que le programme suit son chemin sur France 3 pour son fidèle public, France Télévisions a annoncé une très mauvaise nouvelle lors de sa conférence de presse de rentrée. Le jeu ne sera plus diffusé quotidiennement à 16h15 mais seulement le week-end à 17h. Un crève-cœur pour le papa d'Axelle Laffont qui voit son émission mise de côté. "Je suis profondément déçu de cette décision. C’est triste, a-t-il confié dans les colonnes de Nice-MatinL'ancien chroniqueur de Touche pas à mon poste a même été tellement sidéré par la nouvelle qu'il a failli prendre une décision radicale.

"J’ai même hésité à claquer et tout arrêtera révélé Patrice Laffont, très en colère contre France Télévisions. "D’ailleurs, ça aurait été plus cohérent d’y mettre fina-t-il assuré. On va essayer de se battre le temps que ça durera. On nous a dit que passer après Michel Drucker, c’était formidable. On verra en juin prochain si on nous mange ou pas." 

Très remonté, il n'a également pas été ravi que Cyril Féraud reprenne la case horaire pour animer son nouveau jeu, Duels en famille, le match des régions. Dans cette émission, deux familles de quatre membres viennent défendre les couleurs de leur région en s’affrontant chaque jour de la semaine, au cours de trois duels et une finale. A la clé : une cagnotte pouvant aller jusqu’à 13 000 euros. Pas de quoi faire rêver Patrice Laffont qui ne supporte visiblement pas l'omniprésence du jeune animateur à l'antenne. "Cyril ? Je l’aime beaucoup même s’il ne m’a pas appelé. Mais il en fait un peu trop, non ?", a-t-il lancé à Nice-Matin…. Avec SlamLe Grand Slam le week-endLa carte aux trésors ou encore sa participation à Fort Boyard dans la peau de Cyril Gossbo, Cyril Féraud est devenu celui sur lequel mise France Télévisions !