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samedi 30 septembre 2023

Les télés privées pas prêtes à enterrer la hache de guerre avec France Télévisions !

Les télés privées pas prêtes à enterrer la hache de guerre avec France Télévisions !

Les télés privées sont comme la majorité des personnels de France Télés, plus personne ne croit aux bobards distillés tout au long de l’année par l’ex-Orange et son ex-dircab. 

« Les téléphones entre le château et FTV ne fonctionnent plus, à part peut-être une ligne » confie ce manager  particulièrement remonté  qui ajoute « Il n’y a guère qu’avec la rue de Valois et sa toujours locataire prête à croire tout ce que lui raconte celle qui se trouvait parachutée à l’été 2015 que les lignes crépitent encore » !

Fabio Benedetti Valentini dans son article pour Les Échos « L’audiovisuel privé ne veut pas enterrer la hache de guerre face au service public », détaille leur ras-le-bol : « Alors que le marché de la publicité à la télévision sort d’un premier semestre 2023 assez noir et que la concurrence des plateformes comme Netflix et Amazon Prime Vidéo est de plus en plus vive pour les grandes chaînes historiques, la hausse prévue pour le budget de l’audiovisuel public (+6 % à 4,025 milliards d’euros en 2024) hérisse les chaînes privées ».

Le journaliste poursuit « "Ces montants très importants et en hausse rendent d’autant plus légitimes les demandes de l’ACP [Association des chaînes privées, NDLR] sur l’encadrement des pratiques publicitaires de France Télévisions’, déclare aux « Echos » un porte-parole de cette entité regroupant TF1, M6, Canal+ et Altice (BFMTV…) et qui avait envoyé en mai un courrier à la Première ministre pour dénoncer plusieurs avantages compétitifs dont jouirait France Télévisions. 

Plus personne ne gobant les racontars de l’infirmière TV sauf quelques parlementaires complaisants, les COM transgressés dès leur conclusion, il est par conséquent aisé de comprendre le mécontentement grandissant de l’audiovisuel privé.

« L’irritation des chaînes privées refait donc surface dans un contexte compliqué pour l’audiovisuel. » écrit encore le quotidien qui enchérit «  Esperent-elles encore faire bouger les lignes dans les futurs COM, et notamment celui de France Télévisions ? 

Le budget de ce groupe "ne doit pas alimenter une inflation des droits, notamment sportifs, au détriment de l’ensemble du secteur et sans bénéfice pour les téléspectateurs", poursuit le porte-parole de l’ACP. Une véritable "course à l’audience".

Selon les chaînes privées, même si la pérennisation des ressources du service public pour la création est en soi une bonne nouvelle, cela doit s’accompagner de nouveaux engagements de diversité des formats et d’obligations d’exposition sur les antennes les plus puissantes », avant de préciser « Toutefois, selon nos informations, le gouvernement s’oriente vers le statu quo en matière publicitaire pour France Télévisions et Radio France dans les futurs contrats d’objectifs et de moyens (COM) qui doivent être finalisés dans les prochaines semaines, et qui fixent la feuille de route du service public jusqu’en 2028. 

France Télévisions n’aurait cependant pas obtenu le droit de passer des spots publicitaires après 20 heures pour certains événements sportifs – ce qui limite sa capacité à se positionner sur certains droits sportifs. A en croire certains, et même si le groupe public s’en défend, en obtenant une exception France Télévisions aurait pu en particulier mieux monétiser la diffusion des Jeux Olympiques de Paris en 2024. »

« Sollicité pour un commentaire, France Télévisions n’a pu être immédiatement joint. » conclut quasiment le titre de presse…Rien d’étonnant !

« En creux, les chaînes privées qui s’estiment victimes d’une forme de concurrence déloyale font pression pour que la France lève certaines interdictions (réclames sur les produits alimentaires, livres…) vieilles de plus de trente ans qui ne leur permettent pas d’aller chercher des annonceurs que les acteurs du numérique peuvent séduire sans restriction » dans un marché audiovisuel tendu - ce marché qui pesait encore plus de 2 milliards d’euros en 2022 (mais qui est en baisse depuis plusieurs années) - dans le contexte des «  budgets en hausse pour les télévisions et radios publiques » (*) 

(*)

NB: Ils légions les observateurs et fins connaisseurs du secteur qui savent bien qui a soufflé les quatre priorités fixées soi-disant par le gouvernement :

- renforcer l’offre de proximité pour répondre aux besoins de Français et être plus proches de leurs préoccupations ; 
- déployer une stratégie numérique forte visant en particulier à reconquérir les jeunes ; 
- conforter le statut référent de l’information sur le service public ;
- sanctuariser le rôle des médias publics dans le financement de la création…

Quel pathétique spectacle ! 


vendredi 29 septembre 2023

A France Télés, l’ex-Orange fait mine de découvrir l’eau chaude et réunit ¼ seulement du "top management", las de la propagande ernottienne, pour supporter jusqu’où le bourrage de crâne pouvait aller !

A France Télés, l’ex-Orange fait mine de découvrir l’eau chaude et réunit ¼ seulement du "top management", las de la propagande ernottienne, pour supporter jusqu’où le bourrage de crâne pouvait aller !

Dans le cade des webinaires internes que l’infirmière TV organise tous les mois, celui de mercredi que l’intéressée voudrait faire passer pour les prémices d’une co-construction entrepreneuriale – Tu parles Charles  fut un véritable FLOP.

La Lettre A peut bien titrer aujourd’hui « Delphine Ernotte cherche à embarquer son top management sur la stratégie » et ajouter que cette dernière « a proposé hier [jeudi, ndlr] aux 200 cadres qui constituent son "top management" de consacrer cinq vendredis des deux mois à venir pour définir et rédiger le plan stratégique du groupe audiovisuel public », la réalité est factuellement tout autre.

Sur les 200 cadres du "top management" [notion très vague d’ailleurs, ndlr] 64 seulement étaient là au début de l’exercice imposé pour finir a 50 et des poussières à la fin de l’ennuyeuse et mensongère logorrhée. C’est-à-dire ¼ seulement des potentiels auditeurs.

La première des sanctions c’est bien celle-là. L’encadrement, qu’on l’appelle « top management », directeurs, hauts cadres, cadres sup…qui en a ras le bol de tant de bobards. Il l’a montré hier.

« Sur la base du volontariat, les directeurs, directeurs adjoints, chefs de service sont sollicités pour un brainstorming général avec notamment pour visée des gains de productivité, de transformation numérique et de polyvalence » précise le titre de presse qui poursuit « L'objectif est de proposer le plan mi-décembre en conseil d'administration, avant une présentation aux syndicats représentatifs en janvier ou février (2024) »

L’ex-Orange demanderait à une cinquantaine de personne qui ne seront qu’une poignée au bout du compte, un brainstorming général visant à une polyvalence de tous les instants et des gains de productivité sans la moindre stratégie et en ignorant la trajectoire comme elle leur a dit elle-même (*)… mais elle rêve.

(*) Verbatim du baratin servi la veille : 

« Les projets de gain de productivité qu’on réinvestira d’ailleurs pour une part dans des projets stratégiques, ils vont perdurer. Donc la trajectoire effective, moi j’la connais pas .

En revanche, je sais que être plus efficace, moderniser les outils de production, changer la façon dans ton travail, pour être sûr quand on regarde un français dans les yeux que l’argent qu’il met chez nous - parce que c’est quand même son argent à la fin - il est employé au mieux pour le servir en matière d’information et de programmes. Ça je crois que c’est une ardente obligation quoi qu’il arrive. »


Quel mépris de l’interne mais aussi des pouvoirs publics, de politiques et de la Représentation nationale qui l’on pourtant entendu dérouler stratégie de groupe et trajectoire dont elle dit aujourd’hui moi j’la connais pas !


Comme si une telle gaffe ne suffisait, la voilà qui consacre par cette grotesques adresse, le plan de départs massifs qui devrait intervenir après les JO que le blog CGC Média révélait il y a peu.

Découvrez là aussi le verbatim chanté au webinaire.

« À ce stade, on n’a pas de demande de baisser les effectifs mais je préfère corriger tout de suite: en revanche on a une obligation de moderniser, l’entreprise et d’être le plus efficace et productif possible. Pourquoi ? Parce qu’on vit avec l’impôt de tout le monde. Donc, la question de savoir est-ce qu’il faut continuer à se moderniser ? 

Est-ce qu’il faut continuer à faire à 10 ce qu’on peut faire à 2 ? La réponse est évidemment NON. » 

Puis d’enchérir « Contrairement à la dernière fois, il n’ a pas une demande stricte de baisser les effectifs car on les a beaucoup baissé depuis. Il faut dire qu’on a beaucoup bossé depuis. Moi j’ai passé mon temps à courir les auditions en disant STOP. Donc ça a été entendu quand même et je pense que tous les efforts ont été fait. 

Donc pour être claire, on va pas discuter avec les organisations syndicale d’un plan social.

En revanche est-ce qu’on discute organisation du travail ? 

Est-ce qu’on discute temps de travail ? 

Est-ce qu’il y a des bouts de l’accord collectif de de 2013 dont on va rediscuter

Bah ça oui, bien sûr que oui ! 

 Hallucinant…

Autrement dit, selon l’ex-Orange « Il n’ a(urait) pas une demande stricte de baisser les effectifs » mais il va falloir « faire à 2 ce qui d’habitude est fait à 10 » avec une couverture sociale annonce celle qui affirme qu’il faut « revoir des pans de l’accord d’entreprise signé en 2013 » ! Alors, soi-dit en passant, qu’elle a raconté aux parlementaires lors de tout ce temps passé à courir les auditions, que la baisse allait se poursuivre et pour cause, il suffit de lire ce qui suit. 

Le "top management" médusé n’a pas cru ce qu’il entendait.  


« Comment est-ce que ça s’appelle, supprimer 8 postes pour faire avec 2 ce qu’on faisait avec 10 en rognant sur les dispositions conventionnelles et développant la polyvalence à outrance ? » fulmine un de ceux qui ont subi jusqu’au bout ce flot de paroles totalement incongru : « Un plan évidemment…elle croit tromper qui avec son blablabla?  »

Enfin cerise sur la gâteau, l’ex-Orange vient de découvrir que sur les presque 200 millions supplémentaires que lui signait RAM - « L'opération de management participatif intervient après l'annonce de Rima Abdul-Malak, d'un budget de 2,568 milliards d'euros, en augmentation de 137 millions par rapport à 2023, avec une part variable de 50 millions d'euros pour France Télévisions » -  une bonne partie donc « étaient "conditionnée pour la première fois à la réalisation d'objectifs "» 


200 millions, 137 millions, 50 millions, 2,568 milliards tout ça c’est l’argent du contribuable…et Delphine qui découvre l’eau chaude ! 

Verbatim encore : 

«  Il faut que l’État ait confiance aux missions qui nous oblige. Mais il faut aussi mettre en avant la coopération. Évidemment, on en a déjà engrangé beaucoup des coopérations avec nos entreprises sœurs de l’audiovisuel public mais la puissance publique nous engage à aller plus loin, à maximiser tout ce qu’on peut faire ensemble.

Par exemple, on sait sur la proximité qu’il y a France Bleu la radio, France 3 la télévision. On a déjà décidé de faire un numérique commun mais on peut aller plus loin, comme on a déjà commencé à l’écrire avec la présidente de Radio France, pour s’accorder sur une ligne éditoriale commune, sur une marque unique, tous ces points qu’on s’attachera dans les prochains semaines, à détailler de façon plus précise… »

Surréaliste : « On s’attachera dans les prochains semaines, à détailler de façon plus précise les coopérations une ligne éditoriale commune, une marque unique, comme on a déjà commencé à l’écrire avec la présidente de Radio France » ! Dingue…on va le détailler mais on l’a déjà écrit !

C’est clairement se moquer du monde et par-dessus tout de ce « top management » de circonstance (hormis les ventripotents grassement payés, justement sur le dos des Français) convoqué mensuellement pour faire croire à une consultation alors que toutes ces inepties viennent des hautes sphères.

Un profonde pensée pour eux mais aussi pour l’ensemble des collaborateurs qui subissent depuis 8 ans, la descente aux enfers d’une télé publique en voie de perdition que quelques-uns continuent de dynamiter !

jeudi 28 septembre 2023

France Télévisions : façades Potemkine à tous les étages !

France Télévisions : façades Potemkine à tous les étages ! 

Dans le cadre de la pathétique propagande que déverse au quotidien le groupe de télés public aux personnels comme aux politiques et aux média, la com’ de façade à deux balles que France Télés tartine ces derniers jours pour tenter de faire croire à quelques gogos que tout serait sous contrôle et que l’ex-Orange en serait la cause, consterne autant qu’elle agace à tous les niveaux.  

C’est d’abord, la ridicule langue de bois voire le parler pour ne rien dire concernant le projet CAMPUS par lequel l’entreprise essaie de faire gober en interne à toutes celles et ceux qui vont déménager, emménager et réemménager, la plupart du temps dans des open space viraux qui poussent comme des champignons, que tout ce foutoir serait bénéfique !

Exemple du blablabla local sous trois chapitres plus ridicules les uns que les autres

« - Réunir tous les salariés franciliens du Groupe pour poursuivre la construction de l’entreprise commune,

- Renforcer le rôle social et fédérateur du bureau, en lien avec l’évolution en cours du rapport au travail

- S’ouvrir et se rapprocher des publics, contribuer à l’engagement RSE du Groupe


1) Réunir tous les salariés franciliens du Groupe pour poursuivre la construction de l’entreprise commune, c’est :- Réaffirmer notre identité et notre singularité

- Avoir des équipes qui se côtoient, se croisent et se connaissent

- Rapprocher les filiales de la maison-mère

- Se rapprocher pour être plus forts, plus cohérents et plus collaboratifs

- Positionner l’offre ultramarine en proximité immédiate de toutes les offres de France Télévisions

2) Renforcer le rôle social et fédérateur du bureau, en lien avec l’évolution en cours du rapport au travail, c’est :

- Solidifier le collectif

- Retrouver du sens à venir sur site (*)

- Repenser l’occupation de l’espace : être ensemble, se réunir ou s’isoler, tout est possible

- Consolider l’hybridation des modes de travail

(* retrouver du sens à venir sur site, c’est le constat qu’il n’y a en a évidemment plus !)

3) S’ouvrir et se rapprocher des publics et contribuer à l’engagement RSE du Groupe, c’est : 

- Avoir des nouveaux espaces de réception

- Favoriser des moyens de restauration et de déplacement plus responsables

- Accélérer nos pratiques vers plus de sobriété

- Renforcer la marque employeur…

 

Un extrait du gloubi-boulga que la propagande ernotienne balance aux collaborateurs imaginant les embobiner !

 Il y a aussi le message envoyé à tous hier sur l’air de « Ça vous plait, c’est moi qui l’ai fait ! » !

« La Ministre de la Culture a présenté cet après-midi la trajectoire financière 2024 – 2028 de France Télévisions.

Je tenais à partager avec vous tous ces orientations importantes pour l’avenir de l’entreprise. Elles s’articulent autour de 3 grandes notions : la confiance, l’ambition, les coopérations…. »

Accrochez-vous, ça déroule…Public trop crédule s’abstenir :

« Notre trajectoire pluriannuelle traduit d’abord un acte de confiance à l’égard de l’audiovisuel public, de France Télévisions et de ses missions. Bien qu’exigeante dans un contexte d’inflation, elle permettra de poursuivre, au cours des 5 prochaines années, les missions prioritaires de la télévision publique.

Dans un moment de guerre de l’information en Europe et dans le monde, de montée en puissance de l’intelligence artificielle et des fausses informations, de lutte pour la défense de notre souveraineté culturelle, la place de l’audiovisuel public comme pilier de notre démocratie et des industries créatives françaises est aujourd’hui réaffirmée.

Cette trajectoire traduit aussi une haute ambition pour France Télévisions. Elle impliquera en effet d’amplifier nos efforts et de porter toute notre énergie vers 4 priorités stratégiques, que je partage :

- l’information, et la place unique que nous occupons dans le décryptage de l’actualité, la lutte contre les fausses informations, le temps long et l’enquête ; 

- la proximité et la poursuite de notre stratégie pour être présent au plus proche des Français, dans tous les territoires - en régions, comme en Outre-mer ;

- l’intensification de notre projection vers le numérique et sur tous les canaux de diffusion pour que le service public continue à toucher la génération qui vient ;

- la poursuite de l’exposition exceptionnelle sur nos antennes de tous les arts, de la culture et de la création audiovisuelle et cinématographique française, en maintenant notamment un très haut niveau d’investissements.

Enfin, cette trajectoire traduit une exigence renforcée pour accélérer les coopérations entre sociétés de l’audiovisuel public. Des chantiers importants de transformations et de coopérations sont attendus pour accroitre notre empreinte territoriale avec Radio France, s’adresser aux jeunes publics, être présents partout où les Français consomment des contenus. France Télévisions sera force de propositions, en lien avec les autres entreprises de l’audiovisuel public, pour aller résolument dans ce sens.

Dans les prochaines semaines, et sur la base de cette trajectoire budgétaire, nous travaillerons à l’élaboration d’un plan stratégique pour l’entreprise. J’ai confié ce soir au top management le soin de réfléchir à des priorités partagées. Je reviendrai évidemment vers vous tous pour en tracer les contours au début de l’année 2024…

Enfin, il y a le mail sur la journée du 12 octobre destiné beaucoup plus à RAM, aux pouvoirs publics et à la Représentation nationale qu’aux collaborateurs du groupe mais destiné à occuper le terrain de la communication sur la fait que France Télés serait à la pointe et sur tous les fronts !




mercredi 27 septembre 2023

L’État français veut lever 285 milliards d'euros de dette sur les marchés financiers en 2024…réactions curieuses à France Télévisions !

L’État  français veut lever 285 milliards d'euros de dette sur les marchés financiers en 2024…réactions curieuses à France Télévisions ! 

« Dette: La France empruntera 285 milliards d'euros sur les marchés en 2024 » titre Le Figaro du jour qui s’étrangle « Du jamais vu » avant d’ajouter « Ce montant vient dépasser le record de 2023, qui s’élevait à 270 milliards d’euros. »



Curieuses réactions à France Télévisions après l’annonce faite ce mercredi par l'Agence France Trésor,  en marge de la présentation du budget de l'an prochain. 

«  C’est le signe que l’État va sortir le pépettes pour le prochain plan de départs après les JO » se réjouit presque ce collaborateur non éligible au dernier plan qui n’y était pas éligible ! 

«  C’est à cela que vont servir en gros les 200 millions/an que Rima Abdul-Malak file à Ernotte avec le COM » croit savoir cet autre qui comme une très large majorité de salariés n’attend que «  ce signal » pour se barrer !

«  L’État devra en outre amortir un montant de dette arrivant à échéance plus élevé en 2024 (160,2 milliards contre 149,6 en 2023). La charge budgétaire de la dette en 2024 est prévue en augmentation à 52,2 milliards d'euros en 2024, a indiqué l'AFT, alors que le gouvernement est confronté à une remontée des taux d'intérêt sur les marchés » détaille le titre de presse qui insiste sur le fait qu’« il compte cependant  couvrir ses besoins de financement en se passant des disponibilités du Trésor. 

«La trésorerie excédentaire qui avait été accumulée en 2020 ayant été utilisée au cours des exercices 2022 et 2023, nous n'avons plus l'intention de mettre à contribution cette ligne», a commenté Cyril Rousseau, directeur général de l'AFT » enchérit l’article.

Dans ce contexte de dette abyssale, pas sûr que l’État français qui espère bien lever l’an prochain ces 285 milliards d'euros de dette,  ait a l’esprit ces mêmes réflexions…A voir !!



mardi 26 septembre 2023

Tardieu le toujours Secrétaire général de France Télés crache dans la soupe et s'en prend à TF1 sur les réseaux...Démission !

Tardieu le toujours Secrétaire général de France Télés crache dans la soupe et s'en prend à TF1 sur les réseaux...Démission !

C'est du jamais vu. Alors même qu’il veut écrire une charte d’utilisation d’Internet et que France Télévisions n'hésite pas à sanctionner indument voire virer des collaborateurs sous prétexte qu'ils se seraient exprimé ès qualité sur les réseaux sociaux, Christophe Tardieu le toujours Secrétaire général de France Télés se lâche. 

Il moque la World Cup de Rugby et son staff alors que France Télévisions est également diffuseur des matchs, il vilipende les journalistes de TF1 à qui il demande de se taire ou au groupe de télés privé d'éviter leur présence et conspue les arbitres jusqu'à les traiter de "voleur"...

Demander à acheter des lunettes aux l’arbitre qui commente les matchs de rugby de la coupe du monde dont TF1 mais aussi France Télévisions sont diffuseurs, c'est hallucinant. "Ce n’est plus un arbitre. Soit il est aveugle, soit c'est un voleur"

"Quelqu’un a-t-il un truc pour éviter les commentateurs" (ceux de TF1 évidemment qui diffuse le match). "Cet arbitre est hallucinant il offre un essai au black par un en avant de 10 m, et il refuse un essai au bleus sur un en avant imaginaire"...etc 

Captures d'écrans ci après:



Comment cet ex-inspecteur général des finances et chevalier de la Légion d'honneur qui se met en scène dans ses posts ou explique que seule F3 a consacré une soirée aux sénatoriales, peut-il poster de tels commentaires et être toujours en place dans une entreprise de Service public ? 








lundi 25 septembre 2023

Le tandem CGT et SUD Radio France, fait annuler l’accord sur les CDDU signé en 2021 par 3 O.S. de l’entreprise publique.

Le tandem CGT et SUD Radio France, fait annuler l’accord sur les CDDU signé en 2021 par 3 O.S. de l’entreprise publique.

La CGT qui appelait vendredi dernier, le 23 septembre, aux marches unitaires pour les libertés publiques et syndicales, pour la justice sociale, contre le racisme systémique et contre les violences policières (*) vient avec de faire annuler l’accord de Radio France sur les CDDU, signé en 2021 par les sections CFDT, FO et de l'entreprise.

(*) 

La justice vient de donner raison CGT et SUD Radio France qui mettaient en cause la légalité du texte, ordonnant son annulation. Le point que soulevait le binôme syndical ne tenait pas sur le fond mais sur un calcul de représentativité des signataires au sein de la Maison ronde. Les requérants, contestaient aux trois organisations syndicales signataires de ne pas représenter au moins 50% des suffrages exprimés, nécessaires à un accord pour qu’il soit majoritaire.

Satellifacts indique  « "Le SNJ, devenu représentatif au niveau de l'entreprise en 2019, n' a pas participé à la négociation, considérant qu' il ne lui appartenait pas de se prononcer sur des mesures ne concernant pas ses adhérents journalistes ", relève la direction de Radio France dans un message interne relatif à l'annulation de l'accord » avant d’ajouter « L'organisation syndicale ne prenant pas part à l'accord à l'époque, la DRH de l'entreprise avait calculé la représentativité syndicale hors voix du SNJ ».

« C'est précisément "cette modalité de calcul que le tribunal a rejetée", résume la direction selon laquelle l'accord est par ailleurs positif pour les salariés concernés », poursuit le titre de presse qui explique « La décision du tribunal prévoit un délai de 6 mois pendant lequel les mesures de l'accord restent applicables, le temps d'un nouvel accord soit négocié… »

De son côté , la DRH de Radio France qui déclare « envisager ce qui sera possible de faire au-delà des 6 mois à venir »,  dit ne pas comprendre quel était l’intérêt de faire tomber l'accord ainsi négocié comportant des « nouveautés positives » concernant les CDDU comme l’estime SUD Radio France mais qui ne suffisent pas, particulièrement pour la CGT !

Après l’appel du syndicat contre les violences policières, va-t-il appeler à marcher contre les avancées sociales de Radio France ?

dimanche 24 septembre 2023

France Télévisions ne couvrira bientôt plus le Dakar.

France Télévisions ne couvrira bientôt plus le Dakar.

Selon une information du Parisien, parue vendredi soir, France Télévisions va réduire fortement sa couverture du Dakar lors des deux prochaines éditions, en 2024 et 2025, avant d'arrêter complètement de diffuser le rallye-raid à partir de 2026. Créée en 1978, la course est organisée depuis 2020 en Arabie Saoudite. D'après Le Parisien, des soucis d'économies seraient à l'origine du choix du groupe public.

Cet été, France Télévisions a resigné avec ASO (propriété, comme L'Équipe, du groupe Amaury) jusqu'en 2030, notamment pour la diffusion de ses courses cyclistes, Tour de France compris mais le Dakar ne faisait pas partie de cet accord.

C'est à se demander à quoi les 200 millions supplémentaires/an que RAM devrait à FTV  filer via le COM, vont servir !