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samedi 13 mai 2023

Les châteaux de sable ernottiens s’effondrent les uns derrière les autres!

Les châteaux de sable ernottiens s’effondrent les uns derrière les autres! 

L’ex-Orange qui annonce toute l’année que France Télévisions est  devant tout le monde qu'il s’agisse des programmes ou de l’info, se prend une nouvelle fois un camouflet de première.

Contredite une fois de plus par les faits, elle ne devrait pas se vanter de la dernière étude réalisée en interne par le SDE (Service de la Stratégie Éditoriale) avec l’IFOP qui n'a été discrètement diffusée que dans les hautes sphères de France Télévisons.

Il s'agit là des programmes qui ont marqués l'œil du public de janvier à mars 2023...TF1 est 6 fois cité dans les 10 premiers et M6 lui, y apparait 3 fois quand C8 rafle la 9ème place.

Deux des plateformes américaines Amazon Prime vidéo et Netflix figurent dans ce classement (interne à FTV redisons-le): la première se classe 9ème et la seconde 13ème  et 14ème .

Bonne dernière France 2 et une cinquième place pour Alex Hugo sur La Trois qui montrent bien à quel niveau pourrait se situerait donc la télé publique qui en plus de la déliquescence de ses contenus, est exsangue au plan financier allant jusqu'à demander la recapitalisation du groupe par l'État !



vendredi 12 mai 2023

Des réunions Tempo à l’heure du déjeuner, probablement pour éviter les aigreurs d’estomac !

Des réunions Tempo à l’heure du déjeuner, probablement pour éviter les aigreurs d’estomac !

Histoire de faire prendre aux collaborateurs concernés des vessies pour des lanternes, les stations de France 3 organisent des « ateliers éditoriaux » « les participants auraient leur mot à dire sur les contenus proposés »…Quelle blague !

Pour certaines, c'est même en appâtant les salariés avec un café gourmant que de soi-disant réunions d'explication sont programmées. (*)

(*)

C’est ce que Sud dans une de ses dernières publications appelle « la grande mascarade ». Pourquoi ce terme ? Parce les jeux sont faits et que ces ateliers éditoriaux ne sont que des alibis destinés à amuser la galerie…tout cela d’ailleurs sur le démantèlement de régies dans certaines régions par les techniciens qui étaient eux-mêmes censés les exploiter et à qui l’entreprise dira demain qu’ils n’ont plus de boulot.

Le blog CGC Média qui l’a déjà écrit dans plusieurs de ses récents articles, la dernière tocade ernottienne Tempo ne sera qu’une raison de plus pour faire partir toutes celles et ceux qui n’auront plus vraiment de taf.

« Quelques réunions organisées entre midi et deux, 1h30 de réunion sur le temps de pause des salarié.e.s donc sur le temps personnel , où sont invité.e.s à y participer sur la base du volontariat tout.e.s clles et ceux qui voudareint révolutionner nos contenus » ironise le syndicat qui s’interroge « De qui se moque-t-on ? »

« Cela ressemble plus à une mascarade qu'à une consultation sincère des équipes de fabrication. Le comble, ces ateliers semblent surtout servir à faire accepter le pire aux salarié.e.s :

- Pas assez de moyens pour combler le temps d'antenne ? Il faudra multiplier les directs pendant les tournages !

- Pas assez de temps pour faire un travail journalistique rigoureux ? Il faudra revoir notre exigence à la baisse !

Quant aux questions posées à la volée, pas de réponse aux inquiétudes légitimes sur les horaires à rallonge des différents corps de métiers, ni sur le risque de dilution de l’information régionale…» poursuit le texte avant d’enfoncer le clou : « Ces ateliers sont révélateurs du mépris que porte la direction aux équipes. Les journalistes ressortent de ces ateliers avec un goût amer, le sentiment de ne pas être considéré.e.s ni écouté.e.s, et la peur de voir nos éditions se transformer en télé-préfecture, faute de temps de préparation des sujets. »

Et de s’interroger sur le pourquoi du comment : « Les études montrent que les Français et les Françaises tiennent à leurs médias locaux et qu'ils leur accordent une confiance supérieure aux autres. Pourquoi prendre le risque de briser cette confiance ? Pourquoi saboter le travail commun, à l'heure où le financement est remis en question ? »

Parce qu’il bien va falloir dégager des fonds face à la l’invraisemblable situation dans laquelle Ernotte a plongé France Télés qui sans que les contribuables mettent encore la main à la poche, pourrait conduire à la privatisation d’une de ses antennes voire plus ! (scénario concocté en coulisses par une poignée d’intrigants qui répètent à l’envi que l’Audiovisuel public tout le monde s’en fout ») !

jeudi 11 mai 2023

Un licenciement simple avec plus de deux ans d’indemnités qui ne passe apparemment pas dont la Justice pourrait finalement être saisie !?

Un licenciement simple avec plus de deux ans d’indemnités qui ne passe apparemment pas dont la Justice pourrait finalement  être saisie !?

Dans son article du 9 mai dernier « En vérité je vous le dis, Péyi a tou piti ! » Madiba dont le blog CGC Média relayait la colère qu’il laissait éclater pour l’ADAP, s’interroge à présent et à juste titre sur le dénouement d’une tentative d’étouffement avortée in extremis qui se solde aujourd’hui, selon nos informations, par le versement d’un gros chèque d’argent public !

Extrait

« Depuis la diffusion du Papier de Guadeloupe La 1ère la Radio sur l’affaire Chalus et son dégât collatéral l’affaire Pincemail, Madiba s’étonne du jeu (qu’il qualifie de double) de la direction de Malakoff qui dans un premier temps aurait demandé au journaliste concerné de prendre des congés…le temps que l’affaire se tasse !! Puis aux syndicats locaux, de ne pas réagir !

Une erreur grave de jugement dans une affaire politico médiatique impliquant un journaliste de FTV qui ne pouvait [évidemment, ndlr] pas se tasser en quelques jours.

Jamais suspendu, toujours à l’antenne malgré les conséquences désastreuses pour l’image de probité et de neutralité de la rédaction. Gilbert Pincemail a été traité mieux que beaucoup d’autres dans des affaires moins graves.

Selon les procédures en vigueur dans l’entreprise, il a été reçu en entretien préalable, puis il est passé en Conseil de Discipline à Paris avec le défenseur de son choix. La journaliste qui l’accompagnait a précisé qu’elle le faisait en nom propre et pas avec son étiquette syndicale.

Le directeur de la déontologie à FTV a expliqué les fautes commises et leurs lourdes conséquences. Pincemail a expliqué ‘’n’avoir pas mesuré l’importance de ses agissements’’. Le Conseil de Discipline a demandé le licenciement, le mot de la fin appartenant à la Présidence. Le licenciement a été confirmé. 

Pourtant, sa faute a été classée en Faute Simple permettant le versement d’importantes indemnités au regard de sa faute, semble-t-il complétées [écrit l’ADAP, ndlr] par une transaction pour son départ, ce qui n’est absolument pas le cas pour une Faute Lourde ou Grave.

Au cours de l’assemblée générale qui a réuni environ 1/3 des seuls journalistes de Guadeloupe La 1ère à laquelle la direction régionale a participé - c’est une grande nouveauté - Il a été dit que Pincemail avait déjà été sanctionné en 2015 - [Ah bon ? ndlr] Faux dit-on côté direction nationale. Le sortir de l’antenne n’était pas une sanction mais l’application pure et simple du règlement de l’entreprise pendant des élections :

- tout salarié candidat ou soutien déclaré doit s’abstenir de toute production et parution à l’antenne.

- tout salarié candidat ou soutien doit en faire la déclaration à l’entreprise. Cette règle de droit est rappelée à tous les personnels à chaque élection.

C’est écrit dans toutes les recommandations du CSA devenu l’ARCOM. Les rédacteurs en chef le savent par cœur et ne peuvent affirmer le contraire. Ce qui n’avait pas été le cas manifestement. Il a été dit aussi que l’affaire était prescrite. [L’art et la manière visiblement, de regarder ailleurs que ce qui est en cours, ndlr]

Faux : L'affaire n’éclate qu’avec la mise en examen du président de région pour falsification des comptes de campagne 2015. Affaire révélée par la presse locale et nationale : Le Canard Enchaîné, Le Monde, Libération, etc...Qui savait en 2015 que l’intéressé avait empoché près de 22.000€ sous la forme de trois chèques signés Chalus ???

Celui ou celle qui savait mais qui a gardé le silence est passible de sanctions définies par le code pénal.

Attention aux propos tenus en public, ils vous seront opposés. Il faut rappeler aussi que le fait de proposer un paiement illicite ou un avantage indu, est passible des tribunaux. Du côté de la demande, c’est l’acceptation du paiement ou de l’avantage qui est reprochée…

La Loi Sapin 2 crucifie les salariés porteurs d'une mission de service public qui acceptent d'être corrompus.

Qu’attendait donc France Télés pour déposer plainte pour corruption active d’un journaliste [comme la fait récemment BFMTV contre un de ses journalistes suspendu puis licencié pour faute grave ou lourde, ndlr] ? Et par conséquent contre celui qui percevait les chèques pour corruption passive ?

 

Voilà qui devrait donc faire jurisprudence en interne, l’intéressé ayant balancé les noms de quelques-uns connus pour faire des ménages en Guadeloupe.

Péyi a tou piti !

Comment France Télévisions qui se revendique comme "le lieu du débat démocratique » peut-elle tolérer au sein de ses rédactions, de tels agissements ?" »…

L’ADAP qui se pose ainsi de nombreuses questions sur les conditions de ce départ qui interpelle au plus haut point, n'imagine pas le tandem Gengoul/Ernotte ne pas avoir à répondre de ce « choix ».  

Cerise sur la gâteau, l’ADAP nous apprend enfin qu’« A toute fin utile le directeur régional a annoncé la mise en place d’une cellule d’accompagnement psychologique. Une cellule psychologique pour accompagner le départ d’un salarié pris la main dans le sac avec ces chèques encaissés à son seul profit. Ce serait risible si ce n’était pathétique et c’est payé en plus avec l’argent du contribuable. 

Lors de la mort récente de collègues, pas de cellule psychologique.

Lors de l’affaire Ponnet, personne n’a bougé.

Lors de l’affaire Danican dont l’honneur a été bafoué, traîné dans la boue, personne n’a bougé.

Pas de psychologue pour accompagner des salariés soumis à la brutalité de la direction qui voulait les licencier et qui le veut toujours car rien n’est terminé... »

Leur conclusion est tout aussi implacable que prémonitoire « La rédaction de Guadeloupe La 1ère subira [probablement, ndlr] un audit dans peu de temps avec comme premier point à l’ordre du jour : le respect des règles éthiques et déontologiques.

Pour ceux qui font semblant de l’ignorer c’est une obligation pour l’entreprise au titre de la loi Sapin 2. Certain(e)s pourront continuer à donner une parole à Baie-Mahaut et une autre au Comex de FTV, rien n’arrêtera les contrôleurs assermentés. » 

mercredi 10 mai 2023

"Le Canard enchaîné" conforte l'analyse du blog CGC Média sur l'utopique recapitalisation de France Télés et la poursuite de sa casse organisée.

"Le Canard enchaîné" conforte l'analyse du blog CGC Média sur l'utopique recapitalisation de France Télés et la poursuite de sa casse organisée.

Le blog CGC Média qui n'a cessé ces dernières années, de dénoncer la propagande récurrente qui depuis l'été 2015 claironnait "l'équilibre", mettant en avant les comptes consolidés du groupe France Télévisons alors que ceux de l'entreprise continuaient allègrement de virer au rouge.

Le 6 mai dernier, notre récent article "L’ex-Orange qui a déjà siphonné une très large partie du capital social de France Télés (*), veut accélérer Tempo sa machine à broyer !", revenait une fois de plus sur la suite d'échecs que l'ex-Orange a continuellement cherché, non pas à minimiser mais à transformer quasiment en supposée réussites, le tout sur vente sur les ventes successives des bijoux de familles, à savoir une large partie du patrimoine immobilier.

Le document interne dont l’infirmière TV espérait sûrement qu'il ne soit ni révélé, ni publié - ce qui a été fait le 24 avril dernier par nos soins - où il est écrit noir sur blanc (*) « "La liquidation de Salto vient réduire les capitaux propres de France Télévisions qui étaient déjà inférieurs de la moitié du capital social, ce qui va obliger l'entreprise et son actionnaire à rétablir la situation"», trouve aujourd'hui écho dans "Le Canard enchaîné" (¤)

Dans sa demi page consacrée aux coupes budgétaires (¤) et aux quelques 10 milliards d'euros qu'il va falloir trouver pour la renationalisation d'EDF, l'encart du palmipède montre non seulement qu'il ne faut pas s'attendre à une recapitalisation de France Télés dont la communication de l'ex-Orange avouait que les capitaux propres de France Télévisions qui, en dépit des pertes de Salto la catastrophique tocade ernottienne qui viendront encore aggraver la situation,  étaient déjà inférieurs de la moitié du capital social mais surtout, que certains pensent encore à trouver des fonds du côté de l'Audiovisuel public que quelques fossouyeur(euse)s ont malheureusement déjà envoyé au fond du trou !


(¤) 

(*) 


mardi 9 mai 2023

Madiba est en colère et le redit bien volontiers....le licenciement de Gilbert Pincemail pour faute simple ne devrait pas faire retomber les choses, tout au contraire.

Madiba est en colère et le redit bien volontiers....le licenciement de Gilbert Pincemail pour faute simple ne devrait pas faire retomber les choses, bien au contraire. 

Le blog CGC Média n'a pas résisté à reprendre la superbe et poétique présentation que faisait l'ADAP de Madiba (*) qui avec Sosthène sur le site a fait à l'évidence le délice des lecteurs assidus.
 
"Dans mes veines coulent des fleuves de sang qui ont la couleur marron et guyanaise de l’Oyapock et du Maroni, des rivières qui descendent des mornes de Guadeloupe ou des baies de Martinique
Je vois le bleu de la baie de Boueni à Mayotte ou le lac Lalo-lao de   Royaume d’Ouvea à Wallis comme les torrents des montagnes de Futuna. 
J’ai le goût des poissons du grand Lagon de Nouvelle-Calédonie et j’en appelle souvent au Douk-douk des tribus kanaks pour qu’il punisse les traîtres qui ont vendu RFO et l’ont démantelé à leur profit. 
Je suis Outremer, pas seulement ultramarin, et je m’appelle Madiba et parfois j’ai un frisson dans le vent de neige qui balaie le Golfe du Saint-Laurent et qui gifle les maisons colorées de Saint-Pierre. 
Je regarde éternellement crachoter le Piton de la Fournaise et, à la Réunion, j’observe les komors balayer les sols sur lesquels crachent les zarabs...
Je connais l’envers des cartes postales des outremers et je ne brandis pas de chaines brisées en disant que c’est mon envie de travailler qui a disparu avec l’esclavage. 
Je suis français d’outremers, des Australes, des Tuamotous, des Marquises, de Marie-Galante ou de la Désirade ou du Quartier d’Orléans à Saint-Martin. 
Je sais qui trafique, qui braconne, qui détourne l’argent comme les yeux. Je suis Madiba et je réclame justice..." écrit celui qui comme Mandela a le beau surnom du père de la nation sud-africaine.
 
Notre homme poursuit "Il y avait une chaîne comme un quartier de tôles ondulées, une chaîne de télé qui s’appelait France Ô. 
On l’avait construite sur les décombres de RFO SAT. 
Le législateur, après bien des errements, avait décidé de lui confier la représentation, dans l’audiovisuel public, des outremers. 
Une chaîne carrefour pour les outremers et une chaîne vitrine pour les français de l’hexagone mais certains  cadres de France Télévisions ont vu l’opportunité de berner les ultramarins. 
On y a donc nommé des directeurs, des cadres, des rédacteurs en chef, basés à Malakoff, qui n’avaient aucune idée de ce que sont les outremers. 
Ils ont improvisé des émissions, des rendez-vous d’information, des journaux, en s’aidant de ce que les stations, aujourd’hui, Premières, produisaient dans leurs îles respectives. Ils ont conduit la chaîne au désastre : à peine 45 000 téléspectateurs pour 67 millions de citoyens français...."
 
Et d'ajouter "Des reportages imaginaires sont tournés par une rédaction en panne de talent, « goodlife et lifestyle » comme si c’était du journalisme et comme si, parce qu’ils ne connaissent rien d’autre, les directeurs de la rédaction bidon s’occupaient des ultramarins vivant en métropole comme un nouveau continent à découvrir… 
 
Un triumvirat  sera  m^me embauché et placé-là pour faire la carrière d’un réunionnais, devenu député européen macronien de circonstance après avoir été socialiste puas républicain, en jouant de ses fonctions de directeur de l’Information. Ce groupe, augmenté de quelques cadres, est une vraie cellule de combat de La République en Marche, couvée par la ministre des outremers à la veille des municipales. 
Comme si dans l’histoire de l’audiovisuel public, noyauter politiquement une telle structure, avait apporté quelque chose....  

Outremer, ce sont des équipes de tournage de la société privée EDEN, liée au susdit député européen, qui officient sans rien demander aux stations Premières. Ben non, des noirs et des bronzés qui travaillent dans leurs pays, c’est forcément mauvais !

Non mais franchement : la représentativité des outremers ?..."

(*) C'était en 2019 et 4 ans plus tard, tout ce qui avait été dit et écrit à l'époque est  toujours et plus que jamais d'actualité...avec cerise sur la gâteau l'affaire dite "Chalus/Pincemail/Gengoul/Ernotte".
 
 
 
 

lundi 8 mai 2023

Quand « franceinfo : » (canal 27 de la TNT) rime avec Salto et bientôt Tempo !

Quand « franceinfo : » (canal 27 de la TNT) rime avec Salto et bientôt Tempo !

Lorsque les Français se réveilleront, il sera trop tard…Lorsqu’il comprendront que des centaines de millions public - c’est-à-dire leur argent - ont été jetés par les fenêtres pour en arriver en 2023 à une demande de recapitalisation de France Télévisions, il n’y aura plus grand chose à faire à part chasser celles et ceux qui auront conduit à la ruine de la télé publique.

Dans son récent article « L’ex-Orange qui a déjà siphonné une très large partie du capital social de France Télés, veut accélérer Tempo sa machine à broyer ! », le blog CGC Média rappelait les termes du document interne dont ne s’est pas vanté l’ex-Orange après avoir chanté année après année depuis l’été 2015 le soi-disant équilibre financier (*) mais où il est écrit noir sur blanc « "La liquidation de Salto vient réduire les capitaux propres de France Télévisions qui étaient déjà inférieurs de la moitié du capital social, ce qui va obliger l'entreprise et son actionnaire à rétablir la situation ».

Après la gravissime catastrophe industrielle Salto, voici que « franceinfo : » lancée voilà 6 ans – bonne dernière depuis le premier jour des chaines d’infos de la TNT – continue son agonie. Ils sont en effet comptés les jours où fiasco rimera avec Salto, Tempo et « franceinfo : » !

En ce début du mois de mai, les chiffres parlent d’eux-mêmes et confirment ceux du mois d’avril. LCI poursuit sa progression et gagne 0,2 points sur un an avec 1,9 du public, en consacrant une large part de son antenne chaque jour à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Si BFM enregistre un recul sur un an, passant de 3,9% à 3,1% - baisse qui profite (on peut le penser) à CNews la chaîne du groupe Canal Plus qui est à 2,1% avec une légère progression de 0,1 point - elle reste leader avec 1 point séparant les deux chaines.

En effet, au-delà de la hausse régulière de CNews depuis de nombreux mois, LCI poursuit également une progression en consacrant la quasi-totalité de son antenne chaque jour à la guerre en Ukraine et à la situation de Vladimir Poutine à la tête de la Russie.

« De son côté, alerte rouge pour « franceinfo : » qui depuis son lancement n'est jamais parvenue à trouver son public et doit se contenter de 0,8% en perdant 0,2 points pendant ce mois d'avril » peut-on lire dans la presse. 

(*) 

dimanche 7 mai 2023

Michel Cordes, comédien emblématique de la série « Plus belle la vie » sur France 3 arrêtée par le tandem Sitbon-Gomez/Ernotte, a mis fin à ses jours…

Michel Cordes, comédien emblématique de la série « Plus belle la vie » sur France 3 arrêtée par le tandem Sitbon-Gomez/Ernotte, a mis fin à ses jours…

Il n’y pas grand-chose à ajouter à l’article hommage rendu par Le Parisien ce samedi, à Michel Cordes comédien emblématique de la série « Plus belle la vie » qui a mis fin à ses jours ce vendredi à son domicile près de Montpellier (Hérault).

« Il avait 77 ans » écrit le quotidien qui ajoute « Selon nos informations, l’acteur aurait laissé une lettre, ce qui laisse penser à un suicide. Il n’y avait pas de traces de coups, de violence ou d’effraction sur place. Une enquête de gendarmerie a été ouverte afin de le confirmer…. Les scénaristes avaient fait disparaître son personnage d’une crise cardiaque début octobre (2022), quelques semaines avant la fin définitive du feuilleton, au terme de 18 années de diffusion »

"Je ne suis plus tout jeune. J’aspirais à me reposer. Disons que ce n’est pas grave personnellement. Mais c’est un peu dommage", avait confié en septembre dernier le comédien - le patron du Mistral dans la série - l’occasion pour lui aussi de raconter les débuts de la série, presque deux décennies auparavant: " On était arrivés la veille. On a fait des réunions et, à midi, on nous a amenés dans le décor. Là, ça fait un choc. Tout d’un coup, on voit cet immense truc. Quand j’ai passé le casting, on m’avait dit : C’est quelque chose qui peut durer. J’avais déjà fait sept ou huit fois des pilotes qui devaient durer…" »