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samedi 18 juillet 2020

Jean-Paul Philippot l’actuel patron de la RTBF également candidat à France Télévisions a déposé plainte pour diffamation.

Jean-Paul Philippot l’actuel patron de la RTBF également candidat à France Télévisions a déposé plainte pour diffamation.

C’est en tout cas ce que confirmait, il y a quelques semaines, le titre de presse belge LE SOIR :

« Jean-Paul Philippot reconduit à la tête de la RTBF par le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, a déposé plainte cette semaine contre X pour diffamation après que des employés anonymes de la RTBF avaient fait parvenir au parquet de Bruxelles des documents prouvant, selon eux, diverses malversations dans l’exercice de ses fonctions. » (sic)


Cette plainte pour diffamation qu’a déposé l’actuel patron de la RTBF candidat à la présidence de France Télévisions, vise-t-elle l’article publié par le titre de presse belge LE SOIR ou bien les salariés qui ont fait parvenir des documents au Parquet de Belgique ? 

Extrait de l’article :

« Le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a décidé jeudi de reconduire Jean-Paul Philippot pour un quatrième mandat de six ans à la tête de la RTBF, a-t-on appris auprès du gouvernement.

Cette confirmation intervient après plusieurs semaines de polémique autour du salaire de l’administrateur général de la radio-télévision publique, ce dernier ayant perçu des années durant un salaire plus important que celui indiqué dans les rapports annuels de l’entreprise.

Le mois dernier, le gouvernement de la Fédération l’avait d’ailleurs enjoint de rembourser 60.000 euros de «trop perçu» salarial entre 2014 et 2018.

Reconduit jeudi pour six ans, l’administrateur général devra se contenter dorénavant d’un salaire plafonné à 245.000 euros annuels hors indexation, soit une réduction de l’ordre de 30% environ.

Lire aussiSalaire de Philippot: la RTBF n’a pas respecté ses obligations légales

Agé aujourd’hui de 59 ans, Philippot était arrivé en février 2002 à la tête de la cité Reyers. Au cours de ses trois mandats, il est parvenu à redresser les audiences ainsi que les finances de la radio-télévision publique, et lui faire prendre le train de la révolution internet.

Lire aussiÀ la RTBF, ça chauffe depuis deux ans autour du salaire de Jean-Paul Philippot

Son plan de transformation présenté en 2018 visant à faire de la RTBF une entreprise 360° et 100% digitale a toutefois suscité beaucoup de remous au sein du personnel, celui-ci dénonçant les bouleversements dans le fonctionnement de l’entreprise et le manque d’effectifs.

Lire aussi RTBF: Jean-Paul Philippot porte plainte pour diffamation


Ernotte n’a aucune excuse…Le contrat de 100 millions d’euros d’argent public signé avec Nagui l’a été au mépris des procédures de contrôle en vigueur.

Ernotte n’a aucune excuse…Le contrat de 100 millions d’euros d’argent public signé avec Nagui l’a été au mépris des procédures de contrôle en vigueur.
C’est la deuxième couche que vient remettre aujourd’hui Capital après l’enquête étayée d’une dizaine de pages publié hier par Médiapart.
Aucune décence pour l’ex-Orange qui dilapide l’argent public de ce bien commun qui appartient à tous mais qu’elle n’a fait que casser depuis son parachutage à l’été 2015.
Voici ce qu’en dit le magazine qui s’était visiblement déjà intéressé au sujet.

« Ce contrat passé entre France Télévisions et Air Productions, la société de l’animateur, pour la période 2017-2020, est estimé à 100 millions d’euros.

“Nagui rapporte plus d’argent qu’il n’en coûte.” C’est ce qu’a affirmé la direction de France Télévisions par téléphone à Mediapart. Elle n’a par contre pas confirmé les chiffres avancés par nos confrères concernant l’accord-cadre qui aurait été passé en mai 2017 par Delphine Ernotte et Air Productions, la société fondée et présidée par Nagui, détenue par Banijay (dont l’animateur est actionnaire à hauteur de 5,3%).

[Banijay dont Takis Candilis était le patron jusqu’en 2017 avant qu’Ernotte n’en fasse son numérobis à France Télévisions ! ndlr]

Selon les calculs de Mediapart, celui-ci s’élèverait à 100 millions d’euros pour la période 2017-2020.
Ce contrat comprendrait toutes les prestations vendues par Air Productions (concepts, équipes de tournage…) pour de multiples émissions, notamment “Tout le monde veut prendre sa place”, “N’oubliez pas les paroles” ou encore “Taratata”.
Le salaire de Nagui serait également inclus, même si le montant de celui-ci n’a pas filtré. Comme révélé par Capital en 2018, l’animateur aurait touché en 2017 entre 750.000 et 1 million d’euros de salaire pour ses contrats avec France 2. Un chiffre qu’il ne devait “pas être loin de la vérité” avait confirmé le principal intéressé à Stratégies à l’époque, sans le confirmer pour autant.
400 millions d’euros à économiser
“Ce partenariat est un incontestable succès pour France Télévisions, construit autour du programme d’access ‘N’oubliez pas les paroles’. Ce divertissement de qualité correspond entièrement à nos missions de service public. Il permet de fédérer chaque jour un large public, particulièrement jeune et diversifié, qui correspond aux objectifs de la télévision publique”, répond de son côté France Télévisions, tout en justifiant certains termes du contrat. Ceux-ci pourraient faire grincer des dents au sein du groupe de la télévision publique, qui doit économiser 400 millions d’euros pour la période 2019-2022, avec notamment un plan de départs volontaires mis en place.
Mediapart avance que les membres du conseil d’administration de France Télévisions n’auraient ainsi pas eu accès à l’accord-cadre en question et n’auraient pas été au courant de certaines conditions du contrat signé avec Air Productions.
Delphine Ernotte et donc France Télévisions auraient par exemple promis “de faire [leurs] meilleurs efforts afin de coproduire ou préacheter à Air Productions ou l’une de ses quelconques filiales des documentaires et des fictions”. “Aucun projet de fiction française n’a été produit et un seul documentaire l’a été sur la période de l’accord”, tempère France Télévisions.
Et le contrôle d’Etat émanation de Bercy à France Télévisions, elle lui a demandé son avis ? Il a vu passer le contrat pluriannuel en question…contrat banni de la télé publique depuis l’affaire des « voleurs de patates » ?
Voici ce qu'écrivait déjà Ouest France en 2018 dans son article "Nagui. Les revenus mirobolants de l’animateur révélés par « Capital » justement après cette enquête de Capital.

Une enquête de « Capital » révèle que Nagui serait à la tête d’une véritable fortune. L’un des animateurs préférés des Français pourrait compter sur près d’un million d’euros de salaire annuel. Le présentateur de 56 ans serait également actionnaire du groupe de production Banijay, qui a racheté sa propre société audiovisuelle en 2008 et dont la valeur avoisinerait le milliard d’euros....





 


vendredi 17 juillet 2020

Mélanie Page (madame Nagui) sur tous les fronts !

Mélanie Page (madame Nagui) sur tous les fronts !

Le site Public nous en dit plus sur l’épouse de l’animateur-producteur à qui Ernotte a signé pour 100 millions de contrats d’argent public de 2017 à 2020 comme le révèle aujourd’hui Médiapart qui a mené l’enquête.

Extrait de Public:

« Nagui et sa femme Mélanie Page sont très proches même après des années de mariage. Dans une interview accordée à nos confrères de Télé 7 Jours, Nagui s’était laissé aller à quelques confidences : « Je sais que le terme 'meilleur pote' peut paraître bizarre, mais c’est la formule que j’ai trouvée pour parler d’elle. En plus d’être la femme de ma vie, la mère de mes enfants, c’est vraiment mon meilleur pote. Elle aime le foot, le rock, la pop, le spectacle… Elle m’a ouvert à d’autres formes d’art. Je traînais des pieds pour aller à des expos. Plus maintenant…Elle est aussi ma maîtresse et c’est important, très important que l’on continue à se séduire. »

« Reste à savoir s’il soutiendra la femme de sa vie dans toutes ses décisions » semble s’interroger le média qui ajoute « Mélanie Page intervient de temps en temps dans le jeu Tout le monde à son mot à dire, présenté par Olivier Minne et Sidonie Bonnec mais c’est dans une émission plus célèbre qu’on l’a vu le 26 juin. Elle partageait sur son compte Instagram une photo en compagnie de Sidonie Bonnec en affirmant : « Quand en fin de journée ta clé de chambre est démagnetisée… #épuisées #onlafait #onrêve de dormir ». Elle venait tout juste de terminer le tournage de l’émission Fort Boyard… »

Est-ce que Mélanie Page a des contrats bien à elle, ou bien l’ex-Orange a-t-elle signé avec son mari un contrat package qui engloberait ses prestations ?




Ernotte rejoue l’affaire des animateurs-producteurs qui avait fait tomber Elkabbach, en signant secrètement avec Nagui un contrat pluriannuel interdit.

Ernotte rejoue l’affaire des animateurs-producteurs qui avait fait tomber Elkabbach, en signant secrètement avec Nagui un contrat pluriannuel interdit.

Le blog CGC Média a retrouvé pour ses lecteurs l’un des nombreux articles en pleine affaire des animateurs-producteurs que les Guignols avaient alors baptisée « les voleurs de patates ».

A l’époque Alain Groteray qui avait soulevé le lièvre mais de nombreux députés dont un député PS, Didier Mathus, représentant du Parlement au conseil d'administrateur de la chaîne, tout comme le CSA d'alors s’en étaient indignés et avaient appelé le Législateur à fixer de nouvelles règles: PLUS DE CONTRATS PLURIANNUELS.

Cet article signé Marie-Dominique Arrighi  pour Libération (23/12/98) expliquait comment France Télévisions s’y était pris pour signer avec Jean-Luc Delarue des contrats pluriannuel assurant à feu l’animateur un chiffre d’affaires sur 3 ans – interdits depuis que les parlementaires et la Cour des comptes s’étaient emparés du dossier – et que décrit aujourd’hui Médiapart dans son enquête d’un dizaine pages concernant Nagui et sa boite de prod dont Courbit est visiblement propriétaire.

Extrait de l’article de Libé :

« L'animateur-producteur a négocié un contrat très avantageux. France 2 se condamne à trois ans de Delarue.

France 2 n'aurait-elle pas tiré les leçons du passé? Agirait-elle comme si le scandale des animateurs-producteurs dispendieux et hors contrôle n'avait jamais existé, au printemps 1996? A part la CFDT, qui s'est alarmée très officiellement lors du comité d'entreprise, personne ou presque ne trouve à redire au contrat pluriannuel qu'est sur le point d'obtenir Jean-Luc Delarue. En plus de son « Ça se discute hebdomadaire » en deuxième partie de soirée, soit quarante émissions par an, Delarue hérite à présent de dix émissions supplémentaires à 20h50. Avec de confortables sommes à la clé: 1,2 million de francs par émission hebdomadaire, comme l'an passé. Pour chacun des dix nouveaux rendez-vous mensuels, conçus sur le même modèle que les hebdos, Delarue fait mieux que la culbute: 2,9 millions. «C'est en gros l'équivalent des 30 millions de francs récupérés pour France 2 au dernier collectif budgétaire».

On a presque l’impression, 20 ans plus tard avec le dossier Médiapart de revivre la même manœuvre…

A la différence près eu si, à l’époque, « Le contrôleur d'Etat puis, le 10 décembre, le conseil d'administration de la chaîne avaient entériné le retour en force de l'animateur-producteur » (sic) cette fois-ci comme l’écrit Médiapart  « Ernotte a alors choisi de passer par un contrat pluriannuel englobant plusieurs émissions produites et animées par Nagui (les principales étant les quotidiennes « Tout le monde veut prendre sa place » et « N’oubliez pas les paroles » et le magazine « Taratata »), en lui offrant de nombreuses garanties et une rémunération substantielle : 100 millions d’euros sur trois ans, selon nos calculs.

Ce montant comprend le salaire de Nagui en tant qu’animateur, mais aussi toutes les prestations vendues par sa société de production (les concepts, les équipes de tournage, etc.). Quelle proportion revient in fine dans les poches du présentateur ?...»

Le média d’investigation enfonçant le clou « Depuis le scandale de 1996, de nouvelles règles de contrôle internes ont été instaurées pour canaliser les choix de la présidence. Les contrats supérieurs à 10 millions d’euros sont obligatoirement soumis à une validation du sous-comité des engagements, émanation du conseil d’administration du groupe, qui peut aussi auditer les comptes des sociétés de production afin de contrôler leurs marges. Ce qui n’est pas rien dans le cas d’Air Productions, entreprise qui ne dépose pas ses comptes, comme la loi l’y oblige pourtant, et n’a pas été contrainte de le faire par France TV avant de contracter avec le groupe public.

Malgré les règles internes, dans l’accord-cadre signé pour trois ans avec Nagui le 24 mai 2017, Delphine Ernotte s’est engagée sur plusieurs émissions sans avoir préalablement consulté le sous-comité des engagements…

Contrairement aux propos de Christian Vion l’ernottien directeur général délégué gestion, production et moyens de France TV ernottien qui estime pour Mediapart qu’à « toutes les étapes, les procédures ont été respectées » - on voit à l’évidence que tel n’est pas le cas - puisque pour le moins, ni le contrôleur d’État qui représente Bercy, ni les administrateurs n’ont été mis au courant !

100 millions de l’argent public donnés secrètement à Nagui de 2017 à 2020 dans le cadre de contrats pluriannuels interdits à France Télés, et l’ex-Orange ose appeler le document qu’elle a remis au CSA : « FRANCE TELEVISIONS, NOTRE BIEN COMMUN » !!


C’est effectivement bien peu commun, de dépenser sans contrôle aucun, l’argent public des Français.  



Médiapart révèle les 100 millions d’argent public que l’ex-Orange a dépensé pour Nagui !


Médiapart révèle les 100 millions d’argent public que l’ex-Orange a dépensé pour Nagui !

Dans un article signé Michaël Hajdenberg et Antonn Rouget qui sort ce vendredi 17 juillet « Nagui, l’homme qui valait 100 millions (d’argent public) », Médiapart révèle le total hallucinant que le contribuable a payé pour les contrats qu’Ernotte a passés - contrat pluriannuel pourtant bannis depuis l'affaire des "voleurs de patates"  - pour la période de 2017 à 2020 à savoir :

 Une rémunération de 100 millions d’euros.

Médiapart pose à juste titre la question « Jusqu’où la télévision publique est-elle prête à aller pour payer ses stars ? » avant d’ajouter dans son enquête d'une dizaine de pages « La direction de France Télévisions est une nouvelle fois confrontée à cette délicate question dans la négociation de la prolongation du contrat de Nagui. Selon nos informations, le précédent contrat du producteur, qui doit une grande partie de sa carrière au service public, prévoyait pour la période de 2017 à 2020 une rémunération de 100 millions d’euros. »

Un autre question se pose: Sur ces 100 millions quelle est la marge de l'animateur-producteur dont le propriétaire de sa boite de prod est en fait le Lov Group de Stéphane Courbit (propriétaire de Banijay d'où vient Candilis recruté à France Télés en 2017) ?


DEPUIS L’AFFAIRE DES « PATATES » SOUS ELKABBACH, C’EST PROBABLEMENT LE PLUS GROS SCANDALE DE LA DÉCÉNNIE QUI N’A ÉVIDEMMNENT PAS FINI DE FAIRE PARLER.

Le blog CGC Média qui dénonce ces pratiques depuis des années et s'interrogeait également le 27 février dernier dans son article « Pour combien de millions Ernotte a-t-elle signé avec Nagui au moment où elle vire 2000 salariés et supprime 2 chaines ? »  vous tiens bien évidemment informés, des développements de cette nouvelle affaire qui dépasse l’entendement et que l’actionnaire ne peut laisser passer dans un service public au vu de la situation économique que connait le Pays.


jeudi 16 juillet 2020

« Redéployer les audiences et les budgets de France Télés vers le numérique » serait « le sens de l’histoire » ? Parler pour ne rien dire !

« Redéployer les audiences et les budgets de France Télés vers le numérique » serait « le sens de l’histoire » ?...Parler pour ne rien dire ! 

Il va en falloir de l’huile de coude pour redéployer les audiences sachant que contrairement à la propagande incessante du groupe de télévision public pour faire croire qu’elles seraient en hausse, le constat est tout autre.

S’il ne fallait citer qu’un très récent exemple, ce serait celui de l’intervention du Président de la République ce 14 juillet qui a fait 1,34 millions de téléspectateurs de moins sur France 2 que sur TF1 soir presque 10 points de moins.

Sur TF1, l'interview a été suivie par 4,71 millions de Français (soit 32,8% des 4+ et 29,9% FRDA-50).

Sur France 2, ils n’étaient que 3,37 millions (23,5% 4+ / 13,7% FRDA-50) à écouter Emmanuel Macron.




Pour Christopher Baldelli « La procédure de nomination proposée par le CSA n’est absolument pas adaptée à des dirigeants souhaitant passer du privé au public » (sic)


Pour Christopher Baldelli « La procédure de nomination proposée par le CSA n’est absolument pas adaptée à des dirigeants souhaitant passer du privé au public » (sic)

Le CSA qui va dans les tous prochains jours auditionner les candidats développer le projet qu’ils ont pour la télé publique, a dû se demander s’il ne rêvait pas en lisant et relisant les propos tenus dans Télé Obs par ChristopherBaldelli l’ex-patron de RTL limogé l’an dernier de la radio par Nicolas de Tavernost qui taclait alors le Conseil.

Pour Christopher Baldelli « La procédure de nomination proposée par le CSA n’est absolument pas adaptée à des dirigeants souhaitant passer du privé au public » (sic)

A titre d’exemple, il cite « Le dossier Radio France » qui selon lui « est un immense gâchis (...) »

Le candidat à la fonction de président de France Télévisions ajoute même « Il aurait été préférable que le CSA nomme à sa tête un président expérimenté »c’est pourtant bien en l’espèce,  ce que prévoit la loi de 2013 !

Il pourra justement s’en expliquer devant le CSA visé par ses critiques acerbes dont deux des membres qui l’entendront la semaine prochaine sont toujours présents.

A l’attention de l’instance comme de ses membres, Baldelli assène « La situation de Radio France est, hélas, révélatrice d’un problème plus global : celui de la gouvernance des entreprises audiovisuelles publiques et de la difficulté d’y mener des réformes.

D’un côté, vous avez des dirigeants qui n’ont pas pris suffisamment tôt la mesure des enjeux de l’entreprise et qui, par conséquent, ont du mal à réformer. De l’autre, un actionnaire qui n’est pas toujours cohérent. 
Dès lors que l’Etat décide de ne pas augmenter sa contribution dans l’audiovisuel public, il doit, en effet, appuyer les réformes nécessaires.

De son côté, le CSA – qui a retrouvé le pouvoir de nommer les dirigeants de l’audiovisuel public – connaît la situation de Radio France. Il joue donc un rôle majeur et porte une grande responsabilité. Dans ce contexte, il apparaît toujours préférable qu’il nomme à la tête de Radio France, ou d’ailleurs de France Télévisions, un président expérimenté. Un dirigeant qui maîtrise à la fois les particularités du secteur public et qui soit passé par la sphère privée, où la modernité et la nécessité de réformer sont omniprésentes. »

Autrement dit LUI...

Le CSA comme l'État actionnaire qui en prend aussi pour son grade, apprécieront surement ses conseils et sa franchise !


mercredi 15 juillet 2020

Le sarkosyste Christopher Baldelli pris en flagrant délit de mensonges, pilonne Ernotte ...il y en a plein les réseaux sociaux.

Le sarkosyste Christopher Baldelli pris en flagrant délit de mensonges, pilonne Ernotte ...il y en a plein les réseaux sociaux.

Avec toute la suffisance qui caractérise le personnage, le sarkosyste assumé Christopher Baldelli qui a comme le rappelait Le Canard enchaîné de ce mercredi a beaucoup réseauté, vient donc de se faire prendre en flagrant délit de mensonge alors qu’il imagine retourner à France Télés pour occuper le fauteuil de Tessier qu’il rêvait de remplacer à l’époque !

Le 14 mars dernier, l’ex-conseiller de Nicolas Sarkozy déclarait à l’AFP qui l’interrogeait sur sa possible candidature à la présidence de France Télés « Je n’ai jamais fait acte de candidature où que ce soit ».

Il vient pourtant de candidater - lui qu’on va toujours chercher - pour la présidence de France Télés contrairement à ce qu’il avait affirmé.

Cela dit, il y a peu, il expliquait encore que les relations étaient au beau fixe avec Nicolas de Tavernost qui le virait pourtant quelques mois plus tard. Il s’était peut-être un peu trop vite vu dans les habits de son patron !

Extrait de ce qu’écrivait le site « Les Jours » dans son hors-série sur celui qui  «  Le vieux requin Nicolas de Tavernost a bel et bien dégommé son éternel dauphin, Christopher Baldelli, ainsi que le laissait entendre Le Figaro . C’est un sacré divorce au sein du groupe RTL en France, qui détient à la fois la chaîne M6, dirigée de tout temps par Tavernost, et la première radio de France, à la destinée de laquelle préside Baldelli depuis dix ans.

Et toujours selon nos informations, Nicolas de Tavernost a déjà choisi celui qui remplacera Christophe Baldelli : ce devrait être Régis Ravanas, chipé au groupe TF1… »


« Un mensonge en entraîne un autre » disait déjà, en 150 avant Jésus-Christ, le poète latin Publius Terentius Afer Térence…Alors imaginez en 2020 et pour les cinq années suivantes, le décompte !


Pour l'instant, il n'aura même pas laissé aux membres du CSA la primeur de sa présentation...son projet se payer l'ex-Orange et balancer tout ce qui peut l'être...il y en a déjà plein les réseaux sociaux...


 


Après la liste des candidats sélectionnés à l'oral, le CSA devrait publier aujourd'hui le projet stratégique de chacun.

Après la liste des candidats sélectionnés à l'oral, le CSA devrait publier aujourd'hui le projet stratégique de chacun.

C'est normalement ce mercredi 15 juillet que le CSA devrait publier sur son site en fin après-midi, le projet stratégique des 8 candidats à la présidence de France retenus à l'oral par le Conseil dont les auditions débuteront dès le 20 juillet.

Le CSA vient de publier la liste la liste des candidats qui seront auditionnées pour la présidence de France télévisions

Le CSA vient de publier la liste la liste des candidats qui seront auditionnées pour la présidence de France  Télévisions.


A noter qu'Isabelle Giordano citée à plusieurs reprises dans le Presse n'y figure pas...Selon plusieurs sources concordantes, elle n'aurait tout simplement pas candidaté pour le poste.
 

Le CSA précise sur son site les modalités de ces auditions :

"Dans le cadre de la procédure de nomination à la présidence de la société France Télévisions prévue à l’article 47-4 de la loi du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, et conformément à la résolution du 26 février dernier, modifiée les 18 et 30 mars 2020 en raison de la crise sanitaire, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a procédé ce jour à l’ouverture des dossiers de candidature reçus par courriers électroniques.

Douze dossiers ont été reçus. Huit candidatures ont été déclarées recevables et quatre irrecevables.

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel a également établi ce jour par tirage au sort le calendrier des auditions.

La liste des candidates et candidats reçus en audition, ainsi que leur ordre de passage sont les suivants :

 Mme Sandrine ROUSTAN, le lundi 20 juillet à 9h00 ;

M. Michel GOLDSTEIN, le lundi 20 juillet à 11h15 ;

M. Serge SCHICK, le lundi 20 juillet à 14h30 ;

M. Jean-Paul PHILIPPOT, le lundi 20 juillet à 16h45 ;

M. Christopher BALDELLI, le mardi 21 juillet à 9h00 ;

M. Pierre-Etienne POMMIER, le mardi 21 juillet à 11h15 ;

Mme Delphine ERNOTTE CUNCI, le mardi 21 juillet à 14h30 ;

M. Serge CIMINO, le mardi 21 juillet à 16h45. 

Chaque audition se tiendra devant les membres du collège du CSA, à l’exception de M. Hervé GODECHOT amené à se déporter en application du 2° de l’article 12 de la loi n°2017-55 du 20 janvier 2017 portant statut général des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes. Elle se déroulera en deux phases distinctes :

- une première partie publique, d’une durée maximale d’une heure ; en raison des contraintes sanitaires limitant l’accueil du public, l’accès à la salle d’audition sera réservé aux seuls journalistes, qui devront au préalable s’accréditer (invitation presse à venir). L’audition sera filmée et diffusée en direct sur le site internet du CSA (www.csa.fr), accompagnée d’une traduction en langue des signes française et d’un sous-titrage ; les vidéos des auditions resteront par la suite disponibles sur le site du Conseil.

- une seconde partie à huis clos, d’une durée d’une heure, conformément au considérant 14 de la décision du Conseil constitutionnel n°2000-433 DC du 27 juillet 2000.

Comme indiqué dans la résolution précitée, le Conseil supérieur de l’audiovisuel rendra publics ce jour sur son site internet les projets stratégiques des candidates et candidats auditionnés. La décision du CSA sera rendue publique au plus tard le vendredi 24 juillet 2020."