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samedi 24 octobre 2020

Les Français, la crise passée, n’oublieront évidemment pas la façon dont la télé publique se sera comporté !

Les Français, la crise passée, n’oublieront évidemment pas la façon dont la télé publique se sera comporté !   

Il est probablement très inhabituel pour un magazine télé comme Télérama de publier une enquête sur la façon dont son traités l’hôpital et ses soignants face à l’épidémie de Coronavirus.

Dans un article signé Samuel Gontier au titre particulièrement cinglant « Crise sanitaire : France 2 au service de la communication du gouvernement », le titre de presse n’y va pas avec le dos de la cuillère.

Il souligne l’attitude de France 2 principalement qui préfère mettre en avant les actions du Gouvernement et annoncer de soi-disant bonnes nouvelles plutôt que de parler du malaise du corps médical.

Il est certain, redisons-le, que les Français une fois la crise passée, n’oublieront évidemment pas la façon dont la télé publique aura traité les soignants !  

Le blog CGC Média vous propos de de découvrir l’article coup de poing consultable depuis le 23 octobre sur le site du magazine.

« Le 15 octobre dernier, France 2 privait de parole les soignants qui manifestaient pour la défense de l’hôpital. Le 20 heures préférait souligner le parfait état de préparation face à la deuxième vague de Covid. Cinq jours plus tard, la télévision d’État – pardon, la télévision publique – claironnait une autre excellente nouvelle: les hôpitaux sont submergés de nouveaux personnels. « La réponse de Jean Castex aux soignants épuisés en colère et surtout en grève », annonce Anne-Sophie Lapix au soir de la manifestation des soignants, le 15 octobre.

Plutôt que de donner la parole aux professionnels de santé mobilisés, le 20 heures de France 2 choisit de vanter l’action du gouvernement. « L’augmentation de près de 100 euros prévue en mars sera avancée. Il développe aussi une prime pour ceux qui renoncent à leurs vacances. » Et une assurance obsèques pour ceux qui se tuent à la tâche. Le titre « Deuxième vague : l’angoisse des soignants » participe à dépolitiser les enjeux pour mieux les psychologiser.

- « Le gouvernement a fait un geste aujourd’hui en direction des soignants, reprend Anne-Sophie Lapix après vingt minutes dédiées à l’annonce du couvre-feu. L’augmentation de 93 euros qu’ils auraient dû toucher en mars leur sera versée avant la fin de l’année. » C’est de la générosité anticipée. « Ceux qui renonceront aux vacances de la Toussaint toucheront par ailleurs une prime de 110 à 120 euros bruts par jour. » Une somme suffisante pour assurer leur repos. « Il faut dire que les soignants, épuisés, démotivés, étaient en grève aujourd’hui pour exiger du renfort dans les hôpitaux. » Il faut le dire, mais très vite, en l’illustrant par sept secondes d’images muettes de la manifestation, ou plutôt de quelques groupes esseulés qui dénient la possibilité d’un cortège conséquent.

Anne-Sophie Lapix poursuit : « Nous sommes retournés à l’hôpital de Tourcoing dont le personnel n’a pas eu le temps d’oublier la violence de la première vague. » Plutôt que d’écouter les griefs et les revendications des soignants, France 2 préfère réaliser un reportage compassionnel. « Pour les soignants du centre hospitalier de Tourcoing, au service de réanimation, c’est déjà l’acte 2 », rapporte une reporter. « Pour nous, ça fait déjà quelques semaines que la deuxième vague est déjà là », confie un infirmier. « Comment vous le vivez ? » « Avec lassitude et un peu de désespoir. » Mais sans aucune revendication.

- « Aujourd’hui, dans le Nord, les cas repartent à la hausse, reprend la journaliste. Mais l’hôpital s’est réorganisé. » Ouf, tout va bien, notre gouvernement est extrêmement prévoyant. « Les soignants ont changé de méthode, ils facilitent maintenant la respiration des patients grâce à ces masques à oxygène. Des traitements qui permettent d’éviter parfois l’aggravation des cas. » « On connaît mieux la maladie, explique une médecin, on met en place les traitements plus tôt. » Preuve que l’hôpital n’a pas besoin de moyens supplémentaires.

« Autre changement depuis notre premier passage, les familles ont maintenant l’autorisation de rendre visite à leurs proches. » Les bonnes nouvelles s’accumulent. « Un soulagement pour cette femme dont le père est sous respirateur artificiel. » L’hôpital est devenu un petit paradis. « Six patients sont actuellement en réanimation, surveillés vingt-quatre heures sur vingt-quatre par des soignants tenaces. » Et dociles, semble-t-il. « Mais les décès de la première vague ont laissé des traces. » « Mettre un patient dans une bâche et fermer la fermeture éclair, s’émeut une aide-soignante, ça reste dans la tête. » Mais ça n’arrivera plus puisque désormais l’hôpital est parfaitement organisé.

- « La situation ne risque pas de s’améliorer, prévient toutefois la reporter. Aux avant-postes de l’hôpital, le service des urgences est au bord de la saturation. » Ce service doit être mal organisé. « Avec l’hiver, tous redoutent l’accumulation des patients affectés par le virus et ceux touchés par d’autres maladies. » Voilà donc le coupable d’une éventuelle saturation des hôpitaux : l’hiver.

Ce soir-là, le 20 heures de TF1 choisit le même angle que France 2 en insistant sur les largesses du gouvernement. La chaîne privée accorde toutefois la parole à des manifestants : une infirmière selon laquelle « les augmentations ne représentent qu’un léger rattrapage pour des salaires bloqués pendant une dizaine d’années » à cause du gel du point d’indice dans la fonction publique. Un autre infirmier, membre du collectif Inter-Urgences, précise qu’« à part nous proposer de l’argent, ils n’ont pas compris nos réelles demandes. Ce qu’on demande, c’est un travail de fond sur l’hôpital pour lui redonner de l’attractivité, c’est améliorer les conditions de travail et les conditions d’accueil des patients ». Un médecin urgentiste renchérit : « On attend des moyens pas seulement financiers mais des moyens humains parce qu’on a des lits pour lesquels on n’a pas le personnel suffisant. Donc c’est très frustrant. »

- Plus complet encore, un reportage vidéo réalisé par Aurélie Ladet pour Le Parisien – je découvre stupéfait que le journal de Bernard Arnault est devenu une officine au service des syndicats anarcho-extrémistes. « On est usé, épuisé, témoigne une infirmière, on vient de passer des mois difficiles et on nous demande encore de faire des efforts, tout ça pour une augmentation de 183 euros, c’est très loin de ce qu’on demande. » Elle n’a qu’à sacrifier ses vacances de la Toussaint, cela lui fera quelques centaines d’euros supplémentaires. « L’hôpital est à bout, déclare un médecin. Pour affronter la deuxième crise, nous avons moins de lits et de personnel que pour la première. On est le seul pays du monde où, en pleine pandémie, on continue à fermer des lits. » Par exemple, plus de cent lits ont été supprimés depuis le printemps au CHU de Nantes, rapporte Mediapart (connu depuis longtemps pour être une officine islamo-gauchiste). « Donc les soignants sont dégoûtés. Il y a une vague de départs, il y avait 7 500 postes infirmiers vacants en juin, nous en sommes à plus de 34 000 aujourd’hui. » Pas grave : selon France 2, ils sont beaucoup mieux organisés.

- « Dans les hôpitaux, il y a une fuite des salariés, confirme un aide-soignant. Et c’est très grave, faire fuir les personnels, c’est criminel pour l’hôpital public. » « On risque d’imploser, craint un autre. Beaucoup de soignants nous font part de leur malaise, de leur burn-out. Ils n’ont plus du tout envie de s’investir parce qu’ils ne se sont pas sentis écoutés. » Par le 20 heures de France 2, c’est certain. « Vous avez 10 % des infirmières qui sont en maladie, en dépression, en épuisement professionnel, en stress post-traumatique, précise le médecin. Pour le gouvernement, c’est des chiffres mais pour nous, c’est des noms, c’est des visages, des histoires de vie. » Ce praticien n’a visiblement pas visité l’hôpital de Tourcoing, où les personnels sont plus motivés que jamais.

La veille de la manif, le site 20 Minutes fait aussi preuve d’une douteuse complaisance pour les séditieux hospitaliers. « Les mesures du Ségur sont dérisoires, déplore Arnaud Chiche, médecin réanimateur et fondateur du collectif Santé en danger. On est face à un exécutif qui n’entend pas la souffrance des soignants. Si on veut faire croire que le Ségur de la santé est un choc d’attractivité pour l’hôpital, c’est faux. Cent quatre-vingt-trois euros de revalorisation salariale, ce n’est pas assez, il faut 300 euros de plus pour les soignants et personnels paramédicaux afin d’aligner les salaires sur la moyenne européenne. » Raisonnement absurde : il suffit d’aligner les salaires sur la moyenne africaine pour recruter des soignants venus de ce continent.

« Il faut des embauches massives, poursuit Arnaud Chiche. Personne ne voudra faire carrière dans la santé avec ces salaires et ces conditions de travail là. » Mais si, à Tourcoing, tous les soignants sont enchantés par leur plan de carrière. « En France, il y a en moyenne une infirmière pour une douzaine de malades dans un service de médecine générale, soit deux fois moins que dans certains pays au niveau de vie similaire. » Mais elles sont deux fois mieux organisées. « En dix ans, 60 000 lits d’hôpitaux ont été fermés, il faut en rouvrir 20 000, et créer 15 000 lits de réanimation supplémentaires. » Ça va pas la tête ? Et pourquoi pas embaucher des enseignants, tant qu’on y est ?

- Arnaud Chiche alerte : « Les hôpitaux ne sont pas prêts à faire face à un afflux massif de patients Covid. » Bien sûr que si, puisque désormais les soignants connaissent beaucoup mieux la maladie. « On est à un niveau de sous-effectif tel que l’on demande à des soignants testés positifs au coronavirus, mais asymptomatiques, de venir travailler quand même. » Une nouvelle preuve de l’engagement enthousiaste des personnels de l’hôpital.

- Dans Libération, quotidien d’ultra-gauche, Christophe Prudhomme, porte-parole de l’Association des médecins urgentistes et délégué CGT, le syndicat islamo-collabo, relève que « l’an dernier, il y avait 100 000 demandes d’inscriptions dans des écoles d’infirmière pour 30 000 places. Donc il n’y a pas de crise de vocation mais un refus des conditions de travail dégradées ». Et de préciser : « Il y a 150 000 infirmières qui n’utilisent plus leur diplôme. » Des traîtres, des lâches.

Cinq jours plus tard, miracle ! Infirmant toutes les jérémiades des manifestants du jeudi précédent, le 20 heures de France 2 révèle que le manque de personnel et la crise de recrutement sont définitivement réglés. Grâce à la l’admirable action de notre généreux gouvernement, évidemment. « Nous nous arrêtons sur la prime Ségur mise en place en septembre dernier, annonce Karine Baste-Régis, remplaçante d’Anne-Sophie Lapix. Augmentation des salaires pour le personnel hospitalier et un calendrier accéléré : la seconde augmentation de 93 euros prévue au mois de mars sera finalement versée avant la fin de l’année. Le gouvernement veut absolument remotiver les troupes. Et par endroits cela semble fonctionner. » Notre gouvernement a trouvé l’antidote à la crise de l’hôpital. « Illustration en Seine-et-Marne. » Ça change de Tourcoing.

- « Au service des ressources humaines de l’hôpital de Nemours, c’est du jamais vu, s’esbaudit une reporter. Jusqu’à cinq fois plus de candidatures par poste que les années précédentes. » Il va falloir faire appel à des cabinets de recrutement privés pour opérer le tri dans cette avalanche de candidatures. « Une abondance due en partie à la prime Ségur, 90 euros nets de plus par mois dès septembre. De quoi concurrencer un peu mieux le secteur privé. » Avec les 93 euros supplémentaires promis pas plus tard que pour bientôt, c’est le secteur privé qui va se retrouver en sous-effectif.

Une cadre du pôle médecine explique : « Un des points faibles de la fonction publique était les grilles salariales. » Mais ça, c’était avant. « Pour un jeune diplômé, quand on voit ce que peut proposer une structure privée par rapport à ce qu’on proposait sur un premier poste, il y avait un écart. Donc la revalorisation des salaires va être un argument pour nous. » Les hôpitaux auront le personnel suffisant pour rouvrir les lits qui leur font cruellement défaut.

« Pauline, 22 ans, fait partie de cette nouvelle vague d’embauches, reprend la journaliste en présentant une infirmière. À l’hôpital, le salaire de départ est de 1 600 euros bruts. Elle a toujours voulu être infirmière mais la revalorisation a été un argument de taille pour ses camarades de promotion. » « De ceux que je côtoie, confirme l’intéressée, on s’est tous tournés vers l’hôpital public. C’est toujours bon à prendre, ces 90 euros en plus. » C’est fou ce que la générosité du gouvernement a suscité comme vocations.

« De quoi remplir les postes vacants de l’hôpital », assure la reporter. Et ridiculiser les syndicalistes affabulateurs. « Une aubaine pour le directeur. » Selon lui, « au-delà de la hausse des candidatures, même des candidatures spontanées, quand on recherche des professionnels sur des métiers spécifiques, on a moins de difficulté qu’il y a quelques mois ». Cette deuxième vague du Covid, c’est certain, on ne va pas plus la sentir passer qu’une épidémie de gastro.

- La journaliste poursuit son « enquête » à l’école. « Dans les instituts de formation en soins infirmiers, même constat : les candidats sont de plus en plus nombreux. La crise sanitaire a visiblement suscité des vocations. » Ainsi que les fortunes promises par Olivier Véran. Quoique… « À les entendre, il faudrait revaloriser encore plus ces métiers. » Leur goût du lucre n’a pas de limite. Une élève (sans doute future adhérente d’un syndicat islamo-indigéniste) revendique : « Elles font un travail énorme, dur, et je pense que le salaire ne vaut pas le quart de ce qu’elles font. » L’infinie générosité du gouvernement ne viendra jamais à bout de l’incommensurable vénalité des soignants.

 - « À l’échelle nationale, conclut la journaliste, cent mille postes sont toujours vacants dans les établissements de santé, dont un tiers d’infirmiers. » 

Hein, quoi ? D’où sort ce sinistre statistique ? Que vient-elle faire dans ce sujet fabuleusement rassurant ? On vient de m’expliquer que les postes vacants suscitaient des quantités astronomiques de candidatures. Je ne comprends pas. Soit les responsables des recrutements sont vraiment trop exigeants, soit France 2 a réalisé un sujet outrageusement complaisant pour le gouvernement. Hypothèse à laquelle je ne peux me résoudre.

Le chaos est partout à France Télévisions : France Ô première victime de la casse organisée de la télé publique !

Le chaos est partout à France Télévisions : France Ô première victime de la casse organisée de la télé publique !

Le chaos est partout à France Télévisions – c’est peu dire – et l’une des premières victimes de cette descente aux enfers au quotidien tous secteurs confondus, c’est France Ô.

Il n’est plus question ici de la chaine de la TNT qui a été arrêtée il y a quelques semaines pour un portail numérique bidon sur lequel personne ne se rend (quelques dizaines clics par semaine) supposé renforcer la visibilité des Outre-mer mais de France Ô (ex-RFO) la société de télévisions partie intégrante du groupe public France Télévisions qui se meurt.

Dans un tract signé par l’ensemble des organisation syndicales publié au sortir du CSE dans l’établissement de Malakoff le siège de France Ô, les interrogations sont légions.

L’intersyndicale unanime (*) qui se demande « Qui dirige quoi à Malakoff ? » dénonce  « Un projet illisible et incompréhensible ! »

Le blog CGC Média vous propos de découvrir ce texte :

« Suite à la suspension ce jeudi 22 octobre 2020 de la séance du CSE de Malakoff à l’initiative des élus de l’instance – une décision adoptée à l’unanimité ! –, les Organisations syndicales de l’établissement se sont associées, elles aussi, à l’unanimité à cette décision inédite.

Elles interpellent la Direction du Pôle Outre-mer ainsi que la Direction générale de France Télévisions :

Que se passe-t-il à Malakoff ? Y a-t-il une équipe aux commandes ?

Que ce soit en session extraordinaire, comme le 14 octobre dernier, ou en session ordinaire, la présentation du projet de réorganisation de l’établissement de Malakoff, suite à la disparition de la chaine France Ô est incompréhensible :

- Manque cruel de documents fiables, compréhensibles, structurés et établis,

- Distribution hyper tardive, la veille d’une partie des documents quand il y en a,

- Réponses évasives voire silencieuses aux questions des élus, - Coordination inexistante des différents responsables de la réorganisation (entre la DRH et l’Equipe en charge de la Transformation par exemple),

- Absence en séance de responsables chargés de la réorganisation.

Face à cette situation ubuesque qui entraine de facto l’incapacité pour les élus de comprendre le projet de la direction et encore moins d’en rendre compte aux salariés, les Organisations syndicales de l’établissement de Malakoff demandent à la directrice du Pôle Outre-mer [Sylvie Gengoul, ndlr] de bien vouloir procéder au plus vite à une mise à jour de ses services chargés de la présentation de son projet.

Les salariés attendent depuis longtemps un projet de restructuration du site de Malakoff, avec une véritable étude des emplois qui y sont liés et du service public. Nous ne comprenons pas pourquoi le point sur la RCC et les postes vacants a été amené devant les élus sans explication, sans personne capable de le présenter.

Les organisations syndicales soutiennent pleinement les élus de l’établissement et attendent avec impatience que des mesures soient prises au plus vite par la direction avec une équipe de direction (tous services confondus).

Nous exigeons que le CSE reprenne dans les meilleurs délais coordonné, uni et apte à présenter ledit projet aux représentants des salariés.

Il en va non seulement de la crédibilité de la direction, mais aussi de la sauvegarde du site de Malakoff et de ses missions ! ».

Si ce foutoir ne régnait qu’à France Ô…Mais non, il est partout.

Comment Emmanuel Macron qui avait qualifié la gouvernance de France Télévisions de « Honte de la République », peut-il laisser cette télé publique imploser ainsi, lui qui annonçait aux Français un énorme big bang ?

(*) 



vendredi 23 octobre 2020

Démarrage en fanfare pour Karine Baste-Regis le joker d’Anne-Sophie Lapix.

Démarrage en fanfare pour Karine Baste-Regis le joker d’Anne-Sophie Lapix.

L’Outre-mer était à l’honneur cette semaine – une fois n’est pas coutume avec le pitoyable portail gengoulo-ernottienne pour la soi-disant visibilité ultramarine qui n’enregistre tout au plus qu’une cinquantaine de vues par jour (et encore, personne ne sait qui clique !) – avec la prestation cette semaine troisième semaine de Karine-Baste Régis.

Certes TF1 reste en tête tous les jours de la semaine (jusqu'à ce vendredi où nous écrivons)  et contrairement à un site qui dit le contraire mais la journaliste joker d’Anne-Sophie Lapix permet au JT de 20 h de flirter avec celui de TF1 présenté par Julien Arnaud assurant l'intérim de Gilles Bouleau.

Il y a certes le contexte actuel sur fond d’hommage national rendu après l’horrible assassinat du professeur du collège de Conflans-Sainte-Honorine qui a bouleversé la France entière mais le résultat est là.

Voir les chiffres d'audience des JT de 20H les 19, 20, 21  et 22 octobre 2020 (source Puremedias):











jeudi 22 octobre 2020

L’ex-numérobis d’Ernotte à France Télés retourne chez Banijay d’où il venait !

L’ex-numérobis d’Ernotte à France Télés retourne chez Banijay d’où il venait !

Qu’est-ce qu’il disait Emmanuel Macron sur la gouvernance de France Télévisions ? Qu’elle était « La honte de la République » !

L’AFP a publié une brève dépêche aujourd’hui indiquant que « Takis Candilis qui était directeur de la fiction chez Banijay numéro 3 européen de la production télévisuelle où il était chargé de l'expansion internationale, avant d’être recruté par l'ex-Orange chez France Télévisions, retourne chez son ancien employeur, la société de production Banijay, en tant que conseiller en charge de la fiction ».

Le retour chez l’employeur d’où il venait et qu’il a fait largement travailler lorsqu’il était aux manettes pour à présent le conseiller sur les programmes qu’il va pouvoir refourguer à la boite qu’il a dû quitter il y a quelques jours… Comment le Chef de l’État qualifierait-il cela ?  

C’est probablement l’Inspection Générale des Finances  dont il se murmure selon nos informations qu’elle interviendra très prochainement à France Télés, qui qualifiera ces pratiques d’un autre monde qui sont finalement légion dans l'entreprise et ce, plus particulièrement suite à la plainte au Pénal concernant les 100 millions d’argent public signés par Ernotte avec la société de Nagui donc Banijay (*) que Challenges a révélée.

 


(*) Rappelons que pour tenter de justifier les 100 millions de contrats qu’Ernotte a signé avec Nagui et Air Productions, la société qu’il a fondé et qu’il préside, détenue par Banijay dont l’animateur est actionnaire à hauteur de 5,3% et d’où vient Takis Candilis qui était le patron jusqu’en 2017, elle avait indiqué suite à l'enquête de  Médiapart “Nagui rapporte plus d’argent qu’il n’en coûte”.

Tout contrat au-delà de 2 millions d’euros doit faire l’objet de procédures strictes et de contrôle appropriés. 

L'IGF aura l'occasion de vérifier, entre autres, comme l'indiquait le titre de presse que les membres du conseil d’administration de France Télévisions n’auraient ainsi pas eu accès à l’accord-cadre en question et n’auraient pas été au courant de certaines conditions du contrat signé avec Air Productions tout comme elle aura l'occasion de voir si le contrôle d’Etat émanation de Bercy à France Télévisions aurait  été saisi comme c'est impératif pour ce type contrat pluriannuel conclus avec Nagui de 100 millions d’euros... type de contrat, soit dit en passant, qui depuis l’affaire des « voleurs de patates » sous Elkabbach  est pourtant banni de la télé publique!



Le recrutement par Ernotte d’un directeur de Sécafi (Jacques Denoyelle) au poste de directeur du dialogue social à France Télés devrait bien faire l’objet d’une procédure.

Le recrutement par Ernotte d’un directeur de Sécafi (Jacques Denoyelle) au poste de directeur du dialogue social à France Télés devrait bien faire l’objet d’une procédure.

C’est du jamais vu…Comme le blog CGC Média l’avait annoncé en exclusivité le 12 octobre dernier, le recrutement par Ernotte de Jacques Denoyelle directeur associé chez SECAFI, le cabinet très proche de la cgt que cette dernière met à toutes les sauces à France Télés, n’a pas fini de faire de vagues…à juste titre.

Il y a belle lurette à France Télés que dialogue social rime avec connivence !

Mardi 20 octobre, lors de la séance du CSE, FO lisait en séance une déclaration liminaire concernant cet invraisemblable mélange des genres. Ce genre de communiqué est tellement rare tant le syndicat pro direction va systématiquement dans le sens du vent, qu’il est utile de le mentionner.

Extrait :

« L’information a fuité et nous est revenue par la bande des médias…Notre actuel directeur du DIALOGUE SOCIAL laisserait bientôt la place. Le dialogue va continuer, mais Force Ouvrière s’interroge sur la direction qu’il va prendre ? Une fois encore, france·tv recrute ses hauts cadres à l’extérieur de l’entreprise.

Pas très loin cependant puisqu’il s’agit du futur ex-patron du cabinet d’experts SECAFI et que celui-ci connaît très bien la maison pour y avoir conduit de nombreuses expertises[nombreuses, le mot est faible…innombrables serait plus juste ! ndlr] (*)

Nous connaissons ses futurs patrons et aussi ses anciens commanditaires. Nous ne savons rien, en revanche, des conditions de son recrutement. Après avoir défendu les intérêts de l’entreprise à la demande de représentants des salariés, c’est à la demande de la direction qu’il le fera maintenant. C’est donc un changement de paradigme, à 180° !

Le nouveau directeur du dialogue social devra faire preuve de beaucoup de qualités pour ne pas avoir à trop souffrir de cette gymnastique mentale... »

Pas question de gymnastique mentale dans une telle nomination. Il s’agit bien là d’un conflit d’intérêts dont la Justice devrait être, très vite saisie.

Le blog CGC Média l’écrivait hier :

Jacques Denoyelle pourrait certes ne plus avoir de liens avec Sécafi – encore faudrait-il qu’il le démontre - comme des participations qu’il conserverait dans le cabinet où il était associé, mais le fait que Sécafi et/ou se filiales restent prestataire en situation de quasi-monopole mandaté par la cgt comme toujours et payé par l’entreprise donc le contribuableva indubitablement poser la question d’un conflit d’intérêt majeur. 

Passons très vite sur la grotesque publication de la CFDT qui qualifie de « Révolution culturelle et de belle prise, le recrutement de Denoyelle qui connait parfaitement France Télévisions » (sic) et se déclare «Curieuse de voir comment il va se positionner » (sic)…

Ne nous appesantissons pas non plus sur le titre du papier qui fait mine de s’interroger sur avec un anecdotique point d’interrogation «Direction du Dialogue Social : une révolution de palais?»

Inutile de préciser combien les réactions indignées à ce texte chèvre et chou du syndicat largement démonétisé en interne, se sont multipliées en interne.

Extrait (attention personnes sensibles s’abstenir !)  

« Direction du Dialogue Social : une révolution de palais ?

C’est le grand chamboule tout depuis la fin de l’été à FTV, les nominations se succèdent, certains changent de poste tout simplement, les uns partent, les autres arrivent.

Ainsi, un nouveau directeur du dialogue social est nommé, un Jacques pour un Stéphane, cela change quoi, direz-vous… Alors, simple mouvement orbital périodique autour d’une autre masse prépondérante ? Rien de neuf sous le soleil ? Peut-être que non.

Peut-être que cette fois, il s’agit d’une révolution culturelle : une prise de pouvoir des experts en service commandé. Pourquoi s’alarmer ? Parce que les dessous de la nomination de Jacques Denoyelle au poste de directeur du dialogue social ne sont pas clairs.

L’ancien directeur en poste ne faisait donc pas l’affaire ? Peut-être parce que lui, il discutait avec toutes les OS et pas seulement avec le syndicat partenaire habituel de la direction ?

Et pourquoi ne pas avoir écrit, dans le communiqué annonçant sa nomination, que Jacques Denoyelle était jusqu’à présent directeur associé de SECAFI, cabinet mandaté depuis des années par la majorité syndicale [Cgt, ndlr] à la tête des ex CE et CSE de France Télévisions pour la réalisation d’expertises sur les sujets économiques, sociaux, santé ? (¤)

Le communiqué officiel, lui, ne mentionne qu’une activité pour le groupe Alpha, auquel appartient SECAFI. Quelle pudeur, de la part de la direction ! » (ci-dessous)

La CFDT de citer ensuite le plus lamentablement qui soit « Pierre Beretti l’ex PDG groupe Alpha » (sic) – qui selon le syndicat « affirmait à Mediapart en 2016 que « Ce qui fait la force de Secafi a toujours été son lien très fort avec la CGT, en même temps qu’une indépendance également forte » (28.02.2016, « Syndicats, avec ou contre les patrons ? Le dilemme des experts en entreprise »)

N'ayant toujours pas peur du ridicule, de poursuivre « Pierre Beretti, dont la presse relate les relations privilégiées et la proximité idéologique avec le Président de la République, Emmanuel Macron » (sic)

Pauvre CFDT qui ose citer et même donner des références qui sont fausses, bien entendu !

Il ne s’agit évidemment pas de Pierre Beretti l'ex-pédégé d'Altédia dont la femme Murièle Charles fut l'éphémère DRH de l'entreprise  mais de Pierre Ferracci effectivement  proche de Nicolas Sarkozy.


Voici l’extrait de l’article précité que Médiapart a mis en ligne le 28/02/2016 :

« En quelques années, Ferracci a su rallier ou racheter une myriade de petits cabinets d’expertise, pour peser chaque fois un peu plus. Et le fil tendu entre son bureau et la centrale cégétiste ne s’est jamais rompu, même si cela fait bien longtemps qu’il fréquente toute la palette des dirigeants des syndicats.

« Ce qui fait la force de Secafi a toujours été son lien très fort avec la CGT, en même temps qu’une indépendance également forte », assure Pierre Ferracci aujourd’hui. Au sein du syndicat, personne ne songerait à nier son influence, lui qui a été proche de tous les dirigeants CGT, jusqu’à Philippe Martinez aujourd’hui.

On lui prête même régulièrement le pouvoir de les faire nommer, et lors de ses nombreux entretiens avec la presse, il veille à bien faire sonner les prénoms des secrétaires généraux successifs pour illustrer leur proximité. Mélange des genres assumé. Mais Pierre Ferracci a tissé sa toile bien au-delà. Membre permanent du Conseil d’orientation sur l’emploi depuis 2005, il a accepté sous Sarkozy de présider une commission sur la formation professionnelle et de participer en 2007 à la commission Attali (qu’il quittera finalement en claquant la porte)…»


Le reste du tract de la CFDT est du même acabit  

Suite… « Une belle prise donc, puisque Denoyelle, qui connait parfaitement France Télévisions, saura parler à la CGT, son principal partenaire et donneur d’ordre à FTV.

Evidemment, nous sommes curieux : comment Jacques Denoyelle, qui a formé par ses interventions les élus présidents de commissions, secrétaires des ex CHSCT et CE, membres des bureaux des CSE ou rapporteurs de CSSCT, va-t-il se positionner, en tant que directeur du dialogue social ? Comment va-t-il gérer les amitiés anciennes et solides forgées par un long partenariat avec la CGT, et comment va-t-il parler aux autres organisations syndicales, qu’il a moins côtoyées ?»

Et de prévenir et de s’interroger encore alors que depuis tant d’années tout est connu « La CFDT n’acceptera pas que le directeur du dialogue social choisisse ses partenaires. Nous n’accepterons pas que dans le dialogue social, il y ait les « amis » et les autres. Que des informations ne soient pas données de façon équitable à toutes les organisations syndicales, que les dossiers soient préparés en amont avec les uns et pas avec les autres. Avons-nous des a priori ? Mais évidemment, nous en avons ! Parce que nous savons que la neutralité, l’objectivité, c’est difficile quand on a tissé des liens depuis si longtemps.

Alors, qu’elle est la véritable mission de Jacques Denoyelle : amener la CGT à signer, d’ici à 2022, des accords structurants sur les évolutions des métiers ou le temps de travail, en usant de ses relations privilégiées avec ce syndicat à FTV?

Pas la peine de lui souhaiter la bienvenue à France Télévisions, Jacques Denoyelle y est chez lui depuis longtemps : on se demandait si SECAFI, omniprésent à FTV, avait des bureaux au Siège ; maintenant, on sait où ils sont : dans le bâtiment Valin, à l’étage du Dialogue Social » (* partout chez lui, effectivement…regardez ci-après l’un des derniers documents signé Sécafi, Denoyelle and co, présenté en séance de ce dernier CSE)

(*)




mercredi 21 octobre 2020

Guimier, Buñuel et Sitbon à France Télés se renvoient la patate chaude dans une affaire qui dépasse l’entendement !

Guimier, Buñuel et Sitbon à France Télés se renvoient la patate chaude dans une affaire qui dépasse l’entendement !

L’affaire que beaucoup considèrent d’une gravité extrême intervient ce dimanche 18 octobre sur le plateau de France 5 "C Politique"Karim Rissouli fait intervenir en direct sur le plateau, un collégien d’une douzaine d’année venant témoigner  après l’atroce assassinat du professeur du collège de Conflans-Sainte-Honorine qui a bouleversé le Pays.

Le nom du collégien présenté à visage découvert est donné ainsi que sa classe où enseignait, entre autres, l’enseignant à qui la France entière rend hommage aujourd’hui.

Aujourd’hui les images ont disparu de la plupart des sites qui les avaient reprises (*) mais des questions se posent dans ce qui pourrait, compte tenu du contexte, déboucher sur la mise en danger du jeune garçon.

Des interrogations qui sont montées très haut et qui indignent à présent l’Exécutif comme la classe politique dont la première d’entre elles :  Les parents avaient-ils donné leur accord pour l’intervention ?

Quand bien même ce serait le cas – ce qui selon nos informations ne l’est pas ! – comment des responsables de l’entreprise de télés publique, ont-ils pu ne pas imaginer flouter une telle intervention et modifier le son ?

Certes le témoignage est poignant mais cela n’excuse en rien, en ne prenant pas de telles précautions, mais les risques encourus par le mineur dont le visage et le nom sont toujours visibles sur la Toile, sont énormes.

Depuis Guimier, Buñuel et Sitbon à France Télés se renvoient la patate chaude et se regardent à présent en chien de faïence.

Guimier se dédouanant en expliquant que l’émission dépend de Buñuel aux Programmes, ce dernier  précisant, lui, qu’elle dépend de l’Info... les deux se retournant vers Sitbon l’ex dircab d’Ernotte qu’elle a promu numérobis en remplacement de Candilis.

Les errements de l’ex-Orange qui est juridiquement la première responsable, continuent d’agacer au plus haut point celles et ceux qui ont vu en la décision du 23 juillet dernier signé Roch-Olivier Maistre dont une demande d’annulation est pendante, une défiance au Chef de l’État.

L’affaire est donc loin, très loin d’être enterrée et l’ex-Orange comme son trio d’indéfectibles lieutenants Guimier, Buñuel et Sitbon vont devoir très vite en répondre avant que les foudres du Ciel ne s’abattent sur eux. 

(*) 




Scandaleux conflit d'intérêts: Le dialogue social à France Télés laissé à la cgt soutien d’Ernotte !

Scandaleux conflit d'intérêts: Le dialogue social à France Télés laissé à la cgt soutien d’Ernotte !

Comme s’il y avait besoin d’une preuve de la proximité qui existe entre direction et cgt, le communiqué de la direction de France Télés tombé ce mardi 20 octobre confirmant l’information que donnait le blog CGC médiaune dizaine jours plus tôt, sur la nomination au 2 novembre prochain de Jacques Denoyelle, directeur associé du cabinet Secafi et auteur de très nombreux rapports pour France TV commandés quasiment tous par ledit syndicat soutien de l’ex-Orange, arrive comme une provocation sur fond de conflit d’intérêt majeur.


Dès demain un cabinet d’avocats devrait être mandaté pour saisir la Justice de cette incroyable mascarade. 

Il pourrait certes ne plus avoir de liens avec Sécafi – encore faudra-t-il qu’il le démontre - comme des participations qu’il conserverait dans le cabinet où il était associé, mais le fait que Sécafi et/ou se filiales restent prestataire en situation de quasi-monopole mandaté par la cgt comme toujours et payé par l’entreprise donc le contribuable, va indubitablement poser la question d’un conflit d’intérêt majeur. 

Les interventions de Jacques Denoyelle et du cabinet où il officie Sécafi (Alfa) dans tous les CE, CCE,CSE et autres Commissions économiques, ne se comptent plus tant elles sont nombreuses.(*)

Il était de toutes les instances et donnait au nom de Sécafi son avis partout sur tout. Il venait présenter lui-même les rapports du cabinet dans une majorité d'instances presque toujours dans le sens de la direction évidemment ! 

(* exemples)



Il suffit de relire l’article des Échos signé Grégoire PossielgueDenoyelle venait commenter l’étude réalisée parmi tant d'autres, dont le cabinet Secafi était comme de coutume mandaté par le comité central d'entreprise (CCE) où la CGT était majoritaire, afin de se « prononcer pour le maintien de la publicité en journée sur France Télévisions » (¤)


(¤)



 

"Avant la réforme, France Télévisions était une entreprise à l'équilibre avec un cofinancement public-privé et un moteur publicitaire qui fonctionnait bien. Aujourd'hui, il est difficile d'envisager son avenir sans des bases solides et connues. Il y a beaucoup d'incertitudes alors que France Télévisions doit financer son développement sur de multiples supports" , estimait l’expert Denoyelle, l'auteur du rapport chez Secafi. »


L’intéressé n’hésitait d'ailleurs pas à embarquer des parlementaires dans sa démarche pro- direction. Il prônait alors le double double financement nécessaire pour « desserrer les contraintes sur les synergies » que le groupe doit progressivement mettre en place au cours des prochaines années. « Synergies très importantes : selon Secafi, devant atteindre 244 millions d'euros en cumulé sur quatre ans… » disait le papier.


Il convient de relire ce qu’édictait le nouveau préposé au dialogue social sur la façon de « Desserrer l'étau des synergies » :

« Ces synergies vont nettement s’accélérer, ce qui, selon Secafi, comporte des risques : au niveau technique avec le regroupement de moyens dans le cadre de l'entreprise unique, mais, surtout, au niveau de l'organisation du groupe puisque entre 300 et 400 départs à la retraite dans le cadre du plan mis en place par France Télévisions (900 départs volontaires en retraite pour les salariés à jour de leurs trimestres) pourraient intervenir…Outre le maintien de la publicité, le rapport émet d'autres préconisations : notamment la négociation d'un nouveau plan d'affaires actualisé des résultats de 2009, qui ont fait ressortir des recettes publicitaires (365 millions d'euros) bien supérieures aux prévisions du groupe (260 millions); la mise en place d'une gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences (GPEC); la présentation d'un calendrier précis pour les projets, nombreux (en télévision numérique terrestre, sur Internet)… »

Enfin le futur directeur ernottien affirmant qu’il fallait «  régler le cas de la TNT outre-mer et enfin, lancer une réflexion structurée afin de définir une stratégie média global qui serait intégrée au COM ».

Denoyelle a été entendu et le cas de la TNT outre-mer a été réglé avec sa disparition totale !

Ce serait là un directeur dédié au dialogue social…une farce !!

Lorsque l’annulation de la décision du 23 juillet dernier interviendra, toutes les désignations et nominations intervenues seront de facto annulées puisque caduques.