Il n’y a plus aucun intérêt pour l’ex-Orange et sa garde rapprochée à défendre aujourd’hui le holding France Medias, sachant que celle qui prônait tous azimuts son impérieuse mise en place, n’en sera pas aux commandes.
Le chaos paraît donc être la seule solution pour que Delphine Ernotte continue sa casse réglée de l’entreprise. La dénonciation de l’accord d’entreprise en est l’un des axes principaux. Le but : contraindre Sibyle Veil, la présidente de Radio France et le président de l’INA à dénoncer leur accord d’entreprise respectif.
Il n’est en effet pas possible par exemple, au sein d’une même entité d’avoir plusieurs collaborateurs par différentes couverture sociales. Les salariés des trois entités devront être traité de la même façon et leur pédégé respectif subit la même fronde que celle qui va s’abattre sur Ernotte et France Télés dès septembre.
Quant à la toujours ministre de la culture qui prétend que cette fusion se fera sans casse et qu’avant le débat sur le budget 2026 à l’Assemblée nationale, cette reforme sera adoptée grâce au soutien des sénateurs et ce malgré ses démêlées judiciaire et sa campagne pour la législative dans la deuxième circonscription de Paris ainsi que celle pour la mairie au municipal de 2026, le chemin à quelques milliards d’euros est encore long car ayant un impact majeur sur le vote du budget.
L’absence de majorité, des divergences idéologiques marquées et les choix budgétaires controversés, notamment l’année blanche et la réduction des dépenses sociales, nonobstant le risque d’un recours au 49.3 et d’une censure subséquente menace la stabilité du gouvernement.
D’où l’hypothèse d’une nouvelle dissolution après les grandes vacances pour essayer de rebattre les cartes et minimiser les tensions actuelles ou les alliances inattendues entre oppositions qui compliquent la recherche d’un compromis.