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samedi 28 mai 2022

Que les contribuables se rassurent, ils vont continuer à payer les interviews post mortem d’Ardisson.

Que les contribuables se rassurent, ils vont continuer à payer les interviews post mortem d’Ardisson.

Dans une interview qu’il donne en exclusivité, ce samedi au Parisien, où il indique « Des coups durs, j’en ai connu toute ma carrière », l’homme en noir va bien tourner un second numéro d’«Hôtel du temps» où il ramènera Coluche de la tombe.

C’est l’ex-dircab d’Ernotte qui le lui a confirmé : «Au lendemain de la diffusion, j’ai appelé Stéphane Sitbon- Gomez (n° 2 de France Télévisions) pour lui proposer d’arrêter. Il m’a répondu qu’il n’en était pas question, qu’il voulait un autre numéro avec Coluche, avant Gabin. On le tourne en septembre. On sait ce qu’il faut corriger. On a, par ailleurs, des touches pour vendre l’émission à l’étranger. J’ai l’habitude de prendre des trains dans la gueule. Des coups durs, j’en ai connu toute ma carrière. »

Chacun notera que c’est le remplaçant de Candilis qui le dit et pas Anne Holmès la toute dernière directrice des programmes de France Télévisions qui succédait il y a quelques semaines à Diego Buñuel !

Quant à ce qu’avait déclaré Ardisson avant sa première exhumation de Dalida et que lui rappelle Michaël Zoltobroda pour le titre de presse « Vous aviez dit que si ‘’Hôtel du temps’’ faisait 7 % de part d’audience, vous étiez « une merde ». L’émission a fait 6,8 %, vous considérez-vous comme tel ? », tout cela n'est plus d’actualité et l’intéressé évoque même  à présent la moyenne de la case pour se rasséréner !

« Même si elle est dans la moyenne de la case, cette faible audience m’a terriblement affecté. J’ai été déçu, même abattu. J’ai mis tellement d’énergie dans ce projet. Pourtant, on a eu une presse dithyrambique. Les gens qui ont vu ont aimé. Le problème, c’est de comprendre pourquoi les téléspectateurs ne sont pas venus plus nombreux. J’ai sans doute mal vendu le truc. Le public, qui m’a vu faire des interviews pendant trente-cinq ans, a cru que j’interviewais Dalida, alors que c’est un documentaire. » explique l’intéressé qui poursuit « On a, par ailleurs, des touches pour vendre l’émission à l’étranger. J’ai l’habitude de prendre des trains dans la gueule. Des coups durs, j’en ai connu toute ma carrière. »

Tout le monde va donc mieux dormir ce soir…chacun imagine le coût d’une telle émission – des centaines de milliers d’euros – ramené au nombre des curieux, ça fait cher la douloureuse mais tout ça n’est pas très grave car les débouchés seraient là et le financement au rendez-vous.

Ils doivent quand même faire un peu la tête, Cyril Féraud qui avait rejoint il y a peu Jean-Marc Généreux et la production de « Spectaculaire » à qui le numérobis ernottien a dit STOP dès le second numéro, après des scores d’audience pourtant au- dessus de ce premier docu outre-tombe: un premier numéro à 10,7 % de part d’audience pour un deuxième numéro, diffusé au début de l’année avec 8,1 % de PDA seulement !

Et puis, il y a la suite…Répondant à la question du quotidien « Vous venez de produire le pilote d’un jeu intitulé "la Tête ou le Net"», il se réjouit de cette probable prochaine commande « On a développé le concept avec Aurélien Lipiansky, à l’origine du succès de "Guess My Age". Vendredi dernier, on a tourné trois pilotes, dont un avec Tom Villa à l’animation et un autre avec Carole Rousseau, pour France Télévisions. Chantal Ladesou et Jeanfi Janssens étaient les candidats de la version people et ça fonctionne !  Là, c’est la première fois au monde que des candidats peuvent faire appel à l’ordinateur ! »

Dingue, toutes ces trouvailles ! Après l’interview des morts, des candidats à un jeu TV qui vont pouvoir faire appel à un ordinateur plutôt qu’à un ami (c’est votre dernier mot Jean-Pierre ?) 

vendredi 27 mai 2022

La Lettre A s’interroge sur ce que la direction de France Télés présente comme un plan de mutualisation des sites parisiens !

La Lettre A s’interroge sur ce que la direction de France Télés présente comme un plan de mutualisation des sites parisiens ! 

« La direction de France télévisions a présenté au CSE central extraordinaire du 25 mai un projet de mutualisation de ses sites parisiens, à l'horizon 2025. Si celui-ci se concrétise, les équipes seraient regroupées sur cinq emplacements, contre seize aujourd'hui. Il permettrait au groupe de réaliser d'importantes économies à long terme. » écrit La Lettre A aujourd’hui.


Comme le blog CGC Média, le titre de presse a eu connaissance du soi-disant projet présenté au CSE du 25 mai entérinant la « Prise à bail de deux nouveaux sites en hyper-proximité du Siège : - Seine Ouest (ex-PMU) - Quadrans (ex-SFR), nom de code : Campus 2025.

« Il permettrait au groupe de réaliser d'importantes économies à long terme. » claironne France TV qui voudrait faire croire à l’actionnaire que l’objectif de 2022 à 2025 serait de réduire d’un peu plus de 15% son périmètre immobilier qu’il établit sur 16 établissements…Tout cela sans compter les locaux de la filiale Le Studio, là où Sitbon-Gomez voulait transférer près d’une centaine de collaborateurs !

Petit problème tout de même, le chiffre de 118.115 m² que donne pour l’ensemble des surfaces, locatives entre autres, que France Télés chante vouloir réduire sur 3 ans est en réalité d’un peu plus de 144.000 m². (*)

Ça commence donc très mal. De toute évidence, chacun comprend comment d’une entreprise unique avec un siège commun construit pour cela, on se retrouve aujourd’hui avec 16 établissements au moins en région parisienne dont un immeuble entier de l’autre côté du périph EOS où les 7 étages du bâtiment sont loués par France Télés comme le sont notamment les Studios Le Franay à Saint-Cloud ou encore Varet.

Quant aux engagements de France TV qui prétend qu’aucun déménagement n’interviendrait avant 2024, on nage en plein délire !

Ben voyons ! Tout un tas de déménagements entre des services entiers qui sont partis chez EOS le temps de travaux au Siège et ceux qui devraient prendre leur place, d’incroyables mouvements seraient déjà prévus pour la rentrée de septembre au retour des vacances d’été !

Il se murmure même que les services de la Com’ seraient les premiers à bouger – vers l’immeuble dit Le Ponant (4 658 m²)  pour faire tampon jusqu’à au moins 2023 et non 2024 de toute façon !

La préfecture dont nos sources nous indiquent qu’elle a déjà reçu l’invraisemblable usine à gaz immobilière inventée par l’ex-Orange,  histoire de montrer au Pouvoir qu’elle pourrait mener à bien la réforme de l’État concernant tout l’Audiovisuel après la première étape supprimant la redevance (CAP), devrait très vite mettre les pieds dans le plat.

(*)

 

 

Surface locative

2021

MFTV

61 694 m²

VALIN

7 861 m²

EOS

14 241 m²

PONANT PARC

3 300 m²

LINOIS

2 288 m²

BOULOGNE

4 910 m²

MALAKOFF

8 305 m²

VARET

3 430 m²

PONANT SEINE & OUEST

4 658 m²

SEINE OUEST (PMU)

8 932 m²

QUADRANS (SFR)

16 962 m²

France 2 & France 3 Cinémas

329 m²

EUROPARIS

2 635 m²

BARJAC 1 / CHEVRONS

731 m²

VANVES

3 733 m²

Surface Totale

118 115 m²

Nbre de Sites

16


jeudi 26 mai 2022

L'article de Capital sera transmis à la Justice concernant la plainte visant le contrat de 100M€ signé par Ernotte avec la boite de Nagui donc Banijay.

L'article de Capital sera transmis à la Justice concernant la plainte visant le contrat de 100M€ signé par Ernotte avec la boite de Nagui donc Banijay.

Le 17 mars 2021 « Le Canard enchainé » évoquait les ennuis judiciaires à venir pour Ernotte alors  visée par l’enquête préliminaire ouverte par le PNF (*) s’agissant du contrat de 100M€ signé avec la boite de Nagui donc Banijay.

(*)

La CGC Média qui s'est logiquement constituée partie civile après la plainte qu'a déposée la syndicat,  va transmettre l'article EXCLUSIF publié par Capital intitulé "Le joli chèque empoché par Nagui grâce à la société Banijay" qui devrait à n'en pas douter intéresser fortement la Justice dans le cadre de l'instruction judiciaire.

L'article signé Jamal Henni révèle entre autre "L’animateur [Nagui] est un gros actionnaire du groupe de Stéphane Courbit. La cession d’une partie de ses parts vient de lui rapporter un joli pécule. Le présentateur de N'oubliez pas les paroles est multi-millionnaire, mais sa fortune est peu liquide. Pour l’essentiel, elle est constituée d’actions de Banijay Group [*], le groupe de Stéphane Courbit à qui Nagui a vendu en 2009 sa société Air Productions. Fin 2018, l’animateur détenait 5,3% du capital de Banijay Group, une participation alors valorisée 23 millions d’euros. L’animateur a préféré toucher en actions plutôt qu’en cash une partie du prix payé pour sa société de production. Cette société produit ses émissions à succès N’oubliez pas les paroles ou Taratata pour France 2. 

Au total, les commandes de la chaîne publique à cette société s’élèveraient à plus de 30 millions d’euros par an, selon Mediapart...

Il est bien évidemment inutile de rappeler d'où venait l'ex-numérobis d'Ernotte Takis Candilis qui signait en tant que directeur des programmes, les commandes passées pour France Télés avec Banijay donc...ce qui fait  encore écrire à Capital.

Extrait:

"Après avoir été bousculé par le Covid, Banijay Group a renoué avec la croissance (cf chiffres ci-dessous). En 2021, son chiffre d’affaires provient à 69% de la production d’émissions de flux, à 13% de la production de fiction, le solde provenant de la distribution de programmes. Les plates-formes de vidéo-à-la-demande représentent désormais 30% des revenus, avec par exemple pour Netflix la série Young Wallander, ou pour Amazon Prime un remake mexicain de I love lucy ou la télé-réalité Celebrity hunted.

En 2021, les seules activités françaises de Banijay ont généré un excédent brut d'exploitation de 56 millions d’euros sur un chiffre d’affaires de 250 millions d’euros. Banijay Productions France prépare notamment une nouvelle émission pour W9 baptisée le Game.

Ces développements ont aussi dopé la rémunération de Stéphane Courbit, qui est indexée sur les résultats de Banijay Group. Elle s’élève à 0,19% du chiffre d’affaires, plus 1% de l’excédent brut d’exploitation, avec un plafond à 7,5 millions d’euros par an. Grâce à cela, cette rémunération est passée de 1,6 million d’euros en 2014 à 4,5 millions entre 2016 et 2019, puis 5,5 millions en 2020, et enfin 7,5 millions en 2021. Stéphane Courbit touche en parallèle un autre salaire comme patron de Betclic (jeux en ligne). L'un dans l'autre, il a touché l'an dernier (via sa société familiale Lov Group Invest) un total de 14 millions d’euros.

Interrogés, ni Nagui ni son attachée de presse François Doux n'ont répondu."


mercredi 25 mai 2022

Nouvelle grosse colère de « Mr. T » à France Média Monde.

Nouvelle grosse colère de « Mr. T » à France Média Monde.

Le café au lait de « Mr. T » a eu du mal à passer ce matin après qu’il a eu connaissance d’un tract de la CGT intitulé « France Prestataire Monde » qui « dénonce une nouvelle fois le fonctionnement scandaleux aux contrats de sous-traitance auprès de société de prestataires (qualifiées de) véritable variable d’ajustement à France Média Monde. »   

La CGT ce n’est pas sa tasse de thé à « Mr. T » ses accointances syndicales sont ailleurs !

Arrivé à la conclusion, il a failli en recracher sa tartine ! « Quoi, ils veulent l’intégration de tous les prestataires ?! …alors que beaucoup de ceux qui ont monté leur boîte de prestation sont des ex-CDI de FMM et voient aujourd’hui la société publique comme une vache à lait »

Il glapissait déjà la veille avec ses emportements   « Ça fait des années qu’ils se gavent tous autant qu’ils sont sur des contrats de presta ou de matos qui coutent un fric fou aux contribuables….toutes ces boites qui s’engraissent allègrement sur le dos du service public avec ces va et vient de collaborateurs qui montent leur boite et facturent un max leurs services...il fallait bien un jour que ça leur pète au nez ! » mais là il exulte.

Il en a visiblement des « billes » dont certaines qu’il lâchait déjà hier sur « Les Tablettes turques, les contrats bidons, les serveurs, le câblage, la maintenance, la formation où il est question  de lapins de couleurs, le luxe et l’iris (la fleur probablement !), le Moody’s (c’est ce que nous avons compris tellement l’intéressé hurlait ) tout ces gens qui sont supposé vérifier la pertinence des besoins et les appels d’offres qui devraient aller avec… » et il balance discrètement « J’irai même parler aux juges s’il le faut et j’en ferai tomber du monde, chèque ou pas chèque...Tous ceux qui en ont croqué ! » 

Il semble que vu la tournure que prennent les choses, c’est bien ce qui risque d’arriver et plus vite que ne l’espère « Mr. T ».

mardi 24 mai 2022

L’annonce de la loi encadrant l’Audiovisuel public a mis « Mr. T » en trance !

L’annonce de la loi encadrant l’Audiovisuel public a mis « Mr. T » en trance !

A peine, L’Opinion avait-il sorti son article « Réformer l’Audiovisuel public pour le financer sans la redevance : la fin d’un tabou » précisant, entre autres, la réduction du périmètre comme le blog CGC Média l’annonce depuis des mois, que « Mr. T » est monté dans les tours !

« C’est bien fait pour leur g…. » lâche notre gorge profonde au bord de l’apoplexie qui ajoute « Ça fait des années qu’ils se gavent tous autant qu’ils sont sur des contrats de presta ou de matos qui coutent un fric fou aux contribuables….toutes ces boites qui s’engraissent grassement sur le dos du service public avec ces va et vient de collaborateurs qui montent leur boite et facturent un max leurs servis  qu’il fallait bien un jour que ça leur pète au nez ! ».

Fini de rigoler pour « Mr. T » qui visiblement a pris l’annonce dans L’Opinion de Laurent Lafon le président centriste de la commission culture au Sénat comme un vrai retour de bâton « La suppression de la redevance doit jouer un rôle d’accélérateur. Elle doit s’accompagner d’une nouvelle gouvernance, qui permettra de faire des économies. Il faut aller plus loin que les coopérations entre Radio France et France Télévisions. Il faut fusionner France Média Monde, France Télévisions, Radio France et l’INA. Et que cela se traduise par une nouvelle ambition. » (*)

« Ah, ils n’ont pas voulu cracher au bassinet » s’étrangle-t-il le causeur en chef « moi qui ait tant fait pour eux [cela demandera quelques explications tout de même ! ndlr] qu’ils vont voir c’qu’ils vont prendre »et de tenir des propos difficilement  compréhensible où il est question de « Tablettes turques, de maintenance, de contrats bidons, de serveurs, de câblage, de lapins de couleurs, de luxe et d’iris (la fleur probablement !), de Moody’s (c’est ce que nous avons compris tellement l’intéressé hurlait ) Caput leur petit business. J’en ai des billes, moi ».

Tout y est passé tant notre homme était énervé ! Ça promet. Le blog CGC Média attend la suite avec impatience. 

(*)


Vont-ils gagner ceux qui soufflent à l’oreille du président la République qu’il faut dézinguer la télé publique ?

Vont-ils gagner ceux qui soufflent à l’oreille du président la République qu’il faut dézinguer la télé publique ?

Depuis l’annonce par Emmanuel Macron, le 7 mars dernier, de la suppression de la CAP (ex-redevance télé) annoncée depuis par Bercy et figurant dans le projet de loi préparé par Elisabeth Borne, qui sera examiné par les députés dès leur investiture fin juin, le blog CGC Média n’a cessé d’écrire sur la réduction du périmètre que cela entraînerait !

Le 20 mai dernier encore, « le blog CGC Média s’interrogeait sur qui mettrait en œuvre l’incroyable suppression de la CAP (ex-redevance télé) annoncée par Bercy et les non-dits sur la drastique réduction du périmètre de l’Audiovisuel public »…précisant si besoin était que « Seulement voilà, 23 millions de foyers sont actuellement redevables de cette taxe appelée redevance télé :138 € par an en France métropolitaine et 88 € en Outre-mer. » et citant Emmanuel Macron qui en avril dernier « mettait en avant le nombre d’exonérations déjà payées par l’État : près de 700 millions d’euros sur 3,9 milliards d’euros de contribution à l’audiovisuel public » qui eux n’allaient donc bénéficier d’aucun gain de pouvoir d’achat évidemment.

A l’évidence le projet porté par la nouvelle ministre de la Culture qui sera donc celle qui enterrera l’Audiovisuel public est déjà dans les cartons, prêt à être voté par une Assemblée nationale qui n’a pas encore été renouvelée !!

Assez Dingue tout de même alors que chacun y va de son refrain pour prodiguer ses conseils (*) sans réellement savoir où le gouvernement veut aller en fin de compte. L’Opinion en d’ailleurs recensé quelques-uns dans son édition du 21 mai dernier  :

(*) - Mathieu Gallet condamné en Appel à une peine de 30.000 euros d'amende pour favoritisme lorsqu'il dirigeait l'Institut national de l'audiovisuel (INA) comme l’écrit le titre de presse « L’ex-PDG de Radio France, cofondateur de la plateforme de podcast Majelan, souhaite ainsi la création d’une entreprise publique unique sur le modèle de la BBC dans son ouvrage Jeux de Pouvoirs (Mai 2022, Editions Bouquins) ».

- Jean-Marc Dumontet, « l’homme de théâtre proche de l’Elysée qui déclare, lui, qu'unir les forces de l’audiovisuel public est une évidence et que de gros enjeux justifient ce regroupement ».  Lesquels serait-on tenté de demander mais à quoi bon !?

- Laurent Lafon, le président centriste de la commission culture au Sénat l’appelle, à titre personnel, de ses vœux : « La suppression de la redevance doit jouer un rôle d’accélérateur. Elle doit s’accompagner d’une nouvelle gouvernance, qui permettra de faire des économies. Il faut aller plus loin que les coopérations entre Radio France et France Télévisions.

Il faut fusionner France Média Monde, France Télévisions, Radio France et l’INA. Et que cela se traduise par une nouvelle ambition. » Rien que ça !?

- Jean-Louis Hugonet, député républicain et co-rapporteur avec Roger Karoutchi de la mission de contrôle sur le financement de l’audiovisuel public « on va droit vers une budgétisation. C’est la voie normale, il ne faut pas qu’elle suscite des cris d’orfraie. Il faudra discuter missions, périmètres. Faut-il que France Télévisions rende une fréquence ? Radio France doit-elle conserver toutes ses antennes ?

La fusion France Télévisions-Radio France est la solution plus radicale mais sans doute la bonne. »

- Jusqu’au fan numéro 1 d’Ernotte, Roch Olivier Maistre ex-futur ministre de la Culture à la tête de l’Arcom, qui devrait rencontrer le sénateur , sur ce sujet cette semaine, qui concède néanmoins : « Comment conduire une boutique pareille sans savoir de quoi demain est fait ? »

La boucle est bouclée. Il est en effet asse étrange de faire voter une loi sur une budgétisation de la CAP sans savoir de quoi sera fait l’entité concernée et surtout avec quel argent, pour quelles missions, à quel endroit et pour quel montant au total ? Tout ça, au moment où l’ex-Orange déroule son projet immobilier « Campus » totalement hors-sol qui va encore coûter une blinde aux contribuables.

Est-il nécessaire de rappeler que Le Législateur a fait de France Télévisions, en 2009, une entreprise unique par voie de TUP (Transfert Universel de Patrimoine) que rien ne saurait aujourd’hui déconstruire sauf à valoriser chacune entreprises absorbées à l’époque, ce qui n’a jamais été fait !!

L’Exécutif pourrait tout de même bien trouver quelques grosses embuches sur sa route, notamment juridiques, avant de parvenir dans le mois qui vient à saborder l’Audiovisuel public ! 

Pas d'eau pour l'alerte incendie au Siège de France Télés !

Pas d'eau pour l'alerte incendie au Siège de France Télés !

Ce lundi matin au siège de France Télés, plus d'un collaborateur a dû  serrer les fesses! Un problème de siège a-t-on découvert avec les 3 communiqués de France Télés. 

Impossible ce lundi 24 mai d'aller aux toilettes à tous les étages sauf aux niveaux 0 et 1. Chacun imagine la gène!

"Ret'nez-vous" fut donc la grande consigne du moment. Il semble que quelques collaborateurs connaissant  l'existence de toilettes sèches dans la maison s'y soient rendus. Chacun imagine alors le défilé, une fois le puit découvert.

L'anecdote veut qu'un des salariés de l'entreprise dont le bureau était proche du lieu maudit, a décidé après plusieurs allers et venus, d'allumer un bâton d'encens histoire d'embaumer l'atmosphère ! Il n'en fallait pas plus pour que se déclenche vers 13h30 l'alarme incendie.

Seulement voilà, s'il s'était agi d'un véritable incendie, il n'y aurait pas eu d'eau. Ce n'est qu'en début d'après midi que les toilettes, machines à café et autres fontaines à eau, ont forcément été prises d'assaut.







lundi 23 mai 2022

Laurent Ruquier: On n'est pas fixé !

Laurent Ruquier: On n'est pas fixé ! 

Selon People Act Magazine, l’animateur « hésite, en coulisses, entre tirer un trait sur le service public ou pire faire du remplissage pour une année supplémentaire. »

Le site internet qui écrit « Laurent Ruquier arrête tout : voici tous les détails concernant la fin de sa carrière chez France 2 ! » ajoute « Dans les colonnes de Télé-Loisirs, Léa Salamé la complice de Laurent Ruquier tape du poing sur la table. Lassée de lire tout et son contraire dans la presse, elle met les points sur les I. » après la petite phrase lancée en mars dernier par l'intéressé  "Mon avenir au sein de France 2 n'est pas écrit…"

La journaliste qui avoue qu’elle aussi est en discussion avec la direction et son partenaire, n’est pas catégorique sur un éventuel départ « Laurent réfléchit et discute avec les responsables de la chaîne. Je ne suis pas sûre qu’il ait pris sa décision finale. »

« L’objectif est de savoir si l’aventure continue à deux… ou pas ! » s’interroge le titre de presse qui poursuit « Le seul principe auquel Léa Salamé ne dérogera pas est un improbable transfert à TF1. Plus que jamais, elle reste « très attachée au service public même si le Président de la République vient de supprimer la redevance TV et alors que nul ne sait qui subventionnera les nouveaux projets du groupe ou ceux de Radio France »