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vendredi 24 juin 2016

Emmanuel Macron, au secours…arrêtez le massacre.



Emmanuel Macron, au secours…arrêtez le massacre avec France Télé. 

L’actuel locataire de Bercy devrait toucher un mot à Audrey Azoulay qui ne cesse d’intervenir sur la chaîne d’info publique en continu notamment sur les conditions de sa mise en œuvre et ce malgré l’intitulé de la loi « Indépendance et transparence de l’Audiovisuel public » pour lui expliquer que ladite chaîne n’est pas financée. 

C’est du reste ce qu’avouait le « porte-parole » de l’ex Orange devant les élus de CE Siège Frédéric Mautret ex bras droit de Murielle Charles "Il n'y a pas de financement pour la chaîne d'info publique en continu....cela ne se fera qu'en puisant à droite et à gauche; tous les services devront participer car France Télé est dans l'incapacité de faire des provisions..." 

Bercy qui entend l’ex Orange expliquer aux SDJ qui se sont récemment exprimées dans un texte à quatre mains (les 3 de France Télé et celle de Radio France) justement sur la non viabilité en l’état du projet, indiquer que leur « communiqué commun la desservait auprès des politiques pour lever des fonds », doit s’arracher les cheveux.

L’ex Orange veut lever des fonds auprès des politiques ? Mais de quoi parle-t-elle ?  Alors même que le terme est totalement inapproprié s’agissant du public, celle que « Schrameck and co » parachutait à France Télé sans connaissance du secteur n’imagine tout de même pas en créant au lieu de 5 pôles de gouvernance, 13 « gouvernances régionales » - qui ne sont pas non plus financées -qu’elle pourrait récupérer auprès desdites des subsides que le législateur n’a pas prévu. 

Les services du ministre des finances Emmanuel Macron qui sont étroitement liés aux discussions engagées pour le futur COM, n’en croient ni leurs yeux, ni leur oreilles. Ce n’est plus 1 mais au moins  3 projets non financés que celle qui déclarait devant 150 « top managers » à France Télé : « On le fait, on verra »,  lance tous azimuts sans les avoir chiffrés et ce alors même qu’elle annonçait fièrement aux parlementaires le retour à l’équilibre pour 2016 ! 

1°) La chaîne d’info publique en continu (dont « le chiffre est en constant évolution » selon les services financiers de France Télé)

2°) Le passage à 13  « gouvernances régionales » au lieu de 5 pôles de gouvernance actuels « actées » soi-disant comme par exemple la future région « Auvergne/Rhône-Alpes » dont Olivier Godard annonçait lors d’un déplacement à Lyon le nom du futur patron:  André Faucon ;

2°) Le service de SVOD qui devrait concurrencer « Netflix » et les autres.

Emmanuel Macron devrait donc dire à la ministre qui se satisfait publiquement « Du beau projet dont le lancement est prévu au 1er septembre - Pour l’instant, c’est parti pour cela – où les  rédactions de France Télévisions et Radio France travaillent ensemble. » que l’entreprise  dans le rouge cramoisis contrairement à ce que claironne régulièrement l’ex Orange, ne peut s’engager à plus d’endettement sans exploser en vol !

Il est peut-être « important que le service public ait sa chaîne d’information» comme dirait Audrey Azoulay mais il est particulièrement inconscient aujourd’hui de laisser aller les dépenses sans savoir où tout cela va mener [le contribuable en l’occurrence]

A moins qu’Ernotte afin d’éponger tout cet argent dépensé malgré une trésorerie exsangue pour 0,1% d’audience prévisible juste avant la présidentielle de 2017 n’ait déjà planifié d’un nouveau plan secrte de licenciements collectifs portant sur 2.500/3.000 têtes ?!...dont Emmanuel Macron serait alors comptable.

Cela dit Emmanuel Macron pourra toujours poser des questions en direct…le CHAT est ouvert. (ci-après)

Emmanuel Macron, au secours…arrêtez le massacre.



Emmanuel Macron, au secours…arrêtez le massacre avec France Télé. 

L’actuel locataire de Bercy devrait toucher un mot à Audrey Azoulay qui ne cesse d’intervenir sur la chaîne d’info publique en continu notamment sur les conditions de sa mise en œuvre et ce malgré l’intitulé de la loi « Indépendance et transparence de l’Audiovisuel public » pour lui expliquer que ladite chaîne n’est pas financée. 

C’est du reste ce qu’avouait le « porte-parole » de l’ex Orange devant les élus de CE Siège Frédéric Mautret ex bras droit de Murielle Charles "Il n'y a pas de financement pour la chaîne d'info publique en continu....cela ne se fera qu'en puisant à droite et à gauche; tous les services devront participer car France Télé est dans l'incapacité de faire des provisions..." 

Bercy qui entend l’ex Orange expliquer aux SDJ qui se sont récemment exprimées dans un texte à quatre mains (les 3 de France Télé et celle de Radio France) justement sur la non viabilité en l’état du projet, indiquer que leur « communiqué commun la desservait auprès des politiques pour lever des fonds », doit s’arracher les cheveux.

L’ex Orange veut lever des fonds auprès des politiques ? Mais de quoi parle-t-elle ?  Alors même que le terme est totalement inapproprié s’agissant du public, celle que « Schrameck and co » parachutait à France Télé sans connaissance du secteur n’imagine tout de même pas en créant au lieu de 5 pôles de gouvernance, 13 « gouvernances régionales » - qui ne sont pas non plus financées -qu’elle pourrait récupérer auprès desdites des subsides que le législateur n’a pas prévu. 

Les services du ministre des finances Emmanuel Macron qui sont étroitement liés aux discussions engagées pour le futur COM, n’en croient ni leurs yeux, ni leur oreilles. Ce n’est plus 1 mais au moins  3 projets non financés que celle qui déclarait devant 150 « top managers » à France Télé : « On le fait, on verra »,  lance tous azimuts sans les avoir chiffrés et ce alors même qu’elle annonçait fièrement aux parlementaires le retour à l’équilibre pour 2016 ! 

1°) La chaîne d’info publique en continu (dont « le chiffre est en constant évolution » selon les services financiers de France Télé)

2°) Le passage à 13  « gouvernances régionales » au lieu de 5 pôles de gouvernance actuels « actées » soi-disant comme par exemple la future région « Auvergne/Rhône-Alpes » dont Olivier Godard annonçait lors d’un déplacement à Lyon le nom du futur patron:  André Faucon ;

2°) Le service de SVOD qui devrait concurrencer « Netflix » et les autres.

Emmanuel Macron devrait donc dire à la ministre qui se satisfait publiquement « Du beau projet dont le lancement est prévu au 1er septembre - Pour l’instant, c’est parti pour cela – où les  rédactions de France Télévisions et Radio France travaillent ensemble. » que l’entreprise  dans le rouge cramoisis contrairement à ce que claironne régulièrement l’ex Orange, ne peut s’engager à plus d’endettement sans exploser en vol !

Il est peut-être « important que le service public ait sa chaîne d’information» comme dirait Audrey Azoulay mais il est particulièrement inconscient aujourd’hui de laisser aller les dépenses sans savoir où tout cela va mener [le contribuable en l’occurrence]

A moins qu’Ernotte afin d’éponger tout cet argent dépensé malgré une trésorerie exsangue pour 0,1% d’audience prévisible juste avant la présidentielle de 2017 n’ait déjà planifié d’un nouveau plan secrte de licenciements collectifs portant sur 2.500/3.000 têtes ?!...dont Emmanuel Macron serait alors comptable.

Cela dit Emmanuel Macron pourra toujours poser des questions en direct…le CHAT est ouvert. (ci-après)

Jérome Clément tacle l'ex Orange dont le projet de chaine info n'est pas financé.

Le 25 mai dernier, Jérôme Clément était l’invité de Pascal Rogard à la SACD pour présenter son nouveau livre : « L’Urgence culturelle ». L'ancien patron d’Arte qui martèle qu'« Il n’y a pas de projet de société sans politique culturelle », en a profité pour tacler l'ex Orange.

Jérôme Clément  qui dit ne pas comprendre pourquoi "Schrameck and co" n’avait "pas inscrit la culture dans les critères de choix des dirigeants de service public" doute du choix d'Ernotte à qui il inique avoir dit "C’est très bien de savoir gérer, mais il convient d'avoir   des idées éditoriales et  s’entourer de personnes compétentes..".

Il ne croyait pas si bien dire. Elle en fait tous les jours le constat...hier encore c'était celui à qui elle avait donné pouvoir de parler en son nom Frédéric Mautret l'ex délégué CFTC chez Wolters Kluwer du temps de Mureille Charles dégagé en janvier de cette année, qui déclarait devant les élus du CE "Il n'y a pas de financement pour la chaîne d'info publique en continu....cela ne se fera qu'en puisant à droite et à gauche; tous les services devront participer car France Télé est dans l'incapacité de faire des provisions..."

Mautret qui avec sa formule "tous les services devront participer" annonçait à mots couverts les licenciements qui vont se succéder pour permettre à "effectif constant" à l'ex Orange de recruter à l'extérieur pour la chaîne d'info publique voulue par la ministre de la Culture donc par l'Élysée.

Il semble bien que l'intéressée qui ne digère pas cette "envolée intempestive" rende sa liberté au disert "président de CE délégué" et lui demande d'aller voir ailleurs ce qui s'y passe.

Et de ça à France Télé, personne ne se plaindra.