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samedi 4 avril 2020

Une enquête à France Télés après les révélations de L'Équipe…C’est une farce ! Elle a visiblement eu lieu l’enquête.

C’est quoi cette farce ? Elle a visiblement eu lieu l’enquête. Il suffit de lire simplement ce qu’a déclaré la journaliste L'Équipe discriminée : « Même si la RH du groupe m'a écoutée et entendue (*)…Je me suis toujours demandé si ce que j'avais vécu était assez grave pour prendre la parole. Mais Me Too fait prendre conscience aux gens qu'on a le droit de dire qu'on vit un quotidien difficile…».

Chacun sait lire…Les ressources Humaines de France Télés ont donc écouté et entendu de Clémentine Sarlat et n’ont, à l’évidence, rien fait pour donner suite ! « On n’a pas d’appui » ajoute même l’intéressée au journal sportif.

Ernotte n’a rien trouvé d’autre pour tenter d’étouffer l’affaire que le démarrage d"une enquête diligentée pour faire la lumière sur les faits évoqués, conformément au principe de tolérance zéro…" envoyée à l’AFP parce qu’elle a bien compris combien cette interview va faire des ravages (*)

« Le sexisme n’a pas sa place à France Télés » n’a pas cessé de claironner celle qui avait déjà déclaré la guerre aux hommes blanc de plus de 50 ans et qui dit à présent, confinée qu’elle est, combien " France Télévisions (qui se dit) engagée dans une politique d'exemplarité et de zéro tolérance envers le harcèlement sous toutes ses formes" est concernée !

C’est se moquer du mondeErnotte et ceux qui étaient au courant n’ont pas daigné répondre aux questions de L'Équipe (voir l’encart ci-après): "Contactée hier (03/04/20) la direction des sports de france Télévisions n’a pas souhaité faire de commentaires"

C'est après la publication dans L'Équipe du témoignage de Clémentine Sarlat, qu'Ernotte et consort ont réalisé qu'il fallait justement faire des commentaires et ouvrir une équipe...

Plusieurs départs seraient dans les tuyaux, selon nos infos, avant celui attendu de l'ex-Orange que cette énième crise pourrait finir par emporter avant même l'été .


(*) Paris, 4 avr 2020 (AFP) -

France Télévisions a annoncé samedi avoir ouvert une enquête interne, après la publication dans L'Équipe du témoignage de Clémentine Sarlat, ancienne coprésentatrice de Stade 2, qui affirme avoir été victime de harcèlement moral.

"Conformément au principe de tolérance zéro appliqué avec rigueur dans l'entreprise, une enquête est diligentée pour faire la lumière sur les faits évoqués", a indiqué le groupe public à l'AFP, confirmant une information de L'Équipe.

Clémentine Sarlat a raconté au quotidien sportif qu'elle avait quitté le magazine en 2018, après des faits qui relèvent selon elle du harcèlement moral.

"En mai 2017, avant mon congé maternité, la direction des sports m'annonce que je vais coprésenter Stade 2 avec Matthieu Lartot. En réalité, c'était de la com. Il fallait juste annoncer une présentatrice. Lorsque je reviens, en janvier 2018, on me dit : +À cause des lumières et des caméras, tu ne pourras pas être à côté de Matthieu+. Je n'étais plus coprésentatrice", a notamment rapporté la journaliste, aujourd'hui reconvertie dans le podcast après avoir travaillé à TF1.

"J'allais à Stade 2 en pleurant", a confié également Clémentine Sarlat, qui explique avoir été marginalisée à son retour de congé maternité, jusqu'à ce qu'elle décide de partir. "Pour la préparation de l'émission, personne ne me parlait. Ils m'avaient mise dans un bureau à part, loin des rédacteurs en chefs", et "j'avais l'impression d'un coup de poignard dans le dos", dit-elle.

France Télévisions, qui a été confronté à plusieurs affaires de harcèlement sexuel ou moral depuis la naissance du mouvement #MeToo il y a deux ans et demi, a rappelé qu'"une ligne directe a été mise en place dès 2018 pour recueillir la parole de toutes les personnes se sentant victimes de harcèlement ou de discrimination" et que "chaque cas rapporté est suivi et traité avec attention".

"La direction de France Télévisions est engagée dans une politique d'exemplarité et de zéro tolérance envers le harcèlement sous toutes ses formes", ajoute le groupe

Ernotte féministe pour la galerie !…L’Équipe relate la chronique d’un sexisme au quotidien.

Ernotte féministe pour la galerie !…L’Équipe relate la chronique d’un sexisme au quotidien. 

L’ex-Orange qui depuis son parachutage en 2015 n’a cessé de claironner sur tous les toits qu’elle était féministe et que si elle essuyait toutes ces critiques c’était en tant que femme, va probablement à quelques encablures de son départ, ne plus rire du tout.

Une ex-journaliste du Service des Sports de France Télés géré par le tandem Le Lay/Golomer, s’exprime dans L’Equipe (¤) et dit la souffrance qui a été la sienne face au sexisme et à la discrimination dont elle a été l’objet avant et à son retour de maternité.

« Je me suis toujours demandé si ce que j'avais vécu était assez grave pour prendre la parole ! ». Me Too fait prendre conscience aux gens qu'on a le droit de dire qu'on vit un quotidien difficile » avoue aujourd’hui Clémentine Sarlat qui précise qu’elle allait travailler en pleurant.


La journaliste indique également – circonstance aggravante – que ses alertes sont restées vaines « Parce qu'on n’a pas d'appui et même si la RH du groupe (*) m'a écoutée et entendue ».

(*) A part Cécile Lefèvre porteuse et bénéficiaire du plan de licenciements en RCC et partie, selon nos informations, comme DRH d’un groupe mutualiste d’assurances privés « La Villa M », comme RH à avoir été au courant il y a qui ? Arnaud Lesaunier dégé exécutif son responsable direct ?!

« J'ai travaillé pour TF1 pendant la dernière coupe du monde de rugby. Ça m'a fait bizarre tout le monde était normal. » ajoute-t-elle avant de dire au journaliste du titre sportif qui l’interroge ce qu’elle a subi.

Quant à Ernotte qui forcément savait via la RH groupe, elle est responsable… Que son départ soit acté et attendu, elle pourrait donc ne pas attendre le 24 août pour donner sa démission et quitter l’entreprise



C’est aussi cela « LA HONTE DE LA RÉPUBLIQUE » monsieur le Président.

Le blog CGC Média vous propose de découvrir l’interview :

Pourquoi avoir quitté le service des sports à l'été 2018 ? 

En mai 2017, avant mon congé maternité, la direction des sports m'annonce que je vais représenter Stade 2 avec Mattieu Lartot. En réalité, c'était de la com'. Il fallait juste annoncer une présentatrice. 

Lorsque je reviens en janvier 2018, on me dit : « A cause des lumières et des caméras, tu ne pourras pas être à côté de Mattieu.2 Je n'étais plus coprésentatrice. Quand j'ai demandé une augmentation, on m'a répondu : « Rends-toi d'abord indispensable ». Matthieu l’a eue, normal. Mais pourquoi pas moi ? 

Puis on m'a mise en RTT sur mes jours de télétravail demandés pour m'occuper de mon bébé, ça a été la goutte d’eau. Je leur ai dit : « Vous ne sanctionnez pas les trois quarts des vieux qui ne viennent jamais au boulot. J'ai décidé de partir. »

Vous parlez de harcèlement moral ? 

Oui. J'allais à Stade 2 en pleurant. Pour la préparation de l'émission, personne ne me parlait. Ils m'avaient mise dans un bureau à part, loin des rédacteurs en chef. Je devais prendre mon ordi portable pour me rapprocher et comprendre de quoi on allait parler. Du coup, je n'étais pas impliquée, c'est vrai. Mais j'avais l'impression d'un coup de poignard dans le dos. Surtout que le retour d'un congé maternité est une période fragile pour les femmes

Avez-vous vécu d'autres moments compliqués ?

Plus jeune, j'ai travaillé à l'info de France Télés. Un jour, lors d'un duplex, j'ai entendu dans l'oreillette un homme en régie dire « Tu crois qu'elle suce elle aussi ? ». C'est violent. Au Sports, c'était beaucoup plus sournois, à propos de mes compétences, ou alors des blagues bien lourdes. Lors d'un déplacement, un journaliste m'a dit : « Tu connais la différence entre un chien est une chienne ? Bah c'est le prix du collier ! ». Évidemment, je n'ai pas ri. Et toute la journée, il a répété : « On ne peut rien dire aux femmes ». Je suis passée pour la « relou ». 

Aujourd'hui aucune femme ne présente une émission de sport sur France Télés

Au service des sports, on côtoie des gens géniaux mais aussi des gros cons. Avec les vieux, dès que je mettais une jupe, j'avais forcément droit à une réflexion. J'ai travaillé pour TF1 pendant la dernière coupe du monde de rugby. Ça m'a fait bizarre tout le monde était normal.

Pourquoi n'avoir rien dit publiquement ?

Parce qu'on n’a pas d'appui…même si la RH du groupe m'a écoutée et entendue (*). Je me suis toujours demandé si ce que j'avais vécu était assez grave pour prendre la parole. Mais Me Too fait prendre conscience aux gens qu'on a le droit de dire qu'on vit un quotidien difficile

Pensez-vous revenir dans ce milieu ?

Plus jamais dans une rédaction au quotidien ! Je ne supporte plus ce milieu où on te dit : « Arrête de te plaindre, t’as la chance d'être mise en avant » et où, en même temps, on te discrédite en permanence en t'expliquant que tu n'es pas assez compétente, que t'es là seulement parce que t'es blonde aux yeux verts. Je me suis tournée vers le podcast aujourd'hui. Il n'y a pas d'image…Je suis indépendante et heureuse.

(¤)


vendredi 3 avril 2020

Sylvie Gengoul aux abonnés absents en Guadeloupe depuis son confinement …Cela dit, elle l’était déjà avant !

Sylvie Gengoul aux abonnés absents en Guadeloupe depuis son confinement …Cela dit, elle l’était déjà avant !

Depuis leur échappée réunionnaise avec un détour par Mayotte à la mi-février, l’ex-Orange et sa suivante guadeloupéenne qu’elle adoubait, il y a peu, pour prendre la place de Wallès Kotra comme directrice générale des outremers, où dans le cadre d’une de ses habituelles propagandes (11/02) la première dévoilait le nom du portail des Outre-mer dont le lancement était confirmé pour le 31 mars dernier…Plus rien, plus de Gengoul et plus de portail non plus !

Le comble de la visibilité outremer pour une invisible ultramarine !

La proclamation ernottienne très langue de bois ainsi rédigée « En visite à la Réunion, le nom du portail des Outre-mer dont le lancement est confirmé pour le 31 mars prochain sera révélé [sur place, c’est plus chère, ndlr]. Ce portail est l'un des engagements fort pris par France Télévision dans le cadre du pacte de la visibilité Outre-mer » précisait également que « Le portail, offre numérique des trois océans et de proximité, interactive et multiformats, constitue[rait, ndlr] une valeur ajoutée dans le paysage audiovisuel français. Elle a vocation à être le lien quotidien entre les Outre-mer et les publics de l'Hexagone et permettra le partage des valeurs ultramarine pour répondre aux défis contemporains ».


Ernotte continuait son boniment destiné, entre autres, à enfumer les parlementaires sur la nécessité de fermer France Ô comme France 4 d’ailleurs – chacun peut constater aujourd’hui le virage à 180° après la députée Frédérique Dumas qui la première demandait son maintien, tout le monde à présent salue son utilité à commencer par l’ineffable Aurore Bergé qui dans son projet de loi actait pourtant sa disparition – et enchérissait « Il a été indiqué, lors d'un échange avec les collaborateurs de la Réunion la 1ère, que les équipes de France Télévisions travaillent pour offrir au public une offre digne de la pluralité de la richesse des Outre-mer. Le lancement de ce portail se faisait de pair avec le renforcement de l'offre linéaire de programmes ultramarins sur l'ensemble des chaînes du groupe France Télévisions. L'avancée des travaux sera présenté aux membres du comité de suivi du pacte de visibilité au cours d'une réunion qui se tiendra le 24 février prochain ».

Voici la réponse qui était faite en CSE aux élus par Ernotte:
Pourtant, il n’y a pas plus de portail que de beurre en broche…Pas plus qu’il n’y a de Gengoul à l’horizon ! Elle était de toute façon déjà aux abonnés absents avant…alors après ! L’épidémie prenant de l’ampleur, elle a préféré se claquemurer chez ellese mettre à l’abri comme ils disent à France Télés – plutôt que tenter de lancer ce portail au moment où justement les Outre-mer en auraient eu le plus besoin.

D'autant plus invraisemblable, qu'hier jeudi 2 avril, la Délégation interministérielle pour l’égalité des chances des Français d’outre-mer et la visibilité des outre-mer, lançait officiellement sa plateforme.




« Afin de faire face collectivement à la crise sanitaire que nous traversons, le Gouvernement a pris des mesures pour réduire les déplacements au minimum entre l’Hexagone et les Outre-mer. Particuliers, associations et institutions ont été nombreux à se préoccuper de la situation des ultramarins, notamment des étudiants, restés en Hexagone, à des milliers de kilomètres de leur famille.



Un formidable réseau de solidarité et d’entraide a été ainsi initié. Afin d’accompagner et de renforcer ce réseau de solidarité et d’entraide, la Délégation interministérielle pour l’égalité des chances des Français d’outre-mer et la visibilité des outre-mer (DIECVI) a pris l’initiative de lancer une plateforme numérique intitulée outremersolidaires.gouv.fr.…



Grâce à cette plateforme, les ultramarins, et particulièrement les étudiants, peuvent dès à présent y manifester leurs besoins.



Dès lors, ils seront mis en relation avec des particuliers, des associations ou des institutions soucieux de les aider et de leur rendre service pendant cette période de crise sanitaire, bien évidemment dans le respect des règles de sécurité... »

Gengoul et Ernotte vous expliqueront probablement que c’est à cause du Coronavirus…Seulement voilà, c’est le 15 février qu’est publié l’édit en question quand le confinement ne sera déclaré que le 16 mars...et le gouvernement, il ne l'a pas ressenti l'epidémie peut-être pour lancer sa plateforme ?!

Dans quelques mois lorsque l’ex-Orange libérera l’entreprise, elle pourra emmener avec elle la remplaçante de Kotra, la guadeloupéenne Sylvie Gengoul et son aéropage.

Didier Lallement qui avait estimé que « ceux qui en réanimation sont ceux qui n’ont pas respecté les règles du confinement », a présenté des excuses.

Didier Lallement qui avait estimé que « ceux qui en réanimation sont ceux qui n’ont pas respecté les règles du confinement », a présenté des excuses.

« Ceux qui sont aujourd’hui hospitalisés, ceux qu’on trouve dans les réanimations, désormais aujourd’hui, ce sont ceux qui au début du confinement, sont ceux qui ne l’ont pas respecté, c’est très simple » affirmait Didier Lallement préfet de Paris, interrogé ce matin sur BFM TV en marge d’une opération de contrôle visant à empêcher les Parisiens de partir en vacances pendant la crise du Coronavirus.

« Il y a une corrélation très simple » ajoutait-il. 
Ces propos ont grandement choqué le Français alors même que l’épidémie de Covid-19 a déjà tué 4503 personnes en France selon le dernier décompte effectué dans les hôpitaux pour un total de 59105 cas évérés dont 6399 en réanimation.
Le mode de l’hôpital et des soignants en première ligne, n’en est pas revenu…sachant que de surcroît car parmi les malades en réanimation aujourd’hui se trouvent des personnes qui avaient le droit de sortir de leur domicile pour aller travailler, dans la grande distribution ou tout simplement pour aller soigner les gens par exemple, et qui ont donc « respecté » les règles du confinement.
Toujours sur BFMTV, Frédéric Adnet, le directeur médical du Samu de Seine-Saint-Denis, très en colère, a appelé à la démission du préfet de Paris, dénonçant des propos « scandaleux » à ce niveau de responsabilité. « On est là pour soigner les gens, pas pour les culpabiliser. »
Un communiqué a été diffusé ce vendredi midi, indiquant « L’intention de Didier Lallement n’étais pas de d’établir un lien entre non-respect des consignes et présence des malades en réanimation. Il s’agissait de rappeler la nécessité d’une stricte application du confinement dans cette période, pour la protection de la santé de chacun. » (ci-après)
Pas sûr que cela suffise ! 




jeudi 2 avril 2020

L’ex-Orange était tellement sure qu’elle n’avait pas envoyé de dossier à 3 jours de la date butoir.


L’ex-Orange était tellement sure qu’elle n’avait pas envoyé de dossier à 3 jours de la date butoir.


Alors qu’elle avait annoncé partout, notamment au magazine Challenges (*) dès le début janvier 2020 qu’elle espérait rester en place pour deux ans en attendant la nouvelle loi (stoppée nette comme toutes les autres), l’ex-Orange n’avait donc toujours pas, trois jours avant le 2 avril, déposé de dossier comme le révèle aujourd’hui le titre de Presse.

A lire le VSD de cette semaine (¤), on se demande si l’intéressée n’avait pas la sensation du « déjà fait » ?
PS : Il semble également que l’espèce de plateforme qui ne verra probablement jamais le jour et aura couté des dizaines de millions d’euros aux contribuables entre autres, comme le rappelle régulièrement le blog CGC Média, les nouvelles dans le contexte actuel ne soient pas très bonne pour celle qui se vantait partout d’avoir trouvé le moyen de faire la nique à Netlix et consort !

(*)


(¤)

L’ex-conseiller de Nicolas Sarkozy pour la présidence de France Télés grâce au réseautage!

L’ex-conseiller de Nicolas Sarkozy pour la présidence de France Télés grâce au réseautage! 

L’annonce par le CSA de report de la procédure de désignation à la présidence de France Télévisions n’a visiblement pas arrangé tout le monde – c’est peu dire – à commencer par l’entourage de l’ex-conseiller de Nicolas Sarkozy lorsqu'il était ministre du Budget.

C’est ce jeudi 2 avril date butoir à l’origine du dépôt des candidatures pour France Télés que l’ex-porte-parole du gouvernement Balladur de 1994 à 1995 aurait, à en croire certains, aurait dû déposer son dossier. 

« Sa candidature reste à l'heure actuelle à l'état de rumeur » écrivait Le Parisien, il y a une quinzaine de jours alors même, comme un fin connaisseur du secteur le confiait, que : «Ça s’agite énormément dans son entourage…il n’est évidemment pas en première ligne, ce sont ses émissaires en coulisses qui font jouer leurs réseaux tous azimuts en se prévalant, au passage, du soutien de l’ex-président de la République Nicolas Sarkozy».

Ce dernier aurait même appelé directement son homologue actuel pour finaliser l’affaire, à en croire cet autre qui toujours sous le sceau de al confidence affirmait que c’était fait. D’ailleurs ajoutait le sachant comme pour confirmer ses indiscrétions « Tout Paris le dit » ! S’il se colporte dans la Capitale que ce sera lui, alors… !

En tout cas une chose semble sure, c’est que les oreilles de Nicolas Sarkozy doivent siffler si tout cela lui parvient. Tout comme celles d’Alain Juppé dont les relais du virtuel impétrant précisent que « l’intéressé faisait bien partie de son cabinet quand il était Premier ministre et que ça compte ».  

Il est assez probable que celles de Philippe Douste-Blazy médecin de son état dont notre homme étaient également conseiller lorsqu’il ministre de la Culture de 1995 à 1997, n’aient pas résonné…il a bien d’autres chats à fouetter avec cette épidémie de Coronavirus qui frappe durement la France et plus largement la communauté internationale.

Tous ces hommes de droite dont se thuriféraires font état pour vanter les mérites et le professionnalisme de leur poulain ex-codégé de Marc Tessier toujours prêt à donner un coup de main qu'il le peut , « ça a forcément impressionné Emmanuel Macron ! » ajoutant à leur discours « en tout cas, ça a impressionné Édouard Philippe le Premier ministre proche d’Alain Juppé et Benoît Ribadeau-Dumas, son redouté directeur de cabinet à Matignon (sic) ».

Seul petit problème en somme pour ce proche d'Alexandre Bompard dont l'épouse a été nommée dès 2017 conseiller justice du Premier ministre, c’est que Baldelli car c'est bien de lui dont il s'agit, a depuis été dégagé de RTL (pas par hasard logiquement)- « Nicolas de Tavernost, désormais seul aux manettes de RTL après avoir viré Christopher Baldelli en mai dernier, a dévoilé les futurs projets de ses antennes radios… » comme l'écrivait Pure médias en septembre 2019 – et doit retrouver un job…Donc !!!!!


L’ex-Orange flanquée de son Numérobis dont le nom circule en ce moment, doit commencer à compter les jours qui la rapproche de ses cartons et ce malgré d’autres efforts dont VSD se fait l’écho. (ci-après)


mercredi 1 avril 2020

L’associé de Sabrina Azoulay la sœur de l'ancienne ministre de la culture, ne portera finalement pas plainte contre France Télés !


L’associé de Sabrina Azoulay la sœur de l'ancienne ministre de la culture, ne portera finalement pas plainte contre France Télés !



« Le producteur Tetra Media n'a finalement pas porté plainte contre France télévisions au sujet de son émission "Entrée libre" présentée par Claire Chazal » écrit La Lettre A dans son édition du 1er avril.



De quoi s’agissait-il ? De l’émission "Entrée libre" produite par la Société de prod Tangaro (*) détenue à 65 % par Tetra Media et 35 % par sa dirigeante Sabrina Azoulay, sœur de l'ancienne ministre de la culture Audrey Azoulay, diffusée tous les soirs sur France 5 arrêté brutalement mi-2019 pour être remplacé par "Passage des arts", produit en interne.  



« Sur sa dernière saison, "Entrée libre" réunissait 332 000 téléspectateurs pour 1,4 % d'audience. C'était la principale production de Tangaro, qui a réalisé en 2018 un bénéfice net de 856.800 euros sur un chiffre d'affaires de 8,8 millions € (+35 %) » ajoute le titre de presse qui précise sur quoi portait le contentieux :



« La nouvelle émission porte "sur la même thématique, sur la même chaîne, à la même heure avec la même animatrice" que l'ancien programme, avait déploré dans Le Parisien le président de Tetra Media, Jean François Boyer ex-Telfrance.

Ce dernier ajoutait : "Cela m'oblige à déclencher un contentieux contre le groupe public sur le devoir de loyauté, mais aussi pour parasitisme, contrefaçon et défaut de bonne foi dans l'exécution des contrats". Mais la chaîne publique estimait être dans son bon droit, affirmant que le contrat permettait d'arrêter l'émission. » enchérit La Lettre A qui révèle que «Jean-François Boyer n'a finalement pas porté plainte contre France télévisions au sujet de son émission "Entrée libre" présentée par Claire Chazal ». 


(*) « Lancé en 2011, au moment justement où Jean-François Boyer (¤) (Tetra Media Studio) et Sabrina Azoulay (anciennement Dg des chaînes Paris Première ou Voyage et directrice des programmes de flux pour Canal+) s’associait dans Tangaro, le premier détenant à l’origine 70% de la nouvelle structure société dont il sera président, le reste du capital revenant à Sabrina Azoulay la seconde qui en assurera la direction générale. »

(¤) A la tête de la société Tetra Media Studio depuis 2004 après avoir redressé Telfrance, une des plus anciennes sociétés de production française, Jean-François Boyer est devenu un des producteurs audiovisuels les plus prisés de la place de Paris. On lui doit la plupart des grands succès de ces vingt dernières années, comme "Plus belle la vie" (France 3), "PJ" (France 2), "Les Cordier, juge et flic" (TF1), "Louis la Brocante" (France 3), "Ils ont filmé la guerre en couleurs" (France 5), "D-Day" (France 2) ou "La Commune" et "Pigalle" (Canal+). La liste est longue. Sa dernière réussite remonte au mois de février avec les six épisodes de la série "Les Hommes de l'ombre" qui ont fait un carton d'audience sur France 2, et il attend aujourd'hui "sans trop d'angoisse" la diffusion de la quatrième saison d'"Un village français" toujours sur France 3.

Lorsque dans quelques semaines arrivera enfin une nouvelle équipe à la tête de France Télés, l'audit qu'elle lancera sans délai se penchera inévitablement sur les enveloppes allouées à certaines sociétés de productions avec lesquelles France Télés a contracté.

France Ô après France 4 démontre toute son utilité...n'en déplaise à Ernotte.

France Ô après France 4 démontre toute son utilité...n'en déplaise à Ernotte.


En pleine épidémie de Coronavirus, la versatile Aurore Bergé rapporteure du défunt projet de loi audiovisuel où elle défendait la suppression de la TNT de la chaine destinée aux jeunes, s’emportait « France 4 montre aujourd’hui l’importance de son rôle. (…) Si France 4 n’existe plus, cela pose un problème d’iniquité territoriale et pour tous ceux qui n’ont pas accès aux plateformes numériques. »

Alors qu’elle disait exactement l’inverse de ce qui était pourtant écrit dans ce qu’elle appelait très égocentriquement « sa loi », cette notion d’iniquité territoriale qu’elle mettait en avant allait s’avérer très porteuse.

Passons sur la définition littéraire du mot iniquité qu’elle emploie et qui indique « acte contraire à la justice (commettre des iniquités) » puis de manière générale « caractérise ce qui injuste (l‘iniquité d’une sentence), cette notion de perte d’égalité d’accès pour une bonne partie des français à un service public, s’apparente bien à une violation flagrante des valeurs constitutionnelles. 

Le Conseil constitutionnel ne pourrait pas constater autre chose, surtout à la lecture des résultats de l’étude Unplugged– La France des Déconnectés qui indique « Nous n’avons en effet pas tous accès au web de la même manière. Si pour beaucoup Internet est devenu un réflexe quotidien au travail, à la maison et même dehors avec les smartphones, certains n’ont aucun moyen de se connecter. Cela peut être un choix, mais cela peut aussi être subi. Ils représenteraient 57% des foyers français aux revenus inférieurs à 1500 euros par mois….
L’écart se creuse de plus en plus entre des personnes hyper-connectées qui ont du mal à se passer de Facebook plus d’une heure et cette autre frange de la population qui subit la fracture numérique. Il y a aussi les déconnectés choisis, ceux qui ont fait une overdose de numérique. Et le mouvement pourrait s’accroitre en la matière… »

L’ex-Orange qui ne cesse de claironner le contraire pour faire plaisir à Edouard Philippe en qui elle fondait probablement beaucoup d’espoirs, prônant pour aller dans son sens la bascule de deux chaines de France Télés sur le Net en racontant que c’était la tendance naturelle ou encore l’usage – Tu parles Charles ! – a encore tout faux.

Après France 4, c’est donc France Ô qui démontre parfaitement son utilité pour ne pas dire son importance, celle visant à renforcer les liens entre les Outre-mer et l’Hexagone. 

Depuis le lundi 30 mars, France Ô diffuse les journaux des antennes du Réseau Outre-mer 1ère des trois bassins Atlantique, Indien et Pacifique.

Du lundi au vendredi à partir de 13h05 (à 16h30 le week-end), la chaîne qu’a décidé d’arrêter Ernotte permet à tous de rester informé de la situation dans les territoires dans le cadre de la crise sanitaire qui frappe le monde entier. France Ô propose également, du lundi au vendredi à 14h50, une nouvelle émission quotidienne « Avec vous à la maison » pour accompagner et connecter les téléspectateurs confinés.

Détails

(du lundi au vendredi) :

13.05 : Journal  de l’Atlantique 
13.30 : Journal  du Pacifique
13.50 : Journal  de l’Océan indien
14.30 : Journal  de Saint-Pierre et Miquelon 
14.50 : Avec vous à la maison
La suite des programmes demeure inchangée

(samedi et dimanche) :

16.30  : Journal  de Guyane
17.00 : Journal  de Nouvelle-Calédonie 
17.15 : Journal  de la Réunion
17.40 : Journal  de Saint-Pierre et Miquelon
La suite des programmes demeure inchangé