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samedi 25 juin 2022

Ernotte, la fusion elle la veut…Guimier, Copsidas, Sitbon et les autres priés d’avancer!

Après que Delphine Ernotte se soit déclarée partante devant les sénateurs pour mener à bien la fusion la fusion des quatre entreprises de l’audiovisuel public (France Télévisions, Radio France, France Media Monde et l’INA) le mot d’ordre en interne est donné: continuer de faire croire que tout va bien alors que la situation depuis plus de six ans est catastrophique à tous niveaux.
Dans ce projet de fusion qui ne verra probablement jamais le jour, la seule à s’être prononcé pour a demandé aux uns et aux autres de dégonfler artificiellement la masse salariale en supprimant des emplois tous azimuts Comme elle s’y était engagé devant le Parlement à de nombreuses reprises sans jamais y parvenir.

À l’info Laurent Guimier Ce sachant lâché  par la présidence, a tenté son va-tout en supprimer l’intégralité des CDD ce qui lui vaut aujourd’hui entre autres une procédure de défiance émanant des rédactions de France Télévisions. 

Aux finances, Jean Copsidas préfère lui la technique numérique avec l’envoi de SMS aux salariés qui travaillent pour les missions  France et Étranger Le expliquant qu’à partir du mois de juillet c’est une société prestataire extérieur qui va faire leur travail… Sans que les élus aient été consultés,  sans que personnes ait été courant et sans que ça le gène visiblement le moins du monde de mettre tous ces collaborateurs sur la touche. 
( ce qui lui vaut un tract du SNPCA-CGC (*) très factuel qui révèle l’invraisemblable procédé)

Il y a peu, c’était Sitbon-Gomez l’ex-directeur de cabinet de l’ex-Orange qui voulait basculer tout un tas de salariés par des transferts illégaux vers Le Studio FTV.

Nous ne sommes des exécutants, chantent-ils tous en boucle, répétant à l’envi: c’est Ernotte qui pilote….

Le blog CGC Media vous propose de découvrir le communiqué du SNPCA-CGC (ci-après) intitulé : « Externalisation sauvage de la gestion des ordres de missions de la Rédaction. Et après, à qui le tour ? »

A quelques jours des congés d’été et en pleine semaine pour la qualité de vie au travail avec pour thème cette année « en quête de sens au travail », certains salariés du service des missions de l’information ont reçu un texto tardif pour leur signifier que les ordres de missions seront gérés dès la semaine suivante voire dès le lendemain par une société extérieure.

Ce message du soir leur demande de mettre tous leurs dossiers à jour : « ... Je suis en train de mettre en place une prestation pour faire les OM (ordres de missions) sur Concur. ».

Ce service, en grande souffrance depuis des années à cause d’un sous-effectif chronique, apprend donc du jour pour le lendemain qu’une partie de son activité (les ordres de missions) va être sous-traitée, apparemment pour les mois de juillet et aout, mais sans avoir l’assurance que ceci sera temporaire. A cela s’ajoute l’annonce faite hier du transfert (temporaire ?) du restant de l’activité à l’agence de voyage pour la période estivale (l’agence de voyage n’est pas informée et en plus, n’a pas les outils).

Ce collectif de travail, déjà fragilisé, (il a fait l’objet de nombreuses alertes auprès de la médecine du travail et de la DRH sans réelle prise en compte des problèmes récurrents) a appris la nouvelle avec stupeur. L’intérimaire et le CDD appelés en renfort sont en arrêt à cause de conditions de travail au sein du service.

Ce projet, apparemment déjà bien avancé, appelle des demandes d’éclaircissements de la part de la Direction: 

o Cette externalisation a–t-elle fait l’objet d’une information des instances représentatives du personnel (IRP) ?
o Cette externalisation a–t-elle fait l’objet d’un appel d’offre ou d’une mise en concurrence ?
o Cette externalisation est-elle limitée dans le temps ?
o Que deviennent les salariés du service des missions de l’information suite à cette perte d’activité ?
o La direction considère-t-elle que ce mode de communication auprès des salariés est adapté (par texto et la veille pour le lendemain avec obligation de transmettre au prestataire les processus internes)?
o La DSQVT a-t-elle été associée à ce projet pour accompagner les salariés du service ?
o Quand les postes vacants seront-ils comblés, sachant qu’un départ du service est prévu prochainement ce qui augmentera  la charge de travail des salariés restants ?
o Quelles seraient les conséquences sur les autres services de la Rédaction
(Coordination, rédacteurs, JRI, monteurs, preneurs de son, assistants de rédaction...).

Cette annonce a créé un profond malaise auprès des personnels concernés, et est génératrice de risques psychosociaux (risques pour la santé mentale, physique et sociale engendrés par les conditions d'emploi, les facteurs organisationnels et relationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental).

Au moment de rédiger ce document, une salariée du service a été sommée par son « responsable » d’appeler le prestataire (alors qu’elle a une importante masse de dossiers à traiter) pour le former sur les ordres de missions, son responsable restant à ses côtés pour vérifier de la bonne exécution de ses ordres.

Le SNPCA-CGC condamne fermement de telles pratiques d’un autre âge et demande à la Direction de revenir sur sa décision d’externaliser la gestion des ordres de mission et d’enfin recruter en CDI au sein de ce service.

Qualité de vie au travail à France Télévisions, qui y croit encore ?
(*)





vendredi 24 juin 2022

France Télévisions met les salariés sur la touche par SMS!

France Télévisions met les salariés sur la touche par SMS!

quelques jours des congés d’été, certains salariés du service des missions de l’information ont reçu, il y a quelques heures,  un texto de leur direction pour leur signifier que les ordres de missions seront gérés dès la semaine prochaine voire dès ce week-end donc par une société extérieure.



Ce message passé après les heures de travail leur demande de mettre tous leurs dossiers à jour : « … Je suis en train de mettre en place une prestation pour faire les OM (ordres de missions) sur Concur. »

Autrement dit, les personnels concernés déjà en grande souffrance, sont priés de boucler fissa les dossiers en cours pour passer la main au privé (temporairement pour les vacances chante la direction sans la moindre assurance que cela soit!)... 

Il en est même, qui ont dû former par téléphone le prestataire en présence du chef de service qui vérifiait que cela était bien fait.

La casse de l’entreprise publique se poursuit...

Et maintenant à qui le tour?

jeudi 23 juin 2022

Laurent Guimier tweete pour du boulot: impunité maximum ou totale inconscience ?

Laurent Guimier tweete pour du boulot: impunité maximum ou totale inconscience ? 

Le monsieur infos de Lex Orange dont l’un des adjoints pourrait prendre très vite la place à France télévisions, vient d’envoyer un tweet hallucinant cherchant des journalistes-monteurs…avec du taf pour une saison garantie!

Hallucinant.




Alexis Kholer aiguillonne les sénateurs pour se débarrasser de l’Audiovisuel public.

L’article que publie Challenges aujourd’hui, intitulé « La fin de la redevance, un sujet politique explosif » (*) montre combien le Secrétaire général de l’Élysée , est à la manœuvre.

« Le projet [celui piloté par 2 sénateurs LR Roger Karoutchi et Jean-Raymond Hugonet qui ont concocté un scénario début juin, aussi simpliste qu’inefficace visant a ressusciter l’ORTF, ndlr] aurait déjà les faveurs du secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler » écrit le magazine.

Il s’y connaît - en tout cas, il en est convaincu - il a siégé une vingtaine de fois tout au plus au Conseil d’Administration de France Télés (2010/2012) en tant que représentant de l’APE ! 

« Une newsroom commune et la fusion de France 3 et de France Bleu sur fond de disette budgétaire avec une budgétisation pluriannuelle » seraient donc la panacée qui permettrait de remettre en cause la gouvernance du secteur, à commencer par celle de France Télévisions ?! 

Totalement hors sol évidemment sur fond de soi-disant gain de pouvoir d’achat avec la suppression de la CAP d’une démagogie à toute épreuve. 

Meme si la chienlit promet de régner a l’Assemblée nationale après le choc du second tour des législatives et que les débats contre la fin de la redevance et le projet kohlerien-sénatorial risquent de s’éterniser, l’appel à la journée de grève du 28 juin est donc maintenu.

(*)


mercredi 22 juin 2022

Emmanuel Macron a déjà perdu sa majorité, va-t-il aussi perdre la République?


Emmanuel Macron a déjà perdu sa majorité, va-t-il aussi perdre la République? 

«Pas une voix pour le RN» exhortait Emmanuel Macron en partance pour l’Ukraine avant le 2eme tour des législatives qui a probablement dû étrangler -enfin, il faut l’espérer - avant d’entendre Céline Calvez la députée Ensemble (ex-LaREM) proposer lundi 20 juin sur France 5 « d’aller chercher des voix du côté du RN »! 

Invitée de l’émission « C ce soir » sur la chaîne de service public, elle a déclaré “Quand on a besoin d’avoir une majorité et si c’est bon pour les Français, on va aller chercher les voix du Rassemblement national”…ce qui a provoqué un tollé général.

Celle qui, selon nos informations, briguerait la présidence de la Commission des affaires culturelles- -HALLUCINANT - devrait être exclue sur les champs pour de tels déclarations mais Aurore Bergé trop qui en coulisses entonne la même chanson, top occupée à fêter sa ridicule désignation, la laissera certainement d’entrée de jeu plomber un peu plus le tout début du quinquennat du Chef de l’Etat qui s’annonce explosif !




La droite sera responsable de la fusion des 4 sociétés de l’audiovisuel public?!

La droite sera responsable de la fusion des 4 sociétés de l’audiovisuel public?!

C’est en tout cas ce qu’a laissé entendre la toujours ministre de la Culture, ce matin au micro de Léa Salamé.

Alors qu’Emmanuel Macron refusait hier la démission de la Première ministre et de son gouvernement donc, RimaAbdul-Malak a évoqué la possible fusion des entreprises de l'audiovisuel public (France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et INA) dans un même ensemble comme le préconisait le récent rapport sénatorial concocté par des sénateurs LR.  

Cette dernière n'a en effet pas exclu à la mise en oeuvre d'une telle réforme: "Ce débat aura lieu", a-t-elle ainsi assuré au "Le Parisien" avant d’ajouter "Ce qui m'importe, ce n'est pas le mécano-institutionnel mais les priorités de fond (...) Puis nous discuterons de l'organisation et verrons si cela doit se faire par une fusion ou par des modalités plus souples permettant de développer les synergies".



Rima Abdul-Malak a aussi confirmé l'intention du gouvernement [lequel?] de supprimer la redevance malgré l'absence de majorité absolue à l'Assemblée nationale pour Ensemble, affirmant ainsi pouvoir " trouver des convergences avec beaucoup d'élus de droite et de gauche" en matière de Culture.

Sur l’air de “il n’y a aucune raison d’être inquiet” concernant le futur mode de financement de l'audiovisuel public et les risques qu'il pourrait faire peser sur son indépendance, elle a confirmé que “la future dotation pluriannuelle fixée par le Parlement devrait par "principe" être équivalente au montant perçu par l'audiovisuel public grâce à la redevance” indiquant que “discussions sont en cours sur ce sujet avec l'ARCOM” donc ROM…voilà le secteur pleinement rassuré!!

mardi 21 juin 2022

La SDJ de France 2 dénonce l’absence d’équipe pour suivre Emmanuel Macron en Ukraine!

Le bureau de la SDJ de France 2 dénonce l’absence d’une équipe de France Télés pour le suivre le récent déplacement d’Emmanuel Macron en Ukraine. 


« Pour couvrir ce déplacement pour nos journaux, Agnès Vahramian et son équipe, déjà positionnés en Ukraine afin de traiter le conflit, ont assuré les directs. N'étant pas embarqués dans le cortège présidentiel français, ils ne pouvaient pas avoir accès au Président. 

L'équipe de "C à vous", embarquée quant à elle, devait mettre ses images du "cortège présidentiel" à disposition de notre rédaction. En réalité, un problème de moyens d'envoi pour cette équipe a privé la rédaction nationale d'images "privatives" de ce déplacement. Nous n'avions donc que les rushes du pool de TF1 pour alimenter nos reportages. » dit le communiqué.

« Qui a décidé des équipes présentes sur place, et notamment de l'envoi de reporters "extérieurs" de France 5 plutôt que d'une équipe de la rédaction nationale ? 

Quand la Direction de l'Information a-t-elle été mise au courant de l'organisation et des modalités de ce déplacement, et qu’a-t-elle fait pour exiger que la rédaction nationale soit représentée ?

Comment se fait-il que des images qui devaient nous être fournies par l'équipe de France 5 ne nous soient parvenue que bien après 19 heures jeudi soir, c'est-à-dire très tardivement pour espérer les intégrer dans nos reportages ? » s’interroge la SDJ qui enfonce le clou parlant de décision incompréhensible  «Des équipes de reportages dites "privatives" de différentes chaînes ont également fait partie du "cortège présidentiel" : TF1, BFM TV, ou encore "C à vous" (émission d'une société extérieure, "3e œil productions") sur France 5…mais pas d'équipe de la rédaction nationale de France Télévisions sur cet événement majeur ». 

La rédaction devrait se réunir, ce mardi  21 juin à 14H15 pour entendre les explications de Laurent Guimier très loin d’avoir convaincu.


La fin de La redevance pourrait bien être repoussée !

Comme l’ensemble des OS de l’Audiovisuel, la CGC Média s’oppose à la privatisation de l’Audiovisuel public !

Comme le blog CGC Média a eu l’occasion de l’écrire à de nombreuses reprises, le syndicat s’oppose comme la Fédération UNSA Spectacle et Communication avec qui il a fait liste commune aux élections du Conseil d’Administration de Radio France arrivée 4ème, condamne tout projet de suppression de la redevance audiovisuelle et toute tentative larvée de privatisation, à terme, du service public de l’audiovisuel.

L’analyse de l’UNSA dans son communiqué (*) qui écrit « en effet, la suppression de la Contribution à l’Audiovisuel Public (CAP) entrainerait une insécurité financière du service public, se retrouvant, de fait, à la merci d’une loi de finances dictée par Bercy et votée par le parlement » est on ne peut plus logique.Non à la privatisation de l’Audiovisuel public!

Tout comme la Fédération UNSA Spectacle Communication, la CGC Média qui « dénonce la mesure démagogique de suppression de la redevance audiovisuelle promise, dès cette année, par le gouvernement actuel, prétendument au nom de l’amélioration du pouvoir d’achat », soutient l’appel à la grève des personnels de l’audiovisuel public en lutte pour le maintien d’un service public ambitieux et de qualité et s’associe à l’appel à la grève et la manifestation du 28 juin 2022.

(*)




lundi 20 juin 2022

Préalable du SNJ au CSE Siège de France Télévisions ce 15 juin 2022.

Préalable du SNJ au CSE Siège de France Télévisions ce 15 juin 2022.

Le syndicat de journalistes fait part à juste titre de son « Ras-le-bol » face à cette direction dont le mépris envers las salariés est à son paroxysme. « Nous n’avons jamais réellement cru à l’illusion d’un management bienveillant. Ni au contenant, ni au contenu » écrit d’ailleurs le SNJ qui liste « Un certain nombre d’événements récents nous donnent malheureusement raison... »

Il y est entre autres question de formations soi-disant obligatoires au sein de la Rédaction et ce alors qu’elles ne figurent apparemment pas au plan de formation...pour des collaborateurs que la direction écrit avoir « identifiés » !

Le blog CGC Média vous propos de découvrir la pertinente publication soulignant l’attitude de la direction « forte avec les faibles et faible avec les forts ! »

Extrait :

• Un journaliste écarté de l’antenne de France info pendant la quinzaine de Roland Garros, remplacé par une consœur venant de l’extérieur, sans avoir été prévenu en amont. Ce choix est d’autant plus incompréhensible qu’il intervient à un moment où l’on nous parle de forte contrainte budgétaire. Depuis, la direction de France Info a présenté ses excuses au salarié concerné au cours d'un entretien réclamé par le SNJ.

Des journalistes expérimentés à qui l’on impose des formations de quasi-débutants sous prétexte de lutter contre les castings des éditions. Cette initiative particulièrement humiliante est un aveu, de la part du directeur de l’information et du directeur de la rédaction nationale qui reconnaissent en filigrane (communiqué du 24 mai ici, celui du 31 mai ici) l’existence d’un management pyramidal, et d’une mise à l’écart de certains journalistes. Ce fléau à l’origine de tant de souffrances, voilà donc comment ils souhaitent le traiter, en étant forts avec les faibles, et faibles avec les forts !

Le SNJ aurait préféré que l’on s’en prenne aux méthodes autoritaires de certaines éditions, et notamment du 20h de France2. Mais pour cela, il faudra repasser !

• Autre exemple, une formation qui n’en est pas une autour de l’illustration sonore. Une véritable usine à gaz résumée en quelques pages et qui ne définit en rien le « qui doit faire quoi ». Le SNJ le dit clairement, ce mode de fonctionnement est inadapté à la pratique au quotidien des journalistes et des monteurs. Mais il est vrai que ceux qui décident de notre avenir ne passent pas beaucoup de temps à s’inquiéter de nos conditions de travail, trop occupés qu’ils sont à nous imposer leurs visions éditoriales.

• Enfin, le deux poids deux mesures au registre des sanctions disciplinaires. Il existerait donc pour certains salariés, une deuxième chance. Un cadre, un ex-cadre même, puisqu’il a été sanctionné, vient d’être discrètement détaché quelques semaines pour… encadrer dans une autre rédaction que celle du Siège !

Oubliées les victimes qui lui reprochaient son autoritarisme, ses propos plus que déplacés et son penchant pour la stigmatisation à tour de bras. La tolérance zéro vient donc de s’autodétruire avec la complicité du directeur de la rédaction nationale qui assume cette décision. 

Les élus SNJ demandent maintenant de la présidence qu’elle redéfinisse sa ligne en matière de procédure disciplinaire. Un dispositif qui ne serait sans pitié que pour les petits ? Doit-on considérer que toutes les victimes ne se valent pas ? Le SNJ est engagé dans la lutte contre un certain nombre de comportements qui hélas n’ont toujours pas disparu et reviennent même en force. Management brutal parce que pyramidal, pressions sur les salariés précaires et titulaires, humiliations professionnelles...Oui tout cela est toujours d’actualité ! Nous demandons aux salariés de ne plus l'accepter. Signalements à la médecine du travail, auprès de vos élus, et à la RH, tout doit être fait pour que ces abus d'autorité soient connus puis sanctionnés. Quand on nous parle de respect mutuel, il faudrait déjà que l’exemplarité soit au programme de la part de ceux qui nous dirigent. Pour toutes ces raisons, nous ne sommes pas dupes devant ce concept de management bienveillant. Il ne suffit pas de changer les mots, pour mettre les MAUX sous le tapis...