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samedi 3 septembre 2022

Rentrée explosive à France Télés mais Ernotte part donner des « gages » en Guadeloupe !

Rentrée explosive à France Télés mais Ernotte part donner des « gages » en Guadeloupe !

Discrètement arrivée en Guadeloupe, l’ex-Orange profite de ces premiers jours de septembre pour changer d’air au frais du contribuable et prendre des engagements sur place !

Surement pas aux personnels de la station qui comme le restant des territoires comme des régions de métropole ont vu ces dernières années le travail comme les subsides se raréfier !  

Pourquoi alors ? Pour rencontrer Marie-Luce Penchard la 2ème vice-présidente du Conseil Régional de Guadeloupe qui attend avec impatience la tête du journaliste Ronan Ponnet que la direction a convoqué dans le cadre d’une procédure disciplinaire pour le licencier, sans d’ailleurs prendre le soin d’informer et de solliciter l’inspection du travail de sa qualité de salarié protégé !!

Rien n’est fait…surtout après que le Parquet a décidé d’instruire la plainte pour harcèlement que l’intéressé a déposée.

Pourquoi donc alors est-elle dans ce département d’Outremer ? Pour aller assurer les salariés sur place qu’ils ne seront pas impactés par Tempo son projet de supprimer les 12/13 et les 19/20 en régions dont Le Monde écrit aujourd’hui sous la plume de Sandrine Cassini « Le feu couve-t-il au sein de l’audiovisuel public, quelques semaines après la suppression de la redevance, qui avait entraîné un tir nourri de protestations ? Au sein de l’État, on surveille les signaux d’embrasement potentiels. A ce titre, le préavis de grève déposé chez France Télévisions pour le 12 septembre contre le projet Tempo de refonte des JT de France 3 est regardé avec une attention particulière. Signe de la gronde interne, le comité social et économique (CSE) s’apprête à saisir la justice afin de constater un « délit d’entrave ». 

Le quotidien d’ajouter « Avant l’été, France Télévisions avait annoncé son intention de mettre fin aux journaux télévisés nationaux de France 3 et de créer des tranches régionalisées, mêlant informations nationales et régionales, sur le modèle de France Bleu. Si ce projet inquiète autant, c’est qu’il intervient dans un contexte de suppression de la redevance » avant de citer Serge Cimino du Syndicat national des journalistes qui dénonce « Un dialogue de sourds avec la direction » et déplore « un manque d’informations ». (* voir le tract du SNJ en fin de post)

Mais pourquoi donc ? Pour expliquer à l’ensemble du personnel ultramarin qu’elle ne la lâchera pas comme lorsqu’elle leur a promis de « visibilité » lorsqu’elle a fermé France Ô ?! 

Peu probable après ce dont le blog CGC Média et plus largement la presse se sont a fait l’écho, à savoir sa proposition d’offre de services aux sénateurs dans le cas d’une fusion des 4 sociétés de l’Audiovisuel public à laquelle elle fut la seule à adhérer et défendre et ue Le Monde évoque ainsi à la fin de son papier « De nouvelles secousses sont à attendre à moyen terme. Le mécanisme de financement de l’audiovisuel public choisis cet été - une ponction sur la TVA - s'éteint fin 2024. À partir de 2025, la loi obligera à lier l’impôt à son objet de financement. In fine, tacticienne Delphine Ernotte soutient la fusion TF1 M6. L’émergence d’un puissant groupe privé la mettre en position plus favorable pour aller négocier des crédits à Bercy et obtenir des créneaux publicitaire après 20 heures »

A moins qu'elle soit en manque de chaleur...cette rentré e de septembre devrait sans aucun doute lui en procurer.

(*)





vendredi 2 septembre 2022

L’ex-ministre de la Culture veut enquiquiner les pisses vinaigre.

L’ex-ministre de la Culture veut enquiquiner les pisses vinaigre.

C’est Le Canard enchaîné qui nous fait cette semaine sortir nos mouchoirs…Pauvre Roselyne Bachelot qui n’a pu se recaser dans l’Audiovisuel public  et qui fait dans la légèreté avec une interview qu’elle donne au Parisien dimanche en expliquant que « l’on n’est pas pertinent parce que l’on est chiant » et que son retour aux Grosses Têtes c’est pour « enquiquiner les pisse-vinaigre »



jeudi 1 septembre 2022

Masterchef 2022 : France 2 se gamelle comme prévu

Masterchef 2022 : France 2 se gamelle comme prévu.

Ce n’est même pas du réchauffé mais du trop cuit. 

Comme annoncé par le blog CGC Media dans son article du 28 août « L’ex-Orange et son ex-dircab resservent du Masterchef réchauffé sur France 2 via Banijay », le retour de l’émission sur France 2 fait un flop.

« Banijay, Banijay et encore Banijay…là d’où venait Candilis le numérobis d’Ernotte et où cette dernière a signé un premier contrat de 100 millions avec Nagui et sa filiale qui fait l’objet d’une instruction judiciaire en cours. Voilà comment les contribuables l’amortissent! » écrivions-nous…

Le concours culinaire  avec Georgiana Viou n’a réussi à attirer qu’ 1.82 million de curieux, soit 10.7% de l’ensemble du public seulement entre 21h06 et 23h07 pour cette résurrection ratée à la télévision.

mercredi 31 août 2022

L’invraisemblable départ de Sonia Rolley de FMM ?!

L’invraisemblable départ de Sonia Rolley de FMM ?!

Selon nos informations Sonia Rolley serait sur le depart et amenée à quitter FMM tres prochainement ! 

Assez incroyable si l’information se confirme après la qualité et la rigueur sans conteste de la journaliste.

Décidément, depuis que le fameux « Mr T » a commencé son grand déballage concernant FMM, pas une semaine ne passe sans que de nouvelles révélations ne fassent surface mais ce serait là le pompon.

Que ce haut cadre de la boîte balance tous azimuts afin de faire pression sur sa direction, se prévalant d’une copie du disque dur d’un collègue sorti de la boîte «  histoire de tenir tout le monde dans sa pogne »! et défende l’indéfendable à chaque fois que faire ce peut, c’est déjà gros…mais viser cette-fois-ci la journaliste qui avait participé à l’enquête dite «Congo Hold-up» (*) faisant ensuite l’objet d’une campagne écrite de dénigrement par un de ses collègues, montre à quel niveau en est rendue l’entreprise publique. 

Il est utile de rappeler que l’affaire avait fait grand bruit - « Tensions : À RFI, une motion de défiance votée contre la direction accusée de mollesse déontologique » - et justifié une lettre ouverte en février dernier conduisant les journalistes de FMM à exprimer leur défiance contre la direction à hauteur de 67,1%, après justement de longs mois de débats internes déclenchés par ce pataquès sur l’enquête en question.

Il se pourrait également dans ce contexte et après le reportage d’Arret sur images (lien ci-après) qu’on parle très vite d’une société (IDY) qui comme le phœnix renaît de ses cendres et avec qui travaille FMM.

https://www.arretsurimages.net/articles/apres-congo-hold-up-une-interview-seme-la-zizanie-a-rfi

(*)

Vous avez reçu les organisations syndicales ce vendredi 4 février pour « débattre des suites de la motion de défiance et de la situation sociale à RFI ». Et le moins que l’on puisse dire, c’est que vous n’avez pas pris la mesure des raisons qui ont conduit à la motion de défiance votée contre la direction. 

Il est fort regrettable que votre seule réponse à cette situation de crise ait été, lors de cette réunion : « Nous allons assembler les textes existants (Accord d’entreprise, Charte de déontologie des journalistes de FMM, la loi Sapin II) pour chaque type de collaboration extérieure et nous allons mettre en place une commission paritaire qui, le cas échéant, permettra de discuter de certains cas. » 

Vous savez très bien que cette motion de défiance et cette situation de crise à RFI sont le résultat de votre gestion qui a suivi l’interview d’un confrère de RFI. Il avait remis en cause le travail de Sonia Rolley et par là-même celui du consortium dans l’enquête « Congo Hold-up ». Il l’a ensuite insultée dans un article d’Arrêt sur Image. Notre consœur n'a pas bénéficié du soutien de la direction qui s'imposait. 

Sonia Rolley est toujours sous le choc. Vous avez reçu des e-mails qu’elle a adressés à la DRH et qui sont restés sans réponse. Contrairement à ce que vous avez affirmé lors de cette réunion, le consortium continue de travailler sur des documents suite aux révélations de "Congo Hold-up". Il a publié le 3 février dernier des révélations sur Bloomberg mais sans que RFI n’y soit associée. La direction souhaite-t-elle continuer à travailler avec le consortium ? Acceptez-vous que Sonia continue de travailler pour le consortium ? Cependant, tant que notre consœur, très affectée par cette situation, ne se sentira pas soutenue clairement par la direction, que ce soit en interne à RFI ou à l’extérieur, elle ne pourra pas revenir travailler sereinement à RFI et enquêter pour le consortium.  En attendant, nous constatons que notre confrère a, lui, tout le soutien de la direction. 

Suite à nos questions, concernant les collaborations extérieures existantes, voici vos affirmations  

- Vous avez donné une autorisation pour la création d’une chaîne Youtube parce que « RFI y trouve un intérêt, pour être diffusée le plus largement possible. Les contenus peuvent être vus par le plus grand nombre. Il n’y a pas d’intérêt commercial et que l’intérêt de RFI est préservé. » 

- A la question : « Est-ce qu’on peut mettre des émissions faites pour RFI sur d’autres supports et ensuite encaisser les produits des ventes ? », vous avez répondu : « Évidemment non, mais si on parle du DVD Archives d’Afrique, en tant que producteur, il était en mesure de faire une émission et de développer une émission sur son propre compte.  Archives d’Afrique est un nom qui ne nous appartient pas et qui ne nous a jamais appartenu. Depuis 2009, (date où les producteurs délégués deviennent journalistes) nous n’avons aucune trace des conditions qui ont été acceptées à cette époque. » Et qu’en est-il pour le logo RFI ? Votre réponse : « Depuis 2014, nous l’avons fait retirer des DVD » 

- A la question : « Est-ce que lorsque ce même journaliste fait via sa boîte de production un film institutionnel à la gloire d’un gouvernement d’un pays d’Afrique, ça ne pose pas un problème pour l’image de RFI ? », vous avez répondu : « Non, c’est tout à fait possible » 

- A la question : « Est-ce que les journalistes de RFI sont condamnés à trouver des partenariats pour pouvoir faire des reportages ou des émissions ? », vous avez répondu : « Pour nous, un partenariat ne doit pas avoir dincidence sur le contenu des antennes ».   

- A la question : « Est-ce qu’un journaliste qui a une autorisation de collaboration extérieure avec un journal, en l’occurrence Novaya Gazeta, se trouve en reportage en Biélorussie, peut-il réserver la primeur de l’information à Novaya Gazeta ? Peut-il se retrouver sur le même terrain que l’envoyé spécial de RFI et traiter les mêmes sujets sans en informer préalablement ses collègues et sa hiérarchie ? » Vous avez répondu : “Quand il y a eu cet événement, je lui ai précisé lors du renouvellement de sa demande l’année suivante que l’autorisation qu’il avait était uniquement pour Paris et pas pour des missions à l’étranger. Je ne lui donne pas l’autorisation de partir en reportage à l’étranger pour l’autre média…  Idem sur l’exclusivité de l’information. Il faut partager l’information avec RFI. Je lui ai dit que : si lors d’une conférence de presse, qu’il couvre avec une autre journaliste de RFI, il a une exclu, il doit la donner à son employeur principal, RFI ». Nous avons rétorqué que vous reconnaissiez ainsi qu’il y a eu faute, mais qu’il n’y a pas eu de sanction. 

- A la question : « Est-ce que Paris Match est un média concurrent et est-ce qu’un journaliste peut proposer à Paris Match une interview d’un président africain ? », vous avez répondu « Paris Match n’est pas un concurrent, en revanche le contenu, dans le cas d’une interview d’un président africain sur ce média, est concurrent » 

Ce qui ressort de cette réunion est que le "deux poids deux mesures" est profondément ancré et que les décisions prises par la direction dépendent uniquement des accointances et de votre bon vouloir. Nous l'avions déjà soulevé, l'échelle des sanctions n'est pas respectée car vous licenciez certaines personnes alors qu'elles n'ont jamais été sanctionnées auparavant et vous défendez d'autres personnes sur des critères non objectifs.   

Pensez-vous que ces réponses vont permettre de restaurer la confiance ? Nous en doutons. A l’issue de cette réunion, nous avons pu constater que la direction n’a pas tiré les leçons de la motion de défiance. Nous attendons toujours de la direction les mesures qui s'imposent pour que Sonia Rolley puisse revenir travailler en toute sérénité. 

(*)

mardi 30 août 2022

Adèle Van Reeth succède à Laurence Bloch à la tête de France Inter.

L’ancienne productrice de France Culture Adèle Van Reeth succède à Laurence Bloch à la tête de France Inter.

Nicolas Demorand et Léa Salamé à la matinale, Bruno Duvic à la tranche d’information de la mi-journée, Fabienne Sintès au « 18-20 » : les têtes d’affiche ont repris leur place, lundi 29 août, sur l’antenne de la station publique.

Annoncée un temps partante du groupe, Laurence Bloch devient finalement pour sa part directrice des antennes et de la stratégie de Radio France. 

« Je me porte garante de la liberté, de l’indépendance et de l’exigence éditoriale de France Inter » déclare l’intéressé qui dit toutefois « son inquiétude partagée par tout l’audiovisuel public concernant le mode de financement à long terme des entreprises de l’Audiovisuel public » avant d’ajouter « Le climat est paradoxal : France Inter et plus largement Radio France ne se sont jamais aussi bien portées mais nos moyens sont fragilisés. »

Déjà une solide preuve d’indépendance…voilà le gouvernement Macron prévenu  !

lundi 29 août 2022

Salto: la fin programmée de la plateforme

Salto: la fin programmée de la plateforme !

« Séries françaises déjà diffusées à la télé, nombre de films limité mais aussi avant-premières… à quoi sert Salto ? » s’interroge aujourd’hui Le Parisien comme l’a déjà fait à de nombreuses reprises le blog CGC Media.



« La plate-forme de streaming française, lancée par les groupe TF 1, France Télévisions et M 6 a bientôt deux ans d’existence. Si certains ont du mal à y voir un intérêt…beaucoup se demandent Pourquoi payer pour des contenus qu’on peut avoir gratuitement ? » poursuit le titre de presse question comme l’a fait à de nombreuse reprise également le blog CGC Media.

De surcroît Ernotte qui se vantait d’un système SVOD capable, à son initiative, de rivaliser avec Netflix, ayant annoncé qu’elle se désengageait suite à la fusion programmée de TF1 et M6, il paraît assez clair que Salto ne fera pas de vieux os…dans l’indifférence générale évidemment.

dimanche 28 août 2022

L’ex-Orange et son ex-dircab resservent du Masterchef réchauffé sur France 2 via Banijay.

L’ex-Orange et son ex-dircab resservent du Masterchef réchauffé sur France 2 via Banijay.

« Et ça continue encore et encore… » chante Francis Cabrel…mais il faut bien dire que France Télévisions, illustre presque au quotidien ces paroles. 

Banijay, Banijay et encore Banijay…là d’où venait Candilis le numérobis d’Ernotte et où cette dernière a signé un premier contrat de 100 millions avec Nagui et sa filiale qui fait l’objet d’une instruction judiciaire en cours. Voilà comment les contribuables l’amortissent!

Le blog CGC Media vous propose de découvrir ce qu’écrivait hier « Pure people » à ce sujet:

« France 2 lance, ce mardi soir, une resucée de "Masterchef", dont la dernière saison s'est achevée dans l'indifférence générale il y a sept ans.

Soirée à fort enjeu pour France 2. Ce mardi soir en prime time, la chaîne du service public remet au goût du jour "Masterchef", le concours de cuisiniers amateurs lancé en France en août 2010 sur TF1. Mais que diable France 2 est-elle allée faire dans cette galère ?

Un programme abîmé 

La marque "Masterchef" a-t-elle manqué aux téléspectateurs au point de mériter d'être relancée ? Pas sûr. Il y a sept ans, le public avait sévèrement sanctionné la saison 5 de l'émission. Seulement 2,69 millions de téléspectateurs, soit 13,6% du public et 17% des Femmes responsables des achats de moins de 50 ans (FRDA-50), cible prioritaire de la chaîne, avaient salivé, le 25 juin 2015, devant ce qui était déjà présenté comme une nouvelle mouture du concours culinaire… 

Auteur de deux des plus mauvaises audiences en prime de l'année 2015 sur TF1, "Masterchef" est alors reléguée sans tarder sur... NT1 (aujourd'hui TFX). Et les audiences s'effondrent, la mayonnaise étant visiblement irrattrapable. Le 3 septembre 2015, le programme quittait l'antenne dans l'indifférence générale, conservant l'attention de 590.000 fidèles, soit 3,5% du public. Un score acceptable pour NT1 mais catastrophique pour "Masterchef", dont la finale la plus suivie, en 2011 (saison 2), avait sustenté près de 7 millions de gourmands et 30% du public...»

Il faut bien le remplir leur carnet de commandes avec les deniers publics…de préférence avec des formats étrangers qui n’ont pas marché dans le privé.