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samedi 23 octobre 2021

Et si la mascarade de 2020 à France Télés avait été, cerise sur le gâteau, l’objet d’un deal sur le « harcèlement » !

Et si la mascarade de 2020 à France Télés avait été, cerise sur le gâteau, l’objet d’un deal sur le « harcèlement » !

 

Les faits qui sont révélés cette semaine par « L’Opinion » dans l’article signé d’une femme « Harcèlement à France 3 : les enquêtes se succèdent », s’ils sont avérés sont d’une gravité extrême.

 

Catherine Boullay que personne ne soupçonnera de machisme évidemment a mené l’enquête concernant le cabinet Interstys intervenant sur des faits supposés de harcèlement !

 

Supposés, c’est bien le mot car à la lecture du papier au vitriol du titre de presse, il y a tout de même de quoi s’interroger sur les méthodes du cabinet Interstys, celui qui avait indiqué s’être entretenu avec 115 personnes entre le 14 et le 30 avril dans le rapport remis à l’ex-Orange dans l’affaire dite Clémentine Sarlat et dont chacun connait l’épilogue.

 

Ils sont nombreux à présent, suite à la mascarade organisée par ROM au CSA en juillet 2020, à parler d’un deal passé afin d’afficher des résultats s’agissant d’éventuels cas de harcèlement…la politique du chiffre en la matière serait dès lors devenue une priorité !

 

Seulement voilà, en France la loi prévoit que chacun a droit à la présomption d’innocence tant qu’il n’est pas jugé coupable par une juridiction ad hoc et surtout qu’il doit avoir accès et à tout document qui l’incriminerait dans le cadre du contradictoire.

 

Il semble bien qu’à France Télés comme le révèle « L’Opinion », tel ne soit pas réellement le cas !

 

Extrait :

 

A France3 dans les Hauts-de-France, le passage d’un cabinet enquêtant sur le service web a aggravé l’ambiance de travail. Un deuxième cabinet a enquêté sur le premier. L’Opinion s’est procuré son rapport.

 

Des mésententes entre les cellules web de France 3 à Lille et à Amiens entraînent des dysfonctionnements en série. Un cabinet, Interstys, est mandaté en 2020 par la direction. Mission : identifier les raisons du malaise et/ou les éventuels fauteurs de troubles. Interstys entend donc certains membres de l’équipe, dont le rédacteur en chef adjoint de Lille. Après avoir été interrogé, ce dernier continue de travailler plusieurs mois avant son entretien préalable au licenciement. Son sort entraîne la fronde de ses troupes : à Lille, 22 salariés se mettent en arrêt maladie.

Deuxième cabinet. Les élus du Comité social et économique (CSE) du réseau France 3 des Hauts-de-France saisissent alors un deuxième consultant : le cabinet Orseu.

Ses conclusions condamnent les méthodes employées par son prédécesseur.

L’Opinion s’est procuré le rapport. Ses conclusions sont sans appel. Interstys est d’abord tombé dans un premier écueil selon Orseu, et il est de taille : celui d’avoir conduit des entretiens « largement, voire exclusivement à charge, sans nuance, ni contextualisation, ni pondération » avec une « démarche assez partisane ».

Le manque d’exhaustivité dans le choix des entretiens est également pointé du doigt. Un panel de douze personnes n’est pas considéré comme représentatif…

Orseu poursuit : « La défaillance est telle que de nombreux salariés ont pu penser que la mission officieuse était de “faire tomber” le rédacteur en chef adjoint du web ». L’absence de contradictoire est aggravée par des « manquements déontologiques et procéduraux [...] pouvant être interprétés comme une volonté d’investiguer par surprise. »

Une fois les conclusions rédigées, la confidentialité entourant le rapport d’Interstys aurait aggravé les tensions au sein de France 3. 

« Il s’est donc créé une sorte de silence, de secret sur le contenu réel de ce rapport et de ses conclusions. Faute d’avoir été informé avec suffisamment de précision sur ce qui était reproché, le management s’est retrouvé empêché de donner une information saine », précise le cabinet Orseu.

Les délais aussi posent problème. Normalement, il ne doit pas s’écouler plus de six semaines entre le moment où la ligne d’écoute harcèlement est saisie et la restitution de l’enquête. L’objectif étant évidemment que les tensions se dissipent, et non pas qu’elle s’installent. Or dans ce cas des Hauts-de-France, il s’est écoulé cinq mois, bien au-delà de la durée préconisée.

De son côté, l’inspection du travail a mis en demeure France Télévisions de remettre en cause et à plat sa procédure. A l’heure qu’il est, le rédacteur en chef adjoint du web de Lille demande sa réintégration dans l’entreprise. [Ça rappelle quelque chose ! ndlr]

Sollicitée par e-mail, la direction d’Interstys « ne souhaite pas s’exprimer dans les médias sur ce genre de sujet ». Également interrogée, la direction de France Télévisions indique que les procédures sont toujours en cours. » 



vendredi 22 octobre 2021

Le tandem Sitbon-Gomez/Ernotte englué dans cette affaire de tentative de suicide à Télématin continue son grand n’importe quoi.

Le tandem Sitbon-Gomez/Ernotte englué dans cette affaire de tentative de suicide à Télématin continue son grand n’importe quoi.

Ils en ont soupé tous autant qu’ils sont, de l’Élysée à Matignon en passant par le Palais Bourbon et celui du Luxembourg, des frasques au quotidien du tandem Sitbon-Gomez/Ernotte qui se disloque jour après jour avec une accélération spectaculaire du divorce quasi-consommée depuis qu’une salariée de France Télés (rattachée à la production de Télématin que l’ex-Orange continue de vouloir transférer ILLÉGALEMENT vers Le Studio malgré les derniers bobards servis aux élus ces derniers jours et ses paroles en l’air distillées la Presse de concert) et de cette agonie que leur inflige « la dame de chez Suez » et son ex-dircab. 

Selon l’entourage de l’un qui s’est réduit comme peau de chagrin jusqu’à se compter aujourd’hui sur les doigts d’une main, ce serait « l’ex- horloger d’Eva Joly » et « instigateur des transferts d’activités comme des personnels » vers la SAS dont il est pédégé qui ferait tout !  

Les quelques indéfectibles soutiens de l’intéressé murmurent à qui veut l’entendre que ce n’est pas à Genève le Siège de l’UER que l’ex-Orange passerait son temps mais dans quelques salons parisiens comme l’évoquait Le Figaro il y a peu "son nom circulerait avec celui d’Agnès Pannier-Runacher ministre de l’Industrie pour remplacer Stéphane Richard dont le mandat à la tête de l'opérateur Télécom qui arrive à son terme mi-2022, est lié à une éventuelle condamnation dans l'affaire Bernard Tapie - Crédit Lyonnais."

Selon les proches de l’autre qui se sont, là-aussi, rétrécis comme une baudruche qui se dégonfle, l’affaire des transferts vers la SAS auxquels l’ex-Orange ne renonce pas contrairement à ce qu’elle a voulu faire avaler en annonçant pour les personnels transférés qu’ils auraient le choix (ce qui veut bien dire qu’elle les continue) c’est l’ex-conseiller de Cécile Dufflot qui en faisant une affaire personnelle, en doit en assumer l’entière responsabilité.

Tout comme il doit aussi prendre à son compte la foultitude d’échecs de programmations qui s’accumulent, entre autres l’émission de Nagui The Artist dont chaque numéro a coûté, selon diverses sources,  pas loin d’un million le numero sans compter le quasi-million et demi  que l’entreprise publique a déboursé en COM’

Les mêmes lui collent également sur le dos, ces mauvais choix au niveau des fictions à peu près la seule chose qui marchait et qu’il arrête pourtant les unes derrière les autres…à croire que plus ça marche, plus vite il doit y mettre un terme !

Dernier exemple en date, l’arrêt du « Commissaire Magellan » sur France 3 dont le dernier épisode diffusé le 16 octobre dernier s’est placé au 1er rang des primes des chaîne de la TNT avec 4,5 millions de téléspectateurs et 23,5% d’audience mais dont Jacques Spiesser le rôle-titre a été prié d’aller jouer dorénavant ailleurs.

« Que dire du contrat qu’Ernotte a passé avec le géant américain Amazon dont elle dit pis que pendre à longueur d’année ?

Que dire également des 12M€ pour 6 épisodes de Germinal dont le premier sera diffusé en pleines vacances de la Toussaint dès le 27 octobre pour soi-disant contrer la soirée séries américaines sur TF1 » balancent en chœur les premiers, chargeant la barque au passage « là-aussi, c’est sans compter le million environ dépensé en COM’ » et enfonçant le clou « Tout ça via L’Alliance, une structure initiée en 2018 par Takis Candilis, l’ex-numérobis d’Ernotte venu de Banijay pour y retourner et dont cette dernière se vante maintenant ! »

Deux voire trois choses semblent apparemment acquises aujourd’hui…

- le tandem Sitbon-Gomez/Ernotte chauffe les oreilles de beaucoup de monde à commencer par les plus hautes strates de l’État…

- le scénario de juillet 2020 où ROM and co organisaient la mascarade visant à continuer la casse de l’entreprise de télévisions publiques est éventée et reste en travers la gorge d’une foultitude de décideurs…

et pour finir qu’il s’agisse d’Orange ou d’un groupe du CAC40, il est très très peu probable qu’un quelconque greffe puisse s’y opérer !   

jeudi 21 octobre 2021

Le Groupe TF1 primé pour « plus de femmes expertes dans les médias ».

Le Groupe TF1 primé pour « plus de femmes expertes dans les médias ».

Le Groupe TF1 qui lançait la première promotion « Expertes à la Une » (*), pour plus de femmes expertes dans les médias - un programme développé par la Direction de l'Information pour renforcer la représentativité des femmes expertes dans les journaux télévisés de TF1 et LCI – vient donc d’être récompensé par le trophée d’argent dans la catégorie innovation sociale.



Il n’y a pas grand-chose à ajouter à part que « la dame de chez Suez » qui vient d’enregistrer sa première tentative de suicide d’une salariée de Télématin doit se trouver bien fâchée, elle qui chante toute l’année que « diversité et féministe » serait son affaire !

(*)




Jean Castex est l'invité exceptionnel du 20H de TF1 ce jeudi 21 octobre.

Jean Castex est l'invité exceptionnel du 20H de TF1 ce jeudi 21 octobre. 

Il y belle lurette que le Premier ministre pas plus que les membres de son gouvernement d'ailleurs, ne font d'annonce depuis le 20H de France 2 et encore moins depuis "le 20H22" où ils ne se rendent pas.

Jean Castex a comme toujours a choisi d’intervenir sur TF1 dans le JT de Gilles Bouleau pour détailler les nouvelles mesures du gouvernement visant à faire face à l'augmentation des prix de l'essence et du diesel. Depuis plusieurs semaines, en effets, les prix à la pompe se sont envolés en France et continuent leur progression atteignant même des niveaux record.

Un énorme et nouveau pied de nez au monsieur info ernottien Laurent Guimier et sa "fabrique à Démocratie" boudé par ceux justement qui la font vivre au quotidien. 



ROM à l’ARCOM, ça sonnerait bien...N'est-ce pas monsieur le Président !

ROM à l’ARCOM, ça sonnerait bien...N'est-ce pas monsieur le Président ! 

Fin septembre, les députés après les sénateurs adoptaient définitivement le projet de loi « relatif à la régulation et à la protection de l’accès aux œuvres culturelles à l’ère numérique » consacrant la disparition de l’HADOPI mais aussi le nom de la nouvelle entité issu de la fusion HADOPI-CSA : l’ARCOM. L’Assemblée nationale indique qu'elle a adopté le projet de loi compte tenu du texte de la commission mixte paritaire.

Le projet de loi, tout juste adopté par le Parlement par 49 voix contre 4, consacre en effet le transfert de la riposte graduée dans les mains de cette future Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique.

Décidément le mot « transfert » - utilisé le plus illégalement qui soit par la grande copine de ROM à France Télés pour transgresser la loi de 2009 et contourner allègrement l’accord collectif qui a aussi force de loi lui - est à la mode en ce moment ! 

C'est du reste après une tentative de suicide à Télématin que "la dame de chez Suez" a tenu à préciser que "ces transferts se feraient sur la base du volontariat". Le même scénario qu'à France Télécom , il y a plus de dix ans.

Il s’agirait donc d’un transfert… « C’est la mort annoncée de la Hadopi, mais pas de ses compétences, transférées à l’ARCOM, nouveau nom du CSA » écrivait par exemple Marc Rees pour NEXT INPACT le 29/09/21.

La Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (HADOPI) autorité publique indépendante comme l’est le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) deviennent ainsi l’ARCOM, l’une absorbant l’autre !

« Un enjeu essentiel » pour l’omniprésente, omnipotente et omnisciente Aurore Bergé, accessoirement députée LREM et corapporteure du texte qui qualifie ainsi cette nouvelle lutte contre le piratage et qui ajoute « Il faut y mettre un terme, non seulement parce qu’on aura dans le droit des outils beaucoup plus puissants pour lutter contre ces sites, mais aussi parce qu’on rappelle que le piratage est un pillage des œuvres ».

Derrière, toute une cohorte de bienheureux a cru devoir se pâmer devant ce quasi-miracle. Laetitia Avia (elle aussi LREM) a salué pour sa part l’arrivé d’un nouveau régulateur, qui contribuera « à la rationalisation des autorités administratives indépendantes ». Roselyne Bachelot (la ministre du secteur) a décrit ce projet de loi comme « un texte ambitieux », «important pour notre modèle de création » qui soutient que « les périodes de confinement ont favorisé une poussée de la consommation de contenus illicites » et enfourche son destrier de combat en déclarant « cette lutte comme une ardente obligation pour les pouvoirs publics ».


Voila pour le folklore et les déclarations de circonstance.

A partir de là, ROM qui s’y voit déjà et voit ses canines grandir au fur et à mesure que passent les jours qui le rapprochent du décret de loi officialisant son intronisation comme « grand amiral des mers médiatiques en charge du piratage et du PAF », s’il déclare qu’« il approuve cette réforme comme le Conseil », n’en a pas moins jugé opportun de décocher des flèches au gouvernement donc au Chef de l’État qui n’a(ura) d’autre choix que de l’adouber.  

ROM souhaite « attirer sans attendre [d’être nommé président de la nouvelle Autorité, ndlr] l'attention du Gouvernement sur ses conséquences, tant sur la situation budgétaire du CSA que sur celle de la future autorité fusionnée. »

Alors que nombre de Français en sont encore à se serrer la ceinture et à encaisser les hausses tous azimuts, que le pouvoir d’achat semble bien être le sujet majeur d’ici 2022 et que la crise sanitaire a fait basculer un grand nombre de Français sous le seuil de pauvreté, à savoir 12 millions de personnes, vivant sous ce niveau en 2021, il n’est pas content notre Roch-Olivier et il le fait savoir haut et fort !

Pourtant, après l’article de Capital publié ce 13 octobre « CSA, AMF, HADOPI… les généreuses rémunérations des patrons d'autorités administratives » il faut oser.

Mais non…Attention, ça va bastonner sec. 

« Depuis plusieurs années, le CSA a vu ses moyens diminuer alors que ses missions n'ont cessé de s'étendre de manière significative, tout comme ses besoins en investissement informatiques. Pour répondre à cette tension croissante, il a réduit fortement ses dépenses en fonctionnement courant afin d'être en mesure de maintenir ses équilibres financiers. Or les dépenses liées à la préfiguration de l'ARCOM, estimées à environ 1,5 million d'euros, devront être prises en charge par le CSA et l'HADOPI faute d'abondement budgétaire correspondant. Pour la même raison, le CSA devra financer en 2021, sur ses réserves, les six emplois supplémentaires qu'il a été autorisé à créer et qui sont rendus indispensables pour exercer ses nouvelles compétences en matière de régulation des plateformes en ligne.

Enfin, si le projet de loi devait être adopté en l'état, l'ARCOM serait confrontée en 2022 à une hausse ponctuelle de la masse salariale affectée à son collège en raison de la présence temporaire de neuf membres permanents. »

« Conscient des efforts demandés à l'ensemble de la sphère publique [ça se voit bien, ndlr], le Conseil tient à souligner toutefois la nécessité que le premier budget de l'ARCOM soit à la hauteur de ces enjeux. D'une manière générale, la nouvelle autorité ne pourra exercer pleinement les missions qu'il est envisagé de lui confier sans que ne lui soient allouées les ressources financières correspondantes ».

Quant au total de 88,12 millions d’euros de subventions publiques qu'a coûté l’Hadopi pour  un montant total cumulé depuis 2011 des amendes prononcées et portées à la connaissance de la Commission soit 87 000 €, dont près du tiers pour la seule année 2019, c'est Aurore Bergé qui en est la source  la source !

Peu importe au final que les membres de l'ARCOM se retrouvent au final 9 et non 7 comme le texte initial le prévoyait (dont deux magistrats professionnels, ce qui devra mathématiquement des déçus ou des laissés pour compte pas mal du total des membres existant dans les deux entités )… Il va falloir allonger les pépettes monsieur le Président et garantir sa place à un ROM remonté visiblement comme une pendule ! 

mercredi 20 octobre 2021

Le Canard enchaîné évoque le cas du mari de Natacha Polony chroniqueuse sur BFM TV et de Marianne

Un article pouvant en cacher un autre, Le Canard enchaîné évoque le  cas du mari de Natacha Polony chroniqueuse sur BFM TV et directrice de Marianne. 





France 3 Centre-Val de Loire épinglé par Le Canard enchaîné.

France 3 Centre-Val de Loire épinglé par Le Canard enchaîné.

Le début de l’article du Canard enchaîné de ce mercredi 20 octobre, aurait pu laisser penser qu’il s’agissait de CNews la chaîne d’Info en continu mais en réalité c’est bien de France 3 dont il est question.

La chaîne régionale de France Télévisions qui invite le chef de file du RN local au Conseil régional sur le plateau de son émission « Dimanche en politique » lui a fait passer les questions à l’avance et le fait savoir par communiqué de presse.


Extrait :

« Exemple de questions piège. ‘’Nous demanderons à Aleksandar Nikolic sa position sur l’accueil des Afghans en Centre- Val de Loire’’.

On a hâte de la découvrir tout comme son avis sur un autre dossier brûlant. ‘’Le CSA (sic) vient de dévoiler un sondage qui montre que neuf Français sur dix pensent que la justice devrait être plus sévère avec les délinquants. Ce sondage est-il à mettre en lien avec la percée de Éric Zemmour ? ».

Ah les questions transmises à l’avance…chacun pouvait penser tout cela révolu ! Que nenni et à présent on a le communiqué de presse qui va avec et les révèle en amont !!

Il est loin le temps où Jean-Pierre Elkabbach lançait à Georges Marchais qui éludait sa demande « Ce n’‘est pas la question que je vous ai posé » et qui répondait « Oui mais c’est la réponse que j’vous donne ». 

mardi 19 octobre 2021

Sitbon-Gomez charge copieusement Ernotte sur son projet de transferts illégaux.

Sitbon-Gomez charge copieusement Ernotte sur son projet de transferts illégaux. 

L’ex-dircab avait naturellement préparé sa sortie face aux élus du CSE Siège réunis ce jour en séance ordinaire après la tentative de suicide d’une salariée de Télématin.

Après avoir coécrit avec Christian dans l’urgence et la précipitation, le 5 octobre dernier, une adresse aux 86 salariés qu’il imaginait transférer (*), voilà à présent que la mémoire lui fait défaut, qu’il joue quasiment les exécutants et charge Ernotte. 

Incroyable.

« Il n’y aura pas de contrainte et tout se fera sur la base du volontariat. C’est une chose certaine» a osé affirmer à qui voulait l’entendre, celui qui écrivait même que « ces transferts se feraient automatiquement en janvier prochain ».

« Tout salarié sera transféré dans le cadre du volontariat sur son contrat de travail. Après le reste,  les précisions sur le calendrier et les modalités, ça reste à voir » indiquait l’intéressé, précisant « Étant donné la fraîcheur de la décision et la nature des précisions à venir, il serait prématuré d’apporter une réponse précise en 24 heures et surtout bien inadapté d’improviser en la matière. »

"La fraîcheur de la décision" ...au regard du contexte, le mot semble mal chois par celui dont tout le monde attend la démission ou limogeage vu les échecs qu'il n'a cessé d'accumuler en matière de programmes, de stratégie et de gestion catastrophique des personnels.

Les oreilles de l’ex-Orange ont quand même bien dû siffler jusqu’à lui provoquer une  otite carabinée lorsque son ex-dircab qui évacue l’idée d’un moratoire en guise de délai, l’a balancée « Je ne suis pas en capacité, en vrai, de vous donner un calendrier, je ne dispose pas de ces éléments ».

Qui en dispose donc alors, si ce n'est Ernotte elle-même...qu'il charge donc au passage copieusement ?!

(*)




Sitbon-Gomez devrait être le premier transféré de France Télés vers l’extérieur…mais pas avec son projet !

Sitbon-Gomez devrait être le premier transféré de France Télés vers l’extérieur…mais pas avec son projet !  

L’ex-dircab d’Ernotte qui était porteur du projet de transfert des 86 salariés de l’entreprise unique vers la filiale de type SAS (cf. la lettre cosignée par lui et Christain Vion aux personnels concernés) dont il avait été nommé responsable en lieu et place de Candilis, pourrait bien être le premier à être transférer…mais vers l’extérieur du groupe, en ce qui le concerne !

« Ces transferts, il en faisait une affaire personnelle » confie ce manager qui participait le 23 septembre dernier au Webinaire où l’ex-Orange s’interrogeait, entre autre sur le devenir de Salto (blog CGC Média du 24 septembre) « On verra…c’est en fonction de ce que TF1 et M6 voudront en faire et s’ils demandent à France Télés d’en sortir » mais évoquait aussi à demi-mots avec le Management, l’attitude à adopter avec leurs collaborateurs.

« Travaillez en binôme RH-Manager et appuyez-vous sur cette configuration pour gérer vos services. Il convient d’y organiser la convivialité. Soyez dans l’empathie afin d’éviter les situations individuelles conflictuelles. Il convient d’y organiser la convivialité… » rappelait « la dame de chez Suez » !

On se serait presque cru chez France Télécoms une dizaine d’années plus tôt !

En somme, des conseils que Sitbon-Gomez qui ne compte plus les échecs au niveau des programmes tant ils sont nombreux – dernier en date, le fiasco de The Artist dont il se dit en coulisses qu’il n’en serait pas à l’origine (voir plus haut !) – n’a pas vraiment suivis !

Il devrait donc selon la rumeur, être le premier invité à en tirer très vite les enseignements.

« Il a ridiculisé Ernotte…un crime de lèse-majesté » ironise ce directeur qui n’en revient pas l’attitude horripilante de ce « Je sais tout de la politique et des média! »

En effet, l’intéressé a contraint l’ex-Orange à se rendre hier, au CSE central extraordinaire convoqué pour danger grave et imminent (DGI) comme l’indique ce jour Satellifax titre « La tentative de suicide à «Télématin », qui marque(rait) la fin des transferts contraints vers france.tv studio ».

Ernotte, en présence de Stéphane Sitbon-Gomez et Christian Vion les 2 corédacteurs de la lettre aux salariés « transférables »,  a annoncé ce lundi 18 octobre que « le groupe public renonçait à recourir à l’article L.1224-1 du code du travail dans le cadre de son projet TEPI, qui prévoit de transférer sans leur consentement les salariés des émissions produites en direct par le siège du groupe (Télématin, Thalassa, Faut pas rêver, Des chiffres et des lettres, Passage des arts...) vers sa filiale de production france.tv studio », écrit le titre de presse.

«"Si les salariés ne le souhaitent pas, [la direction] a confirmé vouloir opérer par détachement ou mise à disposition" indique le texte d’une des deux résolutions votées par les syndicats CGT, CFDT, SNJ et FO, dont Satellifax a eu copie » poursuit-il, précisant la plus invraisemblablement qui soit « Dans cette configuration, les salariés devraient donc garder le statut social du siège. »

Nul n’est besoin de revenir sur le décryptage de la lettre du tandem Sitbon-Gomez/Vion qu’effectuait la semaine dernière le blog CGC Média repris hier sur le site du cabinet Ktorza qui précisait :

« > Tous les salariés d’une même entreprise doivent être couverts par la même norme collective.

> Si chaque salarié transféré se voit accorder, par contrat, un meilleur calcul d’indemnité de départ, cet avantage individuel équivaudrait à un avantage collectif, réservé aux « ex-FTV ». 

> Il est juridiquement impossible de prévoir deux dispositifs différents d’indemnités de départ, au sein de FTV-Studio, l’un pour les « anciens » et l’autre pour les « transférés ».

Cette hypothèse est analysée plus en détail, jurisprudence à l’appui, sur le blog CGC Media de France Télévisons ( chronique du samedi 9 octobre 2021 ).

Précision : la formule « indemnités de départ » n’a pas de sens juridique. Le droit social désigne les indemnités dues en, cas de rupture du contrat de travail selon leur fonction : indemnité de préavis, de licenciement, de retraite, transactionnelle… Une « indemnité de départ » n’est pas, en droit, la somme de toutes les indemnités possibles et, en particulier, n’est pas le synonyme d’« indemnité de licenciement ». A bon entendeur… »

Les élucubrations de « la dame de l’UER » qui chante que « les salariés pourraient choisir d’être ou non transférés et ainsi garder le statut social du siège » sont donc d’une perfidie à toute épreuve et de surcroît illégales.

L'ex-Orange s'est ensuite empressée de déclarer à Voici  "Ce drame arrive dans un contexte décrié ; je maintiens que le renforcement de notre filiale demeure un objectif stratégique, mais dans ce contexte d’incompréhension et cette escalade de tensions, je décide de stopper ce transfert automatique. La production de ces émissions sera transférée, mais les salariés pourront choisir"


Hallucinant de cynisme.

Satellifax poursuit « Pour le moment, aucun contrat n’a encore été transféré du siège vers france.tv Studio mais la question du management reste posée. A ce jour, seules deux émissions, Télématin et Passage des arts, sont déjà passées sous le management de france.tv Studio, mais la direction maintient son intention de transférer les autres émissions d’un point de vue opérationnel. Les droits sociaux restent en l’état mais l’industrialisation du projet va se poursuivre », citant Marc Chauvelot, le Secrétaire CGT du CSE siège de France Télévisions qui a avait inscrit en avril le point sur les transferts à l’ordre du jour, permettant sa mise en œuvre.

« Dans cette configuration, les salariés devraient donc garder le statut social du siège. Dans la résolution, les élus s’interrogent toutefois sur la « modification juridique que cela va enclencher en matière de transfert d’actif ». Ils souhaitent donc savoir « de quel transfert il s’agit exactement maintenant » et « sous quelle forme il sera adopté en conseil d’administration » ajoute encore Satellifax.

Le blog CGC Média ne peut que contredire Satellifax qui publie par la même occasion l’aveu de Marc Chauvelot indiquant clairement qu’aucune autre action judiciaire n’était en cours - « Aucune date d’audience n’avait encore été fixée. Nous allons voir avec nos conseils la suite qu’il convient de donner au dossier car un travail important a été réalisé » - en rappelant que le seul syndicat à être devant la Justice pour demander l’interdiction de ces transferts ILLEGAUX quel que soit l’habillage de la direction de FTV, est le SNPCA-CGC comme suite à l’appel interjeté mi-juillet par maître Pierre-Olivier Lambert son avocat pour une audience fixée au 9 décembre prochain. (*)

Cette procédure et en cours et le restera malgré les traditionnels cris de victoire de certains qui interviennent, il ne faudrait pas l’oublier, après qu’une salariée eut tenté de mettre fin à ses jours et à qui le blog CGC Média souhaite un prompt rétablissement.

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lundi 18 octobre 2021

Le cabinet Ktorza cite en exemple le blog CGC Média concernant le fallacieux courrier de Sitbon-Gomez aux salariés concernés.

Le cabinet Ktorza cite en exemple le blog CGC Média concernant le fallacieux courrier de Sitbon-Gomez aux salariés concernés.

Dans un post un tout dernier post que le cabinet d’avocats spécialisé en droit social (mais pas que…) a publié ce 18 octobre, le blog CGC Média cité dans l’article pour avoir réalisé le décryptage point par point de la lettre cosignée  Stéphane Sitbon-Gomez et Christian Vion (* pour le retrouver  relire, cliquez ici) adressée aux salariés qu’ils voudraient transférer ILLÉGALEMENT.

Le blog CGC Média, pas peu fier de cette reconnaissance, vous propose de découvrir ci-après les écrits des avocats du cabinet Joyce Ktorza…





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L’abjection n’a plus de limite à France Télés…jusqu’où certains soutiens de la direction sont-ils prêts à aller ?

L’abjection n’a plus de limite à France Télés…jusqu’où certains soutiens de la direction sont-ils prêts à aller ?

Ce matin le malaise était profond dans les coulisses de Télématin.

Sitbon-Gomez l’ex dircab de « la dame de chez Suez » et Lesaunier l’ex-DRH de France Télés parachuté pédégé de la SAS Le Studio, étaient là pour féliciter les salariés…Étrange non !? On se demande où était Mayerfeld la DRH qui était forcement au courant pour des faits survenus en fin de semaine dernière!

« Bravo pour votre travail » entonnaient en chœur le tandem ernottien, histoire de tenter de masquer la gêne qui se lisait sur leur visage.

De quoi est-il question pour que les deux lieutenants de l’ex-Orange se précipitent sur les plateaux?

Le blog CGC Média n’avait aucune intention ni d'en faire état, ni d’écrire une seule ligne sur le pourquoi des choses…

Seulement voilà, la CGT le syndicat proche de la direction dont Pierre MOUCHEL Secrétaire CGT du CSE Central et Marc CHAUVELOT Secrétaire CGT du CSE Siège qui signaient tous deux avec elle, l’inscription du point à l’ordre du jour, intitulé : « Information/Consultation sur le projet d’apport par France Télévisions à France Télévisions Studio de l’activité de production (siège) d’émissions en gestion directe »,  n'ont visiblement éprouvé aucune honte à publier ce que beaucoup qualifient aujourd’hui d’indignité.

Dans un écrit publié ce 18 octobre « Projet de transfert de salariés à FTVStudio (TEPI) : Jusqu’où la direction est-elle prête à aller ? », ceux qui ont permis à ce projet de TRANSFERTS ILLICITES que le SNPCA-CGC est réellement le seul syndicat à combattre en Justice, osent tirer de la façon la plus nauséabonde qui soit, la couverture à eux.

« Depuis plusieurs mois, le dialogue social est tendu à FTV du fait notamment du conflit en cours sur le transfert contraint de salariés de FTV vers la filiale FTV Studio. [Permis donc par des élus CGT comme précisé ci-dessus, ndlr] 

Les salariés concernés ne veulent pas de ce transfert parce qu’il mettra à mal leurs collectifs de travail, qu’ils perdront les avantages de l’accord collectif France Télévisions et que le management de FTV Studio n’a pas la réputation d’être particulièrement respectueux des relations sociales.

Les élus du CSE Siège et du CSE Central ont mis en exergue, après avoir diligenté une expertise, [Un second contrat confié à Sécafi-Alfa le cabinet préféré de la CGT d’où vient le DRS de FTV, ndlr] les carences juridiques du projet et son caractère pathogène envers les salariés. Mais la direction est restée intransigeante face aux propositions d’ouverture des élus qui préconisent de laisser le libre choix aux salariés : transfert ou détachement.

Nous ne cessons d’alerter depuis des semaines sur la dégradation de l’état de santé des salariés. Le médecin du travail lui-même a porté des alertes mais la direction est jusqu’à ce jour restée sourde, se réfugiant derrière un courrier individuel type envoyé aux salariés et censé les rassurer.

Malheureusement, ce vendredi 15 octobre… »

Le blog CGC Média ne publiera pas plus de ce texte nauséabond qui appelle toutefois  à la « tenue sans délai, d’un CSE Central extraordinaire pour Danger Grave et Imminent (DGI) sur le collectif de travail concerné »…auquel appellent donc  les deux signataires de l’info/consult sur les transferts susmentionnée à savoir le Secrétaire CGT  du CSE Central de France Télévisions et le secrétaire CGT du CSE Siège ont demandé la tenue

Et de conclure pour ceux qui ont justement paraphé avec la direction l’indigne procédure : « Pour la CGT, la direction doit maintenant prendre ses responsabilités et renoncer définitivement à ce transfert autoritaire des salariés afin de prendre la voie d’un apaisement plus que nécessaire. »

Il faut quand même oser !