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jeudi 16 juillet 2020

Pour Christopher Baldelli « La procédure de nomination proposée par le CSA n’est absolument pas adaptée à des dirigeants souhaitant passer du privé au public » (sic)


Pour Christopher Baldelli « La procédure de nomination proposée par le CSA n’est absolument pas adaptée à des dirigeants souhaitant passer du privé au public » (sic)

Le CSA qui va dans les tous prochains jours auditionner les candidats développer le projet qu’ils ont pour la télé publique, a dû se demander s’il ne rêvait pas en lisant et relisant les propos tenus dans Télé Obs par ChristopherBaldelli l’ex-patron de RTL limogé l’an dernier de la radio par Nicolas de Tavernost qui taclait alors le Conseil.

Pour Christopher Baldelli « La procédure de nomination proposée par le CSA n’est absolument pas adaptée à des dirigeants souhaitant passer du privé au public » (sic)

A titre d’exemple, il cite « Le dossier Radio France » qui selon lui « est un immense gâchis (...) »

Le candidat à la fonction de président de France Télévisions ajoute même « Il aurait été préférable que le CSA nomme à sa tête un président expérimenté »c’est pourtant bien en l’espèce,  ce que prévoit la loi de 2013 !

Il pourra justement s’en expliquer devant le CSA visé par ses critiques acerbes dont deux des membres qui l’entendront la semaine prochaine sont toujours présents.

A l’attention de l’instance comme de ses membres, Baldelli assène « La situation de Radio France est, hélas, révélatrice d’un problème plus global : celui de la gouvernance des entreprises audiovisuelles publiques et de la difficulté d’y mener des réformes.

D’un côté, vous avez des dirigeants qui n’ont pas pris suffisamment tôt la mesure des enjeux de l’entreprise et qui, par conséquent, ont du mal à réformer. De l’autre, un actionnaire qui n’est pas toujours cohérent. 
Dès lors que l’Etat décide de ne pas augmenter sa contribution dans l’audiovisuel public, il doit, en effet, appuyer les réformes nécessaires.

De son côté, le CSA – qui a retrouvé le pouvoir de nommer les dirigeants de l’audiovisuel public – connaît la situation de Radio France. Il joue donc un rôle majeur et porte une grande responsabilité. Dans ce contexte, il apparaît toujours préférable qu’il nomme à la tête de Radio France, ou d’ailleurs de France Télévisions, un président expérimenté. Un dirigeant qui maîtrise à la fois les particularités du secteur public et qui soit passé par la sphère privée, où la modernité et la nécessité de réformer sont omniprésentes. »

Autrement dit LUI...

Le CSA comme l'État actionnaire qui en prend aussi pour son grade, apprécieront surement ses conseils et sa franchise !


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