Contactez-nous!

Par téléphone au 06.14.06.44.36 ou par mail en Cliquant Ici!

mardi 26 août 2025

Dati c’est fini, je ne crois pas qu’on y retournera un jour !?

« Dati c’est fini, je ne crois pas qu’on y retournera un jour » !

L’air de la chanson d’Hervé Villard, au refrain légèrement adapté à la situation politique de notre Pays, devrait être reprise en cœur par une large majorité à l’Assemblée nationale mais aussi par l’ensemble des salariés de l’Audiovisuel public comme près de 9 Français sur 10 selon les derniers sondages.

Trois fois au gouvernement depuis la dissolution prononcée voila un peu plus d’un an par Emmanuel Macron -  la probable première d’une série de deux à la suite que le président pourrait prononcer avant le 8 septembre prochain - il n’y a quasiment aucun risque que le prochain gouvernement y retourne, en renommant Dati aux affaires quelles qu’elles soient à cause justement de celles plus judiciaires qui la concernent !!

Le Premier ministre, François Bayrou, a en effet annoncé un vote de confiance, lundi 8 septembre à l'Assemblée nationale, n’a aucune chance d’avoir une majorité et il le sait, « Les oppositions ayant depuis, toutes fait savoir qu’elles ne la voteront pas. L’hypothèse d’une nouvelle dissolution avant cette date, évoqué aujourd’hui Gérald Darmanin, tout comme l’avait fait le 27 juillet dernier, le bloc CGC Media dans son article « Censure, 49.3 ou dissolution ? », est donc plus d’actualité que jamais.

Au moment où nous écrivons, La France Insoumise, Les Ecologistes-EELV et les communistes ont immédiatement réagi et indiqué qu'ils voteraient contre la politique de François Bayrou. A l'extrême droite, le Rassemblement national en a fait de même, tout comme son allié de l'Union des droites pour la République (UDR). Les socialistes ont attendu lundi soir pour préciser leur position. Ils "voteront contre la confiance au gouvernement de François Bayrou"a déclaré le premier secrétaire du Parti socialiste sur X, Olivier Faure.

Enfin, Gérald Darmanin s’il a évoqué un acte "extrêmement courageux et très démocratique" après la confiance sollicitée par François Bayrou, bien au contraire, la possibilité d’une nouvelle dissolution : "Il vaudrait mieux pouvoir trouver un compromis avec les groupes politiques à l'Assemblée. La dissolution coûte cher à la France bien sûr, mais il ne faut pas écarter cette hypothèse".


Le Premier ministre, François Bayrou qui a néanmoins décidé d'engager la responsabilité de son gouvernement le 8 septembre prochain, à l'Assemblée nationale, autour de la "question centrale" de "la maîtrise de nos finances", compte et recompte les hypothétiques « Pour » et doit bien constater que dans tous les cas de figure, il n’aura pas de majorité. 

Aucun commentaire: