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samedi 26 décembre 2020

Laurent Guimier et « ses 50 nuances de démocratie » au service du « journalisme de construction » !

Laurent Guimier et « ses 50 nuances de démocratie » au service du « journalisme de coconstruction » !

Le moins que l’on puisse dire c’est que le monsieur info que l’ex-Orange visée elle par une enquête préliminaire diligentée par le PNF (*) et la prochaine nomination d’un juge pour une imminente nouvelle instruction judiciaire, ne fait pas lui dans la nuance !

L’intéressé vient de tweeter sa « contribution au cahier des tendances@metamedia hiver 20/21 » qu’il a baptisé – allez comprendre pourquoi – « 50 nuances de démocratie » !!

Alors qu’il se prépare le 4 janvier prochain à une grève pour avoir viré en un claquement de doigts les illustrateurs sonores, le successeur de Letranchant prône « la co-construction au service de la “fabrique de la démocratie” » histoire de « donner un sens très clair à la mission de service public » qu’il revendique. Il lance légalemnt que "Dialoguer et construire avec les “vingtards”  n'est pas une option, c'est un prérequis"

eux Nous avons essayé de comprendre ce que “fabriquer la démocratie” signifie ! Malheureusement le blog CGC s’est cassé le nez en cherchant comment, à part le vote avec lequel tous les citoyens participent aux décisions politiques dans un régime politique démocratique, il fallait faire pour fabriquer de la démocratie dans un Service public ?!  

Si vous trouvez, n’hésitez pas à nous écrire….

Nous avions déjà eu droit avec Ernotte puis Laurent Guimier à « l’information positive » voici maintenant les « ateliers Démocratie » et le « journalisme de construction” ».

 

Au sein des rédactions de France Télévisions, la co-construction est au service de la “fabrique de la démocratie” qui donne un sens très clair à notre mission de service public, assène Laurent Guimier, directeur de l’information de France Télévisions qui ajoute « C’est aux citoyens et aux journalistes de concevoir et de tenir ensemble le nuancier de la démocratie ». Waouuuuu…profond, non ?!

C’est probablement pour cela comme l’avait annoncé le 14 décembre dernier le blog CGC Média qu’il prévoit d’envoyer au siège de France Ô (Malakoff) Christophe Tortora le directeur de la Rédaction nationale de France Télévisions pour remplacer Alain Rodaix « le directeur de l’Information des Outremers » en partance… !?

Peut-être aussi pour « coconstruire » qu’il déciderait de nommer Elsa Pallot l’adjointe du précédent à la Rédaction nationale de France Télévisions pour assurer la rédaction en chef du 20 heures…?!

Ça devrait donc être le grand chamboule-tout en 2021 avant un très probable déflagration judiciaire et le Grand "nuanceur" de l’Info devrait expliquer qu’elles sont ses 50 tonalités prévues !

Nous vous proposons pour tenter de la découvrir – si vous y parvenez – de découvrir le texte dont il fait la promo sur les réseaux sociaux. (ci-après)

"Comme toutes les institutions secouées par la révolution numérique depuis vingt ans, le journalisme n’est pas immunisé contre les crises d’identité. C’est une crise logique et salutaire. C’est une crise logique parce que l’irruption massive et sans contrôle des contenus produits par les publics a fait trembler les fondements d'une profession historiquement dotée de missions, d'outils et de supports d’expression qui lui étaient autrefois réservés. L'accès aux colonnes du journal passait par le journaliste ; la publication sur l’écran appartient à toutes et tous. C’est une crise salutaire car cette révolution numérique sonne le glas d'un entre-soi devenu mortifère pour les journalistes eux-mêmes et les citoyens dont ils sollicitent la confiance.

La terrible crise sanitaire qui frappe la planète depuis l’hiver 2019/2020 nous fait entrer de plain-pied, et plus vite que prévu, dans le troisième âge de cette révolution : après l’émergence de la presse en ligne - où médias et lecteurs conservaient leurs statuts historiques - puis l’avènement des réseaux sociaux - où journalistes et publics ont âprement confronté leurs légitimités respectives - le temps est venu de construire non pas un “après” mais cet “autrement” des médias qui voit les plus lucides construire déjà leur destin main dans la main avec les publics.

C’est la ruse de l’histoire : à l'heure où le Covid-19 déchaîne les forces de la désinformation et de la violence - verbale ou physique - dans l’espace public, ce maudit virus montre également aux médias la voie d’un avenir plus radieux par la coconstruction.

La première raison d’espérer, c’est que les médias ont retrouvé leur fonction d’agora. Parce que pour la première fois depuis la guerre, la frontière entre événement et média a été brutalement abolie et que 100% des journalistes ont été personnellement confrontés à la crise, il y a fort longtemps que le public n’avait pas été autant présent sur les antennes des radios et les plateaux de télévision aux côtés des dirigeants politiques et des experts. Témoignages bruts, débats simples et vifs, tranches de vie banales mais essentielles à l’heure où tout le monde est égal devant la maladie. C’est la vie de famille, de l'association ou la machine à café qui se sont invitées sur les antennes, rapprochant les médias d'une “vraie vie” dont ils s’étaient trop éloignés. Gardons le public à table ! Entre les cercles trop fermés des pouvoirs et la jungle suffocante des réseaux sociaux où les peuples n’ont jamais autant donné leur avis sans y trouver forcément leur bonheur, les médias ont l’opportunité historique de redevenir les lieux de confiance où se confrontent toutes les expériences et toutes les opinions. Et débattre en s’écoutant les uns les autres, c’est coconstruire l’avenir d’une Nation.

La deuxième raison qui engage les médias à coconstruire, c'est la violence de la crise économique qui frappe de plein fouet toutes les institutions, entreprises et corps intermédiaires. L’urgence que ces derniers ressentent à maintenir le lien avec leurs publics, communautés ou clients accélère l’“uberisation” générale des contenus : tous seront bientôt prêts à se définir eux-mêmes en médias pour entamer un dialogue constructif avec ceux qui les financent ou leur font confiance. Au risque d’être dépassés par d’autres secteurs économiques sur ce front de la coconstruction se double pour les médias celui de passer pour inutiles. Grossière illusion d’optique qui risque pourtant d’être fatale à des médias enfermés dans leurs tours d’ivoire respectives.

La troisième raison qui fonde cette nécessaire coconstruction, c’est tout simplement la génération qui vient. C'est une évidence en 2021 : la majorité des moins de 30 ans ont découvert les médias sur un écran, c’est-à-dire en agissant sur le contenu, soit en cliquant sur des liens additionnels, en « likant » ou découvrant les commentaires sous un article. Ces “vingtards” n'imaginent pas une seconde une consommation passive de l'information comme l'ont pourtant vécu toutes les générations précédentes. Dialoguer et construire avec eux n'est pas une option, c'est un prérequis. Leurs usages en rupture charpentent l’avenir des médias. Alors écoutons les jeunes et innovons avec cette génération Covid qu’on découvre fortement engagée dans des combats politiques, sociaux et éthiques.

Enfin, la co-construction d’un média avec ses publics affermit le sens qu’on veut lui donner. C’est le cas de la presse locale, nourrie des contributions quotidiennes de ses lecteurs ancrés dans un territoire. Ou des médias d’opinion en ligne financés par des abonnements de soutien.

Et pour les autres ? Retroussons-nous les manches !

Au sein des rédactions de France Télévisions, la co-construction est au service de la “fabrique de la démocratie” qui donne un sens très clair à notre mission de service public. Par exemple, le journalisme de solutions -que nous préférons appeler ici le journalisme “de construction”- se nourrit d’initiatives de terrain. Dans les prochaines années, la recherche de l’excellence pour les contenus que nous fabriquons passera par une ouverture systématique et sans tabou aux contributions expertes venues de l’extérieur. Enfin, il n’y aura de guerre efficace contre les manipulations et complots qu’en coopération avec des enseignants, associations et chercheurs engagés pour secourir le peuple de “désinformés”. Ce n’est qu’en coconstruisant cette armée d’un genre nouveau que la guerre totale la désinformation sera efficacement menée.

Il est urgent pour les médias de construire avec les publics pour conjurer la défiance des plus anciens. Urgent pour mériter l’attention des plus jeunes. Urgent pour que les journalistes dénichent et relaient toutes les nuances d’idées et la complexité du monde, face aux choix trop souvent binaires que donnent à voir les réseaux. C’est aux citoyens et aux journalistes de concevoir et de tenir ensemble le nuancier de la démocratie."

(*)

 

vendredi 25 décembre 2020

Bonnes fêtes de fin d'année avec quelques surprises dans la hotte du Père Noël !

Bonnes fêtes de fin d'année avec quelques surprises dans la hotte du Père Noël !

Le blog CGC Média souhaite de bonnes fêtes à tous ceux qui attendent avec impatience que les quelques surprises que le père Noël avaient dans sa hotte, pètent à la tête de quelques-comme les crackers de saison.

Cela a visiblement déjà commencé avec un réveillon de Noël qui débute mal pour l'ex-Orange et son ex-dircab...Hier pour la soirée du 24 décembreFrance 2 a pris une taule comme jamais.

Nettement moins d'un million de curieux - 887.000 seulement pur être précis - ont regardé France 2 qui diffusait "Notre Dame à l'épreuve des siècles" qui réalise une ridicule audience de 5,8%.

En additionnant les audiences de France 2, France 3, France 4 et France 5, France Télés ne parvient même pas à atteindre avec ses 24,4% le score de TF1 qui seule totalise 26,7% ce soir là avec 3 270 000 de  téléspectateurs.

Selon nos informations,  2021 qui pointe le bout de son nez n'a pas fini de réserver bien des surprises, bonnes pour les uns mais très mauvaises pour certains autres!


jeudi 24 décembre 2020

Nouveau flop pour Nagui qui crée la polémique en se moquant du physique de Dany Boon.

Nouveau flop pour Nagui qui crée la polémique en se moquant du physique de Dany Boon.

Ce mercredi 23 décembre, Nagui était encore aux commandes d’un prime time sur France 2 « N’oubliez pas les enfants ». L’émission produite par Air Productions si elle ne réalise que 10,8% d’audience (*) – pour mémoire, le précédent numéro diffusé le 2 janvier 2020 totalisait 13,7% de PDA – fait parler d’elle.

En effet, Nagui s’en est pris au physique de Dany Boone. Julian l’un des jeunes candidats de N’oubliez pas les enfants explique à l’animateur qu’il a eu la chance de voir Dany Boon lors d’un casting. « Tu as rencontré le vrai Dany Boon avec les oreilles et tout ? », a lancé Nagui au garçon qui a cru bon d’ajouter « Tu pourras dire que tu m’as vu moi avec mon nez comme ça lui avec ses oreilles tu commences à avoir un Monsieur Patate ». Le comédien et réalisateur appréciera !

Entre le 12 décembre et le 2 janvier 2021, pas moins de quatre prime time dans l’escarcelle de Nagui qui a signé avec Ernotte, via sa société de production, le contrat de 100 millions d’euros pour lequel le PNF a ouvert une enquête. (¤) 

(*) C’est M6 qui se classe en tête des audiences de la soirée du mercredi 23 décembre 2020 avec 4,06 millions de téléspectateurs soit 17,2% du public devant le film culte "Un éléphant ça trompe énormément" d'Yves Robert diffusé sur France 3 qui le diffusait après la mort de Claude Brasseur qui se place second avec 3,71 millions de fans pour 15,3% des individus. TF1 arrive troisième avec un nouveau numéro de "C'est Noël, tout est permis avec Arthur" produit par Satisfaction qui rassemblait 14,3% du public.

(¤)  



mercredi 23 décembre 2020

Une énième nomination à France Télés qui ne passe pas !

Une énième nomination à France Télés qui ne passe pas !

Le 16 décembre dernier l'ex-Orange actuellement visée par une enquête préliminaire du PNF (*) pondait une énième communiqué rétroactif celui-ci -  pour annoncer la création d'un poste spécialement concocté à France Télés pour Florian Humez le cofondateur des Jeunes avec Macron  nommé « directeur des relations avec les Pouvoirs Publics »

Le Canard enchaîné de ce mercredi, en remet une couche expliquant que ça grince comme jamais en interne comme à l'extérieur pour cette désignation que beaucoup en coulisses qualifient de politique mais vaine vu le contexte !

(*)

Une perte de 93 millions d’euros en 2021 pour la plateforme de VOD Salto « synonyme d’échec » !

Une perte de 93 millions d’euros en 2021 pour la plateforme de VOD Salto « synonyme d’échec » !

« Il y a fort à craindre que Salto soit à terme synonyme d’échec avec pour l’heure, seulement une cible modeste de 40 000 abonnés » indiquait récemment le sénateur LR Roger Karoutchi qui s’interrogeait dans un récent rapport sur le bienfondé de l’investissement de France Télés dans la plateforme de vidéo à la demande principalement axée sur la TV de rattrapage.

Salto devrait, en effet, afficher un déficit de 93 millions d’euros en 2021, partagé entre France Télévisions, TF1 et M6.

L’ex-Orange qui fait aujourd’hui l’objet d’une enquête préliminaire déclenchée par le PNF suite à la plainte déposée en septembre par la CGC (¤), a pris soin pour faire croire à un nouvel équilibre (tu parles !) en dissociant cette perte d’exploitation de –24,5 millions d’euros en 2020 (selon la nouvelle prévision de budget d’octobre) qui devraient dépasser les –35 millions d’euros en 2021.

« Il y a lieu d'être inquiet sur cette absence de vue claire sur les investissements de Salto » souligne aussi le rapporteur spécial qui pose en conséquence la question de l'opportunité pour le groupe public de continuer dans Salto avec les groupes M6 et TF1 qui voulaient à l’origine contrer Molotov qui, lui, cartonne.  

« Une première lecture du catalogue fait apparaître des séries étrangères déjà accessibles sur d'autres plateformes ou des films. Les séries françaises produites pour France Télévisions sont par ailleurs déjà accessibles sur le service gratuit de vidéos à la demande des chaines du groupe public » précise encore l'intéressé qui ajoute « Il est par ailleurs possible de s'interroger sur la mise en vente de séries produites pour le service public, en principe accessibles à tous, et financées, à ce titre, par des ressources publiques ».

« Le coût de l'abonnement de Salto est proche de celui retenu par les fournisseurs américains, type Netflix et Amazon, sans pour autant faire montre du même effet d'attraction faute d'un catalogue de contenus inédits suffisamment développé. Il y a forte à craindre que l'investissement du groupe public soit donc à terme synonyme d'échec. » enchérit Roger Karoutchi qui enfonce le clou « Pour l'heure, seule une cible modeste de 40 000 abonnés à la fin de l'année 2020 a été fixée… perspective qui ne lasse pas d'interroger une nouvelle fois sur les choix stratégiques de France Télévisions, enclin à vouloir se rapprocher des groupes TF1 et M6, au risque de remettre en question un positionnement censé être plus exigeant. »

 

Ce à quoi, il lui fut répondu qu'« au regard du caractère confidentiel des données financières de Salto imposé par l'Autorité de la concurrence, et étant rappelé que France Télévisions n'est pas l'éditeur des programmes de cette société, France Télévisions ne dispose pas du détail des investissements dans les programmes et dans la plateforme technologique ni du détail des dépenses de fonctionnement de Salto » ! 

Pas de réelle visibilité donc qui fait douter logiquement le rapporteur spécial sur l'opportunité pour le groupe public d’aller plus loin dans Salto.  Le cas échéant, le résultat d’exploitation de France Télés artificiellement à l’équilibre (*) pour son budget 2021 ne comprend justement pas Salto qui pèse évidemment sur les comptes de France Télés déjà dans le rouge. 

L’équilibre n’étant pas prévu avant 2023 (en théorie seulement), la propagande habituelle va forcément bon train. Reste  que le résultat d'exploitation de France Télévisions intègre un tiers de la perte prévisionnelle de la société Salto, soit 13 millions d'euros en 2020, tout cela devant se faire encore au détriment des programmes donc des téléspectateurs mais aussi et surtout des salariés!

(*) Ernotte ne s’étend pas non plus sur le coup de pouce de 45 millions d’euros annoncé en septembre par l’État via le plan de relance afin de faire face aux effets de la crise sanitaire. Cette dernière raconte donc à qui veut qu’il semblerait normal que « Salto étant un investissement, la plateforme soit séparée du résultat d’exploitation communiqué hors éléments non récurrents, puisqu’elle n’est pas financée par la taxe audiovisuelle mais pris sur la trésorerie » ! Ben voyons…Parce que la trésorerie de l’entreprise ne dépendrait pas, elle, des deniers des contribuables ?! Non mais au secours...

Son discours selon lequel "Salto ne serait ni directement, ni indirectement financée par la contribution à l'audiovisuel public mais par les recettes commerciales induites par son modèle économique" ne trompe guère finalement.   

(¤)

mardi 22 décembre 2020

TF1 toujours leader des 100 meilleurs audiences télés 2020 !

TF1 toujours leader des 100 meilleurs audiences télés 2020 !

Si TF1 ne remporte plus que 74 des 100 des meilleures audiences télés pour l’année 2020 contre 84 en 2019, un fait notable est toutefois à souligner dans le contexte de crise sanitaire, ce sont les interventions du chef de l’Etat qui affichent les meilleures audiences télévisées du palmarès.

Les Echos publie d’ailleurs aujourd’hui le tableau du top 15 des audiences télévisées en 2020 où la déclaration du Chef de l’État en date du 13 avril dernier (le premier confinement rafle la mise avec 37,3% du public et près de 15 millions de téléspectateurs lorsque France 2 avec la même intervention le même jour n’en atteignait que 11,6 millions soit 28,2% d’audiences.

Neuf déclarations d’Emmanuel Macron et trois du Premier Ministre (deux pour Édouard Philippe et une pour Jean Castex) soit douze interventions télé du couple exécutif au total figurent en tête du palmarès. Seules 3/12 vont à France 2 contre 9 à TF1 qui est la seule chaine à placer sont JT de 20H dans ce top 15 avec 9,8 millions de fidèles. C’est la finale de la ligue des champions et la première partie des « Enfoirés » qui a attiré 10 millions de téléspectateurs, suivi de près par l’élection de Miss France 8,6 millions (un record depuis 2006).

L’embellie que certains prêtent à France 2 n’est donc que très superficielle en raison de l’épidémie de Covid-19 qui sévit depuis presque un an !

Le cinéma s’adjuge 18 places dans le Top 100 (deux fois plus que l’an dernier) avec la mise en place sur les chaines d’une programmation très tournée sur le septième art pendant le confinement.

Il est du reste intéressant à titre de comparaison de comparer les soirées cinéma sur les deux chaines. TF1 obtient 43 des 50 meilleures audiences cinéma cette année 2020. (du 1 janvier au 14 décembre).

"Dans le contexte de crise sanitaire, la chaîne a choisi d’accompagner les téléspectateurs en élargissant son offre cinéma et en proposant une combinaison de films français inédits, comédies populaires cultes, blockbusters et grandes franchises internationales. Cette offre a rencontré un large succès auprès du public et permet à TF1 de décrocher 43 des meilleures audiences cinéma de l’année" indique leur communiqué.

  

Avec une offre enrichie de plus de 100 films en prime-time en 2020, le cinéma sur TF1 est en progression sur un an avec en moyenne 4,8 millions de téléspectateurs, 21% de part d'audience (+1 point), 31% de pda sur la cible femmes responsables des achats -50 ans (+ 4 points) et 30% de pda sur les 25-49ans (+3 points). TF1 détient ainsi près de 90% du TOP 50 cinéma de l’année soit 43 films sur 50 et décroche les 26 meilleures audiences. Les films de TF1 occupent également 18 places du TOP 100 des programmes de l’année, un record depuis 2004. 

La fiction française n’a plus que 29 places quasiment deux fois moins qu’en 2019 (56 fois dans le classement). Plus aucune série étrangère ne figure dans ce Top 100 alors qu’elles étaient au nombre de 5 l’an dernier. « Pourquoi je vis » le téléfilm français réalisé par Laurent Tuel et diffusé en le 7 septembre 2020 sur TF1 est la première série tricolore avec 8,3 millions de téléspectateurs (du jamais-vu depuis 2007), au coude-à-coude avec un épisode de « Capitaine Marleau » sur France 3.

Concernant les séries étrangères, TF1 décroche également 37 des 50 meilleures audiences. S'agissant des divertissements TF1 fait carton plein en trustant 100% des 50 meilleures audiences.

Quatre places seulement pour le Sport qui trustait le haut du classement et était présent 14 fois en 2019, après l’annulation ou le report de nombreuses compétitions, dont l’Euro et les Jeux Olympiques.

France 3 apparaît 8 fois grâce à la fiction (10 fois en 2019) et M6 présente à 3 reprises l’an dernier est absente du classement.

Les deux confinements et couvre-feu dont celui de décembre toujours en cours, montrent une progression globale de l’audience télé avec près de 44 millions de Français à avoir regardé la télévision, contre 41 millions en 2019 pour une durée d’écoute – en live – qui a progressé de 21 minutes en 2020.

La pensée du jour est signée André Bercoff et vise une nouvelle tentative de restriction de nos libertés.

La pensée du jour est signée André Bercoff et vise une nouvelle tentative de restriction de nos libertés.

« Ne dites pas : “Si t’es pas vacciné t’existes plus“. Trop direct. Trop douloureux. Dites: « Projet de loi instaurant un régime pérenne d’urgence sanitaire ». Qu’en termes galants ces choses sont ainsi introduites... » vient de tweeter André Bercoff concernant le très controversé projet de loi instituant un régime pérenne des urgences sanitaires.

Paraphrasant Molière qui fait dire à Philinte pour complimenter Oronte dans Le Misanthrope « Qu’en termes galants ces choses-là sont mises », le journaliste invité régulier des plateaux télés et radios (LCI, BFM TV, CNews, Sud Radio, etc…) n’est pas le seul à s’inquiéter de ce nouveau texte présenté par Jean Castex instaurant une possible restriction de liberté puisque certains déplacements pourraient être réservés aux seules personnes ayant été vaccinées.


Lundi, le premier ministre Jean Castex a présenté en Conseil des ministres un projet de loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires juste avant de le déposer, dans la soirée, à l'Assemblée nationale.

L'objectif du projet de loi selon Gabriel Attal le porte-parole du gouvernement, serait de « nous préparer à la fin de l'état d'urgence sanitaire, le 1er avril 2021 » et d'«établir un cadre juridique durable face aux crises sanitaires» !

Le projet de loi Castex prévoit précisément que « le premier ministre peut, le cas échéant (...) subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transport ou à certains lieux, ainsi que l'exercice de certaines activités à la présentation des résultats d'un test de dépistage établissant que la personne n'est pas affectée ou contaminée, au suivi d'un traitement préventif, y compris à l'administration d'un vaccin, ou d'un traitement curatif. »

Que valent donc les promesses d’Emmanuel Macron qui avait clairement et publiquement avancé que le vaccin ne serait pas obligatoire ? Ils sont nombreux, parlementaires, média, journalistes, éditorialistes mais également simples citoyens à s’interroger sur ce nouveau coup de canif porté aux libertés de tout un chacun et à se demander dans quel type de régime pourrait bien basculer le Pays.  

lundi 21 décembre 2020

Sibyle Veil ne supporte visiblement plus les diktats d'Ernotte !

Sibyle Veil ne supporte visiblement plus les diktats d'Ernotte ! 

Alors que l’ex-Orange semble vouloir dicter son tempo à la pédégée de Radio France priée d’avancer à marche forcée vers le rapprochement entre France 3 et France Bleu soi-disant amorcé en 2019, l’annonce de l’enquête préliminaire (*) diligentée contre celle que ROM et consort avaient décidé de maintenir contre les propos même du Chef de l’État sur la lamentable gestion de France Télés, a visiblement changé la donne.

Dans son article intitulé « Rapprochements avec France 3 : Veil défend France Bleu contre Ernotte » , la patronne de la radio publique qui « redoute une éventuelle absorption par son partenaire télévisuel » n’a visiblement pas l’intention de se laisser faire.

Les matinales de France Bleu diffusées sur France 3 Radio France et France Télévisions supposées « renforcer l’offre de proximité de l’audiovisuel public en diffusant sur France 3 les matinales (7h-9h) de France Bleu sur tout le territoire » sont un fiasco tant en termes d’audience que de rendu.

Sibyle Veil n’a donc plus l’intention de se laisser phagocyter par celle dont la mascarade de juillet dernier, nonobstant la procédure du PNF, fait l’objet d’une demande en annulation et qui chante sur tous les toits que France info serait sa réussite…Il est bien entendu question ici de la propagande qu’elle développe autour du canal 27 de la TNT qui ne parvient guère à dépasser la barre des 0 ,3% d’audience très loin derrière les autres chaines d’info en continu BFM TV qui « est largement leader et rassemble 52% de l’audience globale des quatre chaînes info. Sur l’ensemble de la journée du 5 novembre par exemple, BFMTV s’est hissée au rang de 5ème chaîne de France avec 6,2% de PDA… »

France Info la radio c’est le succès de la Maison ronde…pas celui de l’ex-Orange c’est clair !


 (*)

dimanche 20 décembre 2020

Jean-Pierre Pernaut sur C8 fait quasiment à jeu égal avec Le Grand concours des régions sur France 3.

Jean-Pierre Pernaut sur C8 fait quasiment à jeu égal avec Le Grand concours des régions sur France 3.

Ce vendredi 18 décembre, C8 avec son documentaire "Jean-Pierre Pernaut - 50 ans dans le cœur des Français" sur le présentateur vedette de TF1 qui présentait son dernier le 13h le même jour, avec 1,33 million soit 5,6% de part de marché, fait presque jeu égal avec "Le Grand concours des régions" la nouvelle émission de France 3 animée par Cyril Féraud et produite par Kitchen Factory qui n’a attitré qu’un petit 1,41 million de curieux, soit 6,6% du public.

Nouveau bide donc pour France 3 et la télé publique même si le retour de la série familiale sur France 2 le temps d'un épisode spécial est parvenue avec 23,3% de l'ensemble du public à détrôner TF1 qui avec le deuxième numéro de son jeu "District Z" produit par The Satisfaction Agency, la société de production d'Arthur qui ne réalise que 15,3% d’audience.