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mardi 24 juin 2014

France Télévisions : la tartufferie numérique ou la technique du trou...

France Télévisions : la tartufferie numérique ou la technique du trou.

C'est depuis l’été 2010 où Nicolas Sarkozy nommait Pflimlin à la tête de France Télévisions en remplacement de Carolis, que dure la tartufferie numérique. Pflimlin en nommant Patino à la tête du numérique et Chapellon son acolyte et pote à la tête de la filière de distribution du groupe FTD allait révolutionner la télé publique!!!!

Les pouvoirs publics, l’État actionnaire, la représentation nationale, les médias, la presse...et surtout le contribuable qui paie sa redevance télé allaient voir ce qu'ils allaient voir. Jamais téléspectateur n’aurait été aussi « connecté » ! Du vent tout ça.

A de très nombreuses reprises et documents à l’appui, le blog CGC Média a dénoncé cette parodie de «développement» que met à toutes les sauces le trio Pflimlin/Patino/Chapellon et que paient donc inexorablement les français.

L’enfumage ne prend plus. 

Après avoir écrit moult articles sur les contes (mais aussi les comptes) à dormir debout de Chapellon, Patino et Pflimlin, entre autres: 
- "Chapellon voudrait faire prendre des vessies pour des lanternes avec sa pseudo réorganisation" (22/01/14) 
"Effondrement des recettes à France Télé Distribution (près de 50% de moins) mais Chapellon  son PDG continue son Marathon aux licenciements !" (22/01/14) 
- "Séance d’hypnose collective à l’Assemblée Nationale, devant les parlementaires Pflimlin tord les chiffres comme Uri Geller les petites cuillers" (20/11/13)  
- "TV (France Télé), FTD (France Télé Distrib), FTP (France Télé Pub)...TFC : Tout Fout l' Camp!" (15/02/13)
-"France Télévisions  se moque de connaître le chiffre d’affaires de France télé Distribution (sic)" (01/02/13), etc....


Le blog CGC Média, après le dossier triptyque qu'avait réalisé "BFM.TV" sur le sujet, a lu avec le plus grand intérêt la dernière publication de "La Lettre A" intitulée "FTD: les mirages de Chapellon" 
 


L'article de la lettre professionnelle y indique comme l'a déjà fait à plusieurs reprises le blog CGC Média que "Les résultats de France Télévisions Distribution FTD, filiale du groupe audiovisuel public sont près de 100 fois moins importants que ceux annoncés par sa direction. [Yann Chapellon, ndlr]"

et d’ajouter "Mais où sont passés les 988.000 € de résultat de France Télévisions Distribution FTD que son PDG Yann Chapellon avait évoqué pour 2013 ? Car entre le quasi-million d'euros de bénéfice annoncé et les chiffres inscrits sur les documents du groupe, la différence est manifeste....Le résultat de la filiale de FTD spécialisé dans la commercialisation des programmes n'est en fait que de 12.558 € pour un chiffre d'affaires de 40 millions d'euros en 2013... "

Pour mémoire, voici ce qu’écrivait le blog CGC Média le 22 janvier dernier dans son article: "Effondrement des recettes à France Télé Distribution (près de 50% de moins) mais Chapellon  son PDG continue son Marathon aux licenciements !"

"Que pourrait encore bien raconter Chapellon aux médias pour masquer la dégringolade du chiffre d’affaire de la filiale commerciale qui depuis son arrivée ne cesse de s’effondrer :



FTD et FTP..même dégringolade.

 Le 20 décembre 2013, le blog CGC Média écrivait encore, concernant une des dernières « communication-propagande » des intéressés qui prétendaient fallacieusement que «Francetv éditions numériques avait atteint un nouveau record pour FTV News qui le hissait pour la première fois au 8ème rang avec 5,5 millions de vu »:  « "FTV News" n’a rien gagné du tout car "FTV News" n’existait pas et n’est bien évidement pas "FTVInfo" mais un vocable ad’hoc composé comme il est inscrit en tout petit dans le coin droit du document, d’un agglomérat de divers sites. »

Exactement, redisons-le ce que l’enquête triptyque de BFM-TV (*) dénonçait il y a peu, avec le constat que faisait le blog CGC Média: « France télévisions additionne les torchons et les serviettes numériques pour proclamer un leadership que tous les autres acteurs du secteur lui contestent. »

Voici ce qu'écrivait le blog CGC Média " FTV News est donc une invention des dernière minute et ne peut avoir progressé de quoi que ce soit, c’est évident…sauf à comparer des choux et des carottes mis dans une recette de potée étrange et glissée dans un "tableau repeint" en toute hâte.... "

(*) L'enquête de BFM-TV en trois volets :




BFM-TV sur ce dernier volet d’ajouter "En pratique, France télévisions a choisi de regrouper ses divers sites (info, rattrapage, France 2, France 3, France 4, France 5, France Ô...) sous une seule marque. Inversement, TF1 a préféré éclater son audience entre 10 marques différentes (MyTF1, MyTF1 News, Wat, Metro, Eurosport, HD1, Histoire, TV Breizh, TMC et NT1). Concrètement, les six chaînes du service public sont regroupées sous l'unique marque France télévisions tandis que les six chaînes du groupe TF1 sont sous six marques différentes..."


BFM-TV d’écrire de concert « le procédé consiste à faire passer pour une innovation de l'ère Patino ce qui est une antiquité du web habilement récupérée. » 

Le blog CGC Média écrivait à ce sujet  pour sa part "Patino s'approprie notamment les sites historiques « francetv.fr » (France 2.fr ? France3.fr, etc…) et de « régions » dont il n'est absolument pas à l’origine mais également « Culturebox » et des sites de «magazines d’info», de « météo et services », de « forums » dont pour certains il n’est pas non plus à l’origine, qu'il agrège aux piètres résultats de « francetvinfo » pour faire croire qu'il aurait tout révolutionné alors qu'il n'en est rien !!!!


La question essentiel de cette méga supercherie, le blog CGC Média la pose depuis près de 4 ans "Et la télé dans tout ça ?????"   
BFM.TV la pose tout autant "Les responsables de ce grand Barnum numérique ont même choisi de lancer un site (sur fonds publics, concurrence peu loyale et dénoncée avec justesse alors par les investisseurs privés), Francetvinfo, en renonçant à le financer par de la publicité.


"Nous avons fait ce choix afin de ne pas déstabiliser un marché fragile, celui des sites de presse", déclare ainsi Laurent Frisch, directeur des Éditions Numériques de France télévisions.

C'est bien généreux de leur part, mais à l'arrivée, c'est de l'investissement à fonds perdus. Gabegie ou pas ?

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