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mercredi 17 octobre 2018

Voilà Emmanuel Macron prévenu (à moins que ce ne soit débordé !)….la grande réforme de l’audiovisuel qu’il souhaitait, il va falloir faire une croix dessus !


Voilà Emmanuel Macron prévenu (à moins que ce ne soit débordé !)….la grande réforme de l’audiovisuel qu’il souhaitait, il va falloir faire une croix dessus !

Le blog CGC Média qui postait, un peu plus tôt, un article intitulé « Philippe Bailly de NPA au service d’Ernotte comme de Franck Riester ! » prend acte des déclarations de Philippe Bailly (NPA Conseil) qui conseillait Pflimlin comme l’ex Orange depuis son parachutage et qui pousse à présent sans retenue Aurore Bergé (*) 

A peine Franck Riester nommé ministre de la Culture par Edouard Philippe que le même Philippe Bailly explique ce 17 octobre sur les réseaux sociaux via « Pourquoi Franck Riester précisera bientôt les contours de la réforme audiovisuelle »

Aurore Bergé et Pierre-Yves Bournazel en sont les héros….certains expliquent en coulisses que le projet pourrait arriver en janvier (aux alentours du 15) à l’Assemblée Nationalel’Élysée n’aurait d’autre choix que de valider la description qu’en fait Philippe Bailly autoproclamée porte-parole du ministre !  

Voilà ce qu’en dit l’intéressé contredisant au passage sans vergogne les positions du Chef de l’État, notamment sur la non-augmentation des impôts donc de la taxe audiovisuelle (ex redevance): 

« S’agissant du financement du service public, Franck Riester pourra s’appuyer sur un large éventail de propositions, au-delà du soutien unanime à l’universalisation de la CAP (ex redevance) : du rétablissement – temporaire ? – de la publicité sur France Télévisions, préconisé à titre personnel par le président de la Mission d’information sur une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle à l'ère numérique Pierre-Yves Bournazel (député UDI de Paris), à la suppression totale de la publicité sur les ondes du service public (Jean-Pierre Leleux), en passant par sa prohibition des antennes de Radio France et de France 5 (Aurore Bergé).


Le nouveau ministre semble plutôt pencher du côté de ces derniers: « il faut circonscrire la publicité à quelques niches comme les événements sportifs, déclarait-il dans Le Monde en décembre 2017. A service public, financement public, à secteur privé, financement privé. In fine, le financement de l’audiovisuel public devra se concentrer sur une redevance universelle et sur la diversification des ressources hors publicité. »


Les recommandations sont plus rares concernant la gouvernance de l’audiovisuel public. Au moins Franck Riester pourra-t-il se reporter à l’amendement qu’il avait cosigné en 2013, qui proposait de « confier le pouvoir de nomination des dirigeants du secteur public de la communication audiovisuelle à une institution dans laquelle seraient représentés les territoires et la société civile, le Haut Conseil de l’audiovisuel public ». 


L’an dernier, il se prononçait par ailleurs pour la création d’une « BBC à la française (regroupant les) entités de l’audiovisuel public au sein d’un média global (en vue de) recentrer les moyens sur les contenus grâce aux synergies mises en œuvre au niveau des fonctions supports ».En plus de ses convictions propres, Franck Riester disposera sur l’ensemble de ces sujets de positions argumentées pouvant contribuer à ses propres arbitrages.

Ce n'est pas Franck Riester qu'il aurait dû nommer à la Culture mais son "porte-parole" Philippe Bailly !

Il la voit comment l’échéance 2022 Emmanuel Macron avec tout ça ?
 


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