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vendredi 12 avril 2019

Certains indéfectibles suppôts de France Télés tout acquis à la direction, tentent de minimiser les affaires de harcèlement sexuel en harcèlement moral.


Certains indéfectibles suppôts de France Télés tout acquis  à la direction, tentent de minimiser les affaires de harcèlement sexuel en harcèlement moral.

Bien que ni l’autre ne soient évidemment excusables et n’en demeurent pas moins des délits au sens de la loi, certains indéfectibles suppôts de France Télés tout acquis la direction, tentent de minimiser les affaires de harcèlement sexuel (récemment révélées dans les media) en tentant de les faire passer pour une forme de harcèlement moral harcèlement moral.

Outre que celles et ceux qui procèdent ainsi sont à vomir, la chappe de plomb qui a été déposée sur ce que la Presse a révélé (*) et qui s’est passé au sein de franceinfo : - bien vainement, il faut le dire – n’est en rien ni de près ni de loin une soi-disant forme de harcèlement moral ! 
N’en déplaise à cette fange nauséabonde qui dans l’entreprise tente de le faire croire.

Rappel sur ce qu’en écrivait par exemple l’Express ; le 8 avril dernier, dans son article sans équivoque signé Audrey Kucinskas « Atmosphère délétère à Franceinfo : des étudiants avaient alerté le CFJ » :

« Trois journalistes du site Web de Franceinfo ont été sanctionnés pour leur comportement envers de jeunes recrues. Depuis, les écoles de journalisme enquêtent…

Alors que deux enquêtes - de Libération et de L'Express - révèlent les comportements "inappropriés" de trois journalistes du site de Franceinfo hébergé par France Télévisions, l'un d'eux a été licencié pour faute grave. Le trentenaire a notamment embrassé de force une journaliste précaire, et fait des avances appuyées auprès de stagiaires ou d'apprenties. Les deux autres ont été mis à pied, officiellement pour ne pas être intervenus, mais sont en filigrane accusés d'avoir contribué à perpétuer cette atmosphère toxique de "boy's club." 

Au vu de ces éléments, les écoles de journalisme, soucieuses de protéger leurs étudiants, tentent aujourd'hui d'en savoir plus. Sciences Po Paris a ainsi annoncé qu'une enquête interne allait être diligentée : les trois journalistes visés sont en effet tous intervenus au sein de l'école de journalisme (leurs cours se sont toutefois terminés avant l'exposition médiatique de l'affaire)…

Les étudiants avertis en amont dès 2017. Du côté de l'École supérieure de journalisme [ESJ] de Lille, la direction affirme à L'Express que les apprentis passés par Franceinfo sont actuellement en train d'être contactés pour savoir s'ils ont été victimes du même type d'agissements, mais n'indique pas si elle a déjà reçu des signalements par le passé. 

Samedi, la direction affirmait s'être exprimée devant ses étudiants afin de condamner ces comportements et d'expliquer que les personnes impliquées dans des affaires de harcèlement ne seraient plus invités à intervenir au sein de l'établissement. 

Au Centre de formation des journalistes [CFJ], on a eu vent dès 2017 d'une certaine atmosphère délétère régnant dans la rédaction de Franceinfo. Il y a deux ans, des étudiants du CFJ ont alerté la direction de leur école afin de signaler des problèmes de comportement au sein de Franceinfo…

S'il n'y a pas eu de communication interne faite à tous les étudiants du CFJ, les élèves intéressés par un stage chez Franceinfo sont toutefois prévenus en amont, et ce depuis 2017, qu'ils risquent de s'exposer à un climat compliqué [C’est un moindre mot, ndlr]…

Le blog CGC Média, à plusieurs reprises et encore dernièrement dans son article « La ligue du Lol...panique àFrance Télés suite notamment aux articles sur Doligé » a dénoncé à maintes reprises les postures indignées de la direction face aux media sur l’air bidon de « personne n’était au courant » mais qui ne sont prises que lorsque les faits sont découverts au grand jour.

Le blog CGC Média qui avait récemment relayé l'annonce du site « @FallaitPasSupprimer » relatant que l’un des protagonistes de l’affaire du Boy’s club de franceinfo : un certain Thibaud Vuitton avait supprimés près de 7.000 tweets et autres  traces sur la toile - ce qui constitue une infraction aux termes de la loi – au moment où « @FallaitPasSupprimer » qui s’était aussi penché sur le cas Doligé précisait qu’Emery Doligé donc ce très proche conseiller du tandem de féministes auto proclamées Soyeux Ernotte   (@EmeryDolige...) avait passé, lui, son Twitter au karcher... @deedeeparis @Lucile_Reynard #ligueduLOL #laLiguedulol en effaçant pour sa part plus de 4.000 tweets, ne peut que constater l’ampleur des dégâts.

L’occulte conseiller/conseilleur ernottien, omniscient et omniprésent dans les locaux du Siège de France Télés, a eu beau supprimer et encore supprimer, ses frasques demeurent.

La direction de France Télés qui n’imaginait probablement pas qu’un titre de Presse puisse écrire sur Doligé, aura du mal à expliquer les copies d’écran que le blog CGC publie régulièrement et n’a pas fini de publier pour expliquer les agissements de cet individu qui se targue d’aimer le mot PERVERS ou encore organise des CONCOURS DE TEE-SHIRTS MOUILLÉS  que Pinterest a encore en mémoire (ci-après, lire l’article 10)





C’est la direction de France Télés que l’actionnaire devrait sanctionner très prochainement qui est la première responsable…d’avoir laissé passer tant de choses mais surtout d’avoir laissé le sulfureux Doligé et à certains autres agir à leur guise se croyant tout permis !



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