Certains indéfectibles
suppôts de France Télés tout acquis à la direction, tentent de minimiser les
affaires de harcèlement sexuel en harcèlement moral.
Bien que ni l’autre ne
soient évidemment excusables et n’en demeurent pas moins des délits au sens de
la loi, certains indéfectibles suppôts de France Télés tout acquis la
direction, tentent de minimiser les affaires de harcèlement sexuel (récemment
révélées dans les media) en tentant de les faire passer pour une forme de
harcèlement moral harcèlement moral.
Outre que celles et ceux
qui procèdent ainsi sont à vomir, la chappe de plomb qui a été déposée sur ce que la Presse a
révélé (*)
et qui s’est passé au sein de franceinfo : - bien vainement, il
faut le dire – n’est en rien ni de près ni de loin une soi-disant forme de harcèlement
moral !
N’en déplaise à cette
fange nauséabonde qui dans l’entreprise tente de le faire croire.
Rappel sur ce qu’en
écrivait par exemple l’Express ; le 8 avril dernier, dans son article sans
équivoque signé Audrey Kucinskas « Atmosphère délétère à Franceinfo : des étudiants
avaient alerté le CFJ » :
« Trois journalistes du
site Web de Franceinfo ont été sanctionnés pour leur comportement envers de
jeunes recrues. Depuis, les écoles de journalisme enquêtent…
Alors que deux enquêtes - de Libération et de L'Express - révèlent
les comportements "inappropriés" de trois journalistes du site de
Franceinfo hébergé par France Télévisions, l'un d'eux a été licencié pour
faute grave. Le trentenaire a notamment embrassé de force une journaliste
précaire, et fait des avances appuyées auprès de stagiaires ou d'apprenties.
Les deux autres ont été mis à pied, officiellement pour ne pas être intervenus,
mais sont en filigrane accusés d'avoir contribué à perpétuer cette atmosphère
toxique de "boy's club."
Au vu de ces éléments, les
écoles de journalisme, soucieuses de protéger leurs étudiants, tentent
aujourd'hui d'en savoir plus. Sciences Po Paris a ainsi annoncé qu'une enquête
interne allait être diligentée : les trois journalistes visés
sont en effet tous intervenus au sein de l'école de journalisme (leurs
cours se sont toutefois terminés avant l'exposition médiatique de l'affaire)…
Les étudiants avertis en
amont dès 2017. Du côté de l'École supérieure de journalisme [ESJ] de Lille, la
direction affirme à L'Express que les apprentis passés par Franceinfo sont
actuellement en train d'être contactés pour savoir s'ils ont été victimes du
même type d'agissements, mais n'indique pas si elle a déjà reçu des
signalements par le passé.
Samedi, la direction
affirmait s'être exprimée devant ses étudiants afin de condamner ces comportements
et d'expliquer que les personnes impliquées dans des affaires de harcèlement
ne seraient plus invités à intervenir au sein de l'établissement.
Au Centre de formation des
journalistes [CFJ], on a eu vent dès 2017 d'une certaine atmosphère délétère
régnant dans la rédaction de Franceinfo. Il y a deux ans, des étudiants du CFJ
ont alerté la direction de leur école afin de signaler des problèmes de
comportement au sein de Franceinfo…
S'il n'y a pas eu de
communication interne faite à tous les étudiants du CFJ, les élèves intéressés
par un stage chez Franceinfo sont toutefois prévenus en amont, et ce depuis
2017, qu'ils risquent de s'exposer à un climat compliqué [C’est un moindre mot,
ndlr]…
Le blog CGC Média, à
plusieurs reprises et encore dernièrement dans son article « La ligue du Lol...panique
àFrance Télés suite notamment aux articles sur Doligé » a dénoncé à maintes reprises les postures
indignées de la direction face aux media sur l’air bidon de « personne
n’était au courant » mais qui ne sont prises que lorsque les faits
sont découverts au grand jour.
Le blog CGC Média qui
avait récemment relayé l'annonce du site « @FallaitPasSupprimer » relatant que l’un des
protagonistes de l’affaire du Boy’s club de franceinfo : un certain Thibaud Vuitton avait
supprimés près de 7.000 tweets et autres
traces sur la toile - ce qui constitue
une infraction aux termes de la loi – au moment où « @FallaitPasSupprimer » qui s’était aussi penché sur le
cas Doligé précisait qu’Emery
Doligé donc ce très proche conseiller du tandem de féministes auto
proclamées Soyeux Ernotte (@EmeryDolige...) avait passé, lui, son
Twitter au karcher... @deedeeparis @Lucile_Reynard
#ligueduLOL #laLiguedulol en effaçant pour sa part plus
de 4.000 tweets, ne peut que constater l’ampleur des dégâts.
L’occulte
conseiller/conseilleur ernottien, omniscient et omniprésent dans
les locaux du Siège de France Télés, a eu beau supprimer et encore supprimer, ses
frasques demeurent.
La direction
de France Télés qui n’imaginait probablement pas qu’un titre de Presse puisse
écrire sur Doligé, aura du mal à expliquer les copies
d’écran que le blog CGC publie régulièrement et n’a pas fini de publier
pour expliquer les agissements de cet individu qui se targue d’aimer le mot
PERVERS ou encore organise des CONCOURS DE TEE-SHIRTS MOUILLÉS que
Pinterest a encore en mémoire (ci-après,
lire l’article 10)
C’est la direction de France Télés que l’actionnaire devrait
sanctionner très prochainement qui est la première responsable…d’avoir laissé
passer tant de choses mais surtout d’avoir laissé le sulfureux Doligé et à
certains autres agir à leur guise se croyant tout permis !
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