Contactez-nous!

Par téléphone au 06.14.06.44.36 ou par mail en Cliquant Ici!

samedi 24 septembre 2016

"L'arrogance de l'impunité"...la télé, Patrick Buisson et Camille Pascal les conseillers de Sarkozy, Houzelot, le CSA sous Boyon..explications d'un scandale d’État

"L'arrogance de l'impunité"... que dénonce dans l'Audiovisuel Didier Maïsto le patron de Sud Radio, fait froid dans le dos.


Que chacun prenne 30 minutes de son temps et ne passe pas à côté de l'émission  que diffusait "TV Libertés"(cliquez sur le lien pour ouvrir) s'agissant de ce qu'une large majorité de spécialistes du secteur audiovisuel qualifient aujourd’hui de "Scandale d’État" du nom des 2 livres de Didier Maïsto et qui fait heureusement toujours l'objet de procédures notamment devant le Parlement.
Voici les quelques lignes de lancement du site:

"Le 18 octobre 2011, il dépose devant le CSA, présidé par Michel Boyon, un dossier de candidature solide et financé pour obtenir un canal de la TNT.

Malgré de belles promesses, Didier Maïsto apprend rapidement qu’il participe à une farce : avant même le jour de clôture officielle des dépôts, on connaît déjà la liste des heureux gagnants. Les jeux sont faits ! Le projet du groupe Fiducial est rejeté au profit de chaînes vides et financièrement fragiles.


Didier Maïsto découvre un monde aux escroqueries sophistiquées, où de hautes autorités indépendantes sont en fait liées au pouvoir politique, où la télévision française est entre no man’s land et mafia d’État. En but à de nombreuses attaques jusqu’aux pages du Figaro, le président de Sud Radio a accepté de venir s’exprimer sur TV Libertés.


Didier Maïsto dirige une radio “classique” dont les codes conventionnels sont éloignés de TV Libertés. Cependant, c’est avec force, courage et même un certain panache qu’il s’attaque aux puissants et qu’il dénonce, à travers la TNT, un véritable scandale d’État."

vendredi 23 septembre 2016

Première mise à pied sur "franceinfo:" !

Selon nos informations, la journaliste qui avait très récemment sans même utiliser le conditionnel "annoncé 'une prise d'otage en cours à Paris" (franceinfo: allant jusqu'à diffuser l'interview de la cliente d'un salon de coiffure et lui conseillant de rester à l'abri !)  viendrait d'être mise à pied.

Rappelons que cet incident avait été le point de départ d'une lettre des journalistes de Radio France indiquant  "la radio n'a pas fait cette erreur parce qu'elle a pris le temps de vérifier l'information" et ajoutant  "il est inenvisageable que la télé ou le site internet qui portent le nom de la radio continuent de diffuser des informations contradictoires avec l'antenne radio, voire carrément non vérifiées."

Ce dernier rebondissement n'est que l'un des très nombreux soubresauts qui agitent depuis son lancement "franceinfo:"...il se murmure déjà en coulisses que plusieurs autres collaborateurs seraient déjà sur la sellette... 

c'est dans un tel contexte que SDJ écrivait au sujet d'un communiqué publié il y a quelques jours la veille  "Quant au terme STO qui en a choqué plus d’un, en revanche la SDJ maintient sa position : que la participation des journalistes de France 3 se fasse sur la base du volontariat. 
Depuis la direction a précisé que des sanctions seront envisagées envers les récalcitrants. Il s’agirait d’un refus de travail qui pourrait aller, en théorie, jusqu’à l’exclusion !"
 

Jean-Marc Morandini déféré devant le procureur !



Jean-Marc Morandini déféré devant le procureur !

Il semble selon nos informations que Jean-Marc Morandini ait été, ce vendredi matin, déféré devant le procureur à des fins de mise en examen. 

L'animateur était en garde à vue depuis 48 heures dans le cadre de l'enquête pour "corruption de mineurs" ouverte après les révélations sur les castings de sa websérie "Les faucons". Entendu depuis mercredi matin dans les locaux du service spécialisé de la PJ de Paris dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris pour « corruption de mineurs », il devrait donc être  présenté à un juge d'instruction dans le courant de la journée.

Ce même jour avait lieu une perquisition à son domicile mercredi.

L’ex Orange parviendra-t-elle à tuer la télé publique sous Hollande, face à « une mobilisation inédite » qui enfle?



L’ex Orange parviendra-t-elle à tuer la télé publique sous Hollande, face à « une mobilisation inédite » qui enfle?

Le ras-le bol est à présent général. Les « Pingaud’s twins » remontent les salariés les uns derrière les autres quelle que soit leur société de rattachement.  

La question se pose de plus en plus : qui aura la peau de l’autre ? 

Il y a deux jours, « La Croix » publiait un article au titre plus que parlant « Grand malaise à la rédaction de la radio France info ». 

Ils sont donc de plus en plus nombreux les journalistes de Radio France comme de France Télévisions, à unir leur voix avec celles de la soixantaine de journalistes de la « Maison Ronde » qui ont voté, il y a peu, une « motion pour alerter la direction »


« Ils craignent notamment de perdre leur crédibilité à cause d’informations qu’ils jugent « non vérifiées » diffusées sur la chaîne et le site qui portent leur nom. 

Le nouveau média « franceinfo : » est dans la tourmente. Un conflit sur le recours à des journalistes multitâches (texte et montage vidéo) pour la chaîne d’info publique… [pour lequel] FO et la CGT (mais pas le SNJ) un accord avec la direction de France Télévisions » fut le premier épisode d’une probable longue série.   

« Un autre front s’est ouvert lundi 19 septembre 2016 à la Radio France Info. Une soixantaine de journalistes (sur environ 130), dont plusieurs rédacteurs en chef et la majorité des chefs de service, ont signé une « motion » intitulée « la naissance de « franceinfo » met en danger la crédibilité de notre station ». 

Les signataires ont afflué après un épisode survenu samedi 17 septembre. 

« À 16 h 30, la chaîne « franceinfo : » annonçait, sans employer le conditionnel, qu’une prise d’otages était en train de se dérouler dans l’église Saint-Leu à Paris, sur la base du témoignage d’une commerçante du quartier citant les réseaux sociaux », détaille Celia Quilleret, déléguée du personnel du Syndical national des journalistes (SNJ). Un quart d’heure plus tard, nous démentions sur la radio la rumeur d’une prise d’otages, en parlant de fausse alerte ». Sans être repris par la chaîne. 

« Peur de perdre nos sources »

« Nous avons déjà relevé de nombreux exemples d’incohérence éditoriale entre les informations données sur notre radio et celles circulant sur la chaîne et le site « franceinfo : », poursuit la journaliste. Mais, là, nous craignons de perdre notre crédibilité. Plusieurs sources ont alerté des journalistes qu’ils pourraient cesser de leur donner des informations, si le site et la chaîne du même nom traitaient le même sujet de façon erronée ». 

« Nous avons développé sur notre radio une culture de précaution, de vérification, à laquelle nous tenons et qui s’est encore renforcée » après les attentats de janvier 2015, confie un autre journaliste signataire. Lors de l’attentat du 13 novembre, nous avions bloqué beaucoup d’informations en attendant de les vérifier. Et les faits nous ont donné raison ». Une « agence de vérification », créée au sein de la radio, devait être le « centre névralgique » de la radio, de la télévision et du site « franceinfo ». Or ce ne serait pas le cas selon des journalistes de la station. 

 « Le vrai problème, c’est le nom.  Nous ne sommes pas cohérents avec nous-même puisque nous ne diffusons pas les mêmes infos sur la radio, la télévision et le site du même nom !, résume Celia Quilleret. 

Notre grand souci est de sauver la crédibilité de notre station. Il y a une grande inquiétude. Et notre mobilisation est inédite ».

À cette fin, les journalistes signataires demandent « une plus grande coordination et davantage de mainmise éditoriale de la radio sur le site et la télévision ». Ils souhaitent aussi « une présence réelle » des contenus de la radio sur le site et l’application « franceinfo ». Précisons que la Radio France Info ne dispose plus de site spécifique depuis la fin août, et que ses contenus sont peu repris, selon la rédaction, sur le site commun avec France Télévisions.

D’autres dispositions portent sur les modalités d’une contribution des journalistes de la radio à la chaîne de télévision (droit à l’image et pige rémunérée pour un travail supplémentaire)… 

Plusieurs journalistes soulignent que les rédactions de Radio France et de France Télévisions ne disposent d’aucun moyen pour se parler directement. Il est surtout prévu que leurs responsables puissent se concerter en cas de conflit important.

Les signataires de la motion…souhaitent qu’un processus d’harmonisation puisse s’engager pour que « toutes les antennes parlent d’une même voix ». Les différentes directions (radio, chaîne et site) ont fait savoir que des groupes de travail, avec recueil des suggestions des salariés, seraient prochainement mis en place. Mettront-ils rapidement et suffisamment d’huile dans les rouages de franceinfo ? »

jeudi 22 septembre 2016

Field a toujours une explication: "il voulait entre autres, éviter d'être instrumentalisé par le clan Copé" selon la CFDT qui persite et signe. .


Ce mercredi 21 septembre, la Commission déontologie journalistes se réunissait  à France Télé.

Dans leur dernière publication sur le sujet intitulée "La Commission déontologie journalistes: Michel Field a toujours une explication...", la CFDT met de nouveau les pieds dans le plat (pendant ce temps fo continue de publier ses papiers de soutien au couple Field/Ernotte)

Le blog CGC Média vous propose de découvrir le papier de la CFDT. 

La réunion de ce 21 septembre s'ouvre sur le constat d'une absence de documents qui doivent pourtant nous être fournis préalablement par la direction, notamment concernant les collaborations extérieures.

Saisi par la CFDT sur les récents événements de l'été le concernant, Michel Field le Directeur de l'Information du groupe France Télévisions, nous explique que nos critiques sont basées sur des présentations de faits incomplets ou biaisés.

Pour mémoire voici la liste de questions que nous avons fait parvenir en amont de la réunion:

"1- Dans le cadre de "l'affaire Bygmalion Envoyé Spécial":
- Quels ont été les échanges entre la direction de l'information et Nicolas Sarkozy et son entourage ?
-   Quelles ont été les demandes de l'entourage de N Sarkozy ?
-   Quelles réponses ont été apportées à ces demandes ?
-   Quelles ont été les répercussions sur Envoyé Spécial ?
- Quelles ont été les demandes de la Direction de l'Information concernant la programmation et le contenu d'Envoyé Spécial et sous quelles forme, oral, mail, en réunion?

2 - Une demande en interne de déprogrammation d'une enquête après une intervention d'un homme politique est-ce une procédure normale ? Que compte faire la direction pour sécuriser le travail des magazines et des journalistes d'investigation ?

3 - Le 7 juillet dernier avait lieu la remise des prix du concours général de l'éducation nationale au ministère du même nom. Cette cérémonie officielle était animée par le directeur lui-même de l'information de France Télévisions. Il s'agit donc du Directeur de l'information d'un groupe audiovisuel public qui fait "un ménage" dans un ministère en dépit de toute élémentaire prudence dans une année électorale et au mépris de toute règle déontologique dont il est censé être le garant:
- Est-ce normal ?
- Cette "collaboration extérieure" a-t-elle fait l'objet d'une demande auprès de son supérieur hiérarchique.
- Le Canard enchaîné affirme que cette collaboration est en fait une prestation rémunérée, et facturée par le biais d'une société 6.000 euros TTC ? Est-ce vrai ? Si oui est-ce une pratique normal pour un directeur de l'information ? Si oui quelles suites la direction et la présidence comptent-elles donner à cela ?
- Si les affirmations du Canard Enchaîné sont fausses, la direction et le Directeur de L'information comptent-ils donner une suite en diffamation à cette affaire qui nuit à l'image de France Télévisions et met l'ensemble des rédactions en porte à faux surtout dans une année électorale...

4 - Y-a-t-il des règles déontologiques et de bon sens à respecter pour les 2700 journalistes de France Télévisions, et des règles différentes pour le Directeur de l'Information ?"

Le Directeur de l'Information ne répond pas point par point mais en 2 parties et précise à plusieurs reprises qu'il pense être l'objet d'une campagne de déstabilisation visant sa personne
depuis plusieurs mois. Bref, on lui en veut...

Concernant "l'affaire du magazine d'Envoyé Spécial sur Bygmalion", il affirme que jamais il n'y a eu volonté de sa part de censure.  
Simplement une incompréhension entre les équipes d'Envoyé Spécial et lui, flute, on avait pas pensé à cette hypothèse. 
En effet, en juin une réunion avait calé les dates de programmation d'ES et Michel Field était persuadé, qu'après débat, tout le monde était tombé d'accord pour une diffusion du magazine après les primaires des Républicains, en gros en décembre sauf en cas d'actualité sur le dossier... 
En fait c'est aussi bête que ça ! Les équipes d’Élise Lucet et celles de Michel Field ont pensé chacune être d'accord mais sur des choses différentes... Y avait vraiment pas de quoi en faire tout une histoire. Quant aux mails qu'aurait envoyés M. Field pour évacuer le sujet et sauver la participation de Nicolas Sarkozy aux émissions politiques, pure invention! 

A la limite Michel Field reconnaît qu'il a "mal géré" le dossier et surtout s'en prend au Canard Enchaîné, qualifié de journal "malveillant".  

"Je voulais éviter aussi que l'on se fasse instrumentaliser par le clan Copé..." Vu que l'intervenant fort du sujet, organisateur des meetings de N. Sarkozy en 2012, serait un proche de Copé.

Et alors? Lui rétorque-t-on, pour sortir des infos, ils faut des informateurs qui ont des intérêts à communiquer ces infos, ça n'est pas nouveau. Notre boulot, c'est de vérifier des infos et de les sortir et non pas de les déprogrammer ou de les étouffer par souci d'extrême neutralité...

Notons par ailleurs que les magazines ont une indépendance de programmation de façon à ce qu'aucune manipulation ou pression ne puisse être suspectée.
Enfin bref, ce que finalement Michel Field semble le plus regretter, c'est surtout "que cette affaire soit sortie sur la place publique, grâce à des informateurs de l'intérieur, dans un journal malveillant..."
La CFDT, lui a rappelé que France Télévisions était de tout temps une maison de verre contrairement à des ambiances plus feutrées, chez Bouygues ou Lagardère qu'il connait bien. Qu'on ne trouvait finalement pas anormal que les contribuables qui paient la redevance soient informés de ce qui se passe en interne en temps réel quand cela est important. 
 Qu'enfin nous avons la chance de vivre encore dans un pays aux médias pluriel, et qu'on peut trouver son bonheur à travailler à la Chaine Histoire aux côtés de Patrick Buisson, comme l'a fait Michel Field plusieurs années, et se faire épingler par le Canard Enchaîné, un rouage important de la démocratie et qui ne publie pas tous les jours de "fausses informations", que d'ailleurs Michel Field n'a toujours pas démenties...

Après toute cette mousse rappelons que finalement, à l'issue d'un bras de fer, le sujet d'EnvoyéSpécial sur l'affaire Bygmalion est programmé comme prévu le 29 septembre.
Concernant le dossier de son "ménage" au ministère de l'éducation nationale à l'occasion de la remise des prix du concours général, Michel Field s'est montré encore plus virulent.  
Là encore, vociférant contre le Canard Enchaîné, qui publierait de fausses informations sur le sujet.  
Bon d'accord mais lesquelles? L'animation de ce débat ? Michel Field le reconnaît, il l'a fait, "comme je le fais depuis 8 ans et j'ai demandé à Delphine Ernotte l'autorisation d'ailleurs". B
on, comme nous n'avons pas les documents ad hoc, une fois encore il faudra croire notre Directeur de l'Information, non sur des faits mais sur parole... 
Quant au paiement avancé par le Canard Enchaîné - 5000€ - pour Michel Field "C'est faux ! Je l'ai fait gracieusement".  
Pourtant "Le Canard", sûr de ses sources, maintient que la veille encore de l'événement, une facturation était en route...
Michel Field regrette que le journal ne l'ai pas appelé pour vérifier en direct les informations... Nous lui faisons remarquer qu'un démenti argumenté aurait suffi à éteindre l'affaire, ce que chacun dans son bon droit ferait immédiatement, mais pas lui car il y avait à cette époque les attentats de Nice, "cela aurait été déplacé".
Suite au prochain épisode...

Visiblement les mauvaises habitudes des journaux de France 2, notamment du 20h ont la vie dure... Plusieurs sujets commandés avec des angles prédéfinis et des a priori comme "Rennes épicentre de la violence des manif", alors qu'on ne comptait en tout que 6 vitrines cassées. N'empêche la rédaction en chef a quand même acheté une image de bris de vitrine au marteau à i-télé et agrégé des images difficilement sourçables sur internet... Pour finalement "boutiquer" un sujet.

En Guadeloupe, notons ce magnifique geste pour le pluralisme du rédacteur en chef... Une équipe en reportage refuse de faire une interview du Président de Région, malgré ses demandes répétées, car ce n'était pas dans l'angle de son sujet. Qu'importe, à son retour, une autre équipe est partie en sens inverse pour accéder aux désirs de l'édile. Une pratique courante ? On ne sait pas. Le Directeur de l'Information du réseau Outremer 1ère non plus d'ailleurs, car Stéfane Bijou au moment de la réunion, n'était pas au courant de cette péripétie, alors même que nos collègues du SNJ ont eu le temps de publier un tract sur le sujet... Un problème de messagerie sans doute, c'est vraiment trop bête. Heureusement, entre la Région Guadeloupe et la rédaction en Chef, la communication fonctionne parfaitement. Et bien mieux qu'avec Paris, c'est rassurant...

Concernant les commentaires qui ont fait réagir, notamment le CRAN, à l'occasion de la cérémonie d'ouverture des JO de Rio, le Directeur de la rédaction des Sports Pascal Golomer, précise qu'il s'agit d'une maladresse mais que ce qui a été repris dans la presse est incomplet car, dans la même phrase, les commentateurs ont rectifié de façon à ne pas laisser penser qu'ils soutenaient des thèses, esclavagistes notamment... précision: un message d'excuses de FTV à été publié dès le lendemain de ce commentaire.

A propos de l'attentat de Nice et de la diffusion à chaud d'une interview d'un homme devant le cadavre d'une victime, qu'il présentait comme celui de sa femme, Michel Field reconnaît une erreur dans la chaine de validation de cette information. 

Erreur qui a valu des excuses d'ailleurs dès le lendemain encore.

Enfin, des problèmes commencent à apparaître concernant le web et la Chaine info: 
- harmonisation entre la TV et la radio qui parfois ne traitent pas de la même manière une information (ex: fausse alerte attentat de Paris)
- problème de la diffusion sur la chaîne Info et le web de cette discussion, entre 2 femmes, une voilée, l'autre non, à Nice,
- l'incitation à l'utilisation de Facebook et les droits moraux et patrimoniaux des journalistes.
- les changements dans les pratiques que cela pourrait entraîner ainsi que le flou dans le qui fait quoi ?

A notre demande, une prochaine réunion sera calée pour évoquer les pratiques sur le web et  plus spécifiquement ces deux aspects."