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jeudi 23 mars 2023

Vu d'ICI, combien de postes supprimés et d'argent public claqué avec ces radio filmées en régions ?

Vu d'ICI, combien de postes supprimés et d'argent public claqué avec ces radio filmées en régions dont la sous-traitance est déjà actée ?

Il s'agit bien, en effet comme l'explique Nathalie André de "Matinales filmées" dans les studios des radios du réseau Bleu de Radio France qui passent ainsi de l'audio à la vidéo ! Une plus-value dont peu de Français n'ont pas encore idée !! 

Un constat dont se félicitait celle qui avait dû quitter France Télévisions en 2016 après 5 ans seulement de collaboration et qui fait donc son retour aujourd'hui par le biais de la radio publique où elle occupe le poste de "directrice des programmes de France Bleu".

Le 1er février dernier, invitée de France Bleu Normandie à l'occasion de la première matinale filmée sur France 3 Normandie, cette dernière déclarait : "Vous pouvez désormais nous regarder du lundi au vendredi de 7h à 9h à la télévision." ...et d'ajouter "Faire travailler ensemble la radio et la télévision, deux médias très différents, ce n'est pas simple. C'est compliqué parce que ça n'existe pas vraiment. Ça existe dans d'autres pays européens, mais c'est la première fois qu'on le fait en France".

"La radio à la télé, une première en France"? Non mais où la nouvelle recrue de Radio France a-t-elle pêché ça ? 

Puis de tenter de justifier tant bien que mal cette immense innovation "Les deux médias jouent la complémentarité et c'est visible notamment pour valoriser le patrimoine local. "Ce qui est très agréable quand on regarde les images de France 3, c'est le travail qu'on fait ensemble sur toutes les images du patrimoine français. Et France Bleu est une radio de proximité où on parle beaucoup du patrimoine. Et tout à coup, en regardant ce matin la matinale de France Bleu Normandie, on découvre plein d'endroits avec de belles les images. On se balade. Et c'est la richesse des images de France 3"!

Le reste de son propos se veux clin d’œil  "Désormais, vous pourrez mettre un visage sur les voix et les noms que vous entendez tous les matins sur France Bleu Normandie" mais la chute fait vite comprendre que c’est tout de même, raz des pâquerettes "Messieurs, vous allez signer des autographes, peut-être en allant faire vos courses chez vous. Ce n'est pas si désagréable".

Au secours...

Une question va pourtant se poser...en dépit des bobards sur les économies d'échelle que cette supposée synergie allait soi-disant apporter comme l'a prétendu le tandem Veil/Ernotte et ce alors même que certaines régions font déjà l'objet d'une discrète mais intense sous-traitance  pour leur "édition visuel" (pas éditoriale,  encore heureux) 

Combien de journalistes et autres collaborateurs, particulièrement à France Télés (moins à Radio France) vont se retrouver sur la touche comme nombre de ceux qui bossaient pour France Ô voilà 2 ans et qui en ont été les victimes d’une campagne d’intox similaire pour les remplacer par un portail fantôme et des éditeurs prestataires extérieurs (comme pour les  émissions du style outremer.lemag (France 3 et 1ère), outremer.gourmand (France 3 et 1ère), outremer.story (France 3 et 1ère), Chef Pays (1ère), etc...) qui sont rémunérés par France Télés donc les deniers publics?  

Selon nos informations, l'appel d'offre a même été validé par Jean-Emmanuel Casalta donné comme dégé imminent de Marie-Christine Saragosse à France Média Monde dont la Radio s'est récemment séparé et son pote Antoine de Galzain vénérable figure du développement social, que certains surnomment depuis peu dans les couloirs de Radio France "Max-Léo Mohamed" (en référence semble-t-il à une enquête interne diligentée dont Casalta et Veil sont bien au fait, après la mise en lumière de propos inadmissibles tombant sous le coup de la loi mais pourtant passés sciemment sous silence) !

Pour France Télés c'est Alexandre Kara le nouveau directeur de l'Info dont Ernotte ne tarit pas d'éloges qui a devoir aller expliquer aux Rédactions de France Télés qu'en fonction du Tempo de sa nouvelle groupie, filmer les rendez-vous radio "seraient une opportunité pour toutes celles et ceux qui franchiraient le pas [lequel? ndlr]...ou encore que "le savoir faire de Radio France en la matière qui garde finalement la main sur tout le processus, serait un atout" 

Genre de poncifs habituels servis régulièrement auquel les salariés ne croient plus depuis belle lurette... qu'il s'agisse d'ICI, de TEMPO ou de CAMPUS surtout après le récent crash de SALTO.







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