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mardi 7 janvier 2025

France Télés : Le règne de la Terreur enfin mis au grand jour…Les condamnations à France Télécom (Orange) n’auront-elles servi à rien ?

France Télés : Le règne de la Terreur enfin mis au grand jour…Les condamnations à France Télécom (Orange) n’auront-elles servi à rien ?

Si la question se pose en permanence à France Télévisions depuis l’été 2015, l’article de La Lettre « France télévisions : le cas d'un cadre placardisé devant les prud'hommes inquiète la direction » devrait faire comprendre aux Politiques, à l’État actionnaire et à la Représentation nationale [passons sur la ROM and cie qui n’aura cessé depuis le second parachutage ernottien organisé en  2020, de mettre des tonnes de poussière sous le tapis, relayant systématiquement la pathétique propagande interne à FTV] que l’angoisse, le climat de peur et le règne de la Terreur qu’ils vivent depuis une décennie mais de quoi ils meurent également (*) pourtant dont pourtant quasiment personne ne parle, n’est plus acceptable.  

Tout faire pour que rien ne sorte au moment où la « dame du Majestic » qui fait l’objet avec 3 autres collaborateurs d’une plainte (**), entre autres pour détournement de fonds publics, s’agite tous azimuts pour continuer le carnage…son entourage prié de chanter ses louanges un peu partout.

(*)

Le 19 décembre dernier, « Le Conseil de Prud’hommes de Paris a fait droit à la quasi intégralité des demandes des avocats de Gérard Guillaume qui dans l’affaire qui opposait le réalisateur originaire de Martinique à France Télévisions ».

« Nous publions ici un extrait de mail qui signifie clairement que l’honneur de Gérard Guillaume est lavé » écrivait le site Bondamanjak dans son article  « GÉRARD GUILLAUME A GAGNÉ !!! », ajoutant « En sus France Télévisions a été financièrement sévèrement condamné. » 

Le blog CGC Média relayant les infos écrivait  « Après le jugement rendu par un juge départiteur donc un magistrat professionnel s’agissant de la saisine faite par les deux enfants de Gerard Guillaume Marvin et Denzel    leur père s’étant suicidé – il est clair que Gengoul et deux de ses thuriféraires doivent être débarqués sur le champ pour faute lourde et sans indemnités, à la lecture des attendus. »

Les responsabilités consacrées par cette première juridiction de celles et ceux qui ont conduit à ce suicide, à commencer par la première d’entre elles à savoir celle de l’ex-Orange qui depuis son premier parachutage à l’été 2015 en est toujours la représentante légale, vont donc très vite faire l’objet d’une nouvelle procédure - cette fois-ci au Pénal - comme le révélait le blog CGC Média.

Ce mardi 7 janvier, La Lettre enfonce le clou (¤) avec le cas de « Ce cadre placardisé qui a obtenu qu'un lien soit fait entre son état dépressif et la manière dont les ressources humaines avaient traité sa situation. Son anxiété ayant en effet, été reconnue comme maladie professionnelle » parmi tant d’autres collaborateurs mis sous pression ou sur la touche, privés d'activité, ostracisés, lésés, persécutés, convoqués pour des fautes imaginaires, sommés de se taire comme virés pour avoir parlé…

Ce que révèle aujourd’hui le tire de presse, donne encore plus envie de vomir.

Après les condamnations pénales intervenues dans l’affaire des suicides à France Télécom (Orange) et la gestion chaotique de l’entreprise alors publique pendant de très nombreuses années, la décision d’Ernotte de contester l’avis des experts médicaux dépasse l’entendement. (ci-après)

« La dame du Majestic » après s’être cru à la tête d’un GROUPE PRIVÉ depuis dix ans, se prendrait à présent pour un médecin !? Hallucinant…

Extraits de l’article (¤) « France télévisions : le cas d'un cadre placardisé devant les prud'hommes inquiète la direction » 

« Un ancien directeur des antennes et programmes de France télévisions a réussi à faire reconnaître un lien entre sa mise sur la touche par les RH et sa maladie. Alors que le groupe audiovisuel conteste cette décision, ce cadre, licencié après avoir été déclaré inapte, l'attaque aux prud'hommes. 

Le cas de l'ancien directeur des antennes et des programmes de France télévisions, Olivier Montels, préoccupe particulièrement les dirigeants du groupe audiovisuel public. Licencié en octobre 2022 après avoir été déclaré inapte, ce dernier a obtenu, sept mois plus tard, qu'un lien soit fait entre son état dépressif et la manière dont les ressources humaines avaient traité sa situation. Son anxiété a en effet été reconnue comme maladie professionnelle...

Pour Olivier Montels, 61 ans, les ennuis ont commencé en septembre 2020, quand l'ex-directeur de cabinet de Delphine Ernotte Cunci, Stéphane Sitbon-Gomez, nommé directeur des antennes et des programmes, a décidé de s'entourer de nouveaux collaborateurs.

Sur la touche, Olivier Montels s'est vu réattribuer un bureau isolé du siège principal derrière l'hôpital Pompidou, sans poste attitré. Souffrant de troubles anxieux dépressifs, il a ensuite été placé en arrêt maladie. Puis, déclaré inapte à tout poste dans l'entreprise par le médecin de France télévisions en septembre 2022, il a été automatiquement licencié, recevant le mois suivant, au titre de l'accord d'entreprise, deux années de salaire représentant 340 000 €. 

La Sécurité sociale n'étant pas habilitée à établir un lien de cause à effet entre la maladie et le travail quotidien du salarié, elle s'est tournée vers le Comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles (CRRMP). Composé d'experts médicaux, ce dernier a statué le 15 mai 2023 en faveur d'Olivier Montels, reconnaissant que son état psychologique résultait bien d'une maladie professionnelle. 

Bien décidé à établir le lien entre son inaptitude et le comportement de France télévisions à son égard, Olivier Montels, défendu par Me Bérengère Lecaille (barreau de Lille), a saisi les prud'hommes de Paris en septembre 2023. Le 25 novembre 2024, les juges des prud'hommes, dans l'incapacité de se mettre d'accord sur son cas, ont renvoyé l'affaire devant les juges départiteurs. 

France télévisions, de son côté, a entamé une démarche juridique inédite. En octobre 2023, le groupe a saisi le pôle social du tribunal judiciaire de Douai pour attaquer la Sécurité sociale, contestant la reconnaissance en maladie professionnelle.

Ce qu'il veut à tout prix éviter, c'est que celle-ci soit brandie comme une carte maîtresse devant les prud'hommes. Cette reconnaissance le contraindrait en effet à régler une somme deux fois plus importante à son ex salarié au titre des dommages et intérêts. 

Fin décembre, France TV a finalement accepté une médiation devant les prud'hommes. Le tribunal de Douai devrait, quant à lui, communiquer sa réponse le 23 janvier. Contacté, l'avocat de France télévisions, Richard Sebban, n'a pas souhaité répondre à La Lettre. » 

(**)


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