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dimanche 12 janvier 2025

La colère des JRI de France Télés pourrait bien se traduire en défiance après les craques que leur sert la direction et la tournante que Vion devrait leur proposer histoire de les calmer !

La colère des JRI de France Télés pourrait bien se traduire en défiance après les craques que leur sert la direction et la tournante que Vion devrait leur proposer histoire de les calmer !

Il n’y a que les JRI de France Télévisons qui soient en colère comme le révélait le  blog CGC Média dans son post  « Extrême colère des JRI de France Télés bientôt cantonnés aux seuls micros trottoirs… » ou encore La Lettre dans l’impressionnante enquête menée par Catherine Boullay intitulée « Les JRI des sports de France télévisions bientôt sur le banc de touche ».

Pour info, côté offre vidéo numérique des Sports, il a seulement 5 CDI et 11 prestataires !  11 sur un effectif de 16 !

"On the air" et "Idalgo" les 2 boîtes qui sont sous contrat avec FTV Sports depuis des années (le 1er  parachutage ernottien pour le moins) sont aux Sports ce que Médiawan, Banijay et Brut sont aux Programmes.  Bizarrement, il y a encore eu un appel d'offre récemment et c'est Bizarrement, l’un des derniers appels d'offre a récemment été remporté par (no me digas) : Idalgo ! Incroyable, non ?

Certes il n’y a pas que ces deux-là - aux Sports, les prestataires ont le vent en poupe côté offre vidéo numérique -  mais la situation de quasi-monopole dans laquelle elles naviguent, est édifiante.

A côté de ça, au planning on compte seulement 5 salariés en CDI (1 rédacteur en chef, 2 rédacteurs en chef adjoint et un chargé d'édition numérique, dépendant de la direction des Sports et 1 salarié dépendant de la direction du numérique) et 11 prestataires longue durée ! Sans compter les prestataires appelés régulièrement au coup par coup pour couvrir les évènements sportifs le weekend et parfois aussi en semaine.

Une très grosse part du budget des Sports est donc consacrée aux prestataires, au détriment de l'embauche mais aussi au détriment de l'évolution de carrière des salariés en CDI. Ainsi en a décidé Ernotte et ses thuriféraires.

D’un autre côté, une énorme partie des visuels consultables sur le site france.tv (sport, actu, magazine, etc...) - "énorme" c'est vraiment le mot ! -  est créé par une boîte externe qui s'appelle Arrwork Factory : Une boîte de graphistes mais SANS SALARIÉS qui bossent à 100% en télétravail sans que personne dans le service n’en ait jamais rencontré un, physiquement  !


Des dossiers de ce genre, au numérique, il y en a à la pelle…comme dans de très nombreux secteurs de l’entreprise dont l’ex-Orange a organisé depuis une décennie, la privatisation massive.

Autrement dit, à France Télévisions, les vrais gagnants sont les prestataires. Les personnels  maison-  ceux qui n’ont pas  encore été transférés vers Le Studio ftv, cette pompe à collaborateurs internes du groupe public -  sont les dindons de la farce !

A France Télés, la direction raconte devoir supprimer des ETP pour faire des économies...En réalité, ce sont des couleuvres qu’ils voudraient toujours faire avaler…à qui d’ailleurs puisque plus personne ne les croient !?

Ces soi-disant économies vont continuer à  payer de gros contrats avec les  boîtes de prestataires !

Alors, la dernière trouvaille De Christian Vion le financier de France Télés, aussi coupable qu’Ernotte de valider ce supposé déficit budgétaire de -86M€ qui prévoit de proposer aux 3 JRI détachés aux Sports, de n’en garder qu’1 sous une forme de tournante, n’a quasiment aucune chance de calmer qui que ce soit et encore moins les esprits.

Le temps où Ernotte et ses fidèles vont quitter le groupe public est certes proche mais le champ de ruines qu’ils auront laissé n’est prêt d e reverdir sans l’arrivée d’une tête bien pleine et bien faite avec l’indispensable connaissance du secteur pour pouvoir vite le relancer.





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