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mercredi 18 décembre 2024

Et si Rachida Dati était la première des ministres à faire chuter François Bayrou !

Et si Rachida Dati  était la première des ministres à faire chuter François Bayrou !

Ce qui s’est passé ce matin au Conseil d’Administration de France Télévisons est grave et de surcroît pénalement répréhensible mais surtout, avait été publié le 16 décembre sur le site de France Télés, soit 2 jours avant que la séance ait eu lieu.  (*)

Le vote qui est survenu ce matin, est donc hors la loi…Pas parce qu’il a fait l’objet d’une communication au moins 36 heures avant le pseudo-vote mais surtout parce qu’il est basé sur des salades (voir les nombreuses données publiées sur le blog CGC Média "Ernotte communique aux salariés que le CA de France Télés a gobé toutes ses craques et voté un budget en déficit...Il seront évidement tous coresponsables devant la loi." 

La ministre proche de Nicolas Sarkozy, démissionnaire du gouvernement Attal puis de celui de Michel Barnier a laissé de facto, la DGMIC (La Direction Générale des Médias et des Industries Culturelles qui définit et met en œuvre et évalue la politique de l'Etat) qui dépend donc de son ministère, adopter sans broncher un budget en déficit alors même que l’État est actionnaire de l’entreprise 100% publique et que les arguments qui ont  été apportés sont totalement fallacieux, documents à l’appui (*)

Cerise sur le gâteau, l’ex-Orange est même allée jusqu’à "garantir un emprunt à court terme de deux ans d'une cinquantaine de millions d'euros auprès de l'agence France Trésor"  par la trésorerie de l'entreprise dont elle pourtant annoncé à ses 200 tops managers « qu’il n’y a plus de cash, qu’elle était à zero avec même le risque d’être négative en cette fin d’année. »

Comment garantir un prêt avec plus un fifrelin dans les caisse ?

Celles et ceux qui ont permis ce délit – c’est bien de cela dont il est question – auront tous à en répondre devant la Justice car c’est bien du Pénal dont il sera question.

Le fait que son nom figure bien dans la liste des 27 noms de ministres en plus de celui du Premier ministre - le document circulant de façon très confidentielle – au poste qu’elle a occupé à 2 reprises, aux côtés par exemple de François Rebsamen aux territoires ou encore de Marc Ferracci à l’Industrie, ne lui confèrera aucune immunité dans une telle procédure comme dans aucune autre d’ailleurs.

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